Della economia politica del medio evo
1. Condizione politica.--2. Condizione morale.--3. Condizione economica. ; Mode of access: Internet.
1066 Ergebnisse
Sortierung:
1. Condizione politica.--2. Condizione morale.--3. Condizione economica. ; Mode of access: Internet.
BASE
The aim of this paper is to assess the changes in the foreign policy of Bolivia and Ecuador during the administrations of Evo Morales (2006-2019) and Rafael Correa (2007-2017), taking into account the interaction between domestic and international factors in both countries. Our working hypothesis argues that the reorientation of the foreign policy of these countries was possible due to a connection between alterations observed in the domestic and international spheres starting in the middle of the 2000s. In the internal sphere, the greater political stability resulting from the restructuring of the party system; in the foreign policy environment, an international system more open to the progressive field, allowing a change in the orientation of Bolivian and Ecuadorian foreign policy, based on that moment on the diversification of partnerships with an anti-United States bias.
BASE
In: Oxford Research Encyclopedia of Politics
"Bolivia and the Challenges of a Plurinational Democracy" published on by Oxford University Press.
In: Current history: a journal of contemporary world affairs, Band 116, Heft 787, S. 55-60
ISSN: 0011-3530
World Affairs Online
World Affairs Online
[ES] Bolivia celebró en 2005 una elección presidencial anticipada que constituyó la respuesta a la grave crisis política y social que vivió el país en los años previos. El resultado de los comicios no tuvo precedentes en la historia democrática reciente pues por primera vez un candidato consiguió la mayoría absoluta y los partidos hasta entonces dominantes quedaron en una posición desairada. El triunfador, Evo Morales, encabezó una organización de izquierda que criticó con dureza el liberalismo económico, reivindicó el nacionalismo, prometió una reforma profunda de la política e hizo énfasis en la identidad étnica indígena. Superó por amplio margen al ex presidente Jorge Quiroga y conformó el primer gobierno monocolor desde el retorno a la democracia. El artículo busca ofrecer una explicación política y sociológica de los principales datos de la elección, interesándose en el desarrollo de la campaña y el comportamiento de los votantes. ; [EN] Bolivia celebrated in 2005 a presidential early election that constituted the response to the serious political and social crisis that lived through the country in the previous years. The result of the assemblies did not have precedents in the democratic recent history since for the first time a candidate obtained the absolute majority and the parties till then dominant stayed in a graceless position. The winner, Evo Morales, headed an organization of left side that criticized with hardness the economic liberalism, claimed the economic nationalism, promised a deep reform of the politics and did emphasis in the ethnic indigenous identity. He overcame for wide margin the ex-president Jorge Quiroga and the first government shaped monocolor from the return to the democracy. The article seeks to offer a political and sociological explanation of the principal information of the election, being interested in the development of the campaign and the behavior of the voters.
BASE
El presente trabajo plantea un análisis antropológico sobre conflictos entre grupos indígenas en Bolivia y nuevos poderes políticos de mujeres indígenas. Este análisis pretende investigar por qué las elecciones presidenciales de 2005 y 2009 un grupo mayoritario de Tacanas se posicionaron en contra de Evo Morales aun cuando su partido mantiene una política pro-indígena. Los conflictos violentos en Bolivia tienen su origen en fricciones entre las regiones de las tierras bajas y tierras altas, y típicamente son representados en la prensa y academia como conflictos de la oligarquía blanco/mestizo junto con la clase media reciente (post 1930s) contra los grupos indígenas. Sin embargo, la tensión existente entre grupos indígenas es generalmente obviada, debido a que la imagen del "indio" fue homogenizada a una sola figura basada en la relación de explotación proveniente del Estado mestizo hacia el Indio. Enfocando en mujeres Tacana de la Amazonia de Bolivia y los conflictos cotidianos entre ellas y los colonos Aymara/Quechua a su territorio, este trabajo hace tangible la naturaleza de los temas claves que están en base de estos conflictos históricos. ; Abstract: The present paper focuses on an anthropological analysis of tensions between indigenous groups in Bolivia, by asking the question of why it is that in the 2005 and 2009 presidential elections many Tacana, native to Amazonia Bolivia, voted against and generally opposed Evo Morales' candidacy and his pro-indigenous politic. Violent conflicts in Bolivia, which find their root in strong highland-lowland regionalism, are typically portrayed in the media and academia as one between the white/criollo oligarchies along with the more recent (post 1930s) mestizo middle-class against indigenous groups. The fact that there are strong conflictive sentiments between indigenous groups in Bolivia has largely been overlooked precisely because the image of the Bolivian "indian" has been distilled into a single generic figure which by definition stands in an exploited relation to the mestizo state. By focusing on Amazonian Tacana women and especially in their position of leaders, this paper makes tangible the nature of the conflicts as brought forth in everyday situations of Tacana women and highland Aymara/Quechua migrants into their territory.
BASE
International audience ; Après une année de crise politique et quatre reports de la date du scrutin au motif de la crise sanitaire, les élections générales du 18 octobre 2020 ont donné une large victoire à Luis Arce Catacora, candidat du Movimiento al Socialismo (MAS) et ancien ministre de l'Économie, qui l'a emporté dès le premier tour avec 55,10 % des voix 1. Pourtant, un an plus tôt, le 10 novembre 2019, à 9 heures du matin, Evo Morales, accompagné de son vice-président Álvaro García Linera depuis près de quatorze ans, annonçait sa démission. Nombre d'observateurs de la société bolivienne étaient alors restés perplexes devant leur écran de télévision : la confusion des événements, la soudaineté de la chute avaient de quoi désorienter. Difficile d'imaginer alors la Bolivie sans Evo Morales : pronostiqué vainqueur dans les sondages, pour ses résultats économiques notamment, il était sous le feu des critiques, et cela bien avant sa volonté d'être réélu, malgré un référendum constitutionnel perdu en 2016 dans des conditions litigieuses. Mais, surtout, pourquoi partait-il ? Tandis que certains crièrent à la « fraude électorale », l'amenant à fuir, d'autres dénoncèrent le « coup d'État » l'obligeant à s'exiler. Les deux thèses se sont affrontées, irréconciliables, mais plaçant toujours la figure du leader au centre des débats. 1 Il faut dire qu'Evo Morales a symbolisé un processus politique inédit, autant par sa 2 SEARCH All OpenEdition Introduction. « La Bolivie d'Evo Morales » : éléments pour une socio-his.
BASE
International audience ; Après une année de crise politique et quatre reports de la date du scrutin au motif de la crise sanitaire, les élections générales du 18 octobre 2020 ont donné une large victoire à Luis Arce Catacora, candidat du Movimiento al Socialismo (MAS) et ancien ministre de l'Économie, qui l'a emporté dès le premier tour avec 55,10 % des voix 1. Pourtant, un an plus tôt, le 10 novembre 2019, à 9 heures du matin, Evo Morales, accompagné de son vice-président Álvaro García Linera depuis près de quatorze ans, annonçait sa démission. Nombre d'observateurs de la société bolivienne étaient alors restés perplexes devant leur écran de télévision : la confusion des événements, la soudaineté de la chute avaient de quoi désorienter. Difficile d'imaginer alors la Bolivie sans Evo Morales : pronostiqué vainqueur dans les sondages, pour ses résultats économiques notamment, il était sous le feu des critiques, et cela bien avant sa volonté d'être réélu, malgré un référendum constitutionnel perdu en 2016 dans des conditions litigieuses. Mais, surtout, pourquoi partait-il ? Tandis que certains crièrent à la « fraude électorale », l'amenant à fuir, d'autres dénoncèrent le « coup d'État » l'obligeant à s'exiler. Les deux thèses se sont affrontées, irréconciliables, mais plaçant toujours la figure du leader au centre des débats. 1 Il faut dire qu'Evo Morales a symbolisé un processus politique inédit, autant par sa 2 SEARCH All OpenEdition Introduction. « La Bolivie d'Evo Morales » : éléments pour une socio-his.
BASE
International audience ; Après une année de crise politique et quatre reports de la date du scrutin au motif de la crise sanitaire, les élections générales du 18 octobre 2020 ont donné une large victoire à Luis Arce Catacora, candidat du Movimiento al Socialismo (MAS) et ancien ministre de l'Économie, qui l'a emporté dès le premier tour avec 55,10 % des voix 1. Pourtant, un an plus tôt, le 10 novembre 2019, à 9 heures du matin, Evo Morales, accompagné de son vice-président Álvaro García Linera depuis près de quatorze ans, annonçait sa démission. Nombre d'observateurs de la société bolivienne étaient alors restés perplexes devant leur écran de télévision : la confusion des événements, la soudaineté de la chute avaient de quoi désorienter. Difficile d'imaginer alors la Bolivie sans Evo Morales : pronostiqué vainqueur dans les sondages, pour ses résultats économiques notamment, il était sous le feu des critiques, et cela bien avant sa volonté d'être réélu, malgré un référendum constitutionnel perdu en 2016 dans des conditions litigieuses. Mais, surtout, pourquoi partait-il ? Tandis que certains crièrent à la « fraude électorale », l'amenant à fuir, d'autres dénoncèrent le « coup d'État » l'obligeant à s'exiler. Les deux thèses se sont affrontées, irréconciliables, mais plaçant toujours la figure du leader au centre des débats. 1 Il faut dire qu'Evo Morales a symbolisé un processus politique inédit, autant par sa 2 SEARCH All OpenEdition Introduction. « La Bolivie d'Evo Morales » : éléments pour une socio-his.
BASE
In: Akal Pensamiento crítico, 103
El 10 de noviembre de 2019, Evo Morales Ayma, presidente del Estado Plurinacional de Bolivia, presentaba su renuncia y huía en avión, junto al vicepresidente Álvaro García Linera, a México, país que les concedió asilo. Dos días después, la segunda vicepresidenta del Senado, Jeanine Áñez, del partido derechista Movimiento Demócrata Social (MDS), que en las elecciones del 20 de octubre de ese mismo año se había presentado dentro de la Alianza Bolivia Dice No y había obtenido 4 escaños de los 130 que componen la Asamblea Legislativa Plurinacional -un 4,24% de los votos-, era proclamada, en la cámara alta y sin quorum, presidenta del Estado. ¿Cómo entender tan extraña situación?Con ánimo crítico pero constructivo, el presente libro analiza en detalle las causas que condujeron a la crisis política del Movimiento al Socialismo (MAS) a través de los cambios en su proyecto de gobierno, y de los modelos de Constitución, soberanía, territorio y economía derivados de él. Un escenario de conflictos, luchas por el poder, alianzas, derrotas y victorias, que nos permite entender los orígenes y consecuencias de los acontecimientos, así como el papel desempeñado en esta liza por cada actor político y social, y del cual extraer lecciones que se revelan imprescindibles para los retos futuros del nuevo Gobierno de Luis Arce Catacora.
World Affairs Online
In: Latin American perspectives, Band 37, Heft 3, S. 107-122
ISSN: 1552-678X
Evo Morales assumed office in January 2006 with a resounding mandate from marginalized indigenous peoples to reinvent Bolivia. Five hundred years of colonial and republican rule, combined with 20 years of neoliberal economic policy in this poorly consolidated democracy, constrained his ability to reshape the country during his first term in office. Morales still faces the fundamental challenges of (1) national oligarchies, (2) limited administrative capacity, (3) rent seeking and institutionalized corruption, (4) social movements, and (5) transnational actors. Rather than being distinct, these challenges are overdetermined: the economic challenges of transforming an extractive economy are intertwined with the lack of government capacity that is the legacy of exclusionary social and political processes since the Spanish conquest. Armed with the firm political will embodied in the new constitution, he has consolidated his support, and this has allowed his government to begin its second administration in a better position than almost all its predecessors as it attempts to create a more equitable society.
In: Problèmes d'Amérique Latine, Band 98, Heft 3, S. 37-57
ISSN: 0765-1333
Evo Morales a été réélu pour la troisième fois consécutive président de l'État plurinational de Bolivie avec le score officiel de 61,5 % des suffrages. Et les candidats présentés par son parti, le Movimiento al socialismo (MAS), ont gagné les 2/3 des sièges de l' Asamblea Legislativa Plurinacional (ALP), tant au sein de la Chambre des députés qu'au Sénat. Ce résultat flatteur s'explique en partie par le charisme du candidat et la bonne santé économique du pays – principalement causée par le cours avantageux des matières premières que le pays exporte – mais l'ampleur du succès tient aux nombreuses fraudes orchestrées par le pouvoir exécutif avec la complicité du Tribunal supremo electoral .
World Affairs Online
In November 10th, 2019, Evo Morales, Bolivian president for the last 14 years, resigned to power after a long period of protests launched after the general elections (October 20th), the target of many fraud accusations. Bolivia was left in a difficult situation of power vacuum, which was filled by a constitutional succession, described by the press as a coup against democracy. It was indeed a coup? Using theory and historical analysis, this article tries to understand what happened in Bolivia and if it is accurate to fear about Bolivian democracy's existence. ; El 10 de noviembre de 2019, Evo Morales, presidente de Bolivia durante los últimos 14 años, entregaba su carta de renuncia después de un largo período de protestas iniciado después de las elecciones generales del 20 de octubre, atravesadas por acusaciones de fraude. Dejaba a Bolivia sumida en un vacío de poder que tardó dos días en ser llenado con la conformación de un gobierno transitoriodescrita por la prensa como un golpe de Estado a la democracia. ¿Fue un golpe? El presente artículo evalúa minuciosamente las dos argumentaciones, hace un seguimiento de los cambios de gobierno en Bolivia durante los últimos 87 años y cataloga los hechos ocurridos en 2019 desde una perspectiva comparada. El objetivo es tratar de etender si democracia boliviana está en agonía o restablecida y si las tendencias hacia la fascistización del país son una realidad o un mito.
BASE