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This paper discusses how legal moralism should be defined. It is argued that legal moralism should be defined as the position that "For any X, it is always a pro tanto reason for justifiably imposing legal regulation on X that X is morally wrong (where "morally wrong" is not conceptually equivalent to "harmful")". Furthermore, a distinction between six types of legal moralism is made. The six types are grouped according to whether they are concerned with the enforcement of positive or critical morality, and whether they are concerned with criminalising, legally restricting, or refraining from legally protecting morally wrong behaviour. This is interesting because not all types of legal moralism are equally vulnerable to the different critiques of legal moralism that have been put forth. Indeed, I show that some interesting types of legal moralism have not been criticised at all.

Dans cet article, les auteurs proposent de réinterroger la fermeture de la question morale aux seuls humains, à l'heure où chacun de nos gestes ­ manger du thon rouge, prendre l'avion, jeter ses déchets ­ devient objet de scrupule. La « crise écologique », loin d'être seulement scientifique et politique, est aussi une crise morale, ré-interrogeant la liste des êtres capables de nous obliger moralement. Pour partager cette hypothèse avec le lecteur, nous allons proposer un exercice de sensibilisation au scrupule moral à partir d'un petit laboratoire constitué de quatre extraits de textes, aussi hétérogènes par leurs statuts académiques que par leurs disciplines. Malgré l'artifice obligé d'un tel découpage, l'analyse de ces textes, aussi bien de leurs idées que de leur dynamique interne, permettra de faire sentir une série de variations morales nous amenant à proposer, à la fin de cette expérience, une double échelle de valeur.

Dans cet article, les auteurs proposent de réinterroger la fermeture de la question morale aux seuls humains, à l'heure où chacun de nos gestes ­ manger du thon rouge, prendre l'avion, jeter ses déchets ­ devient objet de scrupule. La « crise écologique », loin d'être seulement scientifique et politique, est aussi une crise morale, ré-interrogeant la liste des êtres capables de nous obliger moralement. Pour partager cette hypothèse avec le lecteur, nous allons proposer un exercice de sensibilisation au scrupule moral à partir d'un petit laboratoire constitué de quatre extraits de textes, aussi hétérogènes par leurs statuts académiques que par leurs disciplines. Malgré l'artifice obligé d'un tel découpage, l'analyse de ces textes, aussi bien de leurs idées que de leur dynamique interne, permettra de faire sentir une série de variations morales nous amenant à proposer, à la fin de cette expérience, une double échelle de valeur.

Dans cet article, les auteurs proposent de réinterroger la fermeture de la question morale aux seuls humains, à l'heure où chacun de nos gestes ­ manger du thon rouge, prendre l'avion, jeter ses déchets ­ devient objet de scrupule. La « crise écologique », loin d'être seulement scientifique et politique, est aussi une crise morale, ré-interrogeant la liste des êtres capables de nous obliger moralement. Pour partager cette hypothèse avec le lecteur, nous allons proposer un exercice de sensibilisation au scrupule moral à partir d'un petit laboratoire constitué de quatre extraits de textes, aussi hétérogènes par leurs statuts académiques que par leurs disciplines. Malgré l'artifice obligé d'un tel découpage, l'analyse de ces textes, aussi bien de leurs idées que de leur dynamique interne, permettra de faire sentir une série de variations morales nous amenant à proposer, à la fin de cette expérience, une double échelle de valeur.

Dans cet article, les auteurs proposent de réinterroger la fermeture de la question morale aux seuls humains, à l'heure où chacun de nos gestes ­ manger du thon rouge, prendre l'avion, jeter ses déchets ­ devient objet de scrupule. La « crise écologique », loin d'être seulement scientifique et politique, est aussi une crise morale, ré-interrogeant la liste des êtres capables de nous obliger moralement. Pour partager cette hypothèse avec le lecteur, nous allons proposer un exercice de sensibilisation au scrupule moral à partir d'un petit laboratoire constitué de quatre extraits de textes, aussi hétérogènes par leurs statuts académiques que par leurs disciplines. Malgré l'artifice obligé d'un tel découpage, l'analyse de ces textes, aussi bien de leurs idées que de leur dynamique interne, permettra de faire sentir une série de variations morales nous amenant à proposer, à la fin de cette expérience, une double échelle de valeur.

My first contribution to World Policy Journal, "Crackpot Moralism, Neo-Realism, and U.S. Foreign Policy," was published in spring 1986, and explored a seeming paradox in American political life. Figures whose disposition toward the world could only be described as conservative, such as George F. Kennan and Hans Morganthau, had then become critics of American foreign policy, in some cases even identifying with the Left.

Pragmatism is often seen as an unpolitical doctrine. This article argues that it shares important commitments with realist political theory, which stresses the distinctive character of the political and the difficulty of viewing political theory simply as applied ethics, and that many of its key arguments support realism. Having outlined the elective affinities between realism and pragmatism, the article goes on to consider this relationship by looking at two recent elaborations of a pragmatist argument in contemporary political theory, which pull in different directions, depending on the use to which a pragmatist account of doxastic commitments is put. In one version, the argument finds in these commitments a set of pre-political principles, of the sort that realists reject. In the other version, the account given of these commitments more closely tracks the concerns of realists and tries to dispense with the need for knowledge of such principles.