Régression des principes de liberté dans les réformes constitutionelles de certains états démocratiques
In: Publications de l'Association juridique internationale
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In: Publications de l'Association juridique internationale
In: Naqd: revue d'études et de critique sociale, Band 6, Heft 1, S. 30-35
La société à l'image de l'homme est une structure résultant d'une genèse, le fait social ne sera que le résultat d'un compromis entre des forces témoignant des réelles possibilités de la société à gérer les conflits. Une de ces possibilités est le processus de la régression. Pour sauter plus loin, on a besoin de revenir en arrière pour prendre son élan, mais encore faut-il à l'individu comme à la société des points de fixation solides pour stopper la régression.
In: Publications de la Faculté des Sciences Économiques, Sociales et Politiques N.S., 102
In: Vraiment durable: revue interdisciplinaire du développement durable, Band 3, Heft 1, S. 179
ISSN: 2272-8481
In: Actuel Marx, Heft 23, S. 195
ISSN: 0994-4524
In: La revue administrative: histoire, droit, société, Band 63, Heft 375, S. 298-300
ISSN: 0035-0672
In: Collection folio
In: Essais 643
Une fatigue de la démocratie /Arjun Appadurai --Des symptômes en qête d'un objet et d'un nom /Zygmunt Bauman --Néolibéralisme progressiste contre populisme réactionnaire : un choix qui n'en est pas un /Nancy Fraser --Du paradoxe de la libération à la disparition des élites libérales /Eva Illouz --Le retour des régimes majoritaires /Ivan Krastev --L'Europe refuge /Bruno Latour --Surmonter la peur de la liberté /Paul Mason --La politique à l'ère du ressentiment. Le sombre héritage des Lumières /Pankaj Mishra --Le courage de l'audace /Robert Misik --La dé-civilisation. Sur les tendances régressives à l'oeuvre dans les sociétés occidentales /Oliver Nachtwey --Politique progressiste et politique régressive dans le néolibéralisme tardif /Donatella della Porta --Le retour des évincés: le début de la fin du capitalisme néolibéral /Wolfgang Streeck --De la régression globale aux contre-mouvements post-capitalistes /César Rendueles --Cher président Juncker /David Van Reybrouck --La tentation populiste /Slavoj Zizek.
In: Dialogue: revue de recherches cliniques et sociologiques sur le couple et la famille, Band n o 166, Heft 4, S. 27-36
La régression est un concept connoté de façon souvent négative et elle est souvent uniquement perçue dans sa valeur descriptive et phénoménologique. Dans cet article sur la thérapie de couple, l'auteur distingue les états régressés, sur lesquels s'ancre en partie la constitution du couple, et le processus régressif, qui a lieu au cours de la thérapie. Le thérapeute de couple doit être sensible à ce processus tant dans la compréhension qu'il aura des étapes de la thérapie que dans sa propre position psychique interne.
In: Bulletin de la Classe des Sciences de l'Académie Royale de Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique, Band 66, Heft 1, S. 130-142
Nous proposons une méthode de régression de Fourier avec contrainte. La procédure est destinée à l'interprétation des expériences donnant un nombre restreint d'observations inégalement réparties sur une période. Utilisée avec prudence, cette méthode permet d'évaluer les caractéristiques importantes de rythmes biologiques.
In: La revue administrative: histoire, droit, société, Band 64, Heft 384, S. 380-380
ISSN: 0035-0672
In: Revue des affaires européennes: Law & european affairs, Band 18, Heft 1, S. 51-61
ISSN: 1152-9172
In: La revue administrative: histoire, droit, société, Band 51, Heft 302, S. 343
ISSN: 0035-0672
In: http://hdl.handle.net/20.500.12210/15609
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dans la prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés des juristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'est déroulé sur une période de deux ans. La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principe de non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur la période 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont été empruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères de discrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresser aux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner les discriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principe d'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sous l'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française. La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du juge administratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a été confronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différente notamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscrimination ou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode, a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarche totalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes. En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans le discours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
BASE
In: http://hdl.handle.net/20.500.12210/15609.2
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dans la prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés des juristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'est déroulé sur une période de deux ans. La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principe de non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur la période 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont été empruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères de discrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresser aux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner les discriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principe d'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sous l'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française. La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du juge administratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a été confronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différente notamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscrimination ou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode, a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarche totalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes. En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans le discours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
BASE
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dansla prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés desjuristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'estdéroulé sur une période de deux ans.La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principede non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur lapériode 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont étéempruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères dediscrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresseraux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner lesdiscriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principed'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sousl'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française.La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du jugeadministratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a étéconfronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différentenotamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscriminationou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode,a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarchetotalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes.En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans lediscours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
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