500 jeunes délinquants
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 20, Heft 1, S. 151-152
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
183 Ergebnisse
Sortierung:
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 20, Heft 1, S. 151-152
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Revue française de sociologie, Band 4, Heft 4, S. 476
In: Dialogue: revue de recherches cliniques et sociologiques sur le couple et la famille, Band 203, Heft 1, S. 121-133
Le lien mère-adolescent diffère-t-il selon que le jeune est ou non délinquant ? La recherche ici présentée a été menée auprès de deux groupes d'adolescents, l'un constitué de huit jeunes ayant un parcours judiciaire avec récidive et l'autre de dix lycéens. Tous ont été rencontrés en entretien, ont répondu à un questionnaire, puis se sont vu présenter sept planches du Family Aperception Test choisies pour cette recherche. Il ressort que les jeunes délinquants semblent avoir intériorisé de façon défaillante les interdits et percevoir l'autorité maternelle comme arbitraire, ne faisant pas sens. L'image maternelle serait perçue chez eux comme plus fragile, plus clivée, peu contenante, et le conflit mère-fils plus difficile à imaginer. Il faut toutefois noter que le nombre de jeunes rencontrés est restreint et que les résultats obtenus doivent être confrontés à ceux d'autres études, même s'ils concordent avec la théorie.
In: Comprendre & accompagner
International audience ; Malgré l'inflation législative de ces quinze dernières années en matière de justice des mineurs, les chercheurs s'accordent à penser que les juges des enfants ont majoritairement développé « des actions concrètes mais discrètes de résistance à une trop forte pénalisation » (Bastard, Mouhanna et al., 2008, 204), du moins en matière de recours à l'incarcération. Les injonctions politiques en faveur d'une intensification de la réaction pénale ne sont pas pour autant restées lettre morte, et furent même relayées, bien qu'amendées, par certains responsables institutionnels ou praticiens de la justice des mineurs. Elles ont suscité un processus de redéfinition du sens de l'action éducative. Une doctrine de « responsabilisation », dont l'origine est néanmoins fort ancienne, a engendré un repositionnement des acteurs judiciaires et éducatifs dans la poursuite des objectifs de l'ordonnance de 1945. Des sanctions pénales d'un nouveau genre, principalement placées entre les mains des magistrats du parquet en amont des poursuites, visent à responsabiliser les mineurs dès les premiers passages à l'acte. Parallèlement, les magistrats de la jeunesse et les éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ont partiellement redéfini leurs modèles d'intervention, sous la forme de prises en charge éducatives plus contraignantes.
BASE
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 26, Heft 2, S. 319-330
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Résumé Les changements rapides de la société, l'urbanisation, la dissociation progressive de la grande famille, qui s'occupait autrefois de tous les problèmes aujourd'hui sociaux, d'autres phénomènes encore ont pour conséquence l'existence d'une population non adaptée. Celle-ci existait certes auparavant sous d'autres formes, mais du fait même des progrès sociaux réalisés, cette désadaptation, qui revêt divers aspects, est un phénomène préoccupant. L'I.N.E.D. a consacré diverses études à la question. Mlle Claude Lévy et le Dr Bruno Castets décrivent ici les caractéristiques sociales des jeunes délinquantes admises dans un foyer de rééducation.
Afin d'assurer son efficacité, la prise en charge de jeunes présentant une délinquance sérieuse nécessite une connaissance profonde de leur expérience de vie. L'une des zones d'ombre de cette population réside dans sa double facette « auteur-victime ». Cette recherche a évalué l'ampleur des expériences de victimation vécues par une population de jeunes institutionnalisés et en a exploré le lien avec les expériences de délinquance des mêmes personnes. Pour cette étude, 120 jeunes issus des six Institutions Publiques de Protection de la Jeunesse (IPPJ) de la Fédération Wallonie-Bruxelles, âgés de 14 à 18 ans, et 1000 jeunes issus d'écoles secondaires des arrondissements de Liège, Verviers et Charleroi, âgés de 13 à 19 ans (groupe contrôle), ont répondu à un questionnaire concernant leurs expériences d'auteurs et de victimes de la délinquance. Les résultats principaux révèlent que le groupe de jeunes institutionnalisés rapporte avoir subi un nombre de faits de victimation supérieur au groupe contrôle. Des différences de genre sont également soulignées en matière de victimation au sein du groupe de jeunes institutionnalisés. ; Peer reviewed
BASE
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 26, Heft 2, S. 319
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Transdisciplines
In: Kriminologische Forschungsberichte aus dem Max-Planck-Institut für Ausländisches und Internationales Strafrecht 78
In: Kriminologische Forschungsberichte aus dem Max-Planck-Institut für Ausländisches und Internationales Strafrecht, Freiburg i. Br. 78
In: Kriminologische Forschungsberichte aus dem Max-Planck-Institut für Ausländisches und Internationales Strafrecht, Freiburg i. Br. Band 78