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Stellungnahmen aller politischen Kräfte zur Rolle des politisierenden Islam sowie zum Verhältnis von Religion und Politik. Rückgang der bisher üblichen Gegensätze wie Rechte/Linke, Regierung/Opposition oder Progressive/Reaktionäre. Schrittweise Entwicklung zu einem Gegensatz von Neo-Fundamentalisten und Neo-Laizismus. Beide Bewegungen als Alternative zum gegenwärtig Wiederaufleben der islamischen Gewalt. (DÜI-Seu)

In einem Themenschwerpunkt über den Islam in Afrika werden in zehn Einzelbeiträgen unterschiedliche politisch-gesellschaftliche Aspekte des Themenkomplexes am Beispiel verschiedener Länder und Regionen beleuchtet. Die Bandbreite der Länder und Regionen reicht von Sudan und Mauretanien im Norden bis Mosambik im Süden. Wechselwirkungen zwischen lokaler und globaler Sphäre des Islam, die politische Dimension der Religion sowie Religion und Konflikt/Krieg zählen zu den wichtigsten Betrachtungselementen. (DÜI-Kör)

Geschichte der "Re-Islamisierung" und des politischen Islam in Algerien aus der Sicht eines Sympathisanten, Mitbegründer der Bewegung "UMMA", die sich inzwischen selbst auflöste; im Anhang ein Anfang 1992 geführtes Interview mit Scheich Ahmed Sahnoun. (DOI-Cls)

Avant-propos p.9. - PREMIERE PARTIE - AUX ORIGINES DU CHIISME. - 1. La mort du Prophète et les premiers califes p.25. - 2. Ali, le quatrième calife: des guerres fraticides p. 35. - 3. La mort d'Ali et sa succession p.50. - 4. Le martyre de Hussein p. 58. - DEUXIEME PARTIE - DIVERGENCES DOCTRINALES ET PARTUCULARITES DU CHIISME. - 5. Le chiisme: courant principal et courants minoritaires p.65. - 6. Chiisme vs. sunnisme p.73. - 7. Le tazieh p.85. - 8. Le sigheh p.108. - 9. Le chiisme des origines à nos jours p.114. - TROISIEME PARTIE - GEOPOLITIQUE DU CHIISME ACTUEL. - 10. La révolution islamique d'Iran p. 145. - 11. Etat de lieux p. 154. - 12. La montée du chiisme p. 161. - 13. Les quatre pôles du pouvoir iranien p. 170 . - 14. Faut-il avoir peur de l'Iran? p.192. - Conclusion p. 201

Il est devenu banal, en France notamment, d'affirmer que l'islam, dans son essence, englobe et confond le spirituel et le temporel, l'Eglise et l'Etat. Vie privée, individualisme, démocratie parlementaire et 'Etat de droit ' - et donc modernité politique et modernisation sociale - resteraient étrangers aux musulmans dès lors qu'ils ne renoncent pas à leur religion et même à leur culture. Pourtant, très tôt, les théologiens musulmans ont forgé une Grande Tradition qui sépare le pouvoir politique de l'autorité religieuse. L'orthodoxie islamique contemporaine, héritière 'fautive' d'un timide réformisme développé à partir du XIVe siècle, rompt en partie avec cette Tradition longue, plus ouverte, et les extrémistes islamiques, tant sunnites que chiites, poussent ainsi à sa limite une 'Tradition courte', qui n'est en réalité qu'une déviance. Face au danger que les islamistes représentent et qu'ils induisent dans les Etats policiers qui les combattent, est-il possible que l'appareil international de l'islam reprenne le cours de la Grande Tradition en matière politique ? Peut-il renverser sa position en faveur d'une sécularisation et d'une autonomie véritable du politique ? Les juristes sont-ils capables de sortir de la sharia pour reprendre source dans le Coran fondamental ? Autant de questions auxquelles Olivier Carré tente de répondre en portant un regard nouveau sur l'islam, un regard 'de l'intérieur', plus éclairant, analysant les sources, les principes moteurs, les rapports avec l'Histoire et la politique de cette religion qui englobe toute l'activité humaine. -- Back cover

"Cet essai revient sur la question de l'islam contemporain dans ses rapports multiples à la modernité en Afrique. Il expose quelques éléments d'analyse des dynamiques de réforme de l'islam dans un contexte africain à partir des années 1990. Il prend les récents développements relatifs aux religiosités musulmanes au Niger comme objet de réflexion et s'interroge sur les habits théoriques et les catégories conceptuelles qui nous servent à comprendre ce phénomène social, politique, mais aussi philosophique. Mettant en selle une anthropologie de l'islam, sa suggestion méthodologique met en exergue l'importance d'une alliance entre le spéculatif et l'empirique pour une analyse pertinente des discours et des pratiques religieuses contemporaines. Ainsi, il voudrait ouvrir un champ d'investigation non seulement aux philosophes et anthropologues, mais à tous ceux qui s'intéressent aux dynamiques africaines et souhaitent les théoriser."--Page 4 of cover