Towards a new paradigm shift in french political science?: On rational choice in political science: critical debates
In: Revue française de science politique. English edition, Band 60, Heft 2, S. 163-188
ISSN: 2263-7494
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In: Revue française de science politique. English edition, Band 60, Heft 2, S. 163-188
ISSN: 2263-7494
In: Revue française de science politique, Band 63, Heft 5, S. 948-949
ISSN: 0035-2950
In: Revue française de science politique. English edition, Band 62, Heft 5, S. 55-77
ISSN: 2263-7494
In: Politique et sociétés, Band 24, Heft 2-3, S. 218-220
ISSN: 1203-9438
16 mai 1927 : un mandat sans équivoque24 août 1931 : sur fond de crise économique; 25 novembre 1935 : à la porte du changement; Chapitre 3 : 1936-1960; Tradition et autonomie; Vie démocratique; Vie partisane; Vie gouvernementale; Carnets de campagne; 17 août 1936 : la victoire que l'on n'attendait plus; 25 octobre 1939 : la bataille de la conscription; 8 août 1944 : retour en force de l'Union nationale; 28 juillet 1948 : une province unioniste; 16 juillet 1952 : l'apogée d'une redoutable machine électorale; 20 juin 1956 : dernier triomphe de l'ère duplessiste; Chapitre 4 : 1960-2000.
From the publication of the French translation of a book by Peter Winch, the article reverted to the tendency of political science and, more broadly, of social sciences to adopt the naturalist view that the phenomena they deal with existed independently from the point of view of the members of society involved in their production. In this sense, the opposing positions of Bruno Latour and Pierre Favre, published in RFSP issues 58 (4) and (5), are similar: they argue that it is possible to determine what is and is not political externally to specific practices. ; International audience Based on the French translation of a book by Peter Winch, this article reassesses the tendency in political science – and, more broadly, in the social sciences – to adopt the naturalistic view that the phenomena those sciences explore exist independently of the viewpoints of members of society involved in their production. In this sense, the contrasting positions taken by Bruno Latour and Pierre Favre, published in issues 58 (4) and (5) of the RFSP, turn out to be similar : both posit that what is and is not political can be determined without reference to specific practices. ; From the publication of the French translation of a book by Peter Winch, the article reverted to the tendency of political science and, more broadly, of social sciences to adopt the naturalist view that the phenomena they deal with existed independently from the point of view of the members of society involved in their production. In this sense, the opposing positions of Bruno Latour and Pierre Favre, published in RFSP issues 58 (4) and (5), are similar: they argue that it is possible to determine what is and is not political externally to specific practices. ; À partir de la publication de la traduction française d'un ouvrage de Peter Winch, l'article revient sur la tendance de la science politique et, plus largement, des sciences sociales à adopter le point de vue naturaliste selon lequel les phénomènes dont elles traitent existeraient indépendamment du ...
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In: Revue française de science politique, Band 64, Heft 6, S. 1241-1242
ISSN: 0035-2950
Les musées des sciences produisent des représentations de la science et de ses publics. Ils ont été invités à intervenir dans les nanotechnologies dans le cadre de programmes de politique publique d'ampleur mondiale censés développer ce domaine. Cet article examine la situation des musées des sciences européens. Il commence par examiner le cas d'un projet européen dans lequel étaient impliqués des musées des sciences travaillant sur les nanotechnologies. Cet exemple illustre un « impératif démocratique » auquel se retrouvent confrontés les musées des sciences européens, et qui implique une transformation de leur rôle public. Il offre une piste pour analyser l'évolution actuelle de la perspective de la communication scientifique européenne – qui passe d'« une compréhension de la science par le public » à « une compréhension scientifique du public » – et de la construction politique qu'implique cette évolution. ; Science museums, which produce representations of both science and the public, are being asked to become involved in nanotechnologies under public policies at the global scale that aim to develop this field. This article focuses the situation for science museums in Europe, beginning with a discussion on a European project that involved museums working on nanotechnologies. This example illustrates a "democratic imperative" that European museums are required to address, and which implies a major change in their public role. It puts forward a different approach to analyses of current shifts in perspectives on scientific communication in Europe – which is moving from "scientific understanding among the public" to "scientific understanding of the public" – and of the political construction these changes imply.
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In: Studia politica: Romanian political science review ; revista română de ştiinţă politică, Band 9, Heft 4, S. 593-601
The paper is a transcription of the speech given by the author in acceptance of the title of doctor honoris causa of the University of Bucharest. The discourse is at the same time a personal statement of commitment to the study of Central and Eastern European politics and society, and an appraisal of the problématique of the researches conducted in and on the area. The assertion is that, despite a relative decline of the intellectual interest in the region of mainstream political science, Central and Eastern Europe might still provide valuable insights into the core issue of the discipline: the nature and predicament of democracy, the production of political regimes, how do cleavages appear and how they can be observed, how does politics affect the make-up of societies.
International audience ; Si les changements environnementaux liés à l'humanité ne font aucun doute, leur ampleur et leurs conséquences ne sont pas si faciles à évaluer. Pour le savant, il s'agit d'établir les liens de causalité et les impacts avec le plus de précision possible, puis de poser un diagnostic. Le présent dictionnaire s'appuie sur le concept récent d'«anthropocène», qui a le mérite, qu'on l'approuve ou non, de relancer la réflexion sur les rapports entre nature et société, entre constat scientifique et action politique, à travers une approche spatiale et territoriale. Procédant de façon critique, et fruit d'une démarche collective, cette vaste entreprise éditoriale se fonde sur une pratique de terrain, attentive aux détails et méfiante à l'égard des discours pré-établis. Parmi les 330 notices, plusieurs thèmes sont au cœur des débats contemporains (biodiversité, changement climatique…), d'autres se réfèrent à des courants de pensée (écoféminisme, transhumanisme…). Les concepts mobilisés abordent des questions politiques (capitalocène, justice environnementale…), philosophiques (catastrophes, Gaïa…), ou épistémologiques (finitude, population…). Des notions classiques sont réinterrogées (nature, ressource…), tandis que des concepts sont précisés (biosphère, écosystème…). D'autres notices discutent de mécanismes environnementaux (érosion, tsunami…), de pratiques récentes (agroécologie, ville durable…), de phénomènes territorialisés (déforestation, désertification…) ou d'artefacts (aéroport, autoroute…). Certaines examinent des lieux emblématiques (Amazonie, Fukushima…). D'autres, enfin, offrent un regard original sur l'anthropocène, sa faune (chien, ours…), ses mutations socio-économiques, institutionnelles ou politiques (biopiraterie, ZAD…). Un dictionnaire de référence sur un concept devenu incontournable. (4e de couverture)
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Peut-on substituer l'image au discours et conserver une démarche scientifique ? Dans ce livre, une équipe interdisciplinaire, réunissant des chercheurs belges et québécois, explore cette question à travers l'outil « carte mentale ». Rarement utilisé en science politique, cet instrument de collecte de l'information permet d'accéder à des données originales, spontanées et libres à propos d'une multitude d'objets, allant du cyberespace au fédéralisme, en passant par des politiques publiques et des sujets sensibles tels que les génocides. En mettant en évidence les différentes acceptions et les diverses formes de la carte mentale et en soulignant les forces mais également les limites de cet outil, l'objectif de cet ouvrage est d'identifier les potentialités que recouvre cet instrument de collecte de l'information pour la science politique et les sciences sociales en général.
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Le projet scientifique d' Hermès n'est pas de défendre telle ou telle conception du ou de la politique, mais de développer une anthropologie politique qui soit pluridisciplinaire et non sectaire. Quelles sont les principales caractéristiques de cette anthropologie politique ? Le but de ce texte est de les expliciter en s'appuyant sur l'étude longitudinale des numéros de la revue consacrés à cette thématique. ; Hermès' scientific aim is not to defend one conception of the political and politics rather than another but instead to develop a political anthropology that is multidisciplinary and non-sectarian. What are the main features of this political anthropology ? This article aims to outline them explicitly, drawing on longitudinal analysis of the journal issues devoted to this topic.
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The objective of this article is to highlight the potential use of the mental map in political science. Often used in psychology and in geography, political scientists have rarely used it, however. After discussing the advantages and limitations of the use of mental maps in social sciences, and based on two empirical studies, our aim is to show how the mental map can address issues specific to political science in a new light. ; L'objectif de notre propos est de mettre en évidence les potentiels de l'utilisation de la carte mentale en science politique. Souvent utilisée en psychologie et en géographie, les politologues ont toutefois rarement recours à cet outil de collecte de l'information dans leurs recherches. En revenant sur les avantages et les limites de l'usage de cet outil en sciences sociales, et en nous basant sur deux études originales, nous montrerons dans quelle mesure la carte mentale peut permettre d'aborder des questions propres à la science politique sous un angle nouveau. ; Peer reviewed
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