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L'équité d'accès aux ressources en eau : fin ou moyen d'amélioration de l'efficacité de l'irrigation ? : la gestion des ressources en eau dans l'état du Gujarat (Inde) dans la perpective de la political ecology
La thèse présentée ici est le résultat d'une étroite collaboration avec une ONG indienne, AKRSP(I), intervenant dans le développement de l'irrigation au Gujarat depuis plus de 25 ans. Un SIG prototype a été mis en oeuvre et nous permet de proposer ime analyse spatiale et quantitative de l'action de cette ONG ainsi qu'une réflexion plus générale sur les leviers de mise en valeur et de gestion des ressources en eau à des fins agricoles. On peut souligner trois principaux enseignements: Les perspectives d'application des SIG au sein des ONG sont manifestes. Les exigences des bailleurs de fonds peuvent néanmoins faire obstacle à leur développement car, indi-rectement, ils favorisent la mise en oeuvre de SI voués à la justification plutôt qu'à la planification et au suivi des programmes d'actions. Ce résultat soulève la question de la pertinence de l'encadrement, des critères d'évaluation et de la conditionnalité de l'aide publique au développement. Les ONG ont un fort potentiel pour participer à la mise en valeur des ressources en eau en Inde et aider à relever le défi agro-démographique indien, en particulier dans les zones marginales où les services étatiques sont en retrait. Les stratégies d'action basées principalement sur l'application des instruments économiques et techniques doivent cependant être modifiées. Nous montrons qu'elles favorisent une inégalité d'accès aux ressources qui débouche sur une efficacité limitée des pratiques d'irrigation, sur un plan agro-technique. Ces résultats soulignent la nécessité de poursuivre une réflexion critique des discours et solutions dominants en matière de gestion des ressources en eau. Deux pistes d'amélioration sont avancées: 1. considérer l'équité d'accès comme un moyen d'optimiser la gestion de la ressource (limiter le volume d'eau par agriculteur pour encourager les choix de cultures irriguées peu consommatrices et l'adoption des technologies d'économie d'eau), 2. prêter attention à l'ordre dans lequel les différents instruments de gestion disponibles sont employés ...
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Irrigation et gestion de la ressource en eau
Pratique plus que millénaire dans le monde, l'irrigation s'est beaucoup développée aux 19e et 20e siecles.Il en résulte un fort accroissement de la consommation en eau agricole. La ressource en eau étant insuffisante, la concurrance pour son usage s'accroît et le milieu naturel est menacé. Les efforts se multiplient pour y sensibiliser les populations. Quand la mobilisation de nouvelles ressources est impossible, l'extension de l'irrigation dépend des économies d'eau possibles : moder-nisation des réseaux d'adduction,régulation des transports d'eau, meilleure gestion des périmètres irrigués, meilleure maîtrise des techniques et des pratiques de l'irrigation. La plupart des pays prennent des orientations politiques et des dispositions réglementaires dans ce sens (loi française sur l'eau 1993). / Irrigation has been practised in the world for thousands of years but expanded during the 19 and 20 centuries. The practice of irrigation by sprinkler used in France since the second World War has caused a rapid increase in irrigated areas in the South-east (relatively dry climate), the West, Centre, East and North where it compensates for irregular weather patterns. If there are inadequate water resources, there is increased competition for its usage and the natural environment is threatened. Increased efforts are being made everywhere to make the politicians and inhabitants aware of this problem. When new water resources cannot be exploited, the extension of irrigation then depends on possible ways of water economy: modernising the water piping networks, monitoring transport, better control of irrigation techniques and practice, better management of irrigation networks, water resources and usage. Most countries have a water policy and regulations covering this (1993 French water law).
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Partage de la ressource en eau et demande d'alimentation en eau potable
In: Revue économique, Band 44, Heft 4, S. 849-862
ISSN: 1950-6694
Résumé
La flexibilisation des ressources en eau en Californie du Sud
Face à la croissance continue de la population et des activités économiques d'une part, et d'autre part, du fait des nombreux risques et menaces avérées pesant sur les ressources en eau traditionnelles de la Californie du Sud, la région poursuit l'expérimentation de diverses pistes visant à flexibiliser la gestion et l'utilisation de ses ressources en eau. Ces pistes concernent aussi bien le monde urbain que le monde rural : l'agriculture est en effet le premier consommateur d'eau (jusqu'à 80%) en Californie, et les possibilités d'économies d'eau dans le secteur sont très importantes. Ainsi, l'eau économisée dans le secteur agricole pourrait être utilisée par les villes, en profitant de l'infrastructure de transfert d'eau très développée qui fait de la Californie « le plus grand bassin versant artificiel du monde ». La flexibilisation concerne particulièrement le Sud de l'Etat, car c'est la partie la plus peuplée et la plus dynamique, mais naturellement la moins pourvue en eau. Les menaces pesant sur les ressources en eau de l'Etat concernent donc particulièrement le Sud. Si l'idée de redistribuer les ressources en eau depuis l'agriculture semble a priori séduisante et simple, tout la complexité politique, économique, sociale et environnementale de l'opération apparaît quand on y regarde de plus près. Ainsi, d'autres solutions visant à flexibiliser la gestion de l'eau méritent d'être exposées et testées, et c'est pour cela que nous les analysons même si le cœur du propos porte sur les transferts agriculture/ ville ou Ag-to-Urban selon le jargon.
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La flexibilisation des ressources en eau en Californie du Sud
Face à la croissance continue de la population et des activités économiques d'une part, et d'autre part, du fait des nombreux risques et menaces avérées pesant sur les ressources en eau traditionnelles de la Californie du Sud, la région poursuit l'expérimentation de diverses pistes visant à flexibiliser la gestion et l'utilisation de ses ressources en eau. Ces pistes concernent aussi bien le monde urbain que le monde rural : l'agriculture est en effet le premier consommateur d'eau (jusqu'à 80%) en Californie, et les possibilités d'économies d'eau dans le secteur sont très importantes. Ainsi, l'eau économisée dans le secteur agricole pourrait être utilisée par les villes, en profitant de l'infrastructure de transfert d'eau très développée qui fait de la Californie « le plus grand bassin versant artificiel du monde ». La flexibilisation concerne particulièrement le Sud de l'Etat, car c'est la partie la plus peuplée et la plus dynamique, mais naturellement la moins pourvue en eau. Les menaces pesant sur les ressources en eau de l'Etat concernent donc particulièrement le Sud. Si l'idée de redistribuer les ressources en eau depuis l'agriculture semble a priori séduisante et simple, tout la complexité politique, économique, sociale et environnementale de l'opération apparaît quand on y regarde de plus près. Ainsi, d'autres solutions visant à flexibiliser la gestion de l'eau méritent d'être exposées et testées, et c'est pour cela que nous les analysons même si le cœur du propos porte sur les transferts agriculture/ ville ou Ag-to-Urban selon le jargon.
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La flexibilisation des ressources en eau en Californie du Sud
Face à la croissance continue de la population et des activités économiques d'une part, et d'autre part, du fait des nombreux risques et menaces avérées pesant sur les ressources en eau traditionnelles de la Californie du Sud, la région poursuit l'expérimentation de diverses pistes visant à flexibiliser la gestion et l'utilisation de ses ressources en eau. Ces pistes concernent aussi bien le monde urbain que le monde rural : l'agriculture est en effet le premier consommateur d'eau (jusqu'à 80%) en Californie, et les possibilités d'économies d'eau dans le secteur sont très importantes. Ainsi, l'eau économisée dans le secteur agricole pourrait être utilisée par les villes, en profitant de l'infrastructure de transfert d'eau très développée qui fait de la Californie « le plus grand bassin versant artificiel du monde ». La flexibilisation concerne particulièrement le Sud de l'Etat, car c'est la partie la plus peuplée et la plus dynamique, mais naturellement la moins pourvue en eau. Les menaces pesant sur les ressources en eau de l'Etat concernent donc particulièrement le Sud. Si l'idée de redistribuer les ressources en eau depuis l'agriculture semble a priori séduisante et simple, tout la complexité politique, économique, sociale et environnementale de l'opération apparaît quand on y regarde de plus près. Ainsi, d'autres solutions visant à flexibiliser la gestion de l'eau méritent d'être exposées et testées, et c'est pour cela que nous les analysons même si le cœur du propos porte sur les transferts agriculture/ ville ou Ag-to-Urban selon le jargon.
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Evolution des climats et des ressources en eau
In: Afrique contemporaine: la revue de l'Afrique et du développement, Heft 161: L'environnement en Afrique, S. 57-76
ISSN: 0002-0478
Für die Beurteilung des Klimas und seiner Entwicklung und die der Wasserreserven und ihrer räumlich-zeitlichen Veränderlichkeit in der Sahel-Zone verweist der Autor auf paläoklimatische Erkenntnisse, auf historische Informationen und auf vorhandene Meßwerte von ca. 1850 bis ca. 1950. Er geht dann auf die Veränderlichkeit der Niederschlagsmenge und die Schwankungen bei den Wasserständen der tropischen und äquatorialen Flüsse seit Beginn des 20. Jahrhunderts ein. Die aktuelle Situation ist u.a. durch Folgen der Dürre und den Bau großer Staudämme gekennzeichnet. Da die Wasserfrage das Hauptproblem im 21. Jahrhundert in vielen afrikanischen Staaten sein wird, ist es nötig, die vorhandenen Reserven durch Einsatz von Technik optimal zu nutzen, wozu es einer internationalen Zusammenarbeit bedarf. (DÜI-Ott)
World Affairs Online
Sustainable exploitation of marine energy and mineral resources : legal aspects ; Exploitation durable des ressources énergétiques et minérales marines : aspects juridiques
The exploitation of terrestrial energy and mineral resources is limited by the rapid increase of the world's population. It was only after the Second World War that States realised that they had to control the ocean in order to extract its resources. 1982 marks the adoption of the United Nations Convention on the Law of the Sea. The maritime are: was then divided into zones, over which coastal States most often had rights. This division allowed for a better exploitation of maritime resources. In the territorial sea, for example, States could set up electricity production systems from renewable sources. Further, in the exclusive economic zone, States could allow the exploration and exploitation of hydrocarbons. Finally, on the continental shelf, the evolution of technology will soon allow us to exploit marine mineral resources. The central question is whether it is possible to exploit these resources in a sustainable way without destroying the marine environment. The protection of the environment cannot exist without a strong and applied legislation. It must be a bulwark against the actions of companies or States that have little regard for the long-term impact of their actions. The ocean, immense, with invisible and mysterious bottoms, is vulnerable. Its protection can only take place when the general public, States and companies understand its importance for the survival of Humanity. It is the duty of the men and women of law to render this protection effective. ; L'exploitation des ressources énergétiques et minérales terrestres rencontre des limites face à l'augmentation rapide de la population mondiale. Ce n'est qu'après la seconde guerre mondiale que les États ont compris qu'ils devaient maîtriser l'océan pour pouvoir en extraire ses ressources. 1982 marque l'adoption de la Convention des Nations-Unies sur le droit de la mer. L'espace maritime fut alors découpé en zones, sur lesquelles les États côtiers avaient le plus souvent des droits. Ce découpage permettait une meilleure exploitation des ressources maritimes. Ainsi, en mer territoriale, les États pouvaient mettre en place des systèmes de production d'électricité à partir de sources renouvelables. Plus loin, dans la zone économique exclusive, les États peuvent autoriser l'exploration et l'exploitation des hydrocarbures. Enfin, sur le plateau continental, l'évolution de la technologie nous permettra bientôt d'aller exploiter les ressources minérales marines. La question centrale qui se pose est de savoir s'il est possible d'exploiter ces ressources de façon durable sans détruire l'environnement marin. La protection de l'environnement ne peut exister sans un droit fort et appliqué. Il doit constituer un rempart contre les agissements d'entreprises ou d'États peu soucieux de l'impact à long terme de leurs actions. L'Océan, immense, aux fonds invisibles et mystérieux, est vulnérable. Sa protection ne pourra avoir lieu que lorsque le grand public, les États et les entreprises, auront compris son importance pour la survie de l'Humanité. C'est le devoir des hommes et des femmes de droit de rendre cette protection effective.
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Gestion d'une ressource en eau souterraine sujette aux sécheresses : analyse des stratégies d'adaptation
ProdInra : à faire ; PMB : à faire ; TàP : ? ; La gestion d'une ressource en eau souterraine utilisée pour l'irrigation est un phénomène dépendant de plusieurs facteurs et concernant différents acteurs (utilisateurs et gestionnaire). En cas d'aléa climatique comme la sécheresse, gérer une ressource devient un problème plus complexe. Il est justement important de mieux comprendre et d'anticiper les sécheresses car ils peuvent avoir des impacts significatifs sur l'activité économique agricole et sur les niveaux de la ressource. Pour cela, le type d'information dont disposent les utilisateurs et/ou les gestionnaire est essentiel. Dans les cha- pitres 2 et 3, nous analysons l'impact d'une sécheresse « hydrologique » sur la gestion optimale de la ressource, avant et après son arrivée. Dans le chapitre 2, nous montrons comment le gestionnaire de la ressource peut s'adapter le mieux possible à cette sécheresse selon l'information dont il dispose. Dans le chapitre 3, nous montrons que la prise en compte des interactions stratégiques et dynamiques entre les utilisateurs de la ressource entraîne une exploitation moins efficace de la ressource. Nous appliquons les modèles des chapitres 2 et 3 à l'aquifère La Mancha Occidentale au Sud de l'Espagne. Dans le chapitre 4, nous analysons l'impact d'une sécheresse « agronomique » sur la gestion opti- male d'une exploitation agricole située dans la zone de la Beauce centrale, en France. Nous prenons en compte des informations de caractère hydrologique, agronomique et économique. En particulier, nous étudions l'impact d'une année sèche sur la valeur ajoutée de l'exploitation et sur la ressource en eau utilisée. De plus, nous nous intéressons au comportement stratégique que les agriculteurs peuvent avoir en année sèche, que ce soit sans ou avec restrictions des usages de l'eau. Nous montrons qu'une politique de régulation est nécessaire pour éviter la surexploitation de la nappe en année sèche.
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Gestion d'une ressource en eau souterraine sujette aux sécheresses : analyse des stratégies d'adaptation
ProdInra : à faire ; PMB : à faire ; TàP : ? ; La gestion d'une ressource en eau souterraine utilisée pour l'irrigation est un phénomène dépendant de plusieurs facteurs et concernant différents acteurs (utilisateurs et gestionnaire). En cas d'aléa climatique comme la sécheresse, gérer une ressource devient un problème plus complexe. Il est justement important de mieux comprendre et d'anticiper les sécheresses car ils peuvent avoir des impacts significatifs sur l'activité économique agricole et sur les niveaux de la ressource. Pour cela, le type d'information dont disposent les utilisateurs et/ou les gestionnaire est essentiel. Dans les cha- pitres 2 et 3, nous analysons l'impact d'une sécheresse « hydrologique » sur la gestion optimale de la ressource, avant et après son arrivée. Dans le chapitre 2, nous montrons comment le gestionnaire de la ressource peut s'adapter le mieux possible à cette sécheresse selon l'information dont il dispose. Dans le chapitre 3, nous montrons que la prise en compte des interactions stratégiques et dynamiques entre les utilisateurs de la ressource entraîne une exploitation moins efficace de la ressource. Nous appliquons les modèles des chapitres 2 et 3 à l'aquifère La Mancha Occidentale au Sud de l'Espagne. Dans le chapitre 4, nous analysons l'impact d'une sécheresse « agronomique » sur la gestion opti- male d'une exploitation agricole située dans la zone de la Beauce centrale, en France. Nous prenons en compte des informations de caractère hydrologique, agronomique et économique. En particulier, nous étudions l'impact d'une année sèche sur la valeur ajoutée de l'exploitation et sur la ressource en eau utilisée. De plus, nous nous intéressons au comportement stratégique que les agriculteurs peuvent avoir en année sèche, que ce soit sans ou avec restrictions des usages de l'eau. Nous montrons qu'une politique de régulation est nécessaire pour éviter la surexploitation de la nappe en année sèche.
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Gestion d'une ressource en eau souterraine sujette aux sécheresses : analyse des stratégies d'adaptation
ProdInra : à faire ; PMB : à faire ; TàP : ? ; La gestion d'une ressource en eau souterraine utilisée pour l'irrigation est un phénomène dépendant de plusieurs facteurs et concernant différents acteurs (utilisateurs et gestionnaire). En cas d'aléa climatique comme la sécheresse, gérer une ressource devient un problème plus complexe. Il est justement important de mieux comprendre et d'anticiper les sécheresses car ils peuvent avoir des impacts significatifs sur l'activité économique agricole et sur les niveaux de la ressource. Pour cela, le type d'information dont disposent les utilisateurs et/ou les gestionnaire est essentiel. Dans les cha- pitres 2 et 3, nous analysons l'impact d'une sécheresse « hydrologique » sur la gestion optimale de la ressource, avant et après son arrivée. Dans le chapitre 2, nous montrons comment le gestionnaire de la ressource peut s'adapter le mieux possible à cette sécheresse selon l'information dont il dispose. Dans le chapitre 3, nous montrons que la prise en compte des interactions stratégiques et dynamiques entre les utilisateurs de la ressource entraîne une exploitation moins efficace de la ressource. Nous appliquons les modèles des chapitres 2 et 3 à l'aquifère La Mancha Occidentale au Sud de l'Espagne. Dans le chapitre 4, nous analysons l'impact d'une sécheresse « agronomique » sur la gestion opti- male d'une exploitation agricole située dans la zone de la Beauce centrale, en France. Nous prenons en compte des informations de caractère hydrologique, agronomique et économique. En particulier, nous étudions l'impact d'une année sèche sur la valeur ajoutée de l'exploitation et sur la ressource en eau utilisée. De plus, nous nous intéressons au comportement stratégique que les agriculteurs peuvent avoir en année sèche, que ce soit sans ou avec restrictions des usages de l'eau. Nous montrons qu'une politique de régulation est nécessaire pour éviter la surexploitation de la nappe en année sèche.
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Planification des ressources en eau au Maroc
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Band 13, Heft 4, S. 195-208
ISSN: 2158-9100
Chroniques - Une meilleure gestion des ressources en eau
In: La revue administrative: histoire, droit, société, Band 54, Heft 324, S. 656
ISSN: 0035-0672