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Les croyances de l'homme démocratique: Habermas et la question religieuse
In: Esprit, Band Janvier, Heft 1, S. 53-67
Résumé Quelle contribution les croyances peuvent-elles apporter au débat public ? Après avoir théorisé la « raison communicationnelle » et la construction des choix collectifs par le recours à des arguments raisonnés, le philosophe allemand revalorise dans ses derniers livres la part des convictions religieuses. Devant la dérive instrumentale de la raison moderne et la montée parallèle des fanatismes, les démocraties séculières doivent-elles reconsidérer la place de la religion ?
Mongolian Buddhism and native beliefs ; Bouddhisme mongol et croyances autochtones
International audience ; Les Mongols ont, dans leur très grande majorité, fait du bouddhisme de rite tibétain leur principal marqueur identitaire, et cette religion a eu depuis le XVI e siècle un impact très profond sur la culture mongole en général, et sur la littérature et les arts, la vie intellectuelle, la vision du monde et de l'au-delà, ainsi que les conceptions morales et scientifiques (astrologie, médecine et mathématiques) en particulier. La culture mongole ne peut se comprendre sans cette religion universaliste qui devint un des principaux facteurs d'unité culturelle, dépassant les frontières tribales pour lier les Mongols dans une foi commune. Depuis sa diffusion en Inde, puis en Asie du Sud, du Sud-Est, en Asie centrale et orientale après le V e siècle avant notre ère, le bouddhisme atteint son extension maximale en Asie avec les Mongols, derniers peuples convertis. À partir des Bouriates de Transbaïkalie, convertis au XVII e siècle, le bouddhisme gagne la Russie au XX e siècle, et enfin l'Occident à travers sa diaspora. Le bouddhisme de rite tibétain et ses aspects politico-religieux Le bouddhisme de rite tibétain, formé à partir du VII e siècle de notre ère, appartient au courant Mahayana – le « Grand Véhicule », qui accorde dans son panthéon une place importante aux bodhisattva. Il a également intégré une forte composante tantrique – d'où son appellation de Vajrayana, « véhicule de diamant » – et se caractérise par un ensemble de textes, réunis pour la plupart dans deux grands corpus, le Kanjur et le Tanjur, de doctrines, de rituels, de méthodes initiatiques ainsi qu'un panthéon spécifique. Bien qu'il mette en valeur le rôle éminent joué par le lama dans cette tradition et présente l'avantage d'éviter toute référence géographico-ethnique, le terme de « lamaïsme » n'existe ni en tibétain, ni en mongol, et n'est plus en usage en Occident, où il évoque pour certains une religion différente du bouddhisme, parfois même perçue comme une dérive corrompue et hétérodoxe de ce dernier. On préférera alors ...
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Mongolian Buddhism and native beliefs ; Bouddhisme mongol et croyances autochtones
International audience ; Les Mongols ont, dans leur très grande majorité, fait du bouddhisme de rite tibétain leur principal marqueur identitaire, et cette religion a eu depuis le XVI e siècle un impact très profond sur la culture mongole en général, et sur la littérature et les arts, la vie intellectuelle, la vision du monde et de l'au-delà, ainsi que les conceptions morales et scientifiques (astrologie, médecine et mathématiques) en particulier. La culture mongole ne peut se comprendre sans cette religion universaliste qui devint un des principaux facteurs d'unité culturelle, dépassant les frontières tribales pour lier les Mongols dans une foi commune. Depuis sa diffusion en Inde, puis en Asie du Sud, du Sud-Est, en Asie centrale et orientale après le V e siècle avant notre ère, le bouddhisme atteint son extension maximale en Asie avec les Mongols, derniers peuples convertis. À partir des Bouriates de Transbaïkalie, convertis au XVII e siècle, le bouddhisme gagne la Russie au XX e siècle, et enfin l'Occident à travers sa diaspora. Le bouddhisme de rite tibétain et ses aspects politico-religieux Le bouddhisme de rite tibétain, formé à partir du VII e siècle de notre ère, appartient au courant Mahayana – le « Grand Véhicule », qui accorde dans son panthéon une place importante aux bodhisattva. Il a également intégré une forte composante tantrique – d'où son appellation de Vajrayana, « véhicule de diamant » – et se caractérise par un ensemble de textes, réunis pour la plupart dans deux grands corpus, le Kanjur et le Tanjur, de doctrines, de rituels, de méthodes initiatiques ainsi qu'un panthéon spécifique. Bien qu'il mette en valeur le rôle éminent joué par le lama dans cette tradition et présente l'avantage d'éviter toute référence géographico-ethnique, le terme de « lamaïsme » n'existe ni en tibétain, ni en mongol, et n'est plus en usage en Occident, où il évoque pour certains une religion différente du bouddhisme, parfois même perçue comme une dérive corrompue et hétérodoxe de ce dernier. On préférera alors l'expression de « bouddhisme de rite tibétain », ou encore « bouddhisme tibéto-mongol ».
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Croyance, expérimentation, fiction: La crise de croyance dans les médias de masse
In: Sociologie et sociétés, Band 32, Heft 2, S. 73
ISSN: 0038-030X
« Croyance et connaissance », Raison présente, n° 188
In: Idées ećonomiques et sociales
ISSN: 2116-5289
L'explication des croyances religieuses : une interprétation webérienne
In: L' année sociologique, Band 55, Heft 1, S. 81-102
ISSN: 1969-6760
RéSUMé. — L'attention croissante envers une rationalité des valeurs pose le problème d'une analyse spécifique des valeurs religieuses. Pouvons-nous appliquer à ces dernières (et partant aux religions comme phénomène social résultant des actions des individus) les principes d'une théorie générale de la rationalité (Boudon, 2003) ? Le fait que ces valeurs se rallient à des doctrines du salut véhiculées par des institutions ne pose-t-il pas des problèmes décisifs relatifs à l'autonomie du sujet dans ces choix ? La réponse à ces questions est ici cherchée à travers une reconstruction de l'explication des croyances religieuses dans l'œuvre de Max Weber. À partir de son épistémologie individualiste et compréhensive l'on parvient à déceler les différentes formes de rationalité à l'œuvre derrière les choix des sujets qui adhèrent aux croyances religieuses et aux doctrines du salut.
De la croyance au savoir, et retour ?
In: Esprit, Band Mars, Heft 3, S. 81-87
La pandémie de coronavirus et l'attitude démunie de l'institution médicale face à elle ont eu raison de la foi en une seule vérité censée guider la recherche scientifique. En cette période de défiance généralisée, la réaction la plus sage consiste peut-être à expliciter franchement notre ignorance.
Guide sur les vaccinations: évidences et croyances
In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Band 86, Heft 9, S. 519-531
ISSN: 1424-4004
DOSSIER SPÉCIAL - Eau et assainissement: croyances, modes et modèles
In: Afrique contemporaine: la revue de l'Afrique et du développement, Band 42, Heft 205, S. 103-118
ISSN: 0002-0478
Le xxe siècle : la croyance et l'incroyance
In: Esprit, Band Novembre, Heft 11, S. 9-13
La croyance comme ressource pratique
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Heft 142, S. 131-149
ISSN: 1777-5825
Croyances aux parasciences: dimensions sociales et culturelles
In: Revue française de sociologie, Band 27, Heft 2, S. 175