Greek Perceptions of the Russian Revolution of 1905: "Russia overcoming Russia"
In: Cahiers du monde russe: Russie, Empire Russe, Union Soviétique, Etats Indépendants ; revue trimestrielle, Band 48, Heft 48/2-3, S. 463-476
ISSN: 1777-5388
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In: Cahiers du monde russe: Russie, Empire Russe, Union Soviétique, Etats Indépendants ; revue trimestrielle, Band 48, Heft 48/2-3, S. 463-476
ISSN: 1777-5388
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Heft 2, S. 454-456
ISSN: 0032-342X
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 31, Heft 4, S. 539-568
Alfred J. Rieber, The rise of engineers in Russia.
The Russian engineering profession owes much of its professional ethos and ideology to the tradition of les grandes écoles as transmitted by French engineers imbued with St. Simonian ideals who staffed the Institute of Transportation Engineers in the early nineteenth century. Until then, Peter I's vision of a technological society had encountered resistance of the nobility to technical education, competing demands of the army for engineers and changing economic policies of the state. By the mid-nineteenth century Russian engineers controlled the Ministry of Transportation and firmly established a statist policy of economic development.
In: Population. English edition, Band 59, Heft 6, S. 721
ISSN: 1958-9190
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 14, Heft 1, S. 54-85
I. Volgyes, Les prisonniers de guerre hongrois en Russie, 1916-1919.
Pendant les quatre années de la Première Guerre Mondiale, plus de 600 000 Hongrois furent faits prisonniers en Russie. Près de 100 000 d'entre eux combattirent aux côtés des Bolcheviks et pour le maintien du pouvoir communiste. Ils contribuèrent au succès des Bolcheviks en aidant à réprimer l'insurrection des SR à Moscou, en renforçant les unités communistes à Jaroslavl' et en jouant le rôle de leaders dans les unités internationalistes de l'Armée rouge, pendant la guerre civile.
Plusieurs raisons significatives déterminèrent l'aide hongroise aux Bolcheviks : une discrimination de classe trop rigide introduite dans la vie des camps de prisonniers, aboutissant à une tension particulière entre officiers et soldats ; l'attrait exercé par les promesses communistes d'un monde nouveau, plus juste ; l'habileté des Bolcheviks à utiliser tour à tour propagande et pression. Toutefois, bien que près de 100 000 hommes aient été prêts à se battre pour les Bolcheviks russes, seule une quantité négligeable était acquise à l'idéologie communiste et très peu d'entre eux devinrent membres des divers partis communistes.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 374, Heft 4, S. 116-135
ISSN: 2410-9231
Le 5 mai 1998, la Fédération de Russie a mis en application la Convention pour la protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Cependant, on a pu trouver des affaires qui démontrent une incompréhension quant au caractère obligatoire des décisions de la Cour, qui sont parfois prises pour de simples recommandations. Cet article analyse l'application russe de la Convention en étudiant certaines affaires des 15 dernières années. L'article passe en revue les amendements législatifs qui devraient contribuer à la mise en œuvre de la Convention au niveau national. Par ailleurs, cet article analyse la structure législative de la Fédération de Russie par rapport à la Convention, en y incluant la cour constitutionnelle, la cour suprême, la cour commerciale suprême, le procureur général, et le ministère de la Justice. Parmi les problèmes du système législatif russe, on peut inclure la difficulté à mettre en œuvre les jugements de la Cour européenne et la lenteur des procédures. L'article conclut que bien qu'il y ait une vraie reconnaissance de la Convention par la Russie, avec des résultats significatifs, il reste encore de nombreuses lacunes en ce qui concerne la mise en œuvre des lois directement issues de la Convention.
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 27, Heft 2, S. 153-171
John P. Le donne, Local politics in Catherine's Russia: the Gorokov case.
Local politics is a neglected topic in Russian history. This article describes the evolution of a suit filed by a former voevoda against noblemen of Vologda province, who had accused him of violating the laws and taking bribes. The suit provides interesting information about judicial procedures, but it shows above all the means by which the local nobility was able to defend its interests through its control of the courts.
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hors série, Heft 5, S. 107-121
ISSN: 1958-8992
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hors série, Heft 5, S. 23-33
ISSN: 1958-8992
In: Cahiers du monde russe: Russie, Empire Russe, Union Soviétique, Etats Indépendants ; revue trimestrielle, Band 43, Heft 43/1, S. 119-138
ISSN: 1777-5388
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hors série, Heft 5, S. 123-136
ISSN: 1958-8992
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 32, Heft 2, S. 249-274
John Le Donne, La réforme de la police en Russie : un projet de 1762.
Cette publication d'un document d'archives nous permet d'obtenir un tableau général de la population urbaine de la Russie au début des années 1760 et de spéculer sur les raisons pour lesquelles un réseau de police urbain ne fut pas établi à cette époque.
In: Monde chinois: nouvelle Asie ; revue trimestrielle, Band 53, Heft 1, S. 91-93
Pour amener la Corée du Nord à adopter une trajectoire pacifique, la Russie s'est employée à combiner diplomatie coercitive et approche plus collaborative.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 374, Heft 4, S. 77-93
ISSN: 2410-9231
Cet article étudie l'engagement de l'Union européenne et de la Fédération russe en Asie centrale. Tous deux sont parmi les principaux acteurs externes dans la région – avec les États-Unis et la Chine – et sont engagés dans des relations suivies avec les États d'Asie centrale, tant sur le plan politique et économique que de le domaine de la sécurité. Considérant les dynamiques en cours dans les relations euro-russes face à la crise ukrainienne, cet article cherche à comprendre comment Bruxelles et Moscou définissent leurs intérêts dans cette partie de l'ancienne Union soviétique, et jusqu'à quel point leurs objectifs et politiques en Asie centrale peuvent être considérés comme concurrents. L'article conclut que l'Union européenne et la Russie attribuent un niveau différent de priorité à l'Asie centrale dans leurs politiques étrangères. Par ailleurs, bien que promouvant des valeurs politiques opposées et ayant les intérêts énergétiques concurrents, aucun des deux acteurs n'est soumis au risque d'une forte confrontation avec l'autre dans aucun domaine dans la région.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 374, Heft 4, S. 61-76
ISSN: 2410-9231
Les quatre pays d'Europe centrale qui constituent la coopération de Visegrad, à savoir la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie et la Hongrie, ont un intérêt commun pour tout ce qui concerne les questions de sécurité en rapport avec la Russie. Cependant, ils sont profondément divisés pour ce qui concerne la politique de l'énergie, les ambitions de politique étrangère et aussi de politique intérieure. Bien que des projets de diversification d'approvisionnement en énergie soient en cours, il faudra longtemps avant de faire décroître la dépendance stratégique envers la Russie. La politique intérieure peut également être particulièrement mise en évidence en ce qui concerne la Hongrie, où le premier ministre Viktor Orban considère la Russie comme un modèle idéologique, contrairement aux trois autres États. Cependant, ces divisions ne seront pas à même de remettre en cause la coopération de Visegrad elle-même, car cette organisation n'a jamais été entendue pour résoudre les problèmes à l'intérieur du groupe de Visegrad, mais bien pour représenter les intérêts communs lorsque ceux-ci sont présents. Aussi, la coopération de Visegrad dispose d'une large expérience pour gérer les désaccords internes au groupe.