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In: Tidsskrift for kjønnsforskning, Band 35, Heft 4, S. 353-356
ISSN: 1891-1781
In: Studien zur Philosophie des 18. Jahrhunderts Bd. 12
Il volume analizza il rapporto fra la scoperta di sentimenti e affetti a priori e la rivoluzione nel modo di pensare annunciata nella Prefazione alla seconda edizione della Critica della ragion pura. Il lavoro mostra che il passaggio dall'ipotesi alla certezza apodittica, da Niccolo Copernico a Isaac Newton tanto nella filosofia speculativa quanto nella filosofia morale e inscindibilmente connesso con la scoperta dei sentimenti a priori del rispetto, della soddisfazione di se, dell'interesse, della tensione, dell'esigenza e della tendenza, a loro volta strettamente legati a temi come il primat
Das Ziel dieser Arbeit ist nicht, die vielbekannte Kontroverse um das Politische "bei"/"ab" bzw. "nach" Heideggers \(\textit {Sein und Zeit}\) wiederaufzunehmen. Unsere Überlegungen beschränken sich vielmehr auf den weniger unternommenen Versuch, eine solche politische Dimension in der Philosophie des frühen Heidegger (1919-1923) zu entdecken und zu erörtern. Das Hauptthema der frühen Philosophie Heideggers lässt sich auf eine fundamental-phänomenologische Frage zurückführen: die Frage nach einem Denken des Ursprungs, d.h. einem Denken, das sich fähig erklärt, einen echten und adäquaten Zugang zur ursprünglichen Struktur der faktischen Lebenserfahrung zu gewinnen. Die Frage lautet nun: Wie lässt sich überhaupt die Thematik des Politischen in einer solchen phänomenologischen Dimension entdecken und artikulieren?
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Das politische Denken Ernst Cassirers steht im Mittelpunkt der vorliegenden Forschungsarbeit, die von einer kritischen Auseinandersetzung mit der Rezeptionsgeschichte ausgeht und eine spezifische methodische Perspektive einführt, um dieses Problem in einem neuen Licht erscheinen zu lassen und um zu erklären, wie und inwieweit legitim von einem politischen Denken im Falle der Kulturphilosophie Cassirers gesprochen werden kann. Unter der Annahme einer Kontinuitätshypothese wird auf diejenigen Hauptmomente fokussiert, in denen Cassirer die Grundsätze seiner politisch-philosophischen Auffassung entwickelte, und zwar auf die Werke "Leibniz' System in seinen wissenschaftlichen Grundlagen" 1902 und "Freiheit und Form. Studien zur deutschen Geistesgeschichte" 1916: in diesen Untersuchungen über die ethisch-rechtliche Grundlegung der Geisteswissenschaften und über das Problem der Freiheits- und Staatsidee lassen sich zwei Grundmotive aufzeigen, die alle folgenden Entwicklungen der Cassirerschen politischen Reflexionen zwischen dem Ersten Weltkrieg, der Weimarer Republik und dem Nationalsozialismus bestimmen: vom Streit um den Begriff der Nation mit dem Philosophen Bruno Bauch über die Verteidigung des republikanischen Konstitutionalismus am Ende der 1920er Jahre und über die ethisch-rechtlichen Beiträge der Exilzeit in den 1930er Jahren bis hin zum posthumen The Myth of the State 1946. Das Leitmotiv dieser politisch-philosophischen Überlegungen Cassirers ist in der Tat die Betrachtung des Problems der idealistischen Verwandlung des Staatsbegriffs in einen normativen Kulturbegriff bzw. in eine Kulturform unter systematischer Berücksichtigung von der Geschichte der politischen Philosophie und Wissenschaft der europäischen Moderne. In Bezug auf diese Hauptmomente der Cassirerschen politischen Produktion werden ihr philosophisch-geschichtlicher und kultureller Kontext sowie ihre Quellen beleuchtet. ; The political thought of Ernst Cassirer is the focus of the present research work, which starts from a critical assessment of his reception and introduces a specific methodological approach in order to reconsider this issue and to clarify the sense in which it is legitimate to speak of a political thought in Cassirer's Philosophy of Culture. Assuming that there is a continuity in his philosophy, this research focuses on the two fundamental moments in which Cassirer develops the principles of his political thought, that is to say the works "Leibniz' System in seinen wissenschaftlichen Grundlagen" (1902) and "Freiheit und Form. Studien zur deutschen Geistesgeschichte" (1916). In his investigations on the ethical-legal foundation of the Geisteswissenschaften and on the problem of freedom and state can be recognized two crucial issues as the basis of all developments in Cassirer's political thought between the World War I, the Weimar Republic and the Nazism: from the controversy with the philosopher Bruno Bauch about the concept of nation to the defense of a republican constitutionalism at the end of the 20's, from the ethical and legal contributions of the 30's till the inquiries on the political myth in his posthumous work "The Myth of the state" (1946). In this philosophical-political elaboration Cassirer's main concern is to study the problem of the idealistic transformation of the state into a normative cultural concept and into a form of culture in the light of the history of political philosophy and political science in modern Europe. For each of the main points of Cassirer's political production are therefore highlighted the historical-philosophical and cultural context, along with the sources and the most important references.
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Résumé Thèse Mara Montanaro. Université Paris Descartes- Université du Salento. Direction de Madame Michela Marzano et Madame Marisa Forcina Françoise Collin. La révolution permanente d'une pensée discontinue (1928-2012) Françoise Collin était écrivaine, féministe, philosophe qui connue surtout dans le monde francophone, n'en a pas moins exercé une influence certaine dans les pays méditerranéens -telle bien sûr l'Italie - mais aussi dans les pays anglophones, ainsi qu'en attestent les hommages qui lui ont été rendus dans Radical Philosophy et Signs. Dans ma thèse, la première sur Françoise Collin, je me suis employée à reconstruire, problématiser et interpréter ses écrits, ses essais, ses articles (qui, pour la plupart ne sont pas traduits en italien) en ayant comme fil rouge le concept de praxis dans l'écriture, dans l'engagement féministe et dans la philosophie. J'ai entrepris de montrer qu'il y a une cohérence dans la discontinuité, une cohérence structurelle. Dans le premier chapitre j'ai analysé comment née à l'écriture par la poésie - ses premiers poèmes ont été publiés dans les années 1960 dans la revue Ecrire, dirigée par Jean Cayrol - elle a écrit ses premiers romans Le Jour fabuleux (1961) et Rose qui peut (1962) au Seuil, pour se consacrer ensuite à la philosophie et publier, chez Gallimard, une étude de l'oeuvre de Maurice Blanchot, Maurice Blanchot et la question de l'écriture, quand Blanchot n'était encore connu que dans un cercle restreint. Ce premier essai consacré à Blanchot en France reste aujourd'hui encore une des monographies de référence sur ce grand auteur du siècle précédent. J'ai donc, dans mon premier chapitre, exploré son rapport à l'écriture comme mouvement perpétuel, les concepts de négation, négativité et négatif, le rapport entre littérature et philosophie. Il y a aussi une digression avec l'oeuvre de Maurice Merleau-Ponty (les concepts de corps en langage), enfin j'ai vu la comparaison que Françoise Collin a fait entre l' "entretien infini" chez Blanchot et "le dialogue pluriel" chez Arendt. Dans le deuxième chapitre j'ai reconstruit la chronologie et la généalogie de son engagement féministe. En 1973, de retour d'un voyage à New York, elle crée et anime la première revue féministe en langue française, Les Cahiers du Grif (Groupe de recherche et d' information féministes). Le premier numéro des Cahiers du Grif paraît en octobre 1973. La revue assume très tôt une dimension internationale dans le monde francophone. J'ai aussi analyse la polysémie des leitmotiv du féminisme : mon corps à moi, le privé est politique, un enfant si je veux quand je veux, le rapport entre insurrection et institution, fondamentale pour comprendre le cheminement de Françoise Collin, je retrace aussi la figure de Simone De Beauvoir telle qu'elle émerge dans les articles de Collin. Enfin j'ai problématisé, interrogé les théories féministes et j'ai reconstruit brièvement l'historie du mouvement féministe en Belgique et en France (MLF). Le troisième chapitre de ma thèse porte sur le rapport intellectuel que Françoise Collin a développé avec l'oeuvre de Hannah Arendt. Dans les années 1980, Françoise Collin a introduit sur la scène philosophique française la lecture de gauche de Hannah Arendt en co-organisant au Collège international de philosophie, le colloque international Ontologie et Politique. En 1999 elle écrit L'homme est-il devenu superflu ? Hannah Arendt. (Odile Jacob). Dans le remarquable entretien qu'elle eut avec Florence Rochefort et Danielle Haase-Dubosc en 2001, elle dit : L'articulation complexe entre poétique et politique est même peut-être le support permanent de ma réflexion. S'il y a tension entre ces deux dimensions de l'expérience humaine, il y a aussi rapport dans la mesure où il ne peut y avoir bouleversement politique (dans les rapports de sexe) sans bouleversement symbolique, lequel n'est pas réductible à la ponctualité de lois ou de mesures sociales. Le changement se cherche mais n'obéit pas au commandement. C'est dans ma réflexion sur l'écriture que j'ai appris ce que je continue à nommer "aller en direction de l'inconnu ". On a voulu donc retracer son itinéraire, un parcours atypique et original, entre écriture et politique, littérature et philosophie, engagement féministe et art. Dans l'oeuvre de Françoise Collin l'idée de praxis introduit et soutient la cohérence incohérente d'un itinéraire de plus de quarante ans de réflexion et d'écriture. C'est une idée qui jette une nouvelle lumière sur les dimensions qui semblent disparates d'un parcours, soit dans ses moments singuliers soit dans ses moments collectifs. Collin, en effet, a forgé le concept de praxis de la différence et à articulé cette idée à celle de différend des sexes dans la mesure où la différence des sexes est un agir, une praxis sans représentation préalable, un acte qui se rejoue en chaque conjointure. On se trouve face à un agir, un faire être sans représentation de sa fin et sans postulat d'une quelconque totalité potentielle. C'est, en effet, dans le sens arendtien que Collin lit la praxis, l'agir, opposé à la fabrication, au poéisis. C'est aussi important de souligner que Collin a voulu que Arendt, une femme dont le pensée a été pour elle cruciale, soit reconnue comme source et ressource de pensée tout court. Le terme le plus apte à décrire le parcours de Collin entre écriture, féminisme et philosophie est peut-être "cheminement", un cheminement en même temps fait de continuité et de déplacements et ouvert à un certain polymorphisme. Comme écrit Rosi Braidotti : Françoise l'inachevée, non pas par manque, mais par excès de talent et d'intensité, car l'écriture, elle, est infinie et à jamais. Elle aura peut-être la dernière d'une génération des femmes, féministes, qui ont effacé les lignes de démarcation entre philosophie, l'écriture littéraire, les arts et la politique, les entraînant tous dans un tourbillon créatif qui dépasse et déplace tous bornes .
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Résumé Thèse Mara Montanaro. Université Paris Descartes- Université du Salento. Direction de Madame Michela Marzano et Madame Marisa Forcina Françoise Collin. La révolution permanente d'une pensée discontinue (1928-2012) Françoise Collin était écrivaine, féministe, philosophe qui connue surtout dans le monde francophone, n'en a pas moins exercé une influence certaine dans les pays méditerranéens -telle bien sûr l'Italie - mais aussi dans les pays anglophones, ainsi qu'en attestent les hommages qui lui ont été rendus dans Radical Philosophy et Signs. Dans ma thèse, la première sur Françoise Collin, je me suis employée à reconstruire, problématiser et interpréter ses écrits, ses essais, ses articles (qui, pour la plupart ne sont pas traduits en italien) en ayant comme fil rouge le concept de praxis dans l'écriture, dans l'engagement féministe et dans la philosophie. J'ai entrepris de montrer qu'il y a une cohérence dans la discontinuité, une cohérence structurelle. Dans le premier chapitre j'ai analysé comment née à l'écriture par la poésie - ses premiers poèmes ont été publiés dans les années 1960 dans la revue Ecrire, dirigée par Jean Cayrol - elle a écrit ses premiers romans Le Jour fabuleux (1961) et Rose qui peut (1962) au Seuil, pour se consacrer ensuite à la philosophie et publier, chez Gallimard, une étude de l'oeuvre de Maurice Blanchot, Maurice Blanchot et la question de l'écriture, quand Blanchot n'était encore connu que dans un cercle restreint. Ce premier essai consacré à Blanchot en France reste aujourd'hui encore une des monographies de référence sur ce grand auteur du siècle précédent. J'ai donc, dans mon premier chapitre, exploré son rapport à l'écriture comme mouvement perpétuel, les concepts de négation, négativité et négatif, le rapport entre littérature et philosophie. Il y a aussi une digression avec l'oeuvre de Maurice Merleau-Ponty (les concepts de corps en langage), enfin j'ai vu la comparaison que Françoise Collin a fait entre l' "entretien infini" chez Blanchot et "le dialogue pluriel" chez Arendt. Dans le deuxième chapitre j'ai reconstruit la chronologie et la généalogie de son engagement féministe. En 1973, de retour d'un voyage à New York, elle crée et anime la première revue féministe en langue française, Les Cahiers du Grif (Groupe de recherche et d' information féministes). Le premier numéro des Cahiers du Grif paraît en octobre 1973. La revue assume très tôt une dimension internationale dans le monde francophone. J'ai aussi analyse la polysémie des leitmotiv du féminisme : mon corps à moi, le privé est politique, un enfant si je veux quand je veux, le rapport entre insurrection et institution, fondamentale pour comprendre le cheminement de Françoise Collin, je retrace aussi la figure de Simone De Beauvoir telle qu'elle émerge dans les articles de Collin. Enfin j'ai problématisé, interrogé les théories féministes et j'ai reconstruit brièvement l'historie du mouvement féministe en Belgique et en France (MLF). Le troisième chapitre de ma thèse porte sur le rapport intellectuel que Françoise Collin a développé avec l'oeuvre de Hannah Arendt. Dans les années 1980, Françoise Collin a introduit sur la scène philosophique française la lecture de gauche de Hannah Arendt en co-organisant au Collège international de philosophie, le colloque international Ontologie et Politique. En 1999 elle écrit L'homme est-il devenu superflu ? Hannah Arendt. (Odile Jacob). Dans le remarquable entretien qu'elle eut avec Florence Rochefort et Danielle Haase-Dubosc en 2001, elle dit : L'articulation complexe entre poétique et politique est même peut-être le support permanent de ma réflexion. S'il y a tension entre ces deux dimensions de l'expérience humaine, il y a aussi rapport dans la mesure où il ne peut y avoir bouleversement politique (dans les rapports de sexe) sans bouleversement symbolique, lequel n'est pas réductible à la ponctualité de lois ou de mesures sociales. Le changement se cherche mais n'obéit pas au commandement. C'est dans ma réflexion sur l'écriture que j'ai appris ce que je continue à nommer "aller en direction de l'inconnu ". On a voulu donc retracer son itinéraire, un parcours atypique et original, entre écriture et politique, littérature et philosophie, engagement féministe et art. Dans l'oeuvre de Françoise Collin l'idée de praxis introduit et soutient la cohérence incohérente d'un itinéraire de plus de quarante ans de réflexion et d'écriture. C'est une idée qui jette une nouvelle lumière sur les dimensions qui semblent disparates d'un parcours, soit dans ses moments singuliers soit dans ses moments collectifs. Collin, en effet, a forgé le concept de praxis de la différence et à articulé cette idée à celle de différend des sexes dans la mesure où la différence des sexes est un agir, une praxis sans représentation préalable, un acte qui se rejoue en chaque conjointure. On se trouve face à un agir, un faire être sans représentation de sa fin et sans postulat d'une quelconque totalité potentielle. C'est, en effet, dans le sens arendtien que Collin lit la praxis, l'agir, opposé à la fabrication, au poéisis. C'est aussi important de souligner que Collin a voulu que Arendt, une femme dont le pensée a été pour elle cruciale, soit reconnue comme source et ressource de pensée tout court. Le terme le plus apte à décrire le parcours de Collin entre écriture, féminisme et philosophie est peut-être "cheminement", un cheminement en même temps fait de continuité et de déplacements et ouvert à un certain polymorphisme. Comme écrit Rosi Braidotti : Françoise l'inachevée, non pas par manque, mais par excès de talent et d'intensité, car l'écriture, elle, est infinie et à jamais. Elle aura peut-être la dernière d'une génération des femmes, féministes, qui ont effacé les lignes de démarcation entre philosophie, l'écriture littéraire, les arts et la politique, les entraînant tous dans un tourbillon créatif qui dépasse et déplace tous bornes .
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In: Università degli Studi "" Sapienza"" di Roma. Accademia internazionale di filosofia del diritto
Cover -- Quartino -- Indice -- Presentazione - Luisa Avitabile -- Avvertenza - Antonio Giolitti -- Einleitung - Die Rechtsphilosophie als Rechtswissenschaft und als Philosophie -- Introduzione - La filosofia del diritto come scienza del diritto e come filosofia -- Erstes Kapitel - Realismus und Idealismus -- Capitolo I - Realismo e idealismo -- Zweites Kapitel - Freiheit und Willensfreiheit -- Capitolo II - Libertà e libertà del volere -- Drittes Kapitel - Die Freiheit als Recht -- Capitolo III - Le libertà come diritto -- Viertes Kapitel - Die Geltung des Rechts -- Capitolo IV - La validità del diritto -- Fünftes Kapitel - Gerechtigkeit und Billigkeit -- Capitolo V - Giustizia ed equità -- Ultimato di stampare -- Volumi pubblicati.
Tutti i paesi coinvolti nella Prima guerra mondiale vissero una forte "mobilitazione spirituale" [Flasch 2000], che raggiunse la sua massima intensità nello scontro tra Francia e Germania. La centralità del fronte franco-tedesco fu tale da produrre effetti anche negli altri paesi coinvolti nella guerra, come è ben riconoscibile nel caso dell'Italia: qui gli antagonismi politici degli intellettuali e persino i loro temi di propaganda ruotarono spesso intorno alla difesa della parte francese o tedesca, e potrebbero dunque difficilmente essere compresi se ci si limitasse alla considerazione del solo campo nazionale, senza riconoscere i riflessi significativi di dispute innescate oltralpe da intellettuali francesi e tedeschi[1].
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Tutti i paesi coinvolti nella Prima guerra mondiale vissero una forte "mobilitazione spirituale" [Flasch 2000], che raggiunse la sua massima intensità nello scontro tra Francia e Germania. La centralità del fronte franco-tedesco fu tale da produrre effetti anche negli altri paesi coinvolti nella guerra, come è ben riconoscibile nel caso dell'Italia: qui gli antagonismi politici degli intellettuali e persino i loro temi di propaganda ruotarono spesso intorno alla difesa della parte francese o tedesca, e potrebbero dunque difficilmente essere compresi se ci si limitasse alla considerazione del solo campo nazionale, senza riconoscere i riflessi significativi di dispute innescate oltralpe da intellettuali francesi e tedeschi[1].
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In: Miscellanea mediaevalia 35
Dieser Band der Miscellanea Mediaevalia ist einem Jahr gewidmet: 1308. Die Wahl dieses Jahres scheint arbiträr, denn dieses Jahr zählt ‑ abgesehen von wenigen markanten Ereignissen wie dem Templerprozess oder dem Tod des Johannes Duns Scotus ‑ nicht zu den prominenten Jahren. Der Band wagt ein historiografisches Experiment, indem er gegenüber einem Entwicklungsmodell, das die Aufmerksamkeit auf vermeintliche Höhe- und Wendepunkte lenkt, sich jenen Momenten im Schlagschatten dieser "lauten" Ereignisse zuwendet. Die Fragestellung des Bandes, der auf die 36. Kölner Mediävistentagung zurückgeht, will daher neue Perspektiven eröffnen, indem sie einlädt, Sehgewohnheiten in Frage zu stellen, zu schärfen, zu verlängern ‑ anhand eines Jahres und auch über dieses Jahr und seine historische Peripherie hinaus. Die Aufmerksamkeit richtet sich, beginnend bei einer lokalen Detailaufnahme, auf verschiedene thematische und methodische Facetten: Ereigniswahrnehmung, auch mit Blick auf die Erschließung neuer Welten, Johannes Duns Scotus in Kontext, Theologie in Paris, Philosophie in Italien, Medizin und Poetik, die Grenzen Europas, Orthodoxie und Häresie, 1308 im Spiegel der Künste, aus jüdischer und islamischer Sicht. (Produktinfo Verlag)
In: Brill eBook titles 2009
Preliminary Materials /I. De Gennaro and H.-Chr. Günther -- Chapter One. Introduction /H.-C. Günther -- Chapter Two. Josef Liegle (1893-1945) /A. Kerkhecker -- Chapter Three. Heidegger And Politics /F. Fédier -- Chapter Four. Sartre Und Die Macht /W. Biemel -- Chapter Five. "Lektüre" Als Machtrelevante Wahrnehmungsanalyse Bei Simone Weil /R. Kühn -- Chapter Six. Philosophers In Japan In The Period Of World War II—Reflecting The Philosophy Of Nishida Against The Background Of Social Phenomena /Hisaki Hashi -- Chapter Seven. Mao Und Die Intellektuellen /Harro Von Senger -- Chapter Eight. Hans Pfitzner – Ein Genie Und Sein Verhältnis Zur Gesellschaft /J. P. Vogel -- Chapter Nine. Abstract Musical Works As Objects Of Political Interest? The Example Of Schönberg's Op. 11,1 /H. Eiholzer -- Chapter Ten. La Poesia Politica Degli Augustei /P. Fedeli -- Chapter Eleven. Political Analysis In Horace'S Roman Odes /T. Reinhardt -- Chapter Twelve. Stalin, Putin And The Poets /D. Rayfield -- Chapter Thirteen. Nationale Dichtung Im 20. Jh.: Der Griechische Dichter Und Politiker Giorgos Seferis /H.-C. Günther -- Notes On Contributors /I. De Gennaro and H.-Chr. Günther -- Index /I. De Gennaro and H.-Chr. Günther.
In: Premio Tesi di Dottorato
This book proposes a critical examination of the main approaches of contemporary historiography, with the aim of bringing out their latent conceptual structures. Reinhart Koselleck wrote that «Historical knowledge always focuses on something more than what is found in the sources»: it is all about making its theories and values explicit, as they are also particular and historical facts themselves, which have clumsily been raised to universal principles. The author brings to light the pre-eminent forms of our relationship with the past through an analysis going from historiography to philosophy - from Pierre Nora, Carlo Ginzburg, Lynn Hunt to Hayden White, Jacques Derrida, Frank Ankersmit; from the New Cultural History and the histoire de la mémoire to the narrativism and to the philosophies of the historical sublime. Going beyond speculation, it is perhaps possible to aspire to a new alliance between historical and philosophical thought, to delimit a "middle space" between the unstructured praxism of a historiography without philosophy to the excessive idealism of a philosophy without history.
In: Studia politica: Romanian political science review ; revista română de ştiinţă politică, Band 13, Heft 3, S. 541-547
In a context of geo-political changes, the Arab and Islamic world re-discovers, as usual in moments of crisis, the social and economic thought of Ibn Khaldun and his concept of assabiya to analyse the challenges and the risks of the present times. There is, also, a significant attempt to found an autonomous and autochtonous way of political approach in order to attribute a local philosophical origin and intellectual paternity to the recent revolts in contrast with any "westernized" aspect or interpretation.