Le politique et la philosophie politique de John Rawls aux prises avec la societe multiculturelle
In: Das Fremde in der Gesellschaft: Migration, Ethnizität und Staat, S. 411-426
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In: Das Fremde in der Gesellschaft: Migration, Ethnizität und Staat, S. 411-426
A discussion of selected clandestine philosophical works, including William Lyons's The Infallibility, Dignity and Excellence of Humane Judgment; Being a New Art of Reasoning and Discovering Truth (1719), which was widely circulated in manuscript form in a French translation. As a merciless attack on the articles of the Symbol of St. Athanase, Lyons argued against Catholicism, Calvinism, & Trinitarianism, & proposed a reasonable, demystified Christianity. Because the French text intimates Lyons's indebtedness to John Locke's philosophy, it is considered a prime example of problematic cultural transfer. Clandestine works translated into French of latitudinarian English theologians Francis Hare, Arthur Ashley Sykes, & Thomas Chubb are also reviewed. It is noted that the expatriate contextualized understanding of these works served to support the works of French contemporaries such as Pierre Bayle. In the appendix, the clandestine French translation of Arthur Ashley Sykes's L'Innocence de l'erreur soutenue et justifiee dans une lettre a M. XXX ([The Innocence of the Error Sustained and Justified in a Letter to Mr. XXX] 1714) is reprinted. Arguing that a just God could never smite involuntary faults, Sykes distinguishes strongly between failings of intelligence & failings of the will. He also asserts the incomprehensibility & difficulty of the Scriptures; indicates the heterodoxy of various Christian denominations; & ironically supports the Anglican Church as the one true ecumenism. 1 Appendix. J. Sadler
In: Mythos in Medien und Politik, S. 73-81
In: Médias, spiritualité et laïcité: regards croisés franco-roumains, S. 9-30
Cette communication tâchera de montrer dans la perspective d'une épistémologie sociale que les paradigmes de sens irréductibles pour toute type de médiatisation sont la foi et le langage. Elle produira une argumentation en faveur de l'hypothèse que ce qui est fondamentalement spécifique pour les différents approches médiatiques de la réalité ne réside pas dans la production de sens, mais dans la direction que chaque type de médiatisation se donne pour orienter la vie de l'individu, de la société et d'une manière générale du monde. Enfin, la communication apportera une lecture de la liberté de conscience dans ce contexte où l'être humain - un existant donné - doit s' "in-former" sous la pression de l'être social - un existant historique construit collectivement.
In: Verhandlungen des 9. Deutschen Soziologentages vom 9. bis 12. August 1948 in Worms: Vorträge und Diskussionen in der Hauptversammlung und in den Sitzungen der Untergruppen, S. 11-24
In: Médias, spiritualité et laïcité: regards croisés franco-roumains, S. 43-60
Le problème que je pose dans ce cadre consiste à voir quel sont les pratiques des médias de service public à l'égard des représentations de la diversité religieuse et, plus précisément, à l'égard des représentations de transmission et communication de la foi dans deux pays européens dont l'un fort religieux et l'autre fort laïc, la Roumanie et la France. Il est question de voir en quoi le discours des médias publics sur la diversité n'altère pas le principe de la laïcité, la neutralité, le respect du pluralisme et l'intégralité des consciences. Pour ce faire, je vais retenir deux cas de figure, deux émissions télévisées diffusées sur les chaînes publiques de télévision en France et en Roumanie: l'émission "Le jour du Seigneur", avec ses déclinaisons d'intitulé au fil du temps "Programme du dimanche" et "Les chemins de la foi", diffusée sur France 2 et "Universul credintei" ("l'Univers de la foi") diffusée sur TVR1. En considérant ces deux programmes de télévision, je vais tenter de répondre globalement aux questionnements suivants: est-ce que tous les mouvements religieux sont-ils présents dans les médias audiovisuels publics autant que les acteurs des confessions religieuses traditionnellement implantées? Oui, c'est une réalité, certains mouvements disposent de leurs propres chaînes, mais leur présence sur leurs chaînes privées ne remplace pas un droit par un autre. S'agit-t-il alors d'une situation de monopole et de visibilité maximale des courants religieux dominants dans l'espace public au travers des médias publics? Plus de normalisation garantit plus d'accès compte tenu que le principe de laïcité prévoit l'égalité et l'absence de hiérarchie entre les différentes croyances et cultes?