Biological warfare has a long history. Despite the 1972 international convention and several attempts at biological weapon eradication, some countries and non governmental groups still retain some of these agents. According to their potential use, they belong to bioterrorism or to massive destruction weapons. Any biological warfare put the civilian medical and paramedical assets at the frontline and at high risk for being rapidly contaminated. The prompt recognition of a bioterrorist attack and the swift identification of the agent can lead to implementation of vaccines, chemoprophylaxis, appropriate treatment and sanitary measures. ; Peer reviewed
The economic gestion of health care is difficult to handle. It covers several aspects which cannot pride to be accurate sciences. It strikes difficulties such as the geodiversity of problems to be solved and the nuances in the application of principles of social equity and medical ethics. The health-care analysis is also exposed to some politician interpretations biased by doctrinal a priori. Most often, a confrontation ensues between the political cenacle and the professionals directly involved in health-care.
Some health care-related practices are probably on the rise as a response to the political economy. In particular, the therapeutic prescription looking for a diagnostic information allows to escape from a possible overcharge linked to proper diagnostic methods. The cost of such practice is not negligible. In fact, the best way to handle the problem is to reinstate some simple and cheap diagnostic tests in the daily practice of clinicians. The opening of the health care disciplines to new categories of non-physician workers is about to create further problems with regard to the health economics. The unsettled diagnosis and the therapeutic limitation to a quasi-placebo effect will never be positive factors in the global gestion of pathologies.
L'Inserm est le seul organisme public français entièrement dédié à la recherche biologique, médicale et en santé des populations.Ses chercheurs ont pour vocation l'étude de toutes les maladies humaines, des plus fréquentes aux plus rares.(.)L'année 2006 a été celle de la mise en œuvrede la loi de programme pour la recherche,votée en avril. Cette étape a été décisive pourles grands choix de la politique de rechercheet d'innovation de notre pays. Le Pacte pourla recherche a représenté pour l'Inserm l'occasionde mettre en synergie sa propre stratégieet les nouveaux instruments introduitspar la loi.Dans ce contexte, le dynamisme de l'Instituts'est exprimé à travers les nombreux projetsretenus par l'Agence nationale de la recherche(ANR), par les pôles de compétitivité ouau sein des réseaux thématiques de rechercheavancée (RTRA). Ces avancées témoignentde la bonne adaptation des outils innovantsd'organisation, de gestion et de valorisationde la recherche que l'Inserm met en placedepuis quelques années.Car 2006 fut aussi l'occasion de poursuivre lastratégie de l'Institut autour de ses quatreobjectifs prioritaires :• la définition de nouveaux profils de carrière,en équilibre entre un statut français parfoistrop conservateur et des modèles étrangerssouvent trop axés sur l'emploi temporaire ;• la mission d'assurer et renforcer le continuumentre la recherche fondamentale, larecherche clinique, l'application thérapeutiqueet la santé publique ;• le développement scientifique, médical etéthique résolument ouvert au contexteeuropéen et international ;• le partenariat industriel, le transfert technologiqueet la valorisation de la recherche,à travers des innovations diagnostiques etthérapeutiques au service du patient.Ces grandes orientations stratégiques servirontde base à la conclusion en 2007 d'uncontrat d'objectifs entre l'Etat et l'Institut,sur ses objectifs scientifiques et organisationnelspour les cinq années à venir.
L'Inserm est le seul organisme public français entièrement dédié à la recherche biologique, médicale et en santé des populations.Ses chercheurs ont pour vocation l'étude de toutes les maladies humaines, des plus fréquentes aux plus rares.(.)L'année 2006 a été celle de la mise en œuvrede la loi de programme pour la recherche,votée en avril. Cette étape a été décisive pourles grands choix de la politique de rechercheet d'innovation de notre pays. Le Pacte pourla recherche a représenté pour l'Inserm l'occasionde mettre en synergie sa propre stratégieet les nouveaux instruments introduitspar la loi.Dans ce contexte, le dynamisme de l'Instituts'est exprimé à travers les nombreux projetsretenus par l'Agence nationale de la recherche(ANR), par les pôles de compétitivité ouau sein des réseaux thématiques de rechercheavancée (RTRA). Ces avancées témoignentde la bonne adaptation des outils innovantsd'organisation, de gestion et de valorisationde la recherche que l'Inserm met en placedepuis quelques années.Car 2006 fut aussi l'occasion de poursuivre lastratégie de l'Institut autour de ses quatreobjectifs prioritaires :• la définition de nouveaux profils de carrière,en équilibre entre un statut français parfoistrop conservateur et des modèles étrangerssouvent trop axés sur l'emploi temporaire ;• la mission d'assurer et renforcer le continuumentre la recherche fondamentale, larecherche clinique, l'application thérapeutiqueet la santé publique ;• le développement scientifique, médical etéthique résolument ouvert au contexteeuropéen et international ;• le partenariat industriel, le transfert technologiqueet la valorisation de la recherche,à travers des innovations diagnostiques etthérapeutiques au service du patient.Ces grandes orientations stratégiques servirontde base à la conclusion en 2007 d'uncontrat d'objectifs entre l'Etat et l'Institut,sur ses objectifs scientifiques et organisationnelspour les cinq années à venir.
Unique établissement public français dédié à la recherche et à la santé publique, l'Inserm est investi d'une mission particulière. Ses objectifsprioritaires sont d'assurer l'attractivité et la mobilité des carrières biomédicales en accompagnant les individus dans leur parcoursprofessionnel, d'organiser le continuum de la recherche depuis le domaine fondamental jusqu'au domaine clinique thérapeutiqueet la santépublique, de valoriser les connaissances ainsi produites par un lien permanent avec le monde industriel, et enfin de développer une politiqueeuropéenne et internationale conquérante.
Unique établissement public français dédié à la recherche et à la santé publique, l'Inserm est investi d'une mission particulière. Ses objectifsprioritaires sont d'assurer l'attractivité et la mobilité des carrières biomédicales en accompagnant les individus dans leur parcoursprofessionnel, d'organiser le continuum de la recherche depuis le domaine fondamental jusqu'au domaine clinique thérapeutiqueet la santépublique, de valoriser les connaissances ainsi produites par un lien permanent avec le monde industriel, et enfin de développer une politiqueeuropéenne et internationale conquérante.
La biodiversité est à l'origine de la vie sur terre. Elle rend des services à l'humain qui lui apportent santé et bien-être. La biodiversité peut aussi être une menace lorsque l'humain s'en éloigne et la dégrade. Un grand nombre de maladies trouvent leur origine dans le dysfonctionnement des équilibres naturels. Les politiques publiques, tant au niveau mondial que national, ont pris conscience de ces enjeux et s'engagent pour « vivre en harmonie avec la nature ». Les pratiques de soins conventionnelles actuelles basées sur le curatif montrent leurs limites. Le secteur de la Santé doit renouer avec les principes historiques de la médecine et prendre conscience de sa responsabilité quant à la dégradation de la biodiversité. Des solutions existent au niveau des établissements de santé dans les 4 axes de la RSE pour placer la biodiversité au cœur de la stratégie avec pour finalité une meilleure santé.
La biodiversité est à l'origine de la vie sur terre. Elle rend des services à l'humain qui lui apportent santé et bien-être. La biodiversité peut aussi être une menace lorsque l'humain s'en éloigne et la dégrade. Un grand nombre de maladies trouvent leur origine dans le dysfonctionnement des équilibres naturels. Les politiques publiques, tant au niveau mondial que national, ont pris conscience de ces enjeux et s'engagent pour « vivre en harmonie avec la nature ». Les pratiques de soins conventionnelles actuelles basées sur le curatif montrent leurs limites. Le secteur de la Santé doit renouer avec les principes historiques de la médecine et prendre conscience de sa responsabilité quant à la dégradation de la biodiversité. Des solutions existent au niveau des établissements de santé dans les 4 axes de la RSE pour placer la biodiversité au cœur de la stratégie avec pour finalité une meilleure santé.