Analyse der Bedingungen, unter denen die Jäger- und Sammlerkultur der Pygmäen zerstört wird. Das Abholzen der tropischen Regenwälder in acht zentralafrikanischen Staaten engt ihren Lebensraum so weit ein, daß ihnen nur die Möglichkeit bleibt, seßhaft zu werden. Das entspricht zwar den Zivilisationsvorstellungen der Staaten, stößt aber praktisch auf viele Probleme und Konflikte mit der bäuerlichen Bevölkerung. (DÜI-Wsl)
En dépit de leur aspect résiduel et de leur marginalité, les sociétés pygmées sont exemplaires de mutations contemporaines que connaissent les sociétés nomades. Y a-t-il encore place pour les pygmées en forêt ? Compte tenu des intérêts économiques représentés par les zones forestières et des stratégies de développement en œuvre, toute issue autre que leur sédentarisation, généralement source de déséquilibres aigus, paraît illusoire.
Résumé Une rétrospective de films documentaires autour de l'œuvre du cinéaste Henri Storck, dans ses aspects militants, a donné l'occasion d'analyser celle-ci dans son contexte des années 1930. Le plus connu d'entre ces courts métrages, Misère au Borinage , est resté une référence dans le domaine du film documentaire engagé. Tourné en 1933 en collaboration avec Joris Ivens, ce film (muet, sonorisé plus tard) dévoile la misère dans laquelle vivaient les mineurs de la région wallonne, du fait d'une dégradation économique tragique et de l'oppression sauvage exercée par un patronat impitoyable, en réponse aux mouvements de protestation ouvriers. Outre son intérêt historique, sa puissance émotionnelle ou ses qualités esthétiques, ce film pose la question des rapports entre réalité et fiction dans le cinéma documentaire: si le décor est réel, si les personnages sont vrais, si les miséreux qui paraissent à l'écran sont bien ceux qui vivaient dans les conditions inhumaines qui nous sont montrées, c'est en fait un documentaire « organisé » que nous proposent les cinéastes. Sans doute imposé à l'époque par la lourdeur du matériel cinématographique, le procédé qui consiste à organiser les scènes filmées est resté l'une des bases de la rhétorique documentaire, qui s'est affinée non pas en se débarrassant de ces artifices mais en les assumant. L'analyse de l'ensemble des films militants de Henri Storck a donné aussi l'occasion d'aborder, d'une part, la question de l'efficacité politique des films engagés et, d'autre part, celle des risques d'une lecture anachronique d'images datées et qu'il faut replacer dans leur signification propre.
Pendant longtemps, Bolívar a emprunté à l'Europe l'image qu'il se faisait de l'Indien. Cette image rousseauiste vola en éclats à Pasto, lorsque la population indigène de la région se souleva en faveur de la monarchie espagnole, et arrêta la marche de l'armée colombienne vers le Pérou. Le « Bon Sauvage » devint alors soudainement un « Affreux Barbare » et il devait toujours le rester. Les décrets indigénistes de Bolívar, inspirés par l'idéologie libérale, jettent définitivement les bases de la politique que les nouvelles républiques latino-américaines allaient mener par la suite, pour faire de l'Indien un citoyen à part entière. Cependant le Libertador ne croît pas possible, ni souhaitable, l'intégration de la population indigène dans la nation en formation. Jusqu'à sa mort, son esprit demeurera hanté par le spectre de la « guerre des castes ».
Cette recherche rend compte de l'activité des architectes et des urbanistes à Nantes entre 1892 et 1947. Une première partie de l'étude tend à caractériser le groupe des architectes nantais. Elle rassemble des informations sur leurs origines, leurs formations, les clientèles, les champs d'intervention, l'organisation professionnelle des architectes ainsi que leur participation aux institutions de contrôle et de gestion architecturale et urbaine. Une seconde partie s'intéresse à l'urbanisme, programmation et planification de la ville. Deux grandes sections la composent : l'une consacrée au plan d'aménagement, d'embellissement et d'extension ; la suivante est consacrée au plan d'aménagement et de reconstruction étudié à partir de 1944. Se pose alors la question du local et du national (ou du parisien) qui sous-tend la troisième partie de la recherche consacrée à la production d'architecture. C'est d'une part le problème de la dévolution de la commande qui est posé. C'est d'autre part celui des références architecturales à une époque où régionalisme, ruralisme ou modernité jouent un rôle important dans le combat politique. Une revue des productions architecturales montre la manière dont les architectes nantais se répartissent la commande nantaise, comment les maîtres d'ouvrage nationaux qui investissent à Nantes font intervenir leurs propres architectes, ou comment, pour des projets spécifiques, des décideurs locaux feront appel à des architectes célèbres (Tony Garnier pour un projet d'abattoirs, Henri Sauvage pour un projet de grand magasin). Ceci met en évidence une certaine "disqualification du local" où il semble que l'on réserve plutôt aux architectes locaux la production courante. La promotion d'une architecture à caractère régional, ou les références les plus manifestes à une modernité architecturale à caractère plus polémique, seront souvent le fait d'architectes qui ne sont pas passés par la filière noble des Beaux-Arts
International audience ; Auch wenn bereits Michele Todoni (1616-1690) seine Sammlung in Rom öffentlich ausstellte, kam das Konzept einer öffentlichen Sammlung von Musikinstrumenten, dank der Convention nationale (Erste Republik), in Paris nicht vor 1795 auf. Im Gesetz zur Gründung des Institut national deMusique, das spätere Konservatorium, ist festgehalten, ein nationales Instrumentenkabinett solle zur öffentlichen Bildung eine »Sammlung historischer oder ausländischer Instrumente sowie solche, die aktuell in Gebrauch sind, Kraft ihrer Perfektion als Modell dienen mögen«, ausstellen. Basierendauf Instrumenten, die in aristokratischen Privathäusern konfisziert worden waren, erfüllte das Kabinett sein Ziel für eine Generation. 1816 wurde die Sammlung, von der nur 13 Objekte erhalten sind, jedoch von Luigi Cherubini aufgelöst. Gefolgt von weiteren Versuchen in Wien 1825 und Edinburgh 1859, richtete man öffentliche Musikinstrumentensammlungen zunehmend zur Zeit internationaler Industrieausstellungen ein, im Zeichen nationalen Wettstreits und geleitet von den jeweiligen Vorstellungen zu Nationalerbe und Massenkultur.Leihausstellungen alter Musikinstrumente wie in London 1872, Paris 1878, Bologna und Brüssel 1888 oder Paris 1889 hoben nationale instrumentenbauschulen hervor, und die Instrumente klassifizierende Ausstellungen animierten auch private Sammler in ganz Europa, Teile ihrer Sammlungen öffentlichen Institutionen zu übergeben; im Gefolge des Kolonialismus wurden zudem Ensembles nicht-europäischer Musikinstrumente gebildet.Nach Pascal Ory (L'aventure culturelle française, 1989) oder Marc Fumaroli (L'État culturel, 1991) scheint in Frankreich durch den Front Populaire 1936 sowie durch André Malraux 1958 Kulturpolitik durch eine bis dahin ungekannte Demokratisierung verkörpert worden zu sein. Doch zeigten sichkaum Auswirkungen auf Musikinstrumentensammlungen in Frankreich, während in Europa mehrere Sammler die technischen, aber auch kulturellen und sozialen Zusammenhänge dieser Artefakte als bedeutend ...
International audience ; Auch wenn bereits Michele Todoni (1616-1690) seine Sammlung in Rom öffentlich ausstellte, kam das Konzept einer öffentlichen Sammlung von Musikinstrumenten, dank der Convention nationale (Erste Republik), in Paris nicht vor 1795 auf. Im Gesetz zur Gründung des Institut national deMusique, das spätere Konservatorium, ist festgehalten, ein nationales Instrumentenkabinett solle zur öffentlichen Bildung eine »Sammlung historischer oder ausländischer Instrumente sowie solche, die aktuell in Gebrauch sind, Kraft ihrer Perfektion als Modell dienen mögen«, ausstellen. Basierendauf Instrumenten, die in aristokratischen Privathäusern konfisziert worden waren, erfüllte das Kabinett sein Ziel für eine Generation. 1816 wurde die Sammlung, von der nur 13 Objekte erhalten sind, jedoch von Luigi Cherubini aufgelöst. Gefolgt von weiteren Versuchen in Wien 1825 und Edinburgh 1859, richtete man öffentliche Musikinstrumentensammlungen zunehmend zur Zeit internationaler Industrieausstellungen ein, im Zeichen nationalen Wettstreits und geleitet von den jeweiligen Vorstellungen zu Nationalerbe und Massenkultur.Leihausstellungen alter Musikinstrumente wie in London 1872, Paris 1878, Bologna und Brüssel 1888 oder Paris 1889 hoben nationale instrumentenbauschulen hervor, und die Instrumente klassifizierende Ausstellungen animierten auch private Sammler in ganz Europa, Teile ihrer Sammlungen öffentlichen Institutionen zu übergeben; im Gefolge des Kolonialismus wurden zudem Ensembles nicht-europäischer Musikinstrumente gebildet.Nach Pascal Ory (L'aventure culturelle française, 1989) oder Marc Fumaroli (L'État culturel, 1991) scheint in Frankreich durch den Front Populaire 1936 sowie durch André Malraux 1958 Kulturpolitik durch eine bis dahin ungekannte Demokratisierung verkörpert worden zu sein. Doch zeigten sichkaum Auswirkungen auf Musikinstrumentensammlungen in Frankreich, während in Europa mehrere Sammler die technischen, aber auch kulturellen und sozialen Zusammenhänge dieser Artefakte als bedeutend ...
International audience ; Auch wenn bereits Michele Todoni (1616-1690) seine Sammlung in Rom öffentlich ausstellte, kam das Konzept einer öffentlichen Sammlung von Musikinstrumenten, dank der Convention nationale (Erste Republik), in Paris nicht vor 1795 auf. Im Gesetz zur Gründung des Institut national deMusique, das spätere Konservatorium, ist festgehalten, ein nationales Instrumentenkabinett solle zur öffentlichen Bildung eine »Sammlung historischer oder ausländischer Instrumente sowie solche, die aktuell in Gebrauch sind, Kraft ihrer Perfektion als Modell dienen mögen«, ausstellen. Basierendauf Instrumenten, die in aristokratischen Privathäusern konfisziert worden waren, erfüllte das Kabinett sein Ziel für eine Generation. 1816 wurde die Sammlung, von der nur 13 Objekte erhalten sind, jedoch von Luigi Cherubini aufgelöst. Gefolgt von weiteren Versuchen in Wien 1825 und Edinburgh 1859, richtete man öffentliche Musikinstrumentensammlungen zunehmend zur Zeit internationaler Industrieausstellungen ein, im Zeichen nationalen Wettstreits und geleitet von den jeweiligen Vorstellungen zu Nationalerbe und Massenkultur.Leihausstellungen alter Musikinstrumente wie in London 1872, Paris 1878, Bologna und Brüssel 1888 oder Paris 1889 hoben nationale instrumentenbauschulen hervor, und die Instrumente klassifizierende Ausstellungen animierten auch private Sammler in ganz Europa, Teile ihrer Sammlungen öffentlichen Institutionen zu übergeben; im Gefolge des Kolonialismus wurden zudem Ensembles nicht-europäischer Musikinstrumente gebildet.Nach Pascal Ory (L'aventure culturelle française, 1989) oder Marc Fumaroli (L'État culturel, 1991) scheint in Frankreich durch den Front Populaire 1936 sowie durch André Malraux 1958 Kulturpolitik durch eine bis dahin ungekannte Demokratisierung verkörpert worden zu sein. Doch zeigten sichkaum Auswirkungen auf Musikinstrumentensammlungen in Frankreich, während in Europa mehrere Sammler die technischen, aber auch kulturellen und sozialen Zusammenhänge dieser Artefakte als bedeutend ...
Die vorliegende Arbeit ist ein Beitrag zum Studium der Beziehung zwischen Tradition und Moderne in der 1. Hälfte des 20. Jh. am Beispiel des Lebenswerkes des rumänischen Architekten und Intellektuellen George Matei Cantacuzino (geb. 1899 in Wien, gest. 1960 in Jassy). G. M. Cantacuzino (im Text GMC genannt) gilt in Rumänien als Doyen der Moderne und als bedeutendster Architekturtheoretiker des Landes. Leben GMC studiert Architektur an der Pariser École des Beaux-Arts (1920-1929), zuerst beim erzkonservativen Gustave Umbdenstock. Doch es sind zwei liberal eingestellte Professoren, die GMC am stärksten prägen: der Bauhistoriker und Theoretiker Georges Gromort sowie der Praktiker Roger-Henri Expert. In Rumänien entfaltet GMC eine reichhaltige schöpferische Tätigkeit als Architekt, Theoretiker, Kritiker, Übersetzer, Maler, Kurator, Pädagoge und Politiker. Seine Bauten, Schriften und das Konzept der klassischen Haltung begründen GMCs Autorität als unangefochtene integrative Leitfigur der jungen rumänischen Architekturszene der 1930er Jahre. 1928 legt er einen Palladio-Essay vor (in Französisch), 1947 stellt er die erste Vitruv-Übersetzung ins Rumänische fertig. 1934-1936 ist GMC erster rumänischer Korrespondent der L´Architecture d´aujourd´hui, 1937-1940 Chefarchitekt der rumänischen Eisenbahngesellschaft CFR, 1942-1948 Professor für Geschichte und Theorie der Architektur in Bukarest. 1920-1940 unternimmt er zahlreiche Studien- und Arbeitsreisen in Europa, nach Vorderasien und in die USA. 1939-1947 entwickelt sich GMCs Kulturzeitschrift Simetria zu einer Zentrale des "ästhetischen Widerstandes" gegen Faschismus und Kommunismus. Nach seiner Inhaftierung als Regimegegner (1948-1954) lebt und arbeitet er meist am Rande der Gesellschaft (1954-1957 beim Denkmalschutzamt) bis zum frühen Tod (1960). Architektur GMC-Bauten sind gekennzeichnet von kompositorischer Ausgewogenheit und Dichte, von ruhiger, diskret ornamentierter Baumassenästhetik und von Materialethik. Dabei nimmt GMC als Epochenskeptiker, der dem «élan vital» Henri Bergsons verpflichtet ist, Abstand davon, den Stilbegriff auf die Dynamik zeitgenössischer Architektur zu übertragen. In der Folge weist GMCs thematisch breit gefächerte Architektur durch seine gesamte Laufbahn hindurch zwei formalästhetische Konstanten auf: den historischen Palladianismus und Syntheseversuche zwischen früher Moderne, spätbyzantinisch-rumänischen und klassizistischen Traditionssträngen. Beeinflusst ist GMC auch von Le Corbusier, v. a. aber von der Groupe des Architectes Modernes um Perret, Garnier, Sauvage und Expert sowie von der Schinkel-Semper-Wagner-Loos-Schule. Eine klassische Haltung GMCs Schaffen wird von einer linksliberalen politischen Überzeugung getragen und von freimaurerischem Gedankengut inspiriert. Ihnen liegt das Konzept einer klassischen Haltung zugrunde, die Tradition mit Moderne verknüpft und Ästhetik an Ethik bindet. Damit belebt GMC zwei antike Begriffe wieder: die aristotelische Auffassung von Architektur als eine pragmatischen Kunst und den vitruvianischen Symmetriebegriff als geglückte Proportion und dynamisches Gleichgewicht. Als baugeschichtlich-philosophischer Interpretationsansatz (in Bezug auf das Studium von Klassikern und die anthropologisch gebundenen formalästhetischen Kompositionsprinzipien wie Proportion, Rhythmus und Harmonie) bildet die klassische Haltung eine Grundlage für den Architekturentwurf. Dieser gründet auch auf der Architektenpersönlichkeit und dem Aufgabenkontext (u.a. Landschaft, Kultur, Stadttextur, Baustoffe). Kulturpolitisch erscheint die klassische Haltung als eine Strategie zur architekturkulturellen Erneuerung und als ein Versuch, die Vision eines plurikulturellen Rumäniens architekturkulturell zu gestalten. Dabei löst GMC den Konflikt zwischen rumänischem Heimatstil und Internationalismus, indem er sie nicht als festgefügte Stile, sondern als Strömungen behandelt. Darüber hinaus sind für ihn Tradition und Moderne nicht gegensätzlich, sondern gegenseitig, da wesensverschieden. Mit der klassischen Haltung bietet GMC einen Beitrag zur Klassik-Debatte (Wölfflin, Klopfer) und zur Diskussion des "Rappel à lordre" (Cocteau). In Bezug auf die theoretische Auseinandersetzung mit Leitbegriffen der Architektur lässt sich auch eine bemerkenswerte Nähe zu Rudolf Wittkower ausmachen. Als Erneuerungsstrategie kann die klassische Haltung verglichen werden mit Schinkels Theorie der Verschmelzung zwischen Antike und Gotik, der "Theorie widerstreitender Kräfte" von Colin Rowe und Fred Koetter, dem Kritischen Regionalismus oder mit Gerd de Bruyns Klassizismus-Begriff. Ein bemerkenswertes kulturpolitisches Echo findet GMCs transformatorische Rückbesinnung auf die vitruvianische Symmetrie auch im Begriff der "Dialogik" (Edgar Morin 1988) als ein Kennzeichen der europäischen Kultur: "Europa symmetrisiert" (GMC 1947). ; This study of the work of the Romanian architect and intellectual George Matei Cantacuzino (b. 1899 in Vienna, d. 1960 in Jassy) aims at deepening the insight into the relationship between Tradition and Modernism during the first half of the 20th century. G. M. Cantacuzino (referred to as GMC in the text) is acknowledged for being one of the doyens of Modernism in Romania and the pre-eminent architectural theoretician in that country up to the present day. Life GMC studied architecture at the Parisian École des Beaux-Arts (1920-1929), starting as an élève in the class of the arch-conservative Gustave Umbdenstock. But GMCs way of thinking about architecture was in large measure shaped by two liberal professors: the historian and theoretician Georges Gromort, and the practising architect Roger-Henri Expert. Back in Romania, GMC performed a fruitful diversity of creative activities as an architect, theoretician, critic, translator, teacher, painter and politician. It is by virtue of his buildings, writings and Classical attitude, that he earned his reputation as unchallenged integrative leader of the young Romanian architectural scene of the 1930s. In 1928, he published a critical essay on Palladio (in French), in 1947 he accomplished the first translation into Romanian of Vitruvius. With L´Architecture d´aujourd´hui, he became the first Romanian correspondent of the magazine (1934-1936). He also went on numerous study journeys through Europe, the Middle East and the USA (1920-1940). Additionally, GMC was chief architect of the Romanian Railway Company CFR (1937-1940), and professor of history and theory of architecture in Bucharest (1942-1948). His cultural magazine Simetria (1939-1947) became a sort of centre of the "Aesthetics of Resistance" (Peter Weiss) against Fascism and Communism. After his imprisonment due to his opposition to the regime (1948-1954), GMC first worked for the Commission of Historic Monuments (1954-1957) and then experienced social exclusion until his untimely death (1960). Architecture GMC´s projects are marked by compositional balance and density, the aesthetic principle of discreetly ornamented, simplified mass, and the material ethics. At the same time, GMC proved sceptical towards epoch labels. Very much affected by the "élan vital" coined by French philosopher Henri Bergson, GMC refused to apply the term "style" to the dynamism of contemporary architecture. Actually, his wide-ranging architecture aroused particular interest with Palladianism and various attempts at a synthesis between Modernism, late Byzantine-Romanian traditions and Classicism. Although being impressed by Le Corbusier, GMC was rather influenced by two other mouvements: the Groupe des Architectes Modernes with Perret, Garnier, Sauvage and Expert, and the school of Schinkel-Semper-Wagner-Loos. A Classical attitude GMC´s wide range of activities was inspired by a liberal polical attitude and freemasonic thinking. These were backed by the concept of a Classical attitude, which links modernism to tradition, and binds aesthetics to ethics. Thus GMC revived two antique ideas: the Aristotelian notion of architecture as a pragmatic art, and the Vitruvian symmetry as happy proportion and dynamic balance. As a concept of historical and philosophical interpretation (referring to the study of classics and aesthetic principles of composition as proportion, rhythm and harmony) the Classical attitude contributes to the act of designing which is further based on the personality of the architect and on the context of the project (i.e. landscape, culture, urban fabric, materials). In terms of cultural and educational policy, the Classical attitude might be interpreted as a strategy for an architectural and cultural rejuvenation, and as an architectural cultural attempt at designing the vision of a pluricultural Romania. For GMC offered a solution to the conflict between neo-Romanian Heimatstil and Internationalism: He considered them not as already fixed styles, but as movements. Tradition and Modernism, as GMC saw them, were not at all opposed to each other, but were, being different in nature, rather complementary to each other. With the Classical attitude GMC contributed to the debates on Classicism (Wölfflin, Klopfer) and on the "Rappel à l´ordre" (Cocteau). In terms of architectural theory, there is an astonishing closeness to Rudolf Wittkower. As a strategy for an architectural and cultural rejuvenation, the Classical attitude might be related to Schinkel´s theory of fusing of Greek Antiquity and Gothic, to the "theory of contending powers" of Colin Rowe and Fred Koetter, to Critical Regionalism or to Gerd de Bruyn´s notion of Classicism. Eventually, in a cultural and political sense, GMC´s recollection of the antique notion of symmetry astonishingly echos the notion of "dialogic" coined by French philosopher Edgar Morin (1988) as a character trait of European culture: "Europe symmetrisizes" (GMC 1947).
In 1985 the French government created a unique circuit for the dissemination of doctoral theses: References went to a national database "Téléthèses" whereas the documents were distributed to the university libraries in microform. In the era of the electronic document this French network of deposit of and access to doctoral theses is changing. How do you discover and locate a French thesis today, how do you get hold of a paper copy and how do you access the full electronic text? What are the catalogues and databases referencing theses since the disappearance of "Téléthèses"? Where are the archives, and are they open? What is the legal environment that rules the emerging structures and tools? This paper presents national plans on referencing and archiving doctoral theses coordinated by the government as well as some initiatives for creating full text archives. These initiatives come from universities as well as from research institutions and learned societies. "Téléthèses" records have been integrated in a union catalogue of French university libraries SUDOC. University of Lyon-2 and INSA Lyon developed procedures and tools covering the entire production chain from writing to the final access in an archive: "Cyberthèses" and "Cither". The CNRS Centre for Direct Scientific Communication at Lyon (CCSD) maintains an archive ("TEL") with about 2000 theses in all disciplines. Another repository for theses in engineering, economics and management called "Pastel" is proposed by the Paris Institute of Technology (ParisTech), a consortium of 10 engineering and commercial schools of the Paris region.