Ce document de travail analyse l'asymétrie dans la vitesse d'ajustement entre le prix du brut et celui de l'essence en République Démocratique du Congo de 2008 à 2018. Etant donné qu'en économie, le coût marginal du produit augmente à cause du prix de l'input, le producteur devra répercuter cette hausse dans ces prix. Aucune attention particulière n'est portée sur la vitesse de cet ajustement supposé " instantané ". Cependant, nos résultats démontrent qu'il y a une rigidité du prix de l'essence à la baisse de celui prix du brut contrairement à l'effet inverse. Ce qui prouve à suffisance l'inefficacité dans l'administration du prix du carburant terrestre.
In a cross-section of countries, government regulation is strongly negatively correlated with social capital. We document this correlation, and present a model explaining it. In the model, distrust creates public demand for regulation, while regulation in turn discourages social capital accumulation, leading to multiple equilibria. A key implication of the model is that individuals in low trust countries want more government intervention even though the government is corrupt. We test this and other implications of the model using country- and individual-level data on social capital and beliefs about government's role, as well as on changes in beliefs and in trust during the transition from socialism.
In a cross-section of countries, government regulation is strongly negatively correlated with social capital. We document this correlation, and present a model explaining it. In the model, distrust creates public demand for regulation, while regulation in turn discourages social capital accumulation, leading to multiple equilibria. A key implication of the model is that individuals in low trust countries want more government intervention even though the government is corrupt. We test this and other implications of the model using country- and individual-level data on social capital and beliefs about government's role, as well as on changes in beliefs and in trust during the transition from socialism.
In a cross-section of countries, government regulation is strongly negatively correlated with social capital. We document this correlation, and present a model explaining it. In the model, distrust creates public demand for regulation, while regulation in turn discourages social capital accumulation, leading to multiple equilibria. A key implication of the model is that individuals in low trust countries want more government intervention even though the government is corrupt. We test this and other implications of the model using country- and individual-level data on social capital and beliefs about government's role, as well as on changes in beliefs and in trust during the transition from socialism.
Cet article examine les problèmes posés par la coexistence, difficile, entre les politiques du commerce extérieur et de la concurrence, dans le contexte du GATT et de son héritière, l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Elle montre que ces problèmes, s'ils sont traditionnels, se posent en des ternies nouveaux, particulièrement graves, à cause de la mise en œuvre, parles États, de politiques commerciales à visée anticoncurrentielle. Cet article passe en revue les propositions actuelles pour résoudre ces difficultés, et offre une approche plus limitée, mais plus réaliste.
Cet article examine les problèmes posés par la coexistence, difficile, entre les politiques du commerce extérieur et de la concurrence, dans le contexte du GATT et de son héritière, l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Elle montre que ces problèmes, s'ils sont traditionnels, se posent en des ternies nouveaux, particulièrement graves, à cause de la mise en œuvre, parles États, de politiques commerciales à visée anticoncurrentielle. Cet article passe en revue les propositions actuelles pour résoudre ces difficultés, et offre une approche plus limitée, mais plus réaliste.
Cet article examine les problèmes posés par la coexistence, difficile, entre les politiques du commerce extérieur et de la concurrence, dans le contexte du GATT et de son héritière, l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Elle montre que ces problèmes, s'ils sont traditionnels, se posent en des ternies nouveaux, particulièrement graves, à cause de la mise en œuvre, parles États, de politiques commerciales à visée anticoncurrentielle. Cet article passe en revue les propositions actuelles pour résoudre ces difficultés, et offre une approche plus limitée, mais plus réaliste.
International audience ; Cette communication brosse dans une première partie le cadre historique de la politique japonaise en faveur des PME. Dans une seconde partie, cette communication s'intéresse aux réponses institutionnelles apportées par le Japon au financement des PME et TP E japonaises dans un contexte de crise durable depuis les années 90.
International audience ; Cette communication brosse dans une première partie le cadre historique de la politique japonaise en faveur des PME. Dans une seconde partie, cette communication s'intéresse aux réponses institutionnelles apportées par le Japon au financement des PME et TP E japonaises dans un contexte de crise durable depuis les années 90.
International audience ; Cette communication brosse dans une première partie le cadre historique de la politique japonaise en faveur des PME. Dans une seconde partie, cette communication s'intéresse aux réponses institutionnelles apportées par le Japon au financement des PME et TP E japonaises dans un contexte de crise durable depuis les années 90.
International audience ; La décision de la Banque Nationale Suisse (BNS) d'abandonner, en janvier 2015, le soutien du taux de change du franc suisse contre l'euro 1 a ravivé l'inquiétude des élus et des citoyens quant à la situation des collectivités publiques qui ont eu recours aux emprunts structurés. En effet, des collectivités locales, mais aussi des hôpitaux, ont souscrit des emprunts dits structurés dont les formules de calcul des intérêts se sont avérées particulièrement pénalisantes pour les emprunteurs, certains voyant leur taux s'envoler au-delà des 60 % l'an ! Ces prêts ont, dans l'immense majorité des cas, été accordés par des établissements de crédit à capitaux publics (Dexia, puis la SFIL 2 , se substituant à Dexia à l'issue de sa retentissante défaillance en 2013). D'autres l'ont été par des établissements de crédit à privés français (Caisses d'Épargne, Natixis…) ou étrangers (DEPFA, RBS…). Dès 2011, des collectivités publiques 3 engageaient des procédures pour contester le fondement juridique de la méthode de calcul des intérêts. Face à ces difficultés et à un abondant contentieux naissant, le Gouvernement mettait en place, fin 2013, un fonds de soutien pour permettre aux collectivités de financer la renégociation des emprunts contestés 4. Ce fonds, abondé à hauteur de 1,5 milliard d'euros sur quinze ans-pour moitié par les banques et pour moitié par l'État-est destiné à financer en partie le coût d'éventuelles renégociations des encours des collectivités auprès des prêteurs. En juillet 2014 5 , une loi de validation rétroactive des emprunts structurés à risque était votée, pour inciter les collectivités à engager des négociations avec les établissements prêteurs, la loi n'ayant pour autre objet que d'empêcher les collectivités de soulever un moyen de droit pour contester le montant des intérêts devant un tribunal 6. L'abandon de la politique de change de la BNS ayant eu pour effet de faire flamber les taux des prêts structurés, la question de la stratégie juridique a été ravivée, et les ...
International audience ; La décision de la Banque Nationale Suisse (BNS) d'abandonner, en janvier 2015, le soutien du taux de change du franc suisse contre l'euro 1 a ravivé l'inquiétude des élus et des citoyens quant à la situation des collectivités publiques qui ont eu recours aux emprunts structurés. En effet, des collectivités locales, mais aussi des hôpitaux, ont souscrit des emprunts dits structurés dont les formules de calcul des intérêts se sont avérées particulièrement pénalisantes pour les emprunteurs, certains voyant leur taux s'envoler au-delà des 60 % l'an ! Ces prêts ont, dans l'immense majorité des cas, été accordés par des établissements de crédit à capitaux publics (Dexia, puis la SFIL 2 , se substituant à Dexia à l'issue de sa retentissante défaillance en 2013). D'autres l'ont été par des établissements de crédit à privés français (Caisses d'Épargne, Natixis…) ou étrangers (DEPFA, RBS…). Dès 2011, des collectivités publiques 3 engageaient des procédures pour contester le fondement juridique de la méthode de calcul des intérêts. Face à ces difficultés et à un abondant contentieux naissant, le Gouvernement mettait en place, fin 2013, un fonds de soutien pour permettre aux collectivités de financer la renégociation des emprunts contestés 4. Ce fonds, abondé à hauteur de 1,5 milliard d'euros sur quinze ans-pour moitié par les banques et pour moitié par l'État-est destiné à financer en partie le coût d'éventuelles renégociations des encours des collectivités auprès des prêteurs. En juillet 2014 5 , une loi de validation rétroactive des emprunts structurés à risque était votée, pour inciter les collectivités à engager des négociations avec les établissements prêteurs, la loi n'ayant pour autre objet que d'empêcher les collectivités de soulever un moyen de droit pour contester le montant des intérêts devant un tribunal 6. L'abandon de la politique de change de la BNS ayant eu pour effet de faire flamber les taux des prêts structurés, la question de la stratégie juridique a été ravivée, et les professionnels du droit n'ont pas manqué de rappeler les enjeux en la matière 7. Aussitôt, la Fédération Hospitalière de France (FHF), annonçait qu'elle avait adopté sa stratégie juridique 8 , en envisageant une action judiciaire de grande ampleur pour contester les prêts indexés sur le franc suisse. S'en suivit une décision conjointe des ministres de la Santé et de Bercy de porter à 400 millions d'euros sur dix ans le fonds de soutien aux hôpitaux fragilisés par des emprunts toxiques.
This paper investigates how the Court's organisation affect judgments. We use a historical accident to derive this impact. Indeed, though the same bankruptcy laws apply on the whole territory, courts in the eastern part of France (in Alsace-Moselle) consist on a mix of professional and non-professional judges, while other French Courts are only composed of lay judges. Using an original dataset of firms with monthly bankruptcy ratings, we analyse the decision to file for bankruptcy. To do so we restrict our sample to firms inside and outside but close to Alsace-Moselle. We study their survival after their rating has dropped between two months. We find mixed Courts in Alsace-Moselle have lower rates of bankruptcy which should be explained by a lower reorganisation rate. We could think that mixed courts are less efficient ex-ante compared to lay courts. Yet both have overall similar level of liquidation rate. Thus, both systems provide similar ex-post efficiency while behaving differently.
National audience ; Dans le domaine de la normalisation comptable, la collaboration entre l'expert et le politique s'impose. Il est toutefois une question qui reléve spécifiquement du politique, c'est celle des utilisateurs de l'information comptable qui doivent être privilégiés. Quant bien même a-t-elle sous-traité sa normalisation comptable à un organisme international composé d'experts, l'Union Européenne ne peut lui déléguer cette question qui a trait à la gouvernance de l'entreprise et à la place de celle-ci dans la cité.
National audience ; Dans le domaine de la normalisation comptable, la collaboration entre l'expert et le politique s'impose. Il est toutefois une question qui reléve spécifiquement du politique, c'est celle des utilisateurs de l'information comptable qui doivent être privilégiés. Quant bien même a-t-elle sous-traité sa normalisation comptable à un organisme international composé d'experts, l'Union Européenne ne peut lui déléguer cette question qui a trait à la gouvernance de l'entreprise et à la place de celle-ci dans la cité.