Le pouvoir central et le développement réel
In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 31, Heft 2, S. 121-126
ISSN: 1461-7226
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In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 31, Heft 2, S. 121-126
ISSN: 1461-7226
In: Revue économique, Band 6, Heft 4, S. 688
ISSN: 1950-6694
In: Revue d'économie politique, Band 125, Heft 4, S. 527-546
ISSN: 2105-2883
La composition du parlement libanais est basée sur un compromis entre les différentes confessions religieuses de ce pays, souvent considéré comme seule démocratie parlementaire de l'Orient arabe. A partir des outils de la théorie des jeux coopératifs, cet article analyse le pouvoir des différentes confessions dans le parlement libanais. Nous étudions la différence entre le pouvoir « apparent » et le pouvoir « réel » de chaque confession prenant part au processus de décision. Cet article analyse aussi l'impact des dispositions de la nouvelle réforme électorale sur le pouvoir de chaque confession. Nous montrerons que le compromis confessionnel au Liban est loin d'être parfait.
La composition du parlement libanais est basée sur un compromis entre les différentes confessions religieuses de ce pays, souvent considéré comme seule démocratie parlementaire de l'Orient arabe. A partir des outils de la théorie des jeux coopératifs et en utilisant les fichiers électoraux libanais, cet article analyse le pouvoir des différentes confessions dans le parlement libanais. Nous étudions la différence entre le pouvoir "apparent" et le pouvoir "réel" de chaque confession prenant part au processus de décision. Cet article analyse aussi l'impact des dispositions de la nouvelle réforme électorale sur le pouvoir de chaque confession représentée au parlement libanais. Nous montrerons que le compromis confessionnel au Liban est loin d'être parfait.
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La composition du parlement libanais est basée sur un compromis entre les différentes confessions religieuses de ce pays, souvent considéré comme seule démocratie parlementaire de l'Orient arabe. A partir des outils de la théorie des jeux coopératifs et en utilisant les fichiers électoraux libanais, cet article analyse le pouvoir des différentes confessions dans le parlement libanais. Nous étudions la différence entre le pouvoir "apparent" et le pouvoir "réel" de chaque confession prenant part au processus de décision. Cet article analyse aussi l'impact des dispositions de la nouvelle réforme électorale sur le pouvoir de chaque confession représentée au parlement libanais. Nous montrerons que le compromis confessionnel au Liban est loin d'être parfait.
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La composition du parlement libanais est basée sur un compromis entre les différentes confessions religieuses de ce pays, souvent considéré comme seule démocratie parlementaire de l'Orient arabe. A partir des outils de la théorie des jeux coopératifs et en utilisant les fichiers électoraux libanais, cet article analyse le pouvoir des différentes confessions dans le parlement libanais. Nous étudions la différence entre le pouvoir "apparent" et le pouvoir "réel" de chaque confession prenant part au processus de décision. Cet article analyse aussi l'impact des dispositions de la nouvelle réforme électorale sur le pouvoir de chaque confession représentée au parlement libanais. Nous montrerons que le compromis confessionnel au Liban est loin d'être parfait.
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La composition du parlement libanais est basée sur un compromis entre les différentes confessions religieuses de ce pays, souvent considéré comme seule démocratie parlementaire de l'Orient arabe. A partir des outils de la théorie des jeux coopératifs et en utilisant les fichiers électoraux libanais, cet article analyse le pouvoir des différentes confessions dans le parlement libanais. Nous étudions la différence entre le pouvoir "apparent" et le pouvoir "réel" de chaque confession prenant part au processus de décision. Cet article analyse aussi l'impact des dispositions de la nouvelle réforme électorale sur le pouvoir de chaque confession représentée au parlement libanais. Nous montrerons que le compromis confessionnel au Liban est loin d'être parfait.
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In: Revue des sciences sociales, Band 34, Heft 1, S. 132-145
ISSN: 2107-0385
La confusion que le virtuel suscite entre l'image et la réalité modifie en profondeur le rapport des hommes au réel, au monde et aux autres. Trois niveaux de problématiques sont ici explorés : 1. L'évolution du rapport de l'humain à l'image en tant que représentation de la réalité dans sa double fonction contradictoire, de vérité et de tromperie : le virtuel peut susciter aussi bien un nouveau culte des images, avec son cortège de réactions iconoclastes, qu'un saut historique de l'intelligence collective vers une culture de l'interrogation permanente des apparences. 2. La désubstantialisation de la réalité introduite par le doute : si une image se comporte de la même façon qu'un objet réel au regard de tous les sens qui nous permettent de le saisir, qu'est-ce qui nous assure de la substance du réel, et qu'est-ce qui assure l'humain, le sujet, de sa propre substance ? 3. Les conséquences anthropologiques et sociologiques, éventuellement juridiques, de cette abstraction ou de cette dématérialisation du réel, qui sont de pouvoir penser l'humain comme une production de ses propres activités, donc comme un artefact ; et corollairement, de pouvoir revendiquer pour des entités artificielles, peut-être ontologiquement différentes des humains, mais ne s'en différenciant plus suffisamment à l'observation, un statut de personnes.
International audience ; Selon Julien Rault et Stéphane Bikialo, le mot réalisme est un mot de pouvoir et un « mot d'ordre » qui permet de perpétuer le monde tel qu'il est. Contre cette réalité imposée, ils appellent à être idéaliste en demandant le réel. Il faut être réaliste, soyons réaliste, ça n'est pas réaliste… Omniprésent aujourd'hui dans les discours dominants, le mot réalisme relève d'une rengaine, d'un imperium pour le moins agaçant. Alors qu'il était traditionnellement reconnu comme le vocable emblématique de la droite, associé au statu quo, à l'immobilisme (ainsi que l'a très bien décrit Emmanuel Terray dans Penser à droite), il est aujourd'hui massivement employé dans les discours de ceux qui-par stratégie ou aveuglement politique-se disent encore en partie de gauche, symptôme d'une certaine dérive, pour ne pas dire d'une décomposition. Le réalisme : un mot d'ordre.
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International audience ; Selon Julien Rault et Stéphane Bikialo, le mot réalisme est un mot de pouvoir et un « mot d'ordre » qui permet de perpétuer le monde tel qu'il est. Contre cette réalité imposée, ils appellent à être idéaliste en demandant le réel. Il faut être réaliste, soyons réaliste, ça n'est pas réaliste… Omniprésent aujourd'hui dans les discours dominants, le mot réalisme relève d'une rengaine, d'un imperium pour le moins agaçant. Alors qu'il était traditionnellement reconnu comme le vocable emblématique de la droite, associé au statu quo, à l'immobilisme (ainsi que l'a très bien décrit Emmanuel Terray dans Penser à droite), il est aujourd'hui massivement employé dans les discours de ceux qui-par stratégie ou aveuglement politique-se disent encore en partie de gauche, symptôme d'une certaine dérive, pour ne pas dire d'une décomposition. Le réalisme : un mot d'ordre.
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In: La Pensée, Band 385, Heft 1, S. 46-58
La dernière Loi sur le Renseignement autorise l'installation de boites noires chez les fournisseurs d'accès Internet, permettant la saisie administrative de l'ensemble des métadonnées des ressortissants français. Leur traitement algorithmique permettrait d'accéder directement au réel des individus, sans que la question de la vérité puisse être posée, puisque le langage est hors champ. La loi, de caractère surmoïque, efface toute négativité et prétend posséder un savoir absolu sur le réel des individus. Elle se pose ainsi comme l'instrument d'un pouvoir totalitaire.
International audience ; Living with fear, living on fear : historically, the fear of barbarians has always been exploited as a potent means of control (the mythical Hun, Norman, Jew, Soviet citizen or Arab.), as well as the fear of many different "plagues". Today, the democracies—once created to escape these means of constraint—use computer mediated communications and digitally virtual environments that have channeled these fears into realm of hyper-real information. This fear pushes people to accept and ask for permanent violence. The process produces a destabilization of the subjects' identity witch is in turn constrained into structured territories. In turn, this challenges their very foundations. This paper examines how these spaces are built under violence and life in hyper-reality. ; La peur. Peur du hun, du normand, du juif, du soviétique ou de l'arabe, toujours mythifiés, réinvention permanente du Barbare, mais aussi peur de toutes sortes de pestes reste un des moyens efficaces de consolidation du pouvoir de dirigeants peu scrupuleux. Notre époque se caractérise cependant par des changements majeurs : érigée en système de gouvernement, la propagation de la peur est pratiquée avec dextérité par les mêmes démocraties créées depuis deux siècles pour s'en affranchir. Surtout, la maîtrise des technologies de production del'information et des médias de diffusion a remplacé avec efficacité la vieille rumeur artisanale. Construite par cette médiation qui la propulse dans l'hyper réel, cette peur place les populations sous la contrainte d'une violence permanente déstabilisante pour l'identité d'individus enfermés dans des territoires structurés par cette contrainte jusqu'à remettre en cause leurs fondements mêmes. Cet article se propose d'analyser les modalités de construction de ces espaces sous violence et les enjeux de cette vie en hyper réalité.Cet article constitue la seconde version d'une réflexion développée en trois étapes:- Violência dos espaços hiper reais, in Joron, P. (dir.), Comunicações da ...
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International audience ; Living with fear, living on fear : historically, the fear of barbarians has always been exploited as a potent means of control (the mythical Hun, Norman, Jew, Soviet citizen or Arab.), as well as the fear of many different "plagues". Today, the democracies—once created to escape these means of constraint—use computer mediated communications and digitally virtual environments that have channeled these fears into realm of hyper-real information. This fear pushes people to accept and ask for permanent violence. The process produces a destabilization of the subjects' identity witch is in turn constrained into structured territories. In turn, this challenges their very foundations. This paper examines how these spaces are built under violence and life in hyper-reality. ; La peur. Peur du hun, du normand, du juif, du soviétique ou de l'arabe, toujours mythifiés, réinvention permanente du Barbare, mais aussi peur de toutes sortes de pestes reste un des moyens efficaces de consolidation du pouvoir de dirigeants peu scrupuleux. Notre époque se caractérise cependant par des changements majeurs : érigée en système de gouvernement, la propagation de la peur est pratiquée avec dextérité par les mêmes démocraties créées depuis deux siècles pour s'en affranchir. Surtout, la maîtrise des technologies de production del'information et des médias de diffusion a remplacé avec efficacité la vieille rumeur artisanale. Construite par cette médiation qui la propulse dans l'hyper réel, cette peur place les populations sous la contrainte d'une violence permanente déstabilisante pour l'identité d'individus enfermés dans des territoires structurés par cette contrainte jusqu'à remettre en cause leurs fondements mêmes. Cet article se propose d'analyser les modalités de construction de ces espaces sous violence et les enjeux de cette vie en hyper réalité.Cet article constitue la seconde version d'une réflexion développée en trois étapes:- Violência dos espaços hiper reais, in Joron, P. (dir.), Comunicações da violência, Violências da Comunicação Revista FAMECOS, N° 29, PUCRS, Porto Alegre (Brésil) (2006)- Violence en hyper réel, Annales de géographie, n°669 (3-2009), pp. 478-497- Towards harsh horizons: fear and violence in hyperreality, version 1 (2010-13)
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