Place de la structuration de l'image du corps et grille de repérage clinique des étapes évolutives de l'autisme infantile
In: Enfance, Band 2009, Heft 1, S. 121
ISSN: 1969-6981
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In: Enfance, Band 2009, Heft 1, S. 121
ISSN: 1969-6981
Introduction : la Corse est l'une des régions de France qui comporte le plus de personnes âgées et qui enregistre le taux de pauvreté le plus élevé chez les séniors. Chez les plus de 65 ans en France, on estime la prévalence du syndrome de fragilité à 15,0 %. Les politiques de santé affirment leur volonté d'agir contre la perte d'autonomie et veillent à promouvoir le bien vieillir. Elles placent les médecins généralistes parmi les principaux acteurs dans le repérage et la prise en charge de la fragilité. Cette étude avait pour objectif de faire un état des lieux des connaissances et des pratiques des médecins généralistes installés en Corse concernant le repérage ambulatoire de la fragilité chez la personne âgée. Méthodes : nous avons mené durant trois mois une étude quantitative et descriptive à l'aide d'un auto-questionnaire anonyme destiné aux médecins généralistes installés en Corse. À partir de ce questionnaire, des scores ont été réalisés afin d'apprécier dans sa globalité le niveau de sensibilité et de coordination des médecins à ce repérage. Résultats : parmi les 310 médecins installés sur le territoire Corse, 81 réponses ont été enregistrées. Le concept de fragilité était connu par 92,6 % des individus. Les médecins dans leur grande majorité considéraient dans 87,7 % (IC95% = [81.6% , 93.8%]) des cas avoir une place principale dans son repérage, et 51,9 % (IC95% = [42.5% , 61.3%]) d'entre eux déclaraient avoir été informés sur les éléments spécifiques à rechercher. Le repérage de la fragilité était associé à une démarche de prévention primaire dans 77,8 % (IC95% = [70% , 85.6%]) des cas. La grille d'évaluation du Gérontopôle frailty screening tool (GSFT) de Toulouse n'était connue que par 14,1 % des médecins (IC95% = [7.4% , 20.8%]). Lorsqu' un syndrome de fragilité était suspecté, une évaluation gérontologique standardisée (EGS) était réalisée par une aide extérieure dans 45,7 % des cas (IC95% = [35.9% , 54.3%]). Concernant les perspectives de « création de centres multi-domaines », 76,5 % des médecins y répondaient favorablement (IC95% = [68.7% , 84.3%]). L'auto-évaluation de la capacité intrinsèque par des applications mobiles était une piste pertinente selon 59,3 % de l'effectif (IC95% = [50.1% , 68.5%]). Conclusion : les médecins généralistes installés en Corse sont pour la plupart sensibilisés au repérage de la fragilité. Cependant, l'utilisation d'outils standardisés semble être un des objectifs qu'il faudrait améliorer. Dans cette étude, la logique d'exercice des médecins apparaît comme étant coordonnée et leur volonté de s'impliquer dans une démarche de soins gériatriques semble se confirmer.
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Introduction : la Corse est l'une des régions de France qui comporte le plus de personnes âgées et qui enregistre le taux de pauvreté le plus élevé chez les séniors. Chez les plus de 65 ans en France, on estime la prévalence du syndrome de fragilité à 15,0 %. Les politiques de santé affirment leur volonté d'agir contre la perte d'autonomie et veillent à promouvoir le bien vieillir. Elles placent les médecins généralistes parmi les principaux acteurs dans le repérage et la prise en charge de la fragilité. Cette étude avait pour objectif de faire un état des lieux des connaissances et des pratiques des médecins généralistes installés en Corse concernant le repérage ambulatoire de la fragilité chez la personne âgée. Méthodes : nous avons mené durant trois mois une étude quantitative et descriptive à l'aide d'un auto-questionnaire anonyme destiné aux médecins généralistes installés en Corse. À partir de ce questionnaire, des scores ont été réalisés afin d'apprécier dans sa globalité le niveau de sensibilité et de coordination des médecins à ce repérage. Résultats : parmi les 310 médecins installés sur le territoire Corse, 81 réponses ont été enregistrées. Le concept de fragilité était connu par 92,6 % des individus. Les médecins dans leur grande majorité considéraient dans 87,7 % (IC95% = [81.6% , 93.8%]) des cas avoir une place principale dans son repérage, et 51,9 % (IC95% = [42.5% , 61.3%]) d'entre eux déclaraient avoir été informés sur les éléments spécifiques à rechercher. Le repérage de la fragilité était associé à une démarche de prévention primaire dans 77,8 % (IC95% = [70% , 85.6%]) des cas. La grille d'évaluation du Gérontopôle frailty screening tool (GSFT) de Toulouse n'était connue que par 14,1 % des médecins (IC95% = [7.4% , 20.8%]). Lorsqu' un syndrome de fragilité était suspecté, une évaluation gérontologique standardisée (EGS) était réalisée par une aide extérieure dans 45,7 % des cas (IC95% = [35.9% , 54.3%]). Concernant les perspectives de « création de centres multi-domaines », 76,5 % des médecins y répondaient favorablement (IC95% = [68.7% , 84.3%]). L'auto-évaluation de la capacité intrinsèque par des applications mobiles était une piste pertinente selon 59,3 % de l'effectif (IC95% = [50.1% , 68.5%]). Conclusion : les médecins généralistes installés en Corse sont pour la plupart sensibilisés au repérage de la fragilité. Cependant, l'utilisation d'outils standardisés semble être un des objectifs qu'il faudrait améliorer. Dans cette étude, la logique d'exercice des médecins apparaît comme étant coordonnée et leur volonté de s'impliquer dans une démarche de soins gériatriques semble se confirmer.
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L'objectif de cet article est d'élaborer une grille de repérage du processus de politisation en référence non pas à la scène politique institutionnelle, mais à la montée en généralité et à la prise de position dans un clivage qui préside à l'expression d'une opinion politique. L'application de cette grille aux entretiens effectués dans une cité de banlieue permet de mettre en lumière la relative autonomie de la politisation par rapport à la connaissance spécialisée, les diverses ressources mobilisées à cet effet par les acteurs sociaux et la variété des combinaisons idéologiques.
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L'objectif de cet article est d'élaborer une grille de repérage du processus de politisation en référence non pas à la scène politique institutionnelle, mais à la montée en généralité et à la prise de position dans un clivage qui préside à l'expression d'une opinion politique. L'application de cette grille aux entretiens effectués dans une cité de banlieue permet de mettre en lumière la relative autonomie de la politisation par rapport à la connaissance spécialisée, les diverses ressources mobilisées à cet effet par les acteurs sociaux et la variété des combinaisons idéologiques.
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L'objectif de cet article est d'élaborer une grille de repérage du processus de politisation en référence non pas à la scène politique institutionnelle, mais à la montée en généralité et à la prise de position dans un clivage qui préside à l'expression d'une opinion politique. L'application de cette grille aux entretiens effectués dans une cité de banlieue permet de mettre en lumière la relative autonomie de la politisation par rapport à la connaissance spécialisée, les diverses ressources mobilisées à cet effet par les acteurs sociaux et la variété des combinaisons idéologiques.
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L'objectif de cet article est d'élaborer une grille de repérage du processus de politisation en référence non pas à la scène politique institutionnelle, mais à la montée en généralité et à la prise de position dans un clivage qui préside à l'expression d'une opinion politique. L'application de cette grille aux entretiens effectués dans une cité de banlieue permet de mettre en lumière la relative autonomie de la politisation par rapport à la connaissance spécialisée, les diverses ressources mobilisées à cet effet par les acteurs sociaux et la variété des combinaisons idéologiques.
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L'objectif de cet article est d'élaborer une grille de repérage du processus de politisation en référence non pas à la scène politique institutionnelle, mais à la montée en généralité et à la prise de position dans un clivage qui préside à l'expression d'une opinion politique. L'application de cette grille aux entretiens effectués dans une cité de banlieue permet de mettre en lumière la relative autonomie de la politisation par rapport à la connaissance spécialisée, les diverses ressources mobilisées à cet effet par les acteurs sociaux et la variété des combinaisons idéologiques.
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In: L' observatoire: observatoire des politiques culturelles, Band 33, Heft 1, S. 103-103
ISSN: 2553-615X
In: _372GRH, Band 8, Heft 3, S. 11-41
ISSN: 2295-9149
Comme les autres instruments de gestion, les référentiels de compétences sont assez rarement analysés en tant que tels. Ils sont souvent considérés comme des « donnés » allant de soi. Pourtant, un observateur attentif des pratiques des entreprises dans ce domaine est très rapidement frappé par la diversité des contenus et des formes des référentiels. Ce texte propose des éléments d'explication de cette diversité. Tout en prenant en compte différents facteurs (comme le contexte, l'histoire de l'entreprise, etc.), ce texte souligne que la littérature considère, parfois implicitement, que les référentiels ont pour objectif d'évaluer le travail réalisé par les salariés. En s'appuyant sur des travaux récents, cet article montre que d'autres « philosophies gestionnaires » peuvent pourtant être envisagées pour les référentiels de compétences. En présentant deux études de cas comparatives, cet article montre que ces différences d'objectifs se traduisent concrètement dans la forme et le contenu de ces référentiels de compétences. Finalement, ce texte plaide pour une analyse fine des différences dans les contenus et les formes des référentiels car elles sont le signe de référentiels de compétences qui ont des philosophies gestionnaires, des objectifs et des modes d'utilisation fondamentalement différents.
In: IV. L'éclatement de modes de connaissance; International Review of Community Development, Heft 15, S. 149-157
ISSN: 2369-6400
Pourquoi cette volonté de réduire les objets qui existent dans la société, aux grilles d'analyse conceptuelle qu'on est amené, à leur propos, à élaborer ? Très vite ce n'est plus l'objet — proliférant, vivant, ambigu — qui désigne la théorie pertinente mais la grille se pensant omnisciente qui prétend désigner ce qui est digne du titre d'« objet ». Ce n'est plus le monde, autrement dit, qui suscite la nécessité de la carte mais l'empire de la carte qui délimite le monde à considérer. Ce renversement entre la pensée et le réel est dû au fait que le penseur veut expliquer de haut son objet, et ceci d'autant plus qu'il s'y sent impliqué. Il y est juge et partie. L'explication, en ce sens, est un coup de force exercé sur l'objet afin de s'expliquer à tout prix hors de lui. Le désir de neutralité soutient cet effort mais il est de plus en plus illusoire. N'est-il pas préférable, dans ces conditions, d'expliciter plutôt qu'expliquer, en admettant et en révélant l'implication dans laquelle on se trouve, quoi qu'on fasse ? En acceptant sa position toute relative et subjective ? Peut-être... Mais l'explication, elle aussi, a ses limites et ses contraintes de sorte qu'il faudrait, à la fois, pouvoir expliquer et expliciter, pouvoir s'expliquer et s'impliquer.
In: Archiv für Rechts- und Sozialphilosophie: ARSP = Archives for philosophy of law and social philosophy = Archives de philosophie du droit et de philosophie sociale = Archivo de filosofía jurídica y social, Band 93, Heft 3, S. 456-457
ISSN: 2363-5614
In: Pensée plurielle: parole, pratiques et réflexions du social, Band 13, Heft 3, S. 81
ISSN: 1782-1479