Histoire d'une femme, histoire des femmes
In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 37, Heft 5, S. 135-151
ISSN: 2111-4587
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In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 37, Heft 5, S. 135-151
ISSN: 2111-4587
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 3, Heft 2, S. 177-179
ISSN: 1953-8146
Le livre que M. Pierre Francastel, professeur à la Faculté des Lettres de Strasbourg, intitule L'Humanisme Roman, est plein de choses pour nous, historiens. Il dépasse, en ce sens, la 'portée des habituels travaux d'une histoire de l'art pour maniaques du fichier ou pour snobs et snobinettes du monde. Ce à quoi l'auteur entend travailler, c'est à une histoire de l'art qui soit de l'histoire. Qui s'intègre dans l'histoire. Qui aide les historiens à écrire leur histoire — et qui s'appuie sur l'histoire des historiens pour mieux comprendre l'histoire propre de l'art. Ou des arts.
In: Homo ludens
Le sport et ses enjeux -- Anciens jeux et sport moderne -- L'institution sportive -- Education morale et éducation physique -- Mythes et héros -- Techniques du sport et techniques du corps -- Culture physique -- L'innovation technique -- Mises en scène des corps -- Une nouvelle transcendance -- De la pédagogie -- Le sport et ses "Histoires" -- L'invention d'une institution -- L'invention d'une temporalité -- L'invention d'un spectacle -- L'invention d'une corporéité -- De l'invention réussie à l'excès dangereux
In: Esprit: comprendre le monde qui vient, Heft 8/307, S. 224-229
ISSN: 0014-0759
World Affairs Online
In: Annales de démographie historique: ADH, Band 1993, Heft 1, S. 383-389
ISSN: 1776-2774
In: L' actualité de l'histoire: bulletin trimestriel de l'Inst. Français d'Histoire Sociale, Heft 12, S. 1
In: L' actualité de l'histoire: bulletin trimestriel de l'Inst. Français d'Histoire Sociale, Heft 22, S. 1
In: Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte, Band 55, Heft 4, S. 583-616
ISSN: 0042-5702
In Frankreich hat sich in den vergangenen Jahren neben der "Histoire contemporaine" zunehmend auch der Begriff der "Histoire du temps présent" eingebürgert. Die Entwicklung der Zeitgeschichte zu einer eigenen Disziplin nahm wie in Deutschland, auch in Frankreich nach dem Ersten Weltkrieg ihren Anfang. Einer der Wegbereiter war Pierre Renouvin. Nach dem Zweiten Weltkrieg ordnete der Staat mit der Gründung des Comité d'Histoire de la Deuxième Guerre mondiale die Forschung neu, verweigerte ihr aber zugleich den Zugang zu den Archiven. Unter dem Einfluss der Schriften von Marc Bloch privilegierten Lucien Febvre und vor allem Henri Michel die Zeitzeugenbefragung. Die Dokumentation der Befreiung des Landes entwickelte sich rasch zu einem der Schwerpunkte der Arbeit des Comités. Nach öffentlicher Kritik wurde das Comité aufgelöst; an seine Stelle trat 1978 das Institut d'histoire du temps présent. Gleichzeitig wurde die Verschlusszeit für staatliche Akten auf dreißig Jahre reduziert. Die Forschung nahm unter dem Gründungsdirektor François Bédarida einen neuen Anfang, entwickelte sich aber als Reaktion auf Enthüllungen und Skandale zunächst zu einer innerfranzösischen Auseinandersetzung um die eigene Vergangenheit. Das Abtreten der Generation der Zeitzeugen in Verbindung mit der Verankerung der Zeitgeschichte an den Universitäten und dem Nachrücken von jungen Forschern haben die Diskussion jedoch zunehmend versachlicht. Das IHTP, das am Anfang dieser Entwicklung stand, ist jüngst durch die Forderung nach einer Reform der staatlich finanzierten Forschung in eine Krise geraten. Angesichts der Gründung zahlreicher neuer Forschungseinrichtungen ist eine inhaltliche Neuausrichtung dieses Instituts unverzichtbar, wenn es seine führende Stellung in Frankreich bewahren soll. (Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte / FUB)
World Affairs Online
In: Esprit, Band Mars-avril, Heft 3, S. 185-192
Comment comprendre les liens entre l'homme et son environnement, ou plutôt entre l'homme et son milieu ? Passer par la philosophie japonaise nous permet de ne plus se confiner dans le dualisme sujet/objet, pour prendre en compte le point de vue de chaque espèce, en tant que sujet collectif, sur son propre monde.
In: Annales. Histoire, Sciences Sociales, Band 34, Heft 6, S. 1347-1359
In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, Band 59-4bis, Heft 5, S. 9-28
ISSN: 1776-3045
En France, l'histoire des idées n'a jamais bénéficié d'une reconnaissance très claire dans l'historiographie. Ce statut indécis renvoie à la compréhension des contextes historiographiques nationaux en Europe. La France a eu, en Histoire, une tradition moins philosophique qu'ailleurs, et le succès de la « Nouvelle Histoire » a remis en cause celui la position anciennement plus assurée de l'histoire des idées. Il importe alors d'essayer de mieux comprendre la rupture entre l'histoire sociale, largement définie, telle qu'elle s'est développée en France, et l'histoire des idées. Trois niveaux d'interrogation sont ici mobilisés pour examiner le rapport avec les questions posées dans le sillage de l'école des Annales : celui des formes de pensée, celui de la tension entre le collectif et l'individuel, celui de la production et de la consommation. On peut ainsi retrouver à partir des objets (par exemple, le livre), des acteurs (par exemple, les sociabilités), les relations et la force des idées, les débats qui traversent la société, en gardant comme point de mire la formalité des pratiques. On interroge ainsi la question de la circulation et de la diversité, de la réfraction des pensées. Des exemples tirés de travaux récents montrent l'actualité de l'interrogation et le chemin parcouru.
International audience ; Le lecteur a côtoyé des objets divers, suivi des trajectoires qui l'ont transporté dans des ailleurs multiples, découvert en miroir des savoirs et des savoir-faire historiens mobilisés pour l'analyse des circulations et les transferts des connaissances dans l'espace et dans le temps. Il ne pourrait être question ici de conclure, pas dans le sens de « démontrer », de « résoudre », et encore moins dans celui de « fermer » ou « renfermer » ces multiples questions posées tout au long de ce copieux volume. Les riches introductions à chacune des parties de cet ouvrage ainsi que l'exhaustive introduction générale ont commenté les différentes contributions assez largement pour qu'il soit superflu d'y revenir. Je vais ici me cantonner à quelques brèves réflexions finales autour de l'exercice auquel nous nous sommes livrés. Comme l'a déjà rappelé L. Pérez dans l'introduction générale, c'est autour d'une thématique transversale aux différents axes de l'équipe « Identités, Cultures, Territoires » que nous avons organisé la tenue du colloque « Mobilités et circulations des savoirs » puis la publication de ce volume. Moment scientifique important dans une vie de laboratoire qui n'est plus structurée par de grandes enquêtes collectives, le choix de questionner collectivement un objet à partir de différents champs de spécialité est autant une réponse aux contraintes imposées aux équipes universitaires par le financement de la recherche par projet, qu'une stratégie pour construire collectivement un objet d'histoire globale. Composé de six parties, chacune d'entre elles organisée autour d'une problématique clairement insérée dans un champ scientifique bien identifiable-histoire des représentations et des transferts culturels, études de genre, histoire sociale des sciences et des techniques, histoire politique de constructions étatiques et savoirs d'Etat-la thématique transversale a permis de décloisonner la logique de spécialités, même si certaines d'entre elles avaient intégré depuis quelques décennies ...
BASE
International audience ; Le lecteur a côtoyé des objets divers, suivi des trajectoires qui l'ont transporté dans des ailleurs multiples, découvert en miroir des savoirs et des savoir-faire historiens mobilisés pour l'analyse des circulations et les transferts des connaissances dans l'espace et dans le temps. Il ne pourrait être question ici de conclure, pas dans le sens de « démontrer », de « résoudre », et encore moins dans celui de « fermer » ou « renfermer » ces multiples questions posées tout au long de ce copieux volume. Les riches introductions à chacune des parties de cet ouvrage ainsi que l'exhaustive introduction générale ont commenté les différentes contributions assez largement pour qu'il soit superflu d'y revenir. Je vais ici me cantonner à quelques brèves réflexions finales autour de l'exercice auquel nous nous sommes livrés. Comme l'a déjà rappelé L. Pérez dans l'introduction générale, c'est autour d'une thématique transversale aux différents axes de l'équipe « Identités, Cultures, Territoires » que nous avons organisé la tenue du colloque « Mobilités et circulations des savoirs » puis la publication de ce volume. Moment scientifique important dans une vie de laboratoire qui n'est plus structurée par de grandes enquêtes collectives, le choix de questionner collectivement un objet à partir de différents champs de spécialité est autant une réponse aux contraintes imposées aux équipes universitaires par le financement de la recherche par projet, qu'une stratégie pour construire collectivement un objet d'histoire globale. Composé de six parties, chacune d'entre elles organisée autour d'une problématique clairement insérée dans un champ scientifique bien identifiable-histoire des représentations et des transferts culturels, études de genre, histoire sociale des sciences et des techniques, histoire politique de constructions étatiques et savoirs d'Etat-la thématique transversale a permis de décloisonner la logique de spécialités, même si certaines d'entre elles avaient intégré depuis quelques décennies ...
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