France - Fusion des services de renseignements
In: Jeune Afrique, Heft 2477, S. 22
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In: Jeune Afrique, Heft 2477, S. 22
In: Bulletin international des sociétés de la Croix-Rouge, Band 38, Heft 152, S. 313-314
A propos de l'organisation du service japonais de renseignements sur les disparus à la guerre, le Dr Matignon fait ressortir l'importance du rôle que la Croix-Rouge peut jouer dans ce domaine, où sa neutralité internationale lui permet, à elle seulement, de soulager les familles angoissées sur le sort des leurs, tandis que dans le champ des secours aux blessés elle ne pent que se contenter du rôle d'auxiliaire du service de santé.
In: Défense nationale: problèmes politiques, économiques, scientifiques, militaires, Band 54, Heft 1, S. 20-26
ISSN: 0035-1075, 0336-1489
World Affairs Online
In: Sécurité globale, Band 4, Heft 2, S. 63-73
ISSN: 2271-2194
Les services de renseignement du ministère de l'Intérieur, RG (créés en 1911) et DST (créée en 1944), n'ont pas fait l'objet de réformes de structure profondes malgré les bouleversements géopolitiques survenus depuis la fin de la Guerre froide. Pourtant, leur fusion a été fréquemment évoquée. Au début des années 1990, plusieurs ministres de l'Intérieur successifs ont tenté de rapprocher RG et DST au sein d'une Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), mais sans succès. L'arrivée de Nicolas Sarkozy à la tête de l'État a permis d'engager la mise en œuvre de cette réforme. Le président de la République avait en effet ce projet en tête dès son premier passage au ministère de l'Intérieur, en 2002. La création de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) permettra d'aligner des moyens plus puissants et donc plus efficaces, avec une unité de commandement qui devrait réduire les délais de réaction et permettre une information plus exhaustive des autorités. Toutefois, cette réforme présente certaines lacunes. Le Service de coopération technique international de police (SCTIP) et l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (UCLAT) n'ont pas été pris en compte. La France est encore loin d'avoir réussi une réforme profonde de ses services de renseignement. Toutefois, cette première étape, qui ne touche que le renseignement civil, est symbolique. C'est le signe d'une prise de conscience qu'il faut adapter nos agences aux nouvelles menaces émergentes et que nos structures ne sont plus adaptées.
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 1660-1661, Heft 35, S. 1-88
In: Le monde diplomatique, Band 57, Heft 672, S. 8-8
ISSN: 0026-9395, 1147-2766
In: Revue historique des armées, Heft 221, S. 79-90
ISSN: 0035-3299
In: Revue Historique des Armées, Band 247, Heft 2, S. 52-59
Le BCRA gaulliste ne fut pas seulement un service de renseignement. Le renseignement n'en représenta pas moins une part importante de son activité. Il relevait d'une section spécialisée, la section R, à qui sa collaboration avec l' Intelligence Service – parfois tumultueuse – permit d'obtenir de substantiels résultats. Ces résultats conférèrent au BCRA un poids tout particulier au sein de la France libre et constituèrent l'un des atouts dont le général de Gaulle espérait tirer profit dans ses relations avec les alliés.
In: Collection Culture du renseignement
In: Revue défense nationale, Band 780, Heft 5, S. 81-84
ISSN: 2117-5969
Face aux menaces terroristes, la France dispose d'une stratégie nationale du renseignement. Cependant, pour aller plus loin, le législateur doit autoriser ses services de renseignement à être plus intrusifs avec l'enjeu de trouver un équilibre entre sécurité collective et respect des libertés individuelles.
In: Revue Historique des Armées, Band 221, Heft 4, S. 79-90
In: Revue défense nationale, Band 842, Heft 7, S. 97-104
ISSN: 2117-5969
Les données sont au cœur du travail des services de renseignement avec des besoins accrus en capacité de recueil, de traitement et d'exploitation. Cela signifie également pouvoir valoriser des informations construisant le savoir et permettant la décision en vue de l'action.
In: Revue historique des armées, Heft 247, S. 52-59
ISSN: 0035-3299
In: Hérodote: revue de géographie et de géopolitique, Band 186, Heft 3, S. 19-30
ISSN: 1776-2987
Le développement des capacités d'investigation en sources ouvertes a contribué à populariser ce qui constitue historiquement un capteur spécifique des services de renseignement, l' open source intelligence (Osint). Le renseignement d'origine source ouverte (Roso) constitue en effet un moyen de collecte essentiel au processus d'exploitation et d'analyse du renseignement, au côté du renseignement électromagnétique (Roem ou signals intelligence – Sigint) ou encore du renseignement d'origine image (Roim ou imagery intelligence – Imint). L'âge de l'information engendre une démocratisation des capacités de recherche, de recueil et d'exploitation de données auparavant uniquement accessibles aux services de sécurité et de renseignement. Les capacités désormais offertes par l'Osint contribuent ainsi à alimenter un important débat sur la valeur ajoutée des services de renseignement. Cet article vise à contribuer à ce débat en mettant en perspective la fonction que ces derniers assignent aux sources ouvertes, historiquement et à la faveur des évolutions contemporaines, dans la poursuite de leurs objectifs analytiques et opérationnels
In: Revue défense nationale, Band 842, Heft 7, S. 34-39
ISSN: 2117-5969
Les services de renseignement ont dû s'adapter aux exigences de l'ordre international. Celui-ci évolue rapidement avec la résurgence des rivalités de puissances concurrentes et antagonistes. Les menaces se sont complexifiées et s'étendent sur des champs élargis. Les services devraient continuer à évoluer pour répondre à leurs autorités avec plus d'efficacité.