Nouvelles technologies de l'information et de la communication: Introduction
In: Sociologie du travail, Band 43, Heft 3, S. 303-308
ISSN: 1777-5701
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In: Sociologie du travail, Band 43, Heft 3, S. 303-308
ISSN: 1777-5701
In: Terminal; Un nouvel activisme sur Internet ?, Band 103-104
ISSN: 2429-4578
In: Note de Veille, Heft 78, S. 1-4
World Affairs Online
In: Revue économique, Band 56, Heft 1, S. 99
ISSN: 1950-6694
In: Politique et sociétés, Band 18, Heft 2, S. 61-82
ISSN: 1703-8480
L'étude de la jurisprudence française relative à Internet entre 1996 et 1997 montre que, loin d'être un « espace de non-droit », le réseau des réseaux est assujetti au respect de règles juridiques. Ainsi, l'exemple de l'exercice de la liberté d'expression met en exergue que le droit français peut s'appliquer à Internet comme à tout autre vecteur de communication, même si l'édifice jurisprudentiel paraît encore fragile. Quant aux droits intellectuels, le juge français, s'il doit respecter les textes applicables, doit également tenir compte de l'esprit libéral du réseau.
In: Materiaux pour l'histoire de notre temps, Band 79, Heft 1, S. 30-33
ISSN: 1952-4226
In: Politique et sociétés, Band 18, Heft 2, S. 37-59
ISSN: 1703-8480
Le potentiel démocratique des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) comme Internet paraît souvent lié à l'accès à l'information, à la transparence et à la délibération, conditions nécessaires de la démocratie. Mais en limitant la démocratie à ces conditions, on valorise de manière excessive la démocratie directe, on postule que le potentiel technologique se réalise toujours et que les citoyens et les citoyennes sont politiquement actifs. Cette conception de la démocratie fait fi des processus de gestion politique et des logiques sociétales — par essence non démocratiques — comme la mondialisation et la libéralisation des échanges, auxquels sont soumis les NTIC. La démocratie et les NTIC doivent plutôt être pensées de manière concomitante en discernant quatre failles de la démocratie libérale et suggérant deux voies pour un usage fructueux des NTIC : la démocratisation de l'État et celle de la société civile.
In: REGARDS papiers, 14
Begünstigt durch den allgemeinen Liberalisierungstrend verbreiteten sich die neuen Informations- und Kommunikationstechnologien in den 90er Jahren auch in Afrika mit großer Geschwindigkeit. Dabei stellt sich die Frage, ob diese Entwicklung den bestehenden Dualismus zwischen städtischen und abgeschnittenen ländlichen Regionen nicht weiter akzentuiert. (DÜI-Cls)
World Affairs Online
In: Technology, business and society 8
Dans le cadre de cette recherche, il s'agit de s'interroger sur les apports et les défis du progrès technique appliqué à la démocratie au sein de l'espace politique européen. Les TIC, et notamment les réseaux sociaux ainsi que les services de micro-blogging, introduisent-ils un approfondissement substantiel de la démocratie européenne ? Ces nouveaux outils de communication parviennent-ils à reconfigurer les paramètres de participation et à susciter une politisation de l'espace public ? Y a-t-il des interpénétrations entre l'engagement virtuel et l'engagement sur le terrain ? Arrive-t-on à mobiliser des personnes qui auparavant ne s'intéressaient guère à la res publica en général et au 'projet européen' en particulier ? Les TIC réussissent-elles à instaurer une véritable communication bottom-up, des citoyens vers les institutions européennes ? Ces interrogations nous amènent à des questions de recherche fondamentales : les nouvelles technologies de l'information et de la communication parviendraient-elles à rénover la démocratie contemporaine en Europe ? Quelles seraient les conditions-cadres pour garantir un tel renouveau à l'échelle de l'UE ?
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International audience ; Dans le cadre du développement fulgurant de l'informatique durant cette dernière décennie, force est de constater que les usages et les pratiques des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) dans le business sont devenus des facteurs clés de succès des entreprises tant sur le plan matériel que logiciel. L'internet rend désormais possible la mise en œuvre de nouveaux métiers de téléservices (programmation logiciel, comptabilité, saisies kilométriques, traduction, transcription audio, centres d'appel, etc.). La libéralisation des services de télécommunication en France dans le sillage d'une volonté manifeste de l'Union Européenne a ainsi exigé des pouvoirs publics de mettre au devant de la scène la question des NTIC comme facteur crucial de la compétitivité des entreprises françaises au lendemain du 21ème siècle. Etant donné que cette concurrence s'exerce manière plus exacerbée au niveau international, la problématique de la délocalisation s'invite dans un débat aujourd'hui passionné en France avec la création d'un Ministère sur la condition "Numérique". Sans prendre partie, dans cette terrible controverse, ce papier qui s'exprime pour l'existence d'un lien entre les NTIC et la performance des entreprises montre qu'a priori, les entreprises françaises qui s'investissent dans les champs de ces nouvelles technologies en terme de téléservices par une politique de sous-traitance et de délocalisation à l'étranger réalisent de meilleures performances que leurs homologues qui concentrent leurs efforts en France ou qui sont peu enclins à l'usage de ces outils ; une typologie étant proposée. Toute chose étant égale par ailleurs, après le constat d'une forte concurrence des pays asiatiques et notamment l'Inde, l'étude constate une attractivité de plus en plus grande de certains pays africains qui, en au delà de la fracture numérique dénoncée par les Nations Unies, présentent des atouts indiscutables pour les entreprises françaises puisque les handicaps liés à la barrière ...
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In: Après-demain: journal trimestriel de documentation politique, Heft 21, S. 31-33
ISSN: 0003-7176
The New Information and Communication Technologies (NICT) are revolutionizing the way to take care of the patients. They allow the emergence of E-Health, M-health, telemedicine and telepharmacy. These new informatics tools are responsible for the drop of geographic barriers and improve both the quality and the security of the pharmaceutical actions. Various tools used on a day-to-day basis exist thanks to E-Health like for instance the share medical file or the pharmaceutical file. The m-Health is something more and more common and its utilization is rising thanks to the multiplication of smartphones, but without real control in terms of security and efficiency. The NICT create a lot of expectations while the lack of doctors in certain regions may causes ''medical desert", and while the search for efficiency of our health care system becomes a political issue. The pharmacist has to find his own new role, and adapt himself to this new numerical environment. To meet these challenges, France has created the HSPT law in 2009 to put a legal framework to this telemedicine activity. Thanks to the balanced repartition of the pharmacies within the French territory, the pharmacist can become a real actor in these telemedicine activities. He has all the legitimacy to develop such activities (as it is already done in Switzerland with the NetCare dispositive) thanks to the HSPT law which defines him as a first recourse health professional. Nevertheless, the activities that will change the most the pharmacist's day-to-day life are the one linked with telepharmacy (remote drug delivery, counseling to distance patient, etc….). ; Les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC) révolutionnent la manière de prendre en charge les patients. Elles ont permis l'émergence de la télésanté, de la m-santé, de la télémédecine et de la télépharmacie. Ces nouveaux outils informatiques permettent de s'affranchir de la barrière géographique et d'améliorer la qualité et la sécurité des soins médicaux et des actes pharmaceutiques. Divers outils utilisés quotidiennement sont issus de la télésanté comme le dossier médical partagé ou le dossier pharmaceutique. La m-santé se démocratise et progresse avec l'avènement des Smartphones (téléphones intelligents), mais sans réel contrôle en termes de sécurité et d'efficacité. Les NTIC suscitent beaucoup d'expectatives dans un contexte où le manque de médecin dans certaines régions laisse place à des déserts médicaux, et où la recherche d'efficience de notre système de santé devient un enjeu politique. Le pharmacien d'officine doit trouver sa place et s'adapter à ce nouvel environnement numérique. Pour relever ces défis, la France s'est dotée grâce à la loi HSPT de 2009 d'un cadre légal à l'activité de la télémédecine. De par la répartition harmonieuse des pharmacies sur le territoire français, le pharmacien d'officine peut devenir une porte d'entrée à ces activités de télémédecine. Il possède toute légitimité à accueillir ces activités (comme c'est déjà le cas en Suisse avec le dispositif NetCare) grâce à la loi HSPT qui le reconnait comme un professionnel de santé de premier recours. Mais les activités qui modifieront le plus l'exercice officinal à l'avenir sont celles issues de la télépharmacie (dispensation à distance, conseil à distance, etc.).
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Avec le Plan d'Action Gouvernemental pour l'entrée de la France dans la Société de l'Information (PAGSI, 1998), le Premier ministre fait des technologies de l'information et de la communication, à la suite du gouvernement étasunien et comme de nombreux autres responsables politiques européens, un axe fort de sa politique. Concernant l'ensemble des grands secteurs d'intervention de l'Etat, cette action vise le développement de l'Internet et des services qui peuvent lui être attachés, l'éducation constituant une priorité du programme. Même si l'enseignement scolaire est le premier concerné, plusieurs initiatives vont toucher l'enseignement supérieur. Trois opérations sont lancées entre 2000 et 2003 : campus numériques, environnements numériques de travail pour l'étudiant, universités numériques en région. Ainsi, de nombreuses expérimentations impliquant de nouveaux acteurs sont menées ici et là, dans des établissements souvent très dissemblables. Au-delà des conflits animés par des positions idéologiquement très tranchées, ces transformations en cours interrogent l'université tout autant qu'elles la révèlent. Nous proposons dans notre intervention de tracer les grandes lignes de force de cette situation nationale en rappelant l'antériorité de l'introduction des TIC à l'université et en montrant comment ces questions croisent le débat beaucoup plus large des missions de l'université.
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Avec le Plan d'Action Gouvernemental pour l'entrée de la France dans la Société de l'Information (PAGSI, 1998), le Premier ministre fait des technologies de l'information et de la communication, à la suite du gouvernement étasunien et comme de nombreux autres responsables politiques européens, un axe fort de sa politique. Concernant l'ensemble des grands secteurs d'intervention de l'Etat, cette action vise le développement de l'Internet et des services qui peuvent lui être attachés, l'éducation constituant une priorité du programme. Même si l'enseignement scolaire est le premier concerné, plusieurs initiatives vont toucher l'enseignement supérieur. Trois opérations sont lancées entre 2000 et 2003 : campus numériques, environnements numériques de travail pour l'étudiant, universités numériques en région. Ainsi, de nombreuses expérimentations impliquant de nouveaux acteurs sont menées ici et là, dans des établissements souvent très dissemblables. Au-delà des conflits animés par des positions idéologiquement très tranchées, ces transformations en cours interrogent l'université tout autant qu'elles la révèlent. Nous proposons dans notre intervention de tracer les grandes lignes de force de cette situation nationale en rappelant l'antériorité de l'introduction des TIC à l'université et en montrant comment ces questions croisent le débat beaucoup plus large des missions de l'université.
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