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Relationship of the ICH Q10 "Pharmaceutical quality system" to ISO standards, GMP and its implementation at SGS Life Science Services ; Relations de l'ICH Q10 "Système qualité pharmaceutique" avec les standards ISO, les GMP et son application chez SGS Life Science Services
Sur le modèle des normes ISO, l'industrie pharmaceutique a souhaité à son tour renforcer ses exigences en termes de Système de Management de la Qualité. L'ICHQ10 « Système Qualité Pharmaceutique » guide aujourd'hui les industriels dans la mise en place d'un système qualité basé sur une approche plus scientifique incluant la gestion du risque à tous les stades de la vie du produit. La présente thèse présente la relation de l'ICH Q10 avec les standards ISO et lesGMP, elle démontre que l'ICH Q10 intègre de nouveaux concepts qui faisaient défaut ou insuffisamment développés dans les systèmes existants (GMP et ISO) : Besoin du patient, politique et objectifs qualité, revue de direction, communication, amélioration continue, surveillance de la qualité du produit des procèdes et du système.La mise en oeuvre des recommandations de l'ICH Q10 sera détaillée au travers une étude de mise en place de l'ICHQ10 à SGS Life Sciences Services.
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Relationship of the ICH Q10 "Pharmaceutical quality system" to ISO standards, GMP and its implementation at SGS Life Science Services ; Relations de l'ICH Q10 "Système qualité pharmaceutique" avec les standards ISO, les GMP et son application chez SGS Life Science Services
Sur le modèle des normes ISO, l'industrie pharmaceutique a souhaité à son tour renforcer ses exigences en termes de Système de Management de la Qualité. L'ICHQ10 « Système Qualité Pharmaceutique » guide aujourd'hui les industriels dans la mise en place d'un système qualité basé sur une approche plus scientifique incluant la gestion du risque à tous les stades de la vie du produit. La présente thèse présente la relation de l'ICH Q10 avec les standards ISO et lesGMP, elle démontre que l'ICH Q10 intègre de nouveaux concepts qui faisaient défaut ou insuffisamment développés dans les systèmes existants (GMP et ISO) : Besoin du patient, politique et objectifs qualité, revue de direction, communication, amélioration continue, surveillance de la qualité du produit des procèdes et du système.La mise en oeuvre des recommandations de l'ICH Q10 sera détaillée au travers une étude de mise en place de l'ICHQ10 à SGS Life Sciences Services.
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World Affairs Online
Technology Platforms in Life Sciences: what effects on research practices and forms of science-innovation coupling? Technology Platforms in Life Sciences: what effects on research practices and forms of science-innovation coupling: Final report ; Les plates-formes technologiques dans les sciences du...
Collective management of scientific research equipment, commonly referred to as 'platform management', is both an object of science policy in life sciences, a specific management area for research organisations and laboratories and a place for experimentation and cooperation with research teams and equipment developers. As Keating and Cambrosio rightly point out, (2003) the technical and political dimensions are inextricably linked to the concept of platform. The interest of public authorities and genomics research players in platforms is in line with the history and sociology of science and economics, which play a key role in the question of instrumentation in the emergence of new systems for producing scientific knowledge and the conditions for increasing the economic and social returns of research. Mr Gaudillière (Gaudillière, 2000) stressed that the increased use of instrumentation in life sciences was part of a historical shift towards new instrumental logic, making very heavy use of equipment, automation and new information technologies to generate, store, analyse and represent vast amounts of data. Joerges and Shinn (2001) stress the role played by the development of instrumental research — through the creation of a lingua franca — in integrating increasingly specialised disciplinary fields. Several authors note the effects of a growing division of research work which requires specific skills (Hackett, 2004, Mangematin and Peerbaye, 2005, Arora and Gambardella, 1994) and the importance of the geographical location of such equipment, on the one hand, in order to exploit distributed and difficult to transportable research capacities, on the other, in order to generate dynamic innovation and cooperation between scientific teams. It should also be noted that genomics instrumentation is not consistent with traditional concepts inherited from physical sciences: these are less unique infrastructures built on strategically chosen sites than small instrument networks dispersed around certain local specialisation ...
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Agroécologie entre science et agroécologie entre science et politique publique
SPEGESTADCT1EA ; Agroécologie entre science et agroécologie entre science et politique publique. Transition Ecologique : Pour une Interaction entre Politiques Publiques et Recherches Finalisées
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Agroécologie entre science et agroécologie entre science et politique publique
SPEGESTADCT1EA ; Agroécologie entre science et agroécologie entre science et politique publique. Transition Ecologique : Pour une Interaction entre Politiques Publiques et Recherches Finalisées
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L'agroécologie, une discipline aux confins de la science et du politique
L'agroécologie, une discipline aux confins de la science et du politique
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L'agroécologie, une discipline aux confins de la science et du politique
L'agroécologie, une discipline aux confins de la science et du politique
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L'agroécologie, une discipline aux confins de la science et du politique
L'agroécologie, une discipline aux confins de la science et du politique
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Evidence-based policies et pluralité des sciences
C2 Symposium 5 "Recherche des effets et effets de la recherche: Problèmes pratiques et théoriques de l'investigation scientifique et de ses applications." ; Cette contribution entend tirer parti des débats qui se sont noués entre philosophes, praticiens et scientifiques autour de la notion d'« evidence based-medicine » (Fagot-Largeault 2010) puis, plus généralement, autour des diverses approches en termes d'« evidence-based decision », et qui ont permis d'approfondir la réflexion sur la différenciation des preuves utilisées dans la pratique (Laurent et al. 2010).Curieusement, ces acquis sont peu reliés aux résultats des recherches sur la pluralité des sciences (Kellert et al. 2006). Ceci conduit à minimiser l'hétérogénéité des programmes de recherches qui coexistent au sein des disciplines et les limites des preuves qu'ils produisent. Or chaque théorie, par construction, a des angles morts importants et des programmes de recherches contradictoires dans leurs présupposés théoriques peuvent fournir des éclairages complémentaires pour la décision. Ne pas tenir compte de cette dialectique peut aboutir à des représentations simplistes des problèmes de la pratique, très décalées des structures causales complexes auxquels les praticiens sont confrontés (Cartwright 2011). Ce faisant, lorsque ces limites ne sont pas explicitées, les solutions proposées peuvent être très mal adaptées aux objectifs poursuivis et porteuses d'effets pervers. Cette question sera abordée à partir du cas des dispositifs quasi-expérimentaux proposés pour l'évaluation des politiques (Labrousse 2010, Berriet et al. 2011), en nous appuyant sur l'exemple d'une évaluation conduite par E. Duflo et al (2009, 2011) pour évaluer l'impact demesures de développement agricole au Kenya. Nous verrons ainsi que de tels dispositifs produisent des preuves d'efficacité mais traitent de façon très rudimentaire des causes du succès ou de l'échec d'une action de développement. Ils ne permettent donc pas de savoir ce qui est extrapolable et sont inopérants pour concevoir de nouvelles mesures. En dépit de ces limites, les instigateurs de ces dispositifs font des recommandations pratiques précises. Elles sont très discutables si l'on considère les apports d'autres points de vue théoriques (Labarthe, Laurent 2011). En analysant la façon dont les auteurs passent de la création de preuve d'efficacité à celle de prescriptions normatives, nous nous interrogerons sur le domaine de validité et le statut épistémique d'un tel type de recommandations. Nous discuterons de l'intérêt d'une prise en compte explicite de la pluralité des sciences du point de vue de la pratique.
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Evidence-based policies et pluralité des sciences
C2 Symposium 5 "Recherche des effets et effets de la recherche: Problèmes pratiques et théoriques de l'investigation scientifique et de ses applications." ; Cette contribution entend tirer parti des débats qui se sont noués entre philosophes, praticiens et scientifiques autour de la notion d'« evidence based-medicine » (Fagot-Largeault 2010) puis, plus généralement, autour des diverses approches en termes d'« evidence-based decision », et qui ont permis d'approfondir la réflexion sur la différenciation des preuves utilisées dans la pratique (Laurent et al. 2010).Curieusement, ces acquis sont peu reliés aux résultats des recherches sur la pluralité des sciences (Kellert et al. 2006). Ceci conduit à minimiser l'hétérogénéité des programmes de recherches qui coexistent au sein des disciplines et les limites des preuves qu'ils produisent. Or chaque théorie, par construction, a des angles morts importants et des programmes de recherches contradictoires dans leurs présupposés théoriques peuvent fournir des éclairages complémentaires pour la décision. Ne pas tenir compte de cette dialectique peut aboutir à des représentations simplistes des problèmes de la pratique, très décalées des structures causales complexes auxquels les praticiens sont confrontés (Cartwright 2011). Ce faisant, lorsque ces limites ne sont pas explicitées, les solutions proposées peuvent être très mal adaptées aux objectifs poursuivis et porteuses d'effets pervers. Cette question sera abordée à partir du cas des dispositifs quasi-expérimentaux proposés pour l'évaluation des politiques (Labrousse 2010, Berriet et al. 2011), en nous appuyant sur l'exemple d'une évaluation conduite par E. Duflo et al (2009, 2011) pour évaluer l'impact demesures de développement agricole au Kenya. Nous verrons ainsi que de tels dispositifs produisent des preuves d'efficacité mais traitent de façon très rudimentaire des causes du succès ou de l'échec d'une action de développement. Ils ne permettent donc pas de savoir ce qui est extrapolable et sont inopérants pour ...
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Éthique et sciences cognitives
International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by
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Éthique et sciences cognitives
International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by
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Éthique et sciences cognitives
International audience ; Ce volume présente un ensemble de contributions visant à discuter de questions éthiques liées au champ des sciences cognitives. Il s'agit à la fois d'aborder des questions éthiques qui sembleraient spécifiques des sciences cognitives, et des questions éthiques générales auxquelles les sciences cognitives pourraient apporter un éclairage particulier. Sont soulevés notamment les problèmes liés à un certain nombre d'applications des sciences cognitives, comme celles des neurosciences au cadre juridique, de l'intelligence artificielle aux systèmes artificiels autonomes ou au traitement des données personnelles, ou encore des sciences comportementales aux politiques publiques. Parmi les questions générales, il s'agit de voir dans quelle mesure les sciences cognitives, pour qui la cognition humaine est un des objets d'étude centraux, incluant la manière dont nous prenons des décisions et nous nous posons des dilemmes moraux, peut apporter une vision nouvelle ou éventuellement une caractérisation plus précise des processus cognitifs sous-jacents. Notre vision de ce qu'est l'éthique au XXI e siècle doit-elle être révisée au regard des nouvelles connaissances en sciences cognitives ? L'interdisciplinarité des points de vue esquissés dans ce numéro contribue à souligner que loin de chercher à remplacer les autres disciplines pour tenter de répondre seules aux questions éthiques générales, les sciences cognitives se doivent de souligner avec précaution et modestie des questionnements éthiques sur lesquelles elles peuvent apporter de nouvelles connaissances qui contribueraient avec d'autres disciplines à actualiser la caractérisation des comportements et raisonnements éthiques chez l'humain. ABSTRACT. Ethics and Cognitive Sciences. This special issue presents a set of contributions aimed at discussing ethical questions related to the cognitive science field. The goal is dual: raising ethical questions that may appear specific to cognitive science, as well as more general ethical issues on which cognitive science knowledge could shed a new light. Among the specific questions, this issue raises a number of questions related to potential applications of cognitive science research, such as the application of neuroscience to the juridical domain, of artificial intelligence to the development of autonomous artificial systems or to the processing of personal data, and of behavioral sciences to public policies. Among the general questions is raised the question whether cognitive science can bring a new perspective on humans' ethical decisions and moral dilemmas, given the fact that decision-making and cognition are core objects of research of the field. Shall our understanding of what ethics is at the XXI st century be revised given the new knowledge generated by
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