Greek Perceptions of the Russian Revolution of 1905: "Russia overcoming Russia"
In: Cahiers du monde russe: Russie, Empire Russe, Union Soviétique, Etats Indépendants ; revue trimestrielle, Band 48, Heft 48/2-3, S. 463-476
ISSN: 1777-5388
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In: Cahiers du monde russe: Russie, Empire Russe, Union Soviétique, Etats Indépendants ; revue trimestrielle, Band 48, Heft 48/2-3, S. 463-476
ISSN: 1777-5388
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Heft 2, S. 454-456
ISSN: 0032-342X
In: Constitutions of the World from the late 18th Century to the Middle of the 19th Century Europe - 4
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 374, Heft 4, S. 116-135
ISSN: 2410-9231
Le 5 mai 1998, la Fédération de Russie a mis en application la Convention pour la protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Cependant, on a pu trouver des affaires qui démontrent une incompréhension quant au caractère obligatoire des décisions de la Cour, qui sont parfois prises pour de simples recommandations. Cet article analyse l'application russe de la Convention en étudiant certaines affaires des 15 dernières années. L'article passe en revue les amendements législatifs qui devraient contribuer à la mise en œuvre de la Convention au niveau national. Par ailleurs, cet article analyse la structure législative de la Fédération de Russie par rapport à la Convention, en y incluant la cour constitutionnelle, la cour suprême, la cour commerciale suprême, le procureur général, et le ministère de la Justice. Parmi les problèmes du système législatif russe, on peut inclure la difficulté à mettre en œuvre les jugements de la Cour européenne et la lenteur des procédures. L'article conclut que bien qu'il y ait une vraie reconnaissance de la Convention par la Russie, avec des résultats significatifs, il reste encore de nombreuses lacunes en ce qui concerne la mise en œuvre des lois directement issues de la Convention.
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hors série, Heft 5, S. 107-121
ISSN: 1958-8992
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hors série, Heft 5, S. 23-33
ISSN: 1958-8992
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hors série, Heft 5, S. 123-136
ISSN: 1958-8992
In: Monde chinois: nouvelle Asie ; revue trimestrielle, Band 53, Heft 1, S. 91-93
Pour amener la Corée du Nord à adopter une trajectoire pacifique, la Russie s'est employée à combiner diplomatie coercitive et approche plus collaborative.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 374, Heft 4, S. 77-93
ISSN: 2410-9231
Cet article étudie l'engagement de l'Union européenne et de la Fédération russe en Asie centrale. Tous deux sont parmi les principaux acteurs externes dans la région – avec les États-Unis et la Chine – et sont engagés dans des relations suivies avec les États d'Asie centrale, tant sur le plan politique et économique que de le domaine de la sécurité. Considérant les dynamiques en cours dans les relations euro-russes face à la crise ukrainienne, cet article cherche à comprendre comment Bruxelles et Moscou définissent leurs intérêts dans cette partie de l'ancienne Union soviétique, et jusqu'à quel point leurs objectifs et politiques en Asie centrale peuvent être considérés comme concurrents. L'article conclut que l'Union européenne et la Russie attribuent un niveau différent de priorité à l'Asie centrale dans leurs politiques étrangères. Par ailleurs, bien que promouvant des valeurs politiques opposées et ayant les intérêts énergétiques concurrents, aucun des deux acteurs n'est soumis au risque d'une forte confrontation avec l'autre dans aucun domaine dans la région.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 374, Heft 4, S. 61-76
ISSN: 2410-9231
Les quatre pays d'Europe centrale qui constituent la coopération de Visegrad, à savoir la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie et la Hongrie, ont un intérêt commun pour tout ce qui concerne les questions de sécurité en rapport avec la Russie. Cependant, ils sont profondément divisés pour ce qui concerne la politique de l'énergie, les ambitions de politique étrangère et aussi de politique intérieure. Bien que des projets de diversification d'approvisionnement en énergie soient en cours, il faudra longtemps avant de faire décroître la dépendance stratégique envers la Russie. La politique intérieure peut également être particulièrement mise en évidence en ce qui concerne la Hongrie, où le premier ministre Viktor Orban considère la Russie comme un modèle idéologique, contrairement aux trois autres États. Cependant, ces divisions ne seront pas à même de remettre en cause la coopération de Visegrad elle-même, car cette organisation n'a jamais été entendue pour résoudre les problèmes à l'intérieur du groupe de Visegrad, mais bien pour représenter les intérêts communs lorsque ceux-ci sont présents. Aussi, la coopération de Visegrad dispose d'une large expérience pour gérer les désaccords internes au groupe.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, S. 218-219
ISSN: 0032-342X
In: Revue française de science politique, Band 61, Heft 1, S. 138-139
ISSN: 0035-2950
In: Politique américaine, Band 13, Heft 1, S. 37-52
ISSN: 1771-8848
Résumé L'élargissement de l'OTAN à l'est a été une des dimensions les plus importantes de la redéfinition de l'Alliance après la Guerre froide. Cet objectif visait à étendre l'aire de sécurité atlantique tout en contribuant à la stabilité de l'ancien bloc communiste. Si ce processus a bénéficié du soutien d'une large part des élites politiques en Europe de l'Est, il a dans le même temps suscité une profonde méfiance en Russie. Après bien des années de tensions, la période récente semble propice à l'émergence d'un vrai partenariat avec la Russie. Cependant, comme le suggère cet article, un tel rapprochement paraît plus difficile que ce que peuvent en dire certains experts. La coopération avec la Russie est sans doute possible, et nécessaire, sur des points bien précis, mais elle n'efface pas pour autant les différences substantielles entre l'OTAN et la Russie, qui ne peuvent que persister.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 78, Heft 4, S. 214-215
ISSN: 0032-342X
In December 2013, for the twenty years of the Constitution, the Russian President signed an amnesty allowing, in addition to the liquidation of many prisoners of common rights serving short sentences, the expansion of the two singers of the Pussy Riot, condemning two years of work camps for an anti-putinian performance in the Christ Sauveur of Moscow. In me, he signed the application for a gra by Mikhai -Khodorkovski, the former boss of the company Youkos in prison for ten years on account of financial wrongdoing, but also implicitly for his support for opposition activists. These unexpected links were understood as a will of the power to shape its in- national image in the run-up to the Gulf Sochi 2014 Olympic Games. However, in addition to this sport and diplomatic activity, they ask more deeply about government practices in contemporary Russia. In order to illuminate them, it is important to keep an eye on the — sometimes contradictory — decisions of the Kremlin, but also to pay attention to social practices in the country. ; In December 2013, Russian President Vladimir Putin marked the 20th anniversary of the Constitution by signing an amnesty which allowed for both the liberation of nu- merous common-law prisoners serving short sentences and the early release of the two Pussy Riot members sentenced to two years in a labor camp for staging an anti- Putin performance in Moscow's Cathedral of Christ the Savior. At the same time, the Russian president granted a reprieve for Mikhail Khodorkovsky, former head of Yukos, who had spent ten years in jail on charges of embezzlement and tax evasion and, im- plicitly, for his support of opposition activists. These unexpected releases were gener- ally perceived as the authorities' intention to improve their international image before the start of the Sochi Winter Olympic Games in February 2014. However, beyond this sporting-event and diplomatic deadline, they point to something deeper and address the issue of government practices in Russia today. In order to analyze ...
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