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L'objectif d'ObARDI est d'améliorer notre compréhension des dynamiques de pouvoir qui sous-tendent la construction d'un État moderne en France. En effet, l'histoire des institutions d'Ancien Régime a été fortement marquée par un métarécit de la construction de l'État qui freine encore notre compréhension des mécanismes sous-tendant son développement (Blockmans et Genet, 1995 ; Blockmans et al., 2009). Malgré une ressemblance illusoire du vocabulaire, les catégories de l'État et de la société civile qui nous sont naturelles étaient sans doute étrangères aux sujets d'il y a trois siècles. De plus, nos représentations cognitives de ce qu'est un territoire politique restent limitées par un référentiel géographique qui ne s'est construit que progressivement au cours des dix-huitième et dix-neuvième siècles.Pour dépasser ces difficultés, nous proposons un système innovant de représentation de la connaissance des dynamiques des institutions d'Ancien Régime à travers l'application d'ontologies aux données historiques : l'Infrastructure de Données d'Ancien Régime basée sur des Ontologies ["Ontology-based Ancien Régime Data Infrastructure" (ObARDI)]. Nous construisons cette infrastructure en quatre temps. Tout d'abord, nous assemblons une vaste base de données sur l'environnement local institutionnel, économique, et social de la France du dix-septième et dix-huitième siècles—une structure qui servira de matrice interopérable pour l'histoire d'Ancien Régime. Ensuite, nous intégrons ces données dans un système d'information pleinement structuré grâce à l'application d'ontologies formelles englobantes qui décrivent les liens entre les différentes entités de la base ainsi que les sources qui sous-tendent ce matériau. Après ce travail effectué, nous rendrons notre infrastructure conforme avec les principes de gestion des données FAIR dans la perspective des Données ouvertes liées : elle sera interopérable et accessible à travers une plateforme web ergonomique qui constituera un outil pour diffuser l'usage des humanités ...

L'objectif d'ObARDI est d'améliorer notre compréhension des dynamiques de pouvoir qui sous-tendent la construction d'un État moderne en France. En effet, l'histoire des institutions d'Ancien Régime a été fortement marquée par un métarécit de la construction de l'État qui freine encore notre compréhension des mécanismes sous-tendant son développement (Blockmans et Genet, 1995 ; Blockmans et al., 2009). Malgré une ressemblance illusoire du vocabulaire, les catégories de l'État et de la société civile qui nous sont naturelles étaient sans doute étrangères aux sujets d'il y a trois siècles. De plus, nos représentations cognitives de ce qu'est un territoire politique restent limitées par un référentiel géographique qui ne s'est construit que progressivement au cours des dix-huitième et dix-neuvième siècles.Pour dépasser ces difficultés, nous proposons un système innovant de représentation de la connaissance des dynamiques des institutions d'Ancien Régime à travers l'application d'ontologies aux données historiques : l'Infrastructure de Données d'Ancien Régime basée sur des Ontologies ["Ontology-based Ancien Régime Data Infrastructure" (ObARDI)]. Nous construisons cette infrastructure en quatre temps. Tout d'abord, nous assemblons une vaste base de données sur l'environnement local institutionnel, économique, et social de la France du dix-septième et dix-huitième siècles—une structure qui servira de matrice interopérable pour l'histoire d'Ancien Régime. Ensuite, nous intégrons ces données dans un système d'information pleinement structuré grâce à l'application d'ontologies formelles englobantes qui décrivent les liens entre les différentes entités de la base ainsi que les sources qui sous-tendent ce matériau. Après ce travail effectué, nous rendrons notre infrastructure conforme avec les principes de gestion des données FAIR dans la perspective des Données ouvertes liées : elle sera interopérable et accessible à travers une plateforme web ergonomique qui constituera un outil pour diffuser l'usage des humanités ...

L'objectif d'ObARDI est d'améliorer notre compréhension des dynamiques de pouvoir qui sous-tendent la construction d'un État moderne en France. En effet, l'histoire des institutions d'Ancien Régime a été fortement marquée par un métarécit de la construction de l'État qui freine encore notre compréhension des mécanismes sous-tendant son développement (Blockmans et Genet, 1995 ; Blockmans et al., 2009). Malgré une ressemblance illusoire du vocabulaire, les catégories de l'État et de la société civile qui nous sont naturelles étaient sans doute étrangères aux sujets d'il y a trois siècles. De plus, nos représentations cognitives de ce qu'est un territoire politique restent limitées par un référentiel géographique qui ne s'est construit que progressivement au cours des dix-huitième et dix-neuvième siècles.Pour dépasser ces difficultés, nous proposons un système innovant de représentation de la connaissance des dynamiques des institutions d'Ancien Régime à travers l'application d'ontologies aux données historiques : l'Infrastructure de Données d'Ancien Régime basée sur des Ontologies ["Ontology-based Ancien Régime Data Infrastructure" (ObARDI)]. Nous construisons cette infrastructure en quatre temps. Tout d'abord, nous assemblons une vaste base de données sur l'environnement local institutionnel, économique, et social de la France du dix-septième et dix-huitième siècles—une structure qui servira de matrice interopérable pour l'histoire d'Ancien Régime. Ensuite, nous intégrons ces données dans un système d'information pleinement structuré grâce à l'application d'ontologies formelles englobantes qui décrivent les liens entre les différentes entités de la base ainsi que les sources qui sous-tendent ce matériau. Après ce travail effectué, nous rendrons notre infrastructure conforme avec les principes de gestion des données FAIR dans la perspective des Données ouvertes liées : elle sera interopérable et accessible à travers une plateforme web ergonomique qui constituera un outil pour diffuser l'usage des humanités ...

L'objectif d'ObARDI est d'améliorer notre compréhension des dynamiques de pouvoir qui sous-tendent la construction d'un État moderne en France. En effet, l'histoire des institutions d'Ancien Régime a été fortement marquée par un métarécit de la construction de l'État qui freine encore notre compréhension des mécanismes sous-tendant son développement (Blockmans et Genet, 1995 ; Blockmans et al., 2009). Malgré une ressemblance illusoire du vocabulaire, les catégories de l'État et de la société civile qui nous sont naturelles étaient sans doute étrangères aux sujets d'il y a trois siècles. De plus, nos représentations cognitives de ce qu'est un territoire politique restent limitées par un référentiel géographique qui ne s'est construit que progressivement au cours des dix-huitième et dix-neuvième siècles.Pour dépasser ces difficultés, nous proposons un système innovant de représentation de la connaissance des dynamiques des institutions d'Ancien Régime à travers l'application d'ontologies aux données historiques : l'Infrastructure de Données d'Ancien Régime basée sur des Ontologies ["Ontology-based Ancien Régime Data Infrastructure" (ObARDI)]. Nous construisons cette infrastructure en quatre temps. Tout d'abord, nous assemblons une vaste base de données sur l'environnement local institutionnel, économique, et social de la France du dix-septième et dix-huitième siècles—une structure qui servira de matrice interopérable pour l'histoire d'Ancien Régime. Ensuite, nous intégrons ces données dans un système d'information pleinement structuré grâce à l'application d'ontologies formelles englobantes qui décrivent les liens entre les différentes entités de la base ainsi que les sources qui sous-tendent ce matériau. Après ce travail effectué, nous rendrons notre infrastructure conforme avec les principes de gestion des données FAIR dans la perspective des Données ouvertes liées : elle sera interopérable et accessible à travers une plateforme web ergonomique qui constituera un outil pour diffuser l'usage des humanités ...

Présentation donnée par Emanuela Chiriac, bibliothécaire, aux professeurs du département des sciences infirmières de l'Université du Québec en Outaouais en mai 2021. Cette intervention s'inscrit dans une campagne d'information menée par la bibliothèque en regard de la Politique des trois organismes subventionnaires canadiens sur les données de recherche, adoptée en mars 2021. ; La version dynamique de la présentation est disponible à l'adresse https://view.genial.ly/605e67884c2c980d6a9f1b5e.

National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).

National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).

National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).

National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).

National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).

En très peu de temps, nous sommes entrés dans une ère de génération massive des données personnelles créées par les individus, leurs équipements digitaux ou mises à disposition par certaines organisations. L'ensemble de ces données constitue la vie numérique de l'individu, décrivant ses déplacements, sa consommation, ses relations, son état médical, social, financier, ses comportements, etc. Dans le modèle du Web actuel, ces données sont gérées au travers d'applications en ligne auxquelles les individus délèguent la gestion des données. Mais aucune garantie tangible n'est offerte à l'individu quand à cette gestion, souvent peu transparente et qui dépend des exigences du modèle d'affaires en vigueur. La concentration des données de nombreux individus dans un même silo applicatif conduit même à des attaques informatiques répétées et impactant de très grands volumes de données. De plus, différents silos applicatifs gèrent chacun une partie des données ce qui en proscrit tout usage transverse. Ainsi, l'utilisateur apparait dépossédé de ses données, ne dispose d'aucun moyen de contrôle et ne peut ni éviter ni même souvent connaître les usages indésirables qui peuvent en être faits. Face à ce constat, un consensus économique, politique et social émerge pour renforcer le contrôle des individus sur leurs données, avec un modèle plus respectueux de la vie privée. Nous introduisons une nouvelle approche que nous appelons le «Web Personnel Sécurisé» où les individus régulent leur patrimoine numérique depuis des composants personnels sécurisés, disposent d'une vue transverse de l'ensemble des données et régulent leur dissémination au travers des autorisations qu'ils donnent, avec de fortes garanties de non contournement des règles édictées. Nos travaux s'inscrivent dans deux des axes de recherche sous-jacents au modèle du Web personnel sécurisé. Il s'agit d'une part d'embarquer des techniques de gestion de données dans les composants personnels sécurisés pour en faire de véritables serveurs personnels de données et, d'autre part, de définir et mettre en œuvre de nouveaux modèles de gestion de données respectueux de la vie privée, régulant le partage, la collecte, la rétention et l'usage des données personnelles, et d'intégrer ces modèles dans une architecture Privacy-by-Design offrant de fortes garanties de non contournement à l'utilisateur. Ainsi, nous présentons une étude du Web Personnel Sécurisé en trois volets : son architecture, les techniques de gestion des données embarquées (interrogation et exposition minimale) dans des composants sécurisés et une illustration applicative de l'intérêt de cette recherche.

En très peu de temps, nous sommes entrés dans une ère de génération massive des données personnelles créées par les individus, leurs équipements digitaux ou mises à disposition par certaines organisations. L'ensemble de ces données constitue la vie numérique de l'individu, décrivant ses déplacements, sa consommation, ses relations, son état médical, social, financier, ses comportements, etc. Dans le modèle du Web actuel, ces données sont gérées au travers d'applications en ligne auxquelles les individus délèguent la gestion des données. Mais aucune garantie tangible n'est offerte à l'individu quand à cette gestion, souvent peu transparente et qui dépend des exigences du modèle d'affaires en vigueur. La concentration des données de nombreux individus dans un même silo applicatif conduit même à des attaques informatiques répétées et impactant de très grands volumes de données. De plus, différents silos applicatifs gèrent chacun une partie des données ce qui en proscrit tout usage transverse. Ainsi, l'utilisateur apparait dépossédé de ses données, ne dispose d'aucun moyen de contrôle et ne peut ni éviter ni même souvent connaître les usages indésirables qui peuvent en être faits. Face à ce constat, un consensus économique, politique et social émerge pour renforcer le contrôle des individus sur leurs données, avec un modèle plus respectueux de la vie privée. Nous introduisons une nouvelle approche que nous appelons le «Web Personnel Sécurisé» où les individus régulent leur patrimoine numérique depuis des composants personnels sécurisés, disposent d'une vue transverse de l'ensemble des données et régulent leur dissémination au travers des autorisations qu'ils donnent, avec de fortes garanties de non contournement des règles édictées. Nos travaux s'inscrivent dans deux des axes de recherche sous-jacents au modèle du Web personnel sécurisé. Il s'agit d'une part d'embarquer des techniques de gestion de données dans les composants personnels sécurisés pour en faire de véritables serveurs personnels de données et, d'autre ...

Comunicación presentada en las XIV Jornadas Españolas de Documentación. Cultura abierta: conocimiento compartido. Fesabid´15, celebradas en Gijón del 28 al 30 de mayo de 2015. ; La presente comunicación tiene por objetivo la presentación del portal PAGODA (PlAn de GestiÓn de DAtos), desarrollado por el grupo de trabajo e-Ciencia del Consorcio Madroño. Durante el período 2014-2020 y mediante la implantación de tres pilares, el programa Horizonte 2020 de la Unión Europea contribuye a abordar los principales retos sociales, promover el liderazgo industrial en Europa y reforzar la excelencia de su base científica. Siendo consciente de la creciente relevancia de los datos de investigación para el desarrollo científico y tecnológico, la UE ha puesto en marcha una iniciativa piloto para hacer posible el acceso abierto a los datos de investigación resultantes de proyectos financiados por Horizonte 2020. El Consorcio Madroño, integrado por las Bibliotecas de las Universidades Públicas de Madrid y la UNED, desea comprometerse con el nuevo reto de apoyar a los investigadores en la gestión de los datos de investigación como un modo de impulsar nuevos servicios a los investigadores. ; This communication aims to present PAGODA (Plan Data Management) website, developed by the "e-Science working group" of Consorcio Madroño. During the period 2014-2020 and by implementing three pillars, the Horizon 2020 program of the European Union contributes to addressing major societal challenges, promote industrial leadership in Europe and strengthen the excellence of its scientific base. Being aware of the growing relevance of data for scientific research and technological development, the EU has launched a pilot initiative for open access to research data resulting from projects funded by Horizon 2020. The Consorcio Madroño, composed by the Madrid Autonomous Community public university libraries and UNED, wishes to engage with the new challenge of supporting researchers in managing research data as a way to promote new services to researchers.

Der fünfbändige PNGE beschreibt den Zustand der Natur sowie die Gefahren durch Umweltverschmutzung in Kamerun und entwickelt darauf aufbauend den Umweltplan der kamerunischen Regierung. Im ersten Band werden die Problemstellungen zusammengefaßt und Lösungsvorschläge präsentiert. Die beiden folgenden Bände bieten Sektoranalysen, der vierte Band führt die geplanten Projekte auf, und im fünften Band wird der Plan tabellarisch dargestellt. (DÜI-Wgm)

Afin de mettre en place une politique de gestion des données du laboratoire AAU, une enquête a été menée au sein des deux équipes (CRENAU et CRESSON), permettant ainsi d'amorcer un plan de sensibilisation à la question des données de la recherche. Inspirées des enquêtes effectuées auprès des chercheurs et doctorants des Universités de Lille, Rennes, Bordeaux et Bruxelles, les questionnaires ont été adaptés aux données collectées et traitées dans un laboratoire de recherche architecturale et urbaine, fortement interdisciplinaire.