En Angleterre : Archéologie et Histoire
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 2, S. 211-212
ISSN: 1953-8146
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In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 2, S. 211-212
ISSN: 1953-8146
In: Bulletin de la Classe des Beaux-Arts, Band 41, Heft 1, S. 164-184
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 10, Heft 1, S. 105-107
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 17, Heft 3, S. 604-605
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 5, Heft 1, S. 87-90
ISSN: 1953-8146
Si je signale la leçon d'ouverture, que prononça au Collège de France M. Roger Dion, en prenant possession le 4 décembre 1948 de la chaire de Géographie historique de la France, chaire nouvelle, ou mieux, renouvelée — c'est qu'après avoir défini cette géographie « à la fois comme une archéologie, une histoire de l'occupation du sol et une interprétation du paysage humanisé », le nouveau professeur a réagi nettement (p. 13) « contre ceux qui, oubliant leur dette envers Vidal de la Blache, voudraient que la géographie fût présentée aux étudiants de nos Universités comme naturellement indifférente au passé ». Il a fort bien parlé, dans sa leçon, d'une autre dette : celle des géographes envers Michelet.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 4, S. 415-420
ISSN: 1953-8146
P. Aufldius Fortis vivait à Ostie au début du IIe siècle. A la différence de bien des brasseurs d-affaires ses contemporains, il n'était pas citoyen de fraîche date, mais fils de citoyen, de la tribu Quirina. Questeur et préfet des ouvriers, sa renommée lui valut d'être nommé décurion au choix. Les honneurs du duumvirat et le titre de patron de la colonie couronnèrent sa carrière politique; cursus fort convenable de magistrat municipal.Fait plus digne d'être noté, 1-influence politique que supposent ces diverses distinctions semble avoir reposé sur les bases économiques les plus solides. Notre homme est en effet quinquennalis perpetuus du corpus mercatorum frumentariorum, c'est-à-dire président honoraire de ce groupement si important que constituent à Ostie les marchands de grain, et de plus patron des mesureurs de grain et des repêcheurs de marchandises coulées dans le Tibre, patronus corporum mensorum frumentariorum et urinatorum.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 1, Heft 2, S. 193-194
ISSN: 1953-8146
In: L' actualité de l'histoire: bulletin trimestriel de l'Inst. Français d'Histoire Sociale, Heft 12, S. 1
In: L' actualité de l'histoire: bulletin trimestriel de l'Inst. Français d'Histoire Sociale, Heft 22, S. 1
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 13, Heft 1, S. 140-149
ISSN: 1953-8146
Le Cinéma est « entré dans l'histoire » depuis plus d'un demi-siècle : la « belle époque » le pratiquait déjà avec ravissement et les cinéastes nous ont eux-mêmes restitué la joie des pionniers et fait l'éloge des grands ancêtres (Le Silence est d'or). Toute cette magie dont s'entoure le cinéma explique sans doute la lenteur avec laquelle la réflexion des sociologues et des historiens s'est emparée de cet art « qui est plus qu'un art », de ce langage universel, aujourd'hui pratiqué sur toute la planète. Et puis, cinquante ans c'est peut-être un temps bien court pour la réflexion collective et la recherche efficace.Cependant, depuis la Seconde guerre mondiale, les histoires du cinéma se multiplient et les études approfondies qui, à partir d'analyses sur le langage filmique, la fréquentation des salles, l'industrie, le commerce cinématographiques soulignent avec force la place prise par le cinéma dans notre civilisation.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 13, Heft 1, S. 110-114
ISSN: 1953-8146
L'attitude des historiens à l'égard de la linguistique illustre particulièrement bien la notion de rapprochements nécessaires entre les diverses sciences de l'homme, qui est un des passe-partout méthodologiques d'aujourd'hui. Rappelons tout d'abord que Marc Bloch lui-même, après avoir fait dans son Apologie pour l'Histoire l'éloge de la sémantique historique dont les historiens de jadis, tel Fustel de Coulanges, ont laissé « d'admirables modèles », proteste avec insistance contre « l'absurde paralogisme » qui permet aux historiens « d'ignorer les acquisitions fondamentales de la linguistique ». Et, payant d'exemple, il nous offre les pages remarquables de l'analyse lexicologique du système féodal. De même, Petit-Dutaillis commence son Histoire des Communes par une mise au point lexicographique. Pourtant si, à partir de ces encouragements et de cet exemple, nous définissons l'attitude de l'historien à l'égard de la linguistique, nous constatons que les données lexicales l'aident à « comprendre » telle situation historique, à déchiffrer tel contenu historique, l'objet véritable de son étude se trouvant ailleurs, « derrière le mur du langage »; il reconnaît aux mots leur valeur de témoins, caractéristiques de telle attitude ou de tel état, et les utilise à ce titre, parallèlement à d'autres matériaux historiques.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 18, Heft 6, S. 1128-1132
ISSN: 1953-8146
La thèse principale de M. Jean Dubois, Le vocabulaire politique et social en France de 1869 à 1872, à travers les oeuvres des écrivains, les revues et les journaux, semble, par son seul titre, relever de l'historien. Mais sans nier aucunement l'histoire, son auteur ne s'y intéresse pas au premier chef : en l'occurrence, le matériau de son travail est historique, mais la fin qu'il se propose, la méthode qu'il élabore ne le sont pas. D'où la surprise d'un historien découvrant sous ce titre rassurant une étude totalement différente de ces travaux d'histoire de la langue qui lui sont depuis longtemps indispensables et familiers.
In: Revue économique, Band 7, Heft 3, S. 401
ISSN: 1950-6694
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 14, Heft 1, S. 3-34
ISSN: 1953-8146
Les rapports entre l'histoire du climat et l'histoire des hommes n'ont plus cette importance, ce caractère d'urgence qu'ils eurent jusqu'au XVIIIesiècle dans des sociétés essentiellement agricoles, dominées par le problème toujours difficile des subsistances. Malheureusement, sur les températures et les précipitations, ces sociétés de type traditionnel ne nous ont pratiquement pas laissé de séries d'observations longues, continues, quantitatives, homogènes. Du fait de cette absence de documentation immédiate et solide, le problème des fluctuations météorologiques et de leur incidence sur l'histoire économique a été souvent mal posé, et passablement embrouillé. Aussi notre propos, dans cet article, est-il essentiellement méthodologique ; plutôt que des solutions exhaustives qui n'existent pas encore, nous voulons signaler les voies d'accès qui peuvent mener à un début de solution concrète.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 13, Heft 4, S. 787-787
ISSN: 1953-8146