Nicht alles aus einer Hand: BCG-Studie
In: Versicherungsmagazin, Band 51, Heft 3, S. 26-26
ISSN: 2192-8622
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In: Versicherungsmagazin, Band 51, Heft 3, S. 26-26
ISSN: 2192-8622
In: Defense electronics: incl. Electronic warfare, Band 19, Heft 2, S. 47-56
ISSN: 0194-7885
World Affairs Online
In: Swiss Medical Forum ‒ Schweizerisches Medizin-Forum
ISSN: 1424-4020
In: Hoppe-Seyler´s Zeitschrift für physiologische Chemie, Band 86, Heft 3, S. 206-214
In: Europäische Sicherheit: Politik, Streitkräfte, Wirtschaft, Technik, Band 41, Heft 2, S. 98-100
ISSN: 0940-4171
World Affairs Online
In: Praxis der Kommunalverwaltung: Landesausgabe Niedersachsen C3
L'obligation de vaccination par le BCG en population générale a été suspendue au profit d'une recommandation forte de vaccination des enfants à risque élevé d'exposition à la tuberculose en juillet 2007. Le maintien d'un niveau de couverture vaccinale optimal chez ces enfants dépend maintenant avant tout de l'implication des généralistes et des pédiatres les prenant en charge. Nous avons interrogé 400 généralistes libéraux installés en Lorraine, puis les 84 pédiatres exerçant dans les maternités de la région afin d'identifier leur position quant à la réalisation du BCG SSI® et les arguments la sous-tendant. Ces 2 enquêtes, auxquelles ont participé 161 médecins, mettent en évidence plusieurs facteurs qui pourraient faire craindre une adhésion insuffisante de ces professionnels à la nouvelle stratégie vaccinale: manque de connaissances théoriques, formation insuffisante à l'injection intradermique, évaluation du niveau de risque individuel souvent jugée difficile, expérience limitée de la vaccination par le BCG SSI® voire refus de réaliser ce vaccin. Les difficultés techniques et effets indésirables potentiels sont les principaux freins à la vaccination des nouveau-nés et des nourrissons, L'enquête menée par l'InVS et Infovac-France en 2008 confirme un suivi insuffisant des nouvelles recommandations à l'origine d'une diminution du taux de couverture vaccinale à 45% environ chez les enfants exposés nés après juillet 2007. Il apparaît donc nécessaire de renforcer la communication autour de cette nouvelle politique auprès des professionnels et du grand public, d'optimiser la formation des futurs infirmiers, sages-femmes et médecins au cours de leurs études, et enfin d'encourager la collaboration entre professionnels de la petite enfance en favorisant notamment l'accès aux centres de PMI.
BASE
L'obligation de vaccination par le BCG en population générale a été suspendue au profit d'une recommandation forte de vaccination des enfants à risque élevé d'exposition à la tuberculose en juillet 2007. Le maintien d'un niveau de couverture vaccinale optimal chez ces enfants dépend maintenant avant tout de l'implication des généralistes et des pédiatres les prenant en charge. Nous avons interrogé 400 généralistes libéraux installés en Lorraine, puis les 84 pédiatres exerçant dans les maternités de la région afin d'identifier leur position quant à la réalisation du BCG SSI® et les arguments la sous-tendant. Ces 2 enquêtes, auxquelles ont participé 161 médecins, mettent en évidence plusieurs facteurs qui pourraient faire craindre une adhésion insuffisante de ces professionnels à la nouvelle stratégie vaccinale: manque de connaissances théoriques, formation insuffisante à l'injection intradermique, évaluation du niveau de risque individuel souvent jugée difficile, expérience limitée de la vaccination par le BCG SSI® voire refus de réaliser ce vaccin. Les difficultés techniques et effets indésirables potentiels sont les principaux freins à la vaccination des nouveau-nés et des nourrissons, L'enquête menée par l'InVS et Infovac-France en 2008 confirme un suivi insuffisant des nouvelles recommandations à l'origine d'une diminution du taux de couverture vaccinale à 45% environ chez les enfants exposés nés après juillet 2007. Il apparaît donc nécessaire de renforcer la communication autour de cette nouvelle politique auprès des professionnels et du grand public, d'optimiser la formation des futurs infirmiers, sages-femmes et médecins au cours de leurs études, et enfin d'encourager la collaboration entre professionnels de la petite enfance en favorisant notamment l'accès aux centres de PMI.
BASE
In: Swiss Medical Forum ‒ Schweizerisches Medizin-Forum, Band 4, Heft 43
ISSN: 1424-4020
In: Politikwissenschaft (Lit-Verlag), 229
Der Dreißigjährige Krieg (1618-1648) war einer der katastrophalsten Kriege in der Geschichte Deutschlands. Eindringlich schildert Johannes Burkhardt das Kriegsgeschehen und gewichtet die politischen sowie konfessionellen Verwerfungen neu. Erstmals rückt er die Friedensdiplomatie in das Zentrum dieser aktuellen Deutung eines epochalen Konfliktes. Der nicht enden wollende "Krieg der Kriege", das furchtbare Ausmaß der Gewalt und der Verwüstungen hinterließen tiefe Spuren im kollektiven Bewusstsein der Deutschen - bis heute. Johannes Burkhardt erzählt die Geschichte des Dreißigjährigen Krieges neu. Souverän schildert er die Hintergründe eines vermeidbaren Konflikts und bringt Übersicht in die Motive und sich überschneidenden Interessen der politischen Akteure. Eindringlich führt er die Kriegserfahrungen auch der einfachen Menschen vor Augen und geht der Frage nach, wie eine Zivilisation trotz aller Verwüstungen überleben konnte
In: Krieg dem Kriege [1]
In: Politik, politische Bildung, Demokratie, S. 50-76
"Die Bedeutung des Themas wird deutlich, wenn man sich Folgendes vergegenwärtigt: Es ist gut zehn Jahre her, dass amerikanische Wissenschaftler vom Ende der Geschichte gesprochen haben. Damit meinten sie, dass die liberaldemokratische Konzeption der Politikgestaltung sich durchgesetzt habe. Es gab zwar damals schon Anmerkungen, die besagten, dass die Welt vermutlich ganz anders aussehen wird, als von den Liberalen erwartet, Machtkonstellationen weiterhin ein Merkmal von internationalen Beziehungen sein werden und dass daher auch für die Zukunft die Gefahr des Krieges besteht. Vorherrschend blieb aber die Vorstellung, die Friedensdividende werde helfen, zur Lösung gewaltträchtiger Probleme beizutragen. Zehn Jahre später sind wir offensichtlich gezwungen, uns mit der Frage auseinander zu setzen, ob der Krieg ein zentrales Merkmal des neuen Jahrhunderts ist. Dabei muss die Prognose vorsichtig sein, da unser Wissen unvollständig ist. Möglich aber ist, über den Krieg nach dem Irak-Krieg nachzudenken. Drei Fragen sollen uns dabei helfen. Die erste Frage lautet: Wie gewinnt man in Zukunft einen Krieg? Nur wenn er gewinnbar ist, kann er ein Instrument rationaler Politik sein und von Teilen der Politik auf der Basis eines derartigen Kalküls geplant werden. Die zweite Frage betrifft die künftige Begründung des Krieges. Gibt es neue Formen der Legitimation? Und schließlich drittens: Wie geht man in Zukunft mit der Option bzw. der Gefahr des Krieges in der Politik um? Diese Fragen haben sicherlich unterschiedliches Gewicht, mit vermutlich aufsteigender Bedeutung in Bezug auf die Grundlagen der Beurteilung der Fragestellungen. Die folgenden Überlegungen werden - auch wenn der Irak-Krieg im Mittelpunkt steht - allerdings nicht allein auf diesen militärischen Konflikt zurückgreifen, sondern einige andere Erfahrungen der letzten zehn Jahre mit berücksichtigen müssen." (Autorenreferat)