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The analysis of basic urban services in Belo — Horizonte shows that one of the key factors in improving access for low-income populations is the continuity of a municipal social policy, combining services policy (sanitation, water, waste) and urbanisation and housing policy. This article presents some of the instruments of this municipal policy. ; International audience ; The analysis of basic urban services in Belo — Horizonte shows that one of the key factors in improving access for low-income populations is the continuity of a municipal social policy, combining services policy (sanitation, water, waste) and urbanisation and housing policy. This article presents some of the instruments of this municipal policy. ; L'analyse des services urbains de base à Belo - Horizonte montre qu'un des facteurs clé pour améliorer l'accès des populations à faible revenu est la continuité d'une politique sociale municipale, associant politique des services (assainissement, eau, déchets) et politique d'urbanisation et du logement. Cet article présente quelques-uns des instruments de cette politique municipale.

International audience La notion de « services écosystémiques » a été introduite dans un but de conservation pour éclairer les liens entre la dynamique de la biodiversité et les valeurs que les humains lui accordent. L'article examine comment les propos des habitants d'un village de la province du Kénédougou au Burkina Faso, Kotoudéni, peuvent être traduits en termes de services écosystémiques. Des enquêtes semi-structurées menées auprès de 23 personnes ont eu pour but de situer socialement les interlocuteurs et de susciter leur discours sur les divers espaces de leur terroir, leur importance relative, les utilisations propres à chacun, mais également sur les religions, la « tradition » et les changements environnementaux et sociaux en cours. L'analyse de ces discours a permis de dégager une conception locale et paysanne des « services écosystémiques » qui a été confrontée aux catégories de la classification du MEA (2005). Les usages matériels mentionnés correspondent assez bien aux catégories du MEA, mais le principal service rendu par les écosystèmes est d'ordre spirituel : organiser le monde et assurer son harmonie par l'intermédiaire d'êtres invisibles (ancêtres et génies). Vouloir faire entrer ce service spirituel dans la catégorie des services culturels revient à le défigurer et à en nier la portée. La conclusion est qu'une telle catégorisation standardisée ne peut permettre de rendre compte des services culturels : pour ceux-ci le recours à des approches plus large de type anthropologique reste nécessaire.

International audience ; La notion de « services écosystémiques » a été introduite dans un but de conservation pour éclairer les liens entre la dynamique de la biodiversité et les valeurs que les humains lui accordent. L'article examine comment les propos des habitants d'un village de la province du Kénédougou au Burkina Faso, Kotoudéni, peuvent être traduits en termes de services écosystémiques. Des enquêtes semi-structurées menées auprès de 23 personnes ont eu pour but de situer socialement les interlocuteurs et de susciter leur discours sur les divers espaces de leur terroir, leur importance relative, les utilisations propres à chacun, mais également sur les religions, la « tradition » et les changements environnementaux et sociaux en cours. L'analyse de ces discours a permis de dégager une conception locale et paysanne des « services écosystémiques » qui a été confrontée aux catégories de la classification du MEA (2005). Les usages matériels mentionnés correspondent assez bien aux catégories du MEA, mais le principal service rendu par les écosystèmes est d'ordre spirituel : organiser le monde et assurer son harmonie par l'intermédiaire d'êtres invisibles (ancêtres et génies). Vouloir faire entrer ce service spirituel dans la catégorie des services culturels revient à le défigurer et à en nier la portée. La conclusion est qu'une telle catégorisation standardisée ne peut permettre de rendre compte des services culturels : pour ceux-ci le recours à des approches plus large de type anthropologique reste nécessaire.

International audience ; La notion de « services écosystémiques » a été introduite dans un but de conservation pour éclairer les liens entre la dynamique de la biodiversité et les valeurs que les humains lui accordent. L'article examine comment les propos des habitants d'un village de la province du Kénédougou au Burkina Faso, Kotoudéni, peuvent être traduits en termes de services écosystémiques. Des enquêtes semi-structurées menées auprès de 23 personnes ont eu pour but de situer socialement les interlocuteurs et de susciter leur discours sur les divers espaces de leur terroir, leur importance relative, les utilisations propres à chacun, mais également sur les religions, la « tradition » et les changements environnementaux et sociaux en cours. L'analyse de ces discours a permis de dégager une conception locale et paysanne des « services écosystémiques » qui a été confrontée aux catégories de la classification du MEA (2005). Les usages matériels mentionnés correspondent assez bien aux catégories du MEA, mais le principal service rendu par les écosystèmes est d'ordre spirituel : organiser le monde et assurer son harmonie par l'intermédiaire d'êtres invisibles (ancêtres et génies). Vouloir faire entrer ce service spirituel dans la catégorie des services culturels revient à le défigurer et à en nier la portée. La conclusion est qu'une telle catégorisation standardisée ne peut permettre de rendre compte des services culturels : pour ceux-ci le recours à des approches plus large de type anthropologique reste nécessaire.

International audience ; La notion de « services écosystémiques » a été introduite dans un but de conservation pour éclairer les liens entre la dynamique de la biodiversité et les valeurs que les humains lui accordent. L'article examine comment les propos des habitants d'un village de la province du Kénédougou au Burkina Faso, Kotoudéni, peuvent être traduits en termes de services écosystémiques. Des enquêtes semi-structurées menées auprès de 23 personnes ont eu pour but de situer socialement les interlocuteurs et de susciter leur discours sur les divers espaces de leur terroir, leur importance relative, les utilisations propres à chacun, mais également sur les religions, la « tradition » et les changements environnementaux et sociaux en cours. L'analyse de ces discours a permis de dégager une conception locale et paysanne des « services écosystémiques » qui a été confrontée aux catégories de la classification du MEA (2005). Les usages matériels mentionnés correspondent assez bien aux catégories du MEA, mais le principal service rendu par les écosystèmes est d'ordre spirituel : organiser le monde et assurer son harmonie par l'intermédiaire d'êtres invisibles (ancêtres et génies). Vouloir faire entrer ce service spirituel dans la catégorie des services culturels revient à le défigurer et à en nier la portée. La conclusion est qu'une telle catégorisation standardisée ne peut permettre de rendre compte des services culturels : pour ceux-ci le recours à des approches plus large de type anthropologique reste nécessaire.

During this first year (Apr 01st – Sept 30th 2016), the USAID/CINSERE activity has been technically launched through a workshop that gathered key stakeholders of the project. This allowed assessing the specific needs in Climate Information Services (CIS) of the 4 Feed the Future (FtF) projects and the possible communication channels that could be used to disse- minate the information to benefit farmers, pastoralists and fisher folks. Also, the Advisory Committee of the project has been formally setup during its first meeting concomitantly organised with the official launching ceremony with attendance of high level authorities (HEM Ambassador of USA, Secretary General of Ministry of Agriculture and Rural Equip- ment and of Ministry of Tourism and Aviation Transport). A roadmap for the Advisory Com- mittee's activities has been developed, in line with the timeline of USAID work planning and reporting for projects. The recruitment of the project staff (Project Coordinator, M&E Specialist and Climatologist) is now completed and the contract between ICRISAT/CCAFS and ANACIM has been signed. This allowed to capacitate ANACIM to start developing and communicating tailored and salient CIS in support of farms', fisheries' and pastoralists' communities, including members of both sexes, in their management decision making. The above actions allowed to roll out the planned ground activities for the rainy season 2016. The main achievements in the ground include 1) the setup of 17 local multi-disciplinary working 4 groups (MWGs) in 8 regions covered by Naatal Mbay and Yaajeende projects; (2) training of key stakeholders that will disseminate CIS within each of the FtF projects (Stakeholders from government, NGOs, CBOs, private sector, etc.); (3) Dissemination of CIS to benefit farmers, fisher folks and pastoralists.

Older home services represent a promising market for many observers. At present, demand for these services is not ensured on the basis of market regulation, understood as adjusting a competitive supply of undertakings to private demand. And yet, there is competition. Therefore, under what conditions does a disputed field become a market? And above all, what is the meaning and scope of such a question? In this article, the analysis of the supply of and demand for services to elderly people at home is provided on a historical basis. This constitution is interpreted as the result of intertwined regulations initiated by various actors and multi-faceted projects: faith-based organisations, associations of the social and solidarity-based economy, public organisations and, more recently and to a much lesser extent, by profit-making market enterprises. The projects of the players appear to be at the foundation of the world of activity and the regulations by which competition is built, which raises questions as to the theoretical scope of this consideration of the project in order to think about collective action and, in particular, competitive phenomena. ; International audience ; Older home services represent a promising market for many observers. At present, demand for these services is not ensured on the basis of market regulation, understood as adjusting a competitive supply of undertakings to private demand. And yet, there is competition. Therefore, under what conditions does a disputed field become a market? And above all, what is the meaning and scope of such a question? In this article, the analysis of the supply of and demand for services to elderly people at home is provided on a historical basis. This constitution is interpreted as the result of intertwined regulations initiated by various actors and multi-faceted projects: faith-based organisations, associations of the social and solidarity-based economy, public organisations and, more recently and to a much lesser extent, by profit-making market ...