Psychotherapie und Salutogenese sind theoretisch und praxeologisch weitgehend unverbundene Forschungs- und Handlungsfelder. Der Autor skizziert eine theoretische und praxeologische Brückenkonzeption, die die beiden Felder miteinander verknüpft. Langfristige Gesundheit wird als energetischdynamische Balance von gesunderhaltenden und potentiell schädigenden inneren und äußeren Einflüssen verstanden. Salutogenetisch wirksame Psychotherapie setzt an den vier Einflussfaktoren innere und äußere Ressourcen sowie innere und äußere Stressoren und Traumata an. Sie verändert das mentale Funktionieren so, dass das Zusammenwirken dieser Einflussfaktoren im Sinne eines energetisch-dynamischen Übergewichts der gesunderhaltenden Faktoren optimiert wird. Der Autor plädiert zudem für eine Berücksichtigung gesellschaftlich bedingter pathogener und salutogener Faktoren und für ein Engagement der PsychotherapeutInnen für gesundheitsfördernde kulturelle und sozialpolitische Veränderungen.Schlüsselwörter:Psychotherapie, Salutogenese, Gesundheit, Stress, Gesellschaft, Stressbewältigung, Lebensstil ; Psychotherapy and salutogenesis lack a theoretical and praxeological connection. The author draws a conception which is bridging this gap. Long-term health is conceptualized as the result of a positive energetic-dynamic balance between health-promoting internal and external factors on the one hand and health-endangering internal and external factors on the other hand (internal and external resources, internal and external stress). Psychotherapy aiming to foster salutogenesis needs to change the mental functioning of the individual person in order to optimize the balance between those factors in favor of the health-enhancing processes. The author also is pleading for the study and change of social pathogenetic and salutogenetic factors and a strong engagement of the psychotherapists for health promotion, stress prevention, and social and cultural change.Keywords:Psychotherapy; Salutogenesis; Health; Stress; Society; Coping; Life Style ; Concernant le domaine de la théorie et de la pratique psychothérapeutiques, on a encore porté trop peu attention aux rapports entre santé et thérapie ; or, les erreurs médicales et l'accès trop tardif au traitement psychothérapeutique de troubles psychiques causent du tort aux patients et engendrent des coûts au niveau du système de santé. Le potentiel des traitements psychothérapeutiques sur le plan du maintien de la santé et de son économie a été démontré, mais trop peu de personnes peuvent bénéficier de ce type de thérapie.Cette situation est due pour une bonne part au fait qu'on ne dispose pas d'un modèle théorique convaincant, qui inclurait à la fois la théorie, la pratique et les connaissances acquises par la psychothérapie par rapport aux processus de changement. Au plan institutionnel, les acteurs de ces deux domaines communiquent peu et ne collaborent pas suffisamment. La psychothérapie occupe une position marginale au sein de notre système dit de santé parce que l'individu comme la société y imposent des idées sur la santé qui n'ont pas été suffisamment mises en rapport avec la perception du fonctionnement du psychisme adoptée par les psychothérapeutes. Notre discipline ne trouvera sa place que dans un nouveau système de santé impliquant une perception différente de la santé. En élaborant un concept qui permet d'associer une perception novatrice de la santé et des modèles psychothérapeutiques théoriques et pratiques, nous tentons de rapprocher système de santé et psychothérapie. Selon nous, la santé se définit en tant qu'acquisition et que maintien d'un équilibre organique intérieur jusque-là fréquemment occulté. La psychothérapie permet à l'individu comme à la société d'acquérir un savoir et des outils qui leur permettront d'améliorer cet équilibre.La manière dont la société évolue actuellement détruit les fondements d'une santé durable. Certaines valeurs favorables à la 'bonne santé' disparaissent progressivement : la stabilité, l'authenticité, la confiance et la solidarité. Le cercle vicieux des conditions de vie délétères s'accélère, le nombre de dépressions, de troubles dus au stress et de troubles psychosomatiques est en constante augmentation. De plus, la perception qu'ont l'individu, la société et les décideurs de la santé est en fait basée sur une conception de la maladie plutôt que de la santé. Elle implique des attentes inconscientes, irréalistes et passives par rapport à la guérison et néglige de prendre en compte la possibilité qu'auraient les acteurs de gérer activement les ressources et le stress.Nous présentons une conception qui permet de jeter des ponts entre les domaines mentionnés plus haut et dans laquelle la santé est le produit d'une optimisation de l'équilibre entre ressources et facteurs de stress intérieurs et extérieurs.Dans ce sens, l'auteur définit quatre champs d'approche par rapport aux interventions psychothérapeutiques : soutenir et exploiter les ressources psychiques, rechercher et exploiter les ressources sociales, neutraliser et canaliser les facteurs psychiques à tendance destructrice et optimiser la gestion du stress.Il esquisse un modèle qui permet de maintenir à long terme un fonctionnement psychique sain ; ce modèle tient compte de trois aspects :1. Il vise constamment un rétablissement fructueux d'un équilibre intérieur positif (optimisation des rapports d'énergie entre les facteurs d'influence positifs et négatifs, intérieurs et extérieurs).2. Il vérifie que sont atteintes ou maintenues les valeurs définies en fonction des visées du système pour ses quatre composantes (charges issues de l'environnement, ressources issues de l'environnement, destructivité psychique et vitalité psychique).3. Il gère le système d'une manière flexible, qui supporte les contradictions et permet d'intervenir activement (le moi en tant que « chef d'État » ayant une attitude flexible mais suffisamment combative, communicative mais libérale).Quatre principes de gestion de l'existence peuvent être dérivés du modèle : établissement à intervalles réguliers d'une sorte d'auto-diagnostic des rapports énergétiques et dynamiques entre les facteurs positifs et les facteurs négatifs, affrontement continu et vital de l'individu avec lui-même et avec le monde (perception et possibilités optimales d'intervention), démarche consciente de prise en charge et de gestion de soi, flexibilité et évolution permanente de l'identité individuelle. Par rapport à un (bon) état de santé à long terme, la psychothérapie peut intervenir à des niveaux plus ou moins profonds. Lorsque l'équilibre entre vitalité et stress est très affecté - exemple : patients souffrant de burnout -, une intervention d'urgence doit permettre d'apporter un soulagement rapide. Mais à moyen terme, il faudra aussi que le patient modifie l'organisation de sa vie. Et finalement, un équilibre durable et optimal doit être établi entre ses ressources et ses sources de stress. Lorsque des résistances inconscientes envers ce changement se manifestent, la psychothérapie doit intervenir plus en profondeur, sur des attitudes et comportements inconscients ; ceci permettra à la personne concernée de retrouver un sentiment de vitalité et de mener une vie différente.
Der Focus dieser Arbeit liegt auf den strategischen Reaktionen deutscher Städte (insbesondere Stadtpolitik und Stadtverwaltung) auf den demographischen Wandel als ein gesamtdeutsches gesellschaftliches Phänomen, welches sich räumlich differenziert darstellt. Was sind vor diesem Hintergrund die wahrgenommenen Probleme und wie gehen die Städte damit um? Was sind handlungsleitende Strategien? Im Rahmen des Dissertationsvorhabens wurden 122 Städte bezüglich der Fragestellungen untersucht (Auswertung der demographischen Daten, Recherche auf den Homepages der Städte, Analyse der Neujahrsansprachen der Oberbürgermeister, Untersuchung der explizit artikulierten Strategien der Städte in Form von Stadtentwicklungs- und Integrationskonzepten). Die breite Auswahl empirischer Ergebnisse in der Art eines Surveys ergänzt die auf Fallstudien basierenden Forschungen zum demographischen Wandel in Deutschland. Die demographischen Veränderungen werden im Allgemeinen von den Städten als Herausforderung erkannt und auch thematisiert (in 50 von 104 Neujahrsansprachen explizit erwähnt). Die Städte stellen sich der Herausforderung, wollen aktiv in das Geschehen eingreifen: einerseits am Verteilungskampf um Bevölkerung teilhaben/den Trend umkehren und sich aktiv um Bevölkerungszuwanderung bemühen; andererseits die mit dem Wandel einhergehenden Probleme bewältigen und gegebenenfalls die Strukturen an die neue Situation anpassen. 60 von 122 Städten verzeichnen schon jetzt einen Rückgang ihrer Bevölkerung, 62 haben noch Bevölkerungswachstum. Wahrgenommene Probleme bezüglich des Bevölkerungsrückganges sind in erster Linie Leerstände im Wohnbereich, der geringere Anteil an jüngeren Menschen, unterausgelastete soziale und technische Infrastruktur sowie eine steigende Pro-Kopf-Verschuldung der Einwohner. Strategien der Städte im Umgang mit dem Bevölkerungsrückgang sind in erster Linie eine aktivierende Familienpolitik (z.B. Familienfreundliche Stadt, Bauland für Familien, Bündnis für Familie, Familienpass, bessere Vereinbarkeit von Beruf und Familie), der Ausbau der Bildungs- und Betreuungseinrichtungen (z.B. Ganztagsschulen, Betriebskindergärten, Krippen, etc.) sowie der Stadtumbau zur Anpassung der Strukturen an die sich ändernden Rahmenbedingungen. Bei 58 von 122 Städten findet sich das Thema Alterung auf den Internetseiten der Städte wieder. In diesem Zusammenhang werden besonders die Herausforderungen im Umgang mit der Bereitstellung einer altersgerechten Infrastruktur und einer optimalen Gesundheitsversorgung herausgestellt. Bezüglich der Strategien überwiegen Ansätze zur Verbesserung der Pflegesituation und des seniorengerechten Wohnens (z.B. betreutes Wohnen, Mehrgenerationenhaus), aber auch der Wissenstransfer von Alt zu Jung soll gefördert werden. Desweiteren werden in 111 von 122 Städten die Belange der älteren Mitbürger von sogenannten Seniorenbeiräten vertreten. Dass der Teilaspekt der Heterogenisierung einen zentralen Aspekt darstellt, zeigen die Ergebnisse der Interneterhebung – bei 108 von 122 Städten fanden sich Treffer zum Thema Integration. Der Ausländeranteil in den untersuchten Städten liegt zwischen 1,4 Prozent in Gera und 25,1 Prozent in Offenbach. Trotz der Integrationsbemühungen vieler Städte zeigen sich doch vielschichtige Probleme – Sprachprobleme, geringe berufliche Qualifizierung, Rückzug der Migranten in Nischenwelten (Segregation, Herausbildung von Parallelgesellschaften), hohe Arbeitslosigkeit, kein Wahrnehmen der Integrationsangebote (z.B. Integrationskurse) und auch Ausländerfeindlichkeit und Rechtsextremismus. Dem allen versuchen die Städte zu begegnen – in erster Linie in ihrer Sprache, indem sie sich als weltoffen und tolerant bezeichnen. Desweiteren setzen sich für die Belange der ausländischen Mitbürger in 90 Städten sogenannte Aus-länderbeiräte oder auch Integrationsbeiräte ein. In 25 Städten gibt es anstelle eines Beirates - oder zusätzlich - einen Integrationsbeauftragten. 14 von 122 Städten besitzen weder einen Beirat noch einen Integrationsbeauftragten. 50 Städte weisen schon explizit artikulierte Strategien in Form von Integrationskonzepten auf. Bei 28 weiteren Städten ist ein solches Konzept in Arbeit. Die Sprachförderung wird in den meisten Konzepten als Schlüssel zu Bildung und Integration angesehen. Weitere Strategien sind die Förderung der Arbeitsmarktintegration, die interkulturelle Öffnung und die Partizipation am öffentlichen Leben. Bei der Zusammenführung der sektoralen Strategien der Fachämter in eine übergeordnete für die Gesamtstadt geltende Strategie, leisten 'Integrierte Stadtentwicklungskonzepte' bereits in 70 Städten einen wichtigen Beitrag. Durch ein abgestimmtes Vorgehen können aufgrund der geringeren Finanzausstattung der Kommunen Prioritäten gesetzt und Handlungsschwerpunkte festgelegt werden. Nur ein solch integrierter Ansatz wird es den Städten in Zukunft ermöglichen, ihre Handlungsfähigkeit zu bewahren.:1 Einleitung 3 1.1 Demographischer Wandel und Strategien der Stadtentwicklung – Stand der Diskussion 3 1.2 Problemstellung und Forschungsfragen 8 1.3 Allgemeiner Bezugsrahmen der Arbeit 9 1.4 Empirischer Bezugsrahmen 10 1.4.1 Untersuchungsgegenstand 10 1.4.2 Erhebungsmethoden 12 1.5 Aufbau der Arbeit 16 2 Die Stadt im Kontext des demographischen Wandels 17 2.1 Die Stadt 17 2.1.1 Akteure, Akteurskonstellationen und institutioneller Rahmen 17 2.1.2 Organisation 22 2.1.3 Aufgaben 23 2.2 Der demographische Wandel und die Theorie der zweiten demographischen Transformation 25 2.3 Stadt und Bevölkerungsrückgang – "die schrumpfende Stadt baut um" 28 2.3.1 Wir werden "Weniger" 28 2.3.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 31 2.3.3 Strategien und Handlungsansätze 38 2.4 Stadt und Alterung – "die alternde Stadt zieht um" 48 2.4.1 Wir werden "Älter" 48 2.4.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 54 2.4.3 Strategien und Handlungsansätze 55 2.5 Stadt und Internationalisierung – "die bunte Stadt denkt um" 59 2.5.1 Wir werden "Bunter" 59 2.5.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 61 2.5.3 Strategien und Handlungsansätze 63 2.6 Reurbanisierung – die Lösung für die schrumpfende, alternde und weltoffene Stadt 65 3 Pläne, Strategien und der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 67 3.1 Strategische Planung oder Planung mit Strategien? 68 3.2 Strategische Planung im Umgang mit dem demographischen Wandel 73 4 Reaktionen deutscher Städte 75 4.1 Wir werden weniger, älter und bunter 76 4.2 Problemwahrnehmung der Städte – aktuelle Herausforderungen 79 4.2.1 Die Herausforderung des demographischen Wandels 81 4.2.2 Bevölkerungsrückgang ist keine Chance 81 4.2.3 Wir werden älter – ein Traum wird wahr? 84 4.2.4 Kulturelle Vielfalt ist nicht nur eine Bereicherung 86 4.3 Handlungsleitende Strategien – Pläne und Konzepte im Umgang mit dem demographischen Wandel 88 4.3.1 Die Kinder- und familienfreundliche Stadt 94 4.3.1.1 Bessere Vereinbarkeit von Familie und Beruf 97 4.3.1.2 Attraktives Wohnen in der Stadt 100 4.3.1.3 Sprachrohre für Kinder und Familien 103 4.3.1.4 Städtische Hilfen 106 4.3.2 Die seniorenfreundliche Stadt 108 4.3.2.1 Lebenslanges Lernen, die Potentiale der Alten und das Ehrenamt 109 4.3.2.2 Wohnen im Alter 111 4.3.2.3 Sprachrohre für Senioren 113 4.3.2.4 Angebote und Hilfen für Senioren 114 4.3.3 Die ausländerfreundliche und weltoffene Stadt 117 4.3.3.1 Sprache als Schlüssel zu Bildung und Arbeit 122 4.3.3.2 Wohnen und Migranten – Integration auf Stadtteilebene 125 4.3.3.3 Sprachrohre und Hilfen für Migranten 129 4.3.4 Die Stadtumbaustadt – nicht mehr nur ein ostdeutsches Phänomen 133 4.3.4.1 Chancen für die Städte 134 4.3.4.2 Rückbau- und Anpassungstrategien – Entwicklung findet 'Innenstadt' 135 4.3.5 Strategische Stadtplanung – ein Hilfsmittel im Wandel? 140 4.3.5.1 Wir brauchen Strategien 140 4.3.5.2 Die Entwicklung von Strategien – Vorgehen nach Plan 141 4.3.5.3 Der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 146 5 Zusammenfassende Schlussfolgerungen und Perspektiven 155 6 Quellenverzeichnis 167 6.1 Literatur 167 6.2 Dokumente 186 6.2.1 Reden der Oberbürgermeister/innen 186 6.2.2 Stadtentwicklungskonzepte 198 6.2.3 Integrationskonzepte 201 6.3 Internetseiten der Städte 204 6.4 Telefoninterviews 206 7 Abbildungsverzeichnis 212 ; The focus of this work lies on strategic reactions of German cities (in particular city politics and city council) to the phenomenon of demographic change, which appears spatially differentiated. What are the problems perceived in the recent past? How do cities deal with these problems? What are the strategies pursued? Answers to these questions will be given based on an empirical research of 122 mostly large and medium-sized county-free cities in Germany (analysis and interpretation of demographic data, internet research on city homepages, content analysis of New year's speeches of city mayors, content analysis of established strategies in the form of city development concepts and concepts dealing with the integration of immigrants). The broad range of empirical findings in the manner of a survey complements demographic research in Germany that is mainly based on case studies. Most of the German cities recognize demographic change as the main challenge in the near and further future and pick it out as a central theme in city development (in 50 out of 104 New Year's speeches it was explicitly mentioned). The cities rise to that challenge and are willing to do everything within their power: On the one hand they try to gain population by striving immigration (especially young families), on the other hand they want to deal with the problems that come along with populations loss, ageing and a high percentage of foreigners and adjust city structures to the new developments. 60 out of 122 cities are already affected by population loss, 62 still have a growing population. Perceived problems regarding this matter are primarily the high vacancy rates on the housing market, the small share of young people, less utilization of social and technical infrastructure and the increasing per-capita debt (fewer inhabitants lead to less income and less allocation of funds from the German federation and Länder).To become or to be child and family-friendly is one of the main pursued strategies of cities to confront population decline and ageing. In detail cities follow an activating family policy: they provide beneficial land for building for families, participate in the national program 'Alliance for Families', and give benefits concerning leisure activities. Further strategies concern the development of the urban social infrastructure as fulltime schools, day care and nursery schools to provide a better support in reconciliation of work and family life. For the adjustment of a city's social and technical infrastructure as well as the housing market, funds for urban redevelopment are widely used. On 58 out of 122 city homepages the issue of ageing has been picked out as an important theme. In this regard especially the challenges concerning an age-appropriate infrastructure and health care have been emphasized. So cities strive for a better health care provision for older people (outpatient care, home care, new forms of foster homes) as well as senior-friendly housing (e.g. assisted living, 'Multi-Generational Homes') and the knowledge transfer between different generations (e.g. the elderly and the young). Besides those strategies 111 cities have an elected advisory council for senior citizens that stand up for the concerns of older people. Looking at the aspect of integration of immigrants it can be seen that this issue really concerns city officials. Not only that issue-related hits could be found on 108 city homepages, but also the number of perceived problems and developed concepts makes integration an important aspect in dealing with the consequences of demographic change. The share of immigrants in German cities shows significant differences between East and West Germany – it varies between 1.4 percent in the City of Gera and 25.1 percent in the City of Offenbach. Despite numerous integration efforts cities are confronted with severe and complex problems – like language problems, low professional qualification levels and little career opportunities, high unemployment rates of immigrants, development of parallel societies/immigrant communities (segregation), missing acceptation of integration offers (language courses etc.) and xenophobia. Dealing with these problems cities firstly want to be seen as cosmopolitan, multi cultural and tolerant. Secondly numerous cities (90) established an advisory board for foreigners or so called integration agents (25) that regard the interests and suggestions of immigrants. Thirdly the cities developed (50) or are still working on concepts (28) dealing with the integration of immigrants. The promotion of language skills is in most concepts seen as 'the key' to education and integration. Further strategies are employment promotion and integration in the local labor market, cross-cultural communication and competence and the participation in public life. For the integration of all kinds of sectoral strategies in an overall strategy for the entire city, city development processes and concepts have been a big help in dealing with demographic change in 70 cities. Due to the financial crisis, the coordination of interests enables city officials to assign priorities and key aspects of activity. This approach will be necessary, if German cities want to keep their capacity to act in the future.:1 Einleitung 3 1.1 Demographischer Wandel und Strategien der Stadtentwicklung – Stand der Diskussion 3 1.2 Problemstellung und Forschungsfragen 8 1.3 Allgemeiner Bezugsrahmen der Arbeit 9 1.4 Empirischer Bezugsrahmen 10 1.4.1 Untersuchungsgegenstand 10 1.4.2 Erhebungsmethoden 12 1.5 Aufbau der Arbeit 16 2 Die Stadt im Kontext des demographischen Wandels 17 2.1 Die Stadt 17 2.1.1 Akteure, Akteurskonstellationen und institutioneller Rahmen 17 2.1.2 Organisation 22 2.1.3 Aufgaben 23 2.2 Der demographische Wandel und die Theorie der zweiten demographischen Transformation 25 2.3 Stadt und Bevölkerungsrückgang – "die schrumpfende Stadt baut um" 28 2.3.1 Wir werden "Weniger" 28 2.3.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 31 2.3.3 Strategien und Handlungsansätze 38 2.4 Stadt und Alterung – "die alternde Stadt zieht um" 48 2.4.1 Wir werden "Älter" 48 2.4.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 54 2.4.3 Strategien und Handlungsansätze 55 2.5 Stadt und Internationalisierung – "die bunte Stadt denkt um" 59 2.5.1 Wir werden "Bunter" 59 2.5.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 61 2.5.3 Strategien und Handlungsansätze 63 2.6 Reurbanisierung – die Lösung für die schrumpfende, alternde und weltoffene Stadt 65 3 Pläne, Strategien und der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 67 3.1 Strategische Planung oder Planung mit Strategien? 68 3.2 Strategische Planung im Umgang mit dem demographischen Wandel 73 4 Reaktionen deutscher Städte 75 4.1 Wir werden weniger, älter und bunter 76 4.2 Problemwahrnehmung der Städte – aktuelle Herausforderungen 79 4.2.1 Die Herausforderung des demographischen Wandels 81 4.2.2 Bevölkerungsrückgang ist keine Chance 81 4.2.3 Wir werden älter – ein Traum wird wahr? 84 4.2.4 Kulturelle Vielfalt ist nicht nur eine Bereicherung 86 4.3 Handlungsleitende Strategien – Pläne und Konzepte im Umgang mit dem demographischen Wandel 88 4.3.1 Die Kinder- und familienfreundliche Stadt 94 4.3.1.1 Bessere Vereinbarkeit von Familie und Beruf 97 4.3.1.2 Attraktives Wohnen in der Stadt 100 4.3.1.3 Sprachrohre für Kinder und Familien 103 4.3.1.4 Städtische Hilfen 106 4.3.2 Die seniorenfreundliche Stadt 108 4.3.2.1 Lebenslanges Lernen, die Potentiale der Alten und das Ehrenamt 109 4.3.2.2 Wohnen im Alter 111 4.3.2.3 Sprachrohre für Senioren 113 4.3.2.4 Angebote und Hilfen für Senioren 114 4.3.3 Die ausländerfreundliche und weltoffene Stadt 117 4.3.3.1 Sprache als Schlüssel zu Bildung und Arbeit 122 4.3.3.2 Wohnen und Migranten – Integration auf Stadtteilebene 125 4.3.3.3 Sprachrohre und Hilfen für Migranten 129 4.3.4 Die Stadtumbaustadt – nicht mehr nur ein ostdeutsches Phänomen 133 4.3.4.1 Chancen für die Städte 134 4.3.4.2 Rückbau- und Anpassungstrategien – Entwicklung findet 'Innenstadt' 135 4.3.5 Strategische Stadtplanung – ein Hilfsmittel im Wandel? 140 4.3.5.1 Wir brauchen Strategien 140 4.3.5.2 Die Entwicklung von Strategien – Vorgehen nach Plan 141 4.3.5.3 Der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 146 5 Zusammenfassende Schlussfolgerungen und Perspektiven 155 6 Quellenverzeichnis 167 6.1 Literatur 167 6.2 Dokumente 186 6.2.1 Reden der Oberbürgermeister/innen 186 6.2.2 Stadtentwicklungskonzepte 198 6.2.3 Integrationskonzepte 201 6.3 Internetseiten der Städte 204 6.4 Telefoninterviews 206 7 Abbildungsverzeichnis 212
Vor dem Hintergrund des gegenwärtig zu beobachtenden Zeitzeugen-Booms wird diskutiert, welchen Determinanten biographische Ausführungen von Zeitzeugen unterliegen. Dabei werden zum einen normative Interpretamente identifiziert, die insbesondere beim Thema Nationalsozialismus die Sicht der Forscherinnen und Forscher auf ihr Material stark präformieren, zum anderen werden sozialwissenschaftliche und insbesondere psychologische Konzepte identifiziert, die in die Alltagssprache eingewandert sind und den Befragten als Instrumente für die Verfertigung ihrer biographischen Konstruktionen dienen. Dieses Phänomen wird mit Beispielen aus einem aktuellen Forschungsprojekt zur Tradierung von Geschichtsbewusstsein illustriert.
Die Bedeutung des narrativen Diskurses für die sprachliche Verfassung von Identität wird erörtert. Dabei werden zwei Argumentationsstränge entfaltet. Zum einen wird dem Erzählen im Unterschied zu anderen Diskurstätigkeiten des alltäglichen Sprechens eine privilegierte Rolle der Ordnungsstiftung zugeschrieben. Diese gesonderte Stellung wird damit begründet, dass im Erzählen Relationen zwischen einer temporalen, einer räumlichen und einer personalen Ordnung hergestellt werden, die in anderen Diskurstätigkeiten nicht vorhanden sind. In einer Art Gegenzug wird dann jedoch diese Sonderstellung des Erzählens weitgehend relativiert und zurückgenommen, und zwar insofern, als den kontextuellen Bedingungen, unter denen erzählt wird, eine weit wesentlichere Rolle in der Sinnstiftung zukommt. Abschließend wird versucht, aus dem Verhältnis der beiden Argumentationsstränge den Begriff der Identität erzähl- und diskurstheoretisch neu zu verorten.
The debate about the term "Industry 5.0" is already underway. The comments range from conceptual nonsense (Liggesmeyer 2021) to "necessary course correction", which, significantly, was not initiated by industry itself but by the EU Commission (Buchinger 2021) or Society 5.0 and Industry 5.0 are imagined as the futures of Europe (Carayannis & Morawska‐Jancelewicz 2022). Xu et al.(2021) ask if this is the co‐existence of two Industrial Revolutions – the fourth and the fifth – or if this is a continuation and an evolution from one step to another within industrial concepts. One has to agree when Carayannis and Morawska‐Jancelewicz (2022) resume that concepts of Society 5.0 and Industry 5.0 are "not a simple chronological continuation or an alternative to Industry 4.0 paradigm". The main question that follows is if "Green Deal" as "Industry 5.0" or "Society 5.0" are connectable to "Industry 4.0" (Banholzer 2021c)? As I will argue, the European concepts of "Green Deal" or "Industry 5.0" can be seen as an answer to the question of what normative basis could be found for the governance of network‐society which is as well functional as fragmental differentiated. Modern societies following the innovation paradigm have a need for orientation. Concepts like "Industry 5.0" underline that a forward‐looking modulation of technological developments to be possible (Rip 2006) and generate a framework for orientation. Similar to the "Industrie 4.0"‐process and the announcement of the Fourth Industrial Revolution of the German government in 2021, the European Commission formally called for the Fifth Industrial Revolution or "Industry 5.0", after discussions among participants from research and technology organizations as well as funding agencies across Europe, devising a top‐down initiative in response to the changing societal and geopolitical landscape (Xu et al. 2021: 532). Industry 5.0 centers around three interconnected core values of human‐centricity, sustainability, and resilience and therefore is not a technology‐driven revolution but a value‐driven initiative that drives technological transformation with a particular purpose (ibd.: 533). Industry 5.0 addresses the challenges of a functional and fragmental differentiated society. Flexibility,agility, project‐orientation, entrepreneurship are part of the concept. Industry 5.0 focuses on social heterogeneity in terms of values and acceptance, measurement of environmental and social value generation, participation and transparency of customers or interest groups and NGOs, inter-disciplinarity of research disciplines and system complexity, and ecosystem‐oriented innovation policy with outcome‐orientation. But: Industry 5.0 requires also new policies and policy instruments, a Governance 5.0, new partnerships, and new objectives for policies affecting industry, knowledge‐society and economy. Additionally, a portfolio approach to research and innovation projects is needed, combined with the willingness and a mandate to take informed risks – in development paths and financing. In its coalition agreement, the new German "traffic light" coalition has committed itself to a mission orientation in R&I policy and therefore is close to the ideas of Industry 5.0. But: The term Industrie 5.0 is not mentioned within the coalition agreement or in other discussions. The new coalition has described itself as a "progress coalition" and, in the run‐up to and in the coalition agreement placed an emphasis on innovation, science, science transfer and research as the basis of the national economy and the welfare of society. Goals like clima protection and Energiewende or fostering science transfer via (new) innovation agencies are in line with the ideas of the EC (cf.Banholzer 2022a). Response from other governments and industries to Industry 5.0 is still limited for the time being. Academia, though, has quickly embraced the discussions on Industry 5.0 and highlighted the relevance of Industry 5.0 (Xu et al. 2021). The landscape of R&I‐policies in EU membership states is heterogeneous, and often still focussing a linear understanding of innovation. This outlines the challenges and obstacles that have to be passed if Europe wants to climb on top of innovation rankings and parallel helps to solve problems like climate crises or global challenges in health care. The characteristic of Industry 5.0 as a top‐down‐concept is the core point that leads to a very critical aspect. Industry 5.0 as a value‐based conception of society and mission‐oriented policy design implicitly presupposes the discourse on values and on the willingness to bear the costs that arise. But this is done without outlining a conception of the public sphere, political discourse, or deliberative, agonal, or pragmatist debate in pluralistic democracies (cf. Banholzer 2022c). This circumstance is certainly due to the construction of the European Union and the fact that the concept was elaborated and introduced by the European Commission ‐ i.e. it represents a concept of the executive. This again shows the democratic deficit of the European Union, which shows parliamentary representation as not yet fully developed. However, if transparency and participation are demanded in transformation processes and, in addition, the state and politics act as equal network actors on the one hand, while decisively defining the legal framework on the other, this creates a dis-proportion that has a counterproductive effect on the acceptance of mission orientation.
Kurz nach dem Beginn des Mauerbaus erreichten im September 1961 Delegationen afrikanischer und asiatischer Gewerkschaften die Hochschule der Deutschen Gewerkschaften "Fritz Heckert" in Bernau, einem Vorort Berlins. In den folgenden anderthalb Jahren lebten, studierten und arbeiteten ostdeutsche Gewerkschaftskader als Lehrkräfte und circa 112 Studierende aus 19 afrikanischen und fünf asiatischen Ländern zusammen am Institut für Ausländerstudium, dessen Einrichtung im Jahr 1960 – dem sogenannten Afrikanischem Jahr – nach Planungen des Bundesvorstandes des Freien Deutschen Gewerkschaftsbunds (FDGB) erfolgte. Der FDGB verfolgte mit dieser entwicklungspolitischen Maßnahme im Namen der Internationalen Solidarität ein klar definiertes Ziel: Er wollte im Rahmen des 3. afro-asiatischen Lehrgangs "klassenbewußte, bescheidene, opferbereite afrikanische Gewerkschaftsfunktionäre" ausbilden, welche die "Arbeiterklasse Afrikas als Avantgarde der afrikanischen Völker" im antikolonialen Kampf sowie "für die Verbesserung der Arbeits- und Lebensbedingungen" organisiert und "klassenmäßig" erzieht. Die praxeologische und mikrogeschichtliche Untersuchung des 3. afro-asiatischen Lehrgangs an der FDGB-Hochschule Fritz Heckert generiert neue Erkenntnisse über die ostdeutsche Entwicklungshilfepolitik im Allgemeinen und über das Leben ausländischer Studierender in der DDR im Konkreten. Dabei werden erstens bisherige Annahmen über die Agenda der DDR in der Dekolonisierung partiell korrigiert. In der Analyse eines jener "Mikro-Räume globaler Vergesellschaftung" (Hubertus Büschel/Daniel Speich) wird aufgezeigt, das die DDR durchaus – wenn auch auf niedrigem Niveau – versuchte, mit der Gewerkschaftsausbildung Einfluss auf die politische Entwicklung der Staaten des Trikonts zu nehmen. Die LehrgangsteilnehmerInnen erfuhren eine weitreichende politische Schulung in der Lehre des Marxismus-Leninismus, und zwar zu in Teilen besseren Studiums- und Lebensbedingungen als die Majorität der ausländischen Studierenden in der DDR. Zweitens lässt sich aufzeigen, dass die afrikanischen Gewerkschaftskader Handlungsmacht gegenüber ihren LehrerInnen, der Institutsleitung und den FDGB-Offiziellen erlangten. Neben ihrem Wissen über die fragile außenpolitische Lage der DDR war ein maßgeblicher Grund hierfür die erfahrene Zuschreibung als Avantgarde oder Kader der (vermeintlich) revolutionären Klasse Afrikas. Mit dem Nutzen oder gar der Übernahme dieser projizierten Rolle gelang es ihnen mehrfach, die Unterrichts- und Lebensbedingungen an der Bernauer Hochschule in ihrem Sinne zu verbessern. Drittens ist dennoch festzustellen, dass die studierenden GewerkschafterInnen trotz der in einigen sozialen und politischen Aspekten "privileged position" (Simon Stevens) die sie auch eigensinnig nutzten, teils mit ähnlichen Problemen zu kämpfen hatten wie ausländische Studierende in der DDR im Allgemeinen. Das primäre Problem waren hierbei Rassismuserfahrungen, wozu Ausgrenzung im Alltag – auch an der Hochschule, auch innerhalb der Gruppe der LehrgangsteilnehmerInnen – ebenso zählte wie gewalttätige Übergriffe oder die Verbreitung des Bildes des "lascivious African man" (Sara Pugach). Zwar konnten die GewerkschafterInnen des Globalen Südens teils mit Erfolg gegen rassistische Vorfälle intervenieren. Wie jedoch die Untersuchung ihrer Protestpraktiken aufzeigt, verdeutlichten gerade diese konflikthaften Auseinandersetzungen zugleich die Grenzen ihrer Handlungsmacht. Denn obwohl die LehrgangsteilnehmerInnen viertens in ihrer Position offen und ohne das andauernde Risiko, repressive Maßnahmen erleiden zu müssen, gegen die verantwortlichen Funktionäre protestieren konnten, glichen sich in Bezug auf politische Gestaltungsmöglichkeiten die Handlungsspielräume der afrikanischen LehrgangsteilnehmerInnen und jene der autochthonen DDR-BewohnerInnen. Auch für die afrikanischen GewerkschafterInnen waren die Einwirkungsmöglichkeiten jenseits des eigenen sozialen Alltags aufgrund der "alles vereinheitlichenden Zentralmacht" (Thomas Lindenberger) Massenorganisationen – wie etwa dem FDGB – äußerst gering. ; In September 1961, shortly after the begin of the construction of the Berlin Wall, delegations of African and Asian unions arrived at the Hochschule der Deutschen Gewerkschaften "Fritz Heckert" in Bernau, a suburb of Berlin. During the following eight and a half years, East-German Unionists worked as teachers alongside around 112 students from 19 African and five Asian nations. They lived, studied and worked together at the Institute für Ausländerstudium, created by the Freie Deutsche Gewerkschaftsbund (FDGB) in 1960, the so-called African Year. Seen as developmental policy in the name of International Solidarity, the FDGB had a clearly defined goal: As part of the 3. Afro-Asian Class it wanted to train "class-conscious, humble African union officials, willing to make sacrifices". These would then educate "Africa's working class as Avantgarde for African peoples", organise and assist the anti-colonial struggle as well as "the improvement of quality of work and life". The praxeological and microhistorical study of the 3. Afro-Asian class at the FDGB College Fritz Heckert provides new insights into the East-German Developmental Policy in general and about foreign students' life in the GDR specifically. Some established claims about the GDR's agenda on Decolonisation will be partially corrected. An analysis of one of the "micro-spaces of global socialization" (Hubertus Büschel/Daniel Speich) will show how the GDR did in fact – albeit on a low level – try to influence political developments in African, Asian and Latin American states through union training. Participants of the course received an extensive education in Marxist-Leninist theory, at times their quality of life and study was even better than for the majority of foreign students in the GDR. Additionally, African union officials were able to acquire agency towards their teachers, the Institute's leadership, and the FDGB-officials. Apart from their knowledge about the fragile foreign-policy position of the GDR, one major reason for this was the categorisation as Avantgarde or Cadre of Africa's (supposed) revolutionary class. Using or even taking over these projected roles enabled them to change the quality of life and education at the College in Bernau multiple times. However, even though these students found themselves in a "privileged position" (Simon Stevens) in some aspects of political and social life, and used this position for their own purposes too, they faced similar problems that foreign students in GDR in general experienced. The primary problem were experiences of racism, both in form of marginalization on a daily basis – also at college or within the class of visiting union officials – as well as violent attacks or the propagation of the image of "the lascivious African man" (Sara Pugach). The unionists of the global south were partly able to successfully intervene against racist incidents, but as an examination of their protest practices shows, it was precisely these confrontational conflicts which laid bare the limits of their agency. Even though participants of the course were able to protest against the Institute's officials openly and without the threat of repression, the agency of African students at the institute in relation to political questions and issues was similar, if not identical to, that of autochthonous GDR inhabitants. Through the "all-encompassing central power" of the SED and its mass organisations, like the FDGB, the possibilities for African unionists to influence outside of the social daily routine were nominal.
Schamkultur und Schuldkultur. Revision einer Theorie Die wissenschaftliche Debatte zu Schuld- und Schamkulturen nimmt ihren Anfang mit den kulturvergleichenden Studien von Ruth Benedict und Margaret Mead in der Mitte des 20. Jahrhunderts. Doch werden die Kategorien der Schuld- und Schamkultur bald aus politischen und systematischen Gründen ad acta gelegt. Die vorliegende Arbeit unternimmt den Versuch, sie im Rahmen einer Typologie so zu modifizieren, dass letztere ein sinnvolles heuristisches Instrument zur Interpretation von Schuld- und Schamphänomenen sowie ihrer jeweiligen sozialen Kontexte darstellt. Diesem Vorhaben liegt die These zugrunde, dass sich in modifizierten Kategorien von Schuld- und Schamkulturen sowohl eine theoretisch stringente Differenzierung von Schuld und Scham als universale Phänomene wie auch die Tatsache erfassen lässt, dass Schuld und Scham kulturspezifisch zu unterscheidende Aspekte in Abhängigkeit von bestimmten, soziologisch beschreibbaren Konturen kultureller Kontexte aufweisen. Dazu werden in einem ersten Schritt ausgewählte soziologische, psychologische, anthropologische und philosophische Konzepte und Differenzierungen von Schuld und Scham untersucht. In diesem Spektrum an Positionen fällt auf, dass Scham nahezu ausnahmslos als soziales Phänomen, als Scham vor dem Anderen dargestellt wird. Damit durchzieht diesen Begriff von Scham ein Zug von Heteronomie. Dies lässt sich ebenso für das vorherrschende Verständnis von Schuld nachweisen: auch die internalisierten Maßstäbe des scheinbar individuellen Gewissens erhalten den analysierten Konzepten zufolge ihre Autorität selbstverständlich von einem Anderen her, sei dieser Andere die Eltern, die Gesellschaft oder ein Gott. In anthropologischer Hinsicht wird in diesen Konzepten von Schuld und Scham mithin die (wenn auch begrenzte) Fähigkeit zu moralischer Autonomie, d.h. die Fähigkeit des Subjekts, Normen und Werte selbst zu verantworten und sich selbst als deren legitimierende Instanz zu betrachten, als Komplement zur Integrations- und Bindungsfähigkeit des Menschen und damit die Möglichkeit, sich vor sich selbst zu schämen, systematisch nicht oder zu wenig berücksichtigt. Auf einen zweiten blinden Fleck macht die Untersuchung der Debatte zu Schuld- und Schamkulturen aufmerksam. Schuldkulturen wurden über das Kriterium der Dominanz von Schuld, Schamkulturen über das der Scham definiert. Dies verstellt den Blick dafür, dass Schuld und Scham nicht nur universale Aspekte, sondern auch kulturspezifische Züge tragen und daher beide – in je spezifischen Varianten – sowohl in Schuld- als auch in Schamkulturen in einem spezifischen Konnex zueinander stehend zu erwarten sind. Diese These wird in dem Entwurf einer Typologie von Schuld- und Schamkulturen ausformuliert. In anthropologischer Hinsicht versucht diese Typologie, die Konzepte so zu konturieren, dass sowohl Bindung als auch Autonomie als menschliche Grundbedürfnisse und Vermögen Berücksichtigung finden. Als soziologisches Kriterium der Differenzierung von Schuld- und Schamkulturen schlägt sie eine Kollektivorientierung versus einer Priorisierung des Individuums vor dem Kollektiv vor. Es wird also die These vertreten, dass Gruppen als strukturprägendem Wert entweder dem Schutz, der Integration, der Harmonie der Gruppe als Gemeinschaft höchste Priorität zuschreiben oder dem Individuum als Ideal nahelegen, dass es sich in Autonomie entwickelt, sich individualisiert. Eine Schuldkultur wird, so die Typologie, über das Kriterium der "Individualisierung" bzw. Autonomieorientierung und eine Schamkultur über das der Orientierung des Individuums auf das Kollektiv hin definiert. Die Konsequenzen für das Selbstkonzept des Individuums und das im jeweiligen kulturellen Kontext zu erwartende Verständnis von Moralität werden ausgelotet. Ebenso wird die Frage diskutiert, welche Verhältnisbestimmung von Schuld und Scham sich aus der Logik der Typologie ergibt. ; Shame culture and guilt culture. Reconsidering a theory The academic debate on shame and guilt cultures was first initiated in the middle of the 20th century through the comparative ethnographic studies of Margaret Mead and Ruth Benedict. But the categories of shame and guilt culture disappeared soon after for political and systematic reasons. The present dissertation tries to modify the categories in the framework of a typology, so that the latter may function as a helpful heuristic instrument for the interpretation of phenomena of guilt and shame within their respective social context. For it is assumed that, first, the modified categories of shame culture and guilt culture allow the emotions of shame and guilt to be differentiated precisely as universal phenomena. Second, their culturally specific aspects can be pointed out and understood particularly with regard to their dependence on the specific describable sociological characteristics of their cultural context. The study first analyses selected sociological, psychological, anthropological and philosophical concepts and their differentiation of shame and guilt. It appears that - with very few exceptions - shame is considered to be a social phenomenon occurring exclusively in the face of the other. Therefore, shame includes some sort of heteronomy. The same proves true for the dominant concept of guilt: even the norms of the seemingly individual conscience count because they are internalized from external authorities such as parents, society or in religious adherence. The author asserts that considering the concepts of shame and guilt from an anthropological point of view, moral autonomy, which can be viewed as a complement to the human ability of integration and bonding, is systematically neglected. Autonomy is defined as the (limited) ability of the subject to account for its own norms and values and to take itself to be the legitimizing authority in this question. Neglecting autonomy, the examined concepts do not take into account that a person might also be ashamed "in the face of herself" without any other person being present in this situation, not even in her mind. Having studied the debate on guilt and shame cultures, the author points to a second desideratum. The dominance of either guilt or shame has been considered the defining criterion of either guilt cultures or shame cultures. As a consequence, the cultural specificity of shame and guilt, as well as the possibility that they occur in combination in certain culturally specific relationships, has been overseen. This thesis is elaborated in a typology of guilt and shame cultures which aims at taking seriously the anthropological abilities and necessities both of autonomy on the one hand and bonding on the other hand. The author proposes to presume a normative orientation towards the collective for shame cultures and the individual being prioritized before the collective in guilt cultures. Thus, groups are considered either to give top priority to the protection, integration, and harmony of the group as a community, or to encourage the individual to develop its autonomy and, thus, to individualize. This "individualization" towards autonomy characterizes, according to the typology, a guilt culture, while the orientation of the individual towards the collective is proposed as the defining criterion of a shame culture. The consequences concerning the self-concept of the individual and the concept of morality are considered, as well as the question of how shame and guilt might be related to each other in each type of cultural context.
Krisemedizin gewinnt im Rahmen sich wandelnder Kriegsformen, terroristischer Übergriffe und der Möglichkeit des Einsatzes von Massenvernichtungswaffen erheblich an Bedeutung. Zivile Katastrophenmedizin und militärische Einsatzmedizin stehen daher vor deutlich höheren Herausforderungen. Die vorliegende Arbeit versucht die Konzeption einer krisenmedizinischen Ethik unter Berücksichtigung dreier bereichsspezifischer Problemfelder: die Allokation lebenswichtiger, jedoch begrenzt verfügbarer Ressourcen, die Instrumentalisierung einer Medizin im Dienste des Militärs sowie die Doppelloyalität des Sanitätsoffiziers. Unter Beachtung der Werte und Wünsche aller Beteiligten werden Zielsetzungen formuliert. Sie stellen die Grundlage eines dreistufig hierarchischen Prinzipienkonstrukts aus allgemeinen ärztlichen und humanitären Prinzipien, Allokations- i.e. Organisationsprinzipien und Behandlungsprinzipien dar. Die entwickelte Systematik fasst die in der Literatur meist unübersichtlich dargestellten Handlungsgrundsätze zusammen und ergänzt diese bisweilen. Allokationsprinzipien werden einer Differenzierung unterzogen und gliedern sich in Prinzipien, welche ausschließlich den Zugang zum Zuteilungsverfahren festlegen, und solche, die die Verteilung der Ressource regeln. Letztere basieren auf Kriterien, wobei hier allein dem Alter neben der Überlebenswahrscheinlichkeit ein Stellenwert eingeräumt werden kann, während Beurteilungen von Patienten basierend auf deren "social worth" strikt abzulehnen sind. Die Ressourcenzuteilung im Rahmen von Krisensituationen muss unter Berücksichtigung dreier Handlungsgrundsätze erfolgen: Gerechtigkeits- und Effizienzprinzipien zusammen mit einem neu formulierten Praktikabilitätsprinzips. Ein zur Regel oder Norm zusammenzufassender Goldstandard ist dabei nicht zu erreichen. Vielmehr muss eine Kompromisslösung auf der Basis einer situativen Prinzipiengewichtung angestrebt werden, weshalb oft ein nicht intendiertes, jedoch "zu akzeptierendes Unrecht" in Kauf genommen werden muss. Die Beurteilung einer Krisenmedizin wird daher nur im Sinne eines intentionalistischen Konsequenzialismus erfolgen können. Triage versucht einen Ausweg aus diesem Gewichtungsdilemma. Sie kategorisiert Patienten in vier Schweregrade, wobei einer Gruppe die Prognose "Hoffnungslosigkeit" zugeschrieben wird. Hierdurch werden zwei Bereiche unterschiedlicher Prinzipiengewichtung definiert. Gerechtigkeitsprinzipien wird der Vorzug bei Patienten mit höherer Überlebenswahrscheinlichkeit eingeräumt. Bei Patienten mit niederer Überlebenswahrscheinlichkeit dominieren effizienzorientierte Prinzipien. Krisenmedizin unter dem Diktat des Militärs ist darüber hinaus einer weiteren Problematik ausgesetzt: Die Konkurrenz medizinischer und militärischer Ziele. Eine für das Militär instrumentalisierte Medizin verliert ihrer Eigenständigkeit, indem sie sich fremden Imperativen unterordnen muss. Doch weder absolute Eigenständigkeit der Medizin im Einsatz noch vollständige Instrumentalisierung im Sinne des Militärs scheinen zu erstrebenswerten Vorteilen zu führen. Der Sanitätsoffizier personifiziert hierbei den Konflikt zweier Systeme und Ethiken. Ihm kommt die Aufgabe einer temporär unterschiedlichen Gewichtung medizinischer und militärischer Zielsetzungen zu, die auf institutionaler Ebene nicht geleistet werden kann. Die Dominanz militärischer Interessen führt hierbei zu einer Verschiebung weg von der individualethischen hin zu einer eher sozialethischen Position. Gerechtigkeitsprinzipien weichen zunehmend effizienzorientierten Prinzipien, was sich in einem vom Zivilen differenten Gesundheits- bzw. Krankheitsbegriff widerspiegelt. Zusammenfassend ist für Krisensituationen eine umfassende Medizinethik nicht zu leisten. Eine Ethik wird nur Grenzen und Möglichkeiten aufzeigen können, ohne jedoch den Handlungsspielraum für Einzelfallentscheidungen exakt vorgeben zu können. Ziele und Prinzipien konkurrieren bisweilen, so dass vom einzelnen eine Gewichtung vorgenommen werden muss. Gerechtigkeit, Nützlichkeit und Praktikabilität scheinen dabei gleichermaßen verwirklicht werden zu wollen, was stets Kompromisslösungen erfordert. Die Fähigkeit, sich in dieser Grauzone ethischen Handelns zurechtfinden zu können, erfordert neben medizinisch-fachlicher Expertise eine tugendhafte innere Haltung sowie eine moralisch-ethische Kompetenz und Mündigkeit. Dieser Kompetenz möchte ich größtes Gewicht beimessen. Sie ist die Fähigkeit, ethischen Dilemmata mit situativ unterschiedlicher Kompromissbereitschaft entgegnen zu können. ; The medical response to public emergencies is gaining considerable significance as a result of ongoing changes in modes of warfare, terrorist attacks and the possible use of weapons of mass destruction. Conspicuously greater challenges are therefore posed by disaster response in the civil medical field and in operational military medicine. The present study attempts to provide an ethical concept to guide the medical response to public emergencies, taking account of three problematic aspects that are specific to this subject: the allocation of vitally important yet limited resources, the instrumentalization of medical expertise in support of the military, and the divided loyalty of the military medical officer. Objectives taking account of the values and wishes of all parties involved have been established. They provide the basis for a three-stage hierarchy of principles comprising general medical and humanitarian principles, allocational (i.e. organizational) principles, and principles relating to treatment. The taxonomy that has been developed brings together and supplements the principles of action which are represented in the literature mostly without structure. Allocation principles are differentiated and subdivided into those which solely specify the approach to the allocation process and those which govern the distribution of resources. The principles in the latter category are based upon criteria. In this context, only age and probability of survival can be accorded any importance as criteria, whereas the assessment of patients on the basis of their "social worth" has to be strongly rejected. Resource allocation in crisis situations has to be performed with three principles in mind: fairness, efficiency and a newly established principle of practicability. It is not feasible to define a gold standard that can be summarized to become an established rule or norm. Instead of this, it is essential to aim for a compromise solution on the basis of a situationally appropriate evaluation based upon principles, the result of which is often an unintended injustice that nevertheless has to be accepted. The evaluation of a medical response to a public emergency will therefore only be executable on the basis of intentionalistic consequentialism. Triage is an attempt to provide a way out of this evaluative dilemma by categorizing patients into four groups covering various degrees of severity, with the prognosis for one group being assessed as "hopeless". Hence, two areas with differently weighted principles are defined. In accordance with the principle of fairness, priority is granted to patients with a higher probability of survival, whereas efficiency-based principles are the dominant factor with regard to patients with a lower probability of survival. Furthermore, medical response to emergencies under military fiat involves another complex problem: the rivalry between medical and military objectives. Medical services instrumentalized for the military lose their independence because they have to accept subordination to others' imperatives. Yet neither absolute independence of military operational medicine nor complete instrumentalization to meet the demands of the military seems to produce desirable advantages. In this respect the military medical officer personifies the conflict between two systems with differing ethics. He is given responsibility for the task – which cannot be performed at institutional level – of weighing up the temporarily different demands stemming from medical and military objectives. In this situation the dominance of military interests leads to a shift away from an individual ethical attitude towards a position tending to social ethics. Principles of fairness increasingly have to make way for efficiency-based principles, and this is reflected in concepts of health and sickness that differ from those prevailing in the civil sector. In short, a comprehensive system of medical ethics for public emergencies is unachievable. Ethics can be used in identifying limitations and options, but will not be able to specify in exact terms the freedom of action with regard to decisions on individual cases. Different objectives and principles may occasionally compete with each other, so the individual decision-maker will have to evaluate the situation. It appears desirable to achieve fairness, efficiency and practicability in equal degree, and this will always necessitate compromise solutions. The ability to deal aptly with this grey area of ethical action requires not only professional medical expertise but also a virtuous inner attitude and moral-ethical competence and maturity. I wish to attribute the greatest importance to this competence: it is the ability to face ethical dilemmas with a situationally appropriate willingness to engage in compromise.
The present manuscript is intended to be part II of a publication in two volumes, but at the same time it can be seen as an independent, complete study. It deals with the different aspects of the historic architecture in the region of "Semmering" in southern Lower Austria. The book is the result of the FWF-project P 13959, in which one year of research under scientifically direction and supervision of the applicant (Prof. Dr. Mario Schwarz) was dedicated to intensive studies in art history, cultural history and history of architecture of this region. The author Dr. Guenther Buchinger - responsible collaborator of the project - attempted a large-scale research of the historical villas and county-houses at Semmering. The study contains a full, detailed documentation of the history and construction of the buildings and much information about the employers and the building contractors and architects as well. Consequently the author elaborated a comprehensive stylistic analyse. By the way of elucidating the circumstances of the construction of the buildings, it was possible to reconsider the background of the creating of this artificial settlement at Semmering. A certain social group of great influence among the Viennese bourgeoisie appears in this study, which created this recreation resort as a "vacation-paradise", at that time a complete new, futuristic project, motivated by personal and commercial interests likewise. The result, a colony of villas, was used not only for private purpose, but at the same time for tourism, partially in connection with the hotel buildings.
In his stylistic analyse Guenther Buchinger gives a convincing proof that the phenomenon, which in general is subsumed as "homeland-style", "vernacular architecture" or "Swiss-cottage-style", in fact is a particular form of historicism between "severe historicism" and "late historicism". In the sense of "severe historicism" patterns of genuine architecture - by preference from publications on historical Swiss architecture - were used and extensively quoted. Consequently the forms and details developed in the style of "late historicism" in free evolution and eventually took into the formal repertory also elements of "Jugendstil". The scientific results of this study are important especially concerning the architects Franz von Neumann and Josef Buendsdorf, whose work has not yet been object of detailed research, but likewise for the general oeuvre of the prominent contractor's bureau Fellner & Helmer, whose theatre-architecture is already well documented in art history, but whose country houses and hotel-buildings are largely unknown.
The study partially is designed as a catalogue, which presents each object in detail, and a comprehensive report of the scientific results in a distinct summary and contains numerous photos, plans and comparative illustrations. - Das vorgelegte Werk ist als zweiter - unabhängiger - Band einer zweiteiligen Publikation verfasst worden, die sich mit den kulturhistorischen und architekturgeschichtlichen Aspekten der Hotel- und Villenbauten am Semmering im südlichen Niederösterreich beschäftigt. Die Arbeit ist das Ergebnis eines einjährigen, vom FWF geförderten Forschungsprojektes (Nr. P 13959), das unter der verantwortlichen wissenschaftlichen Leitung des Antragstellers (Univ.-Prof. Dr. Mario Schwarz) gestanden ist. Der forschungsbeauftragte Bearbeiter Dr. Günther Buchinger erstellte im Rahmen einer flächendeckenden Untersuchung eine kunsthistorisch-architekturgeschichtliche Bestandsaufnahme der Landhäuser und Villen am Semmering. Die Arbeit umfasst neben detaillierten bauhistorischen Erhebungen der einzelnen Objekte umfassende Ergebnisse über die Auftraggeber sowie über die Architekten und Baumeister. In weiterer Folge wurden umfangreiche stilgeschichtliche Analysen ausgearbeitet. Durch die Aufklärung der Entstehungsumstände der Objekte, über biographische Untersuchungen der Bauherren und Baumeister, konnte der strukturelle Hintergrund der am Semmering künstlich entstandenen Siedlung verständlich gemacht werden. Es bietet sich das Bild einer in der Wiener Gesellschaft einflussreichen sozialen Gruppe, die hier aus persönlichen, teils über verwandtschaftliche Beziehungen, teils über geschäftliche Interessen vermittelten Motiven das zur Entstehungszeit neuartige, zukunftsweisende Konstrukt eines Urlaubs- und Erholungsortes im Sinne eines "Freizeitparadieses" schuf. Die dabei entstandene Villenkolonie diente durchaus nicht nur zum privaten Gebrauch, sondern wurde gleichzeitig auch fremdenverkehrsorientiert - teils im Zusammenhang mit dem Hotelbau - genutzt.
In seinen stilanalytischen Untersuchungen gelingt es Günther Buchinger überzeugend nachzuweisen, dass der vielfach unter dem Begriff "Heimatstil" , "vernakuläre Architektur" oder "Schweizerhausstil" zusammengefasste Typus tatsächlich als eine Sonderform der allgemeinen Entwicklung des Historismus an der Wende vom Strengen Historismus zum Späthistorismus zu bewerten ist. Im Sinne des Strengen Historismus wurden Vorlagenmuster konkreter Architekturvorbilder - vorzugsweise aus Publikationen über historische Schweizer Landhausarchitektur - herangezogen und extensiv zitiert . In der Folge entwickelten sich die Formen im Sinne des Späthistorismus in freier Entfaltung weiter und nahmen auch erste Jugendstilelemente in das Gesamtrepertoire auf. Die Forschungsergebnisse erscheinen vor allem für die Beurteilung der bisher weitgehend unerforschten Werke der Architekten Franz v. Neumann und Josef Bündsdorf bedeutend, ebenso aber auch für das Gesamtbild der Tätigkeit des vielbeschäftigten Wiener Architekturbüros Fellner & Helmer, dessen Theaterbauten bereits Gegenstand ausführlicher wissenschaftlicher Untersuchungen waren, deren Villen- und Hotelbauten jedoch noch weitgehend unbearbeitet sind.
Die Arbeit ist in einen katalogartig abgefassten Teil, der die einzelnen Objekte darstellt, und einen zusammenfassenden Ergebnisbericht übersichtlich gegliedert und reich mit Objektaufnahmen, Plandokumentationen und Vergleichsabbildungen versehen.
Thema meiner Diplomarbeit sind die sogenannten Südtiroler Siedlungen. Im Dritten Reich erbaut, dienten sie zur Neubeheimatung von geschätzten 75.000 SüdtirolerInnen, die sich nach dem Abkommen zwischen Adolf Hitler und Benito Mussolini 1939 durch die Option zur Umsiedlung ins Deutsche Reich entschlossen. Zwischen 1939 und 1945 kamen durch die dafür gegründete Siedlungsbaugesellschaft "Neue Heimat Tirol" mehr als 30 solcher Siedlungen im Gau Tirol-Vorarlberg mit ca. 5.000 Wohnungen zur Fertigstellung, was 59,1 % aller für die SüdtirolerInnen errichteten Wohnungen entspricht. Weitere Südtiroler Siedlungen wurden in Salzburg, Oberösterreich, in der Steiermark, in Kärnten und Osttirol sowie in Wien, Niederösterreich und dem Burgenland sowie anderen Teilen des Deutschen Reiches errichtet. Trotz großen historischen Wertes nebst hoher architektonischer Qualität stehen heute nur eineinhalb Siedlung in Tirol unter Denkmalschutz. Eine wachsende Zahl dieser Siedlungen fällt Neuplanungen und Umbauprojekten zum Opfer, wodurch nicht nur einzigartige Architektur, sondern auch manifestierte Geschichte unwiderruflich zerstört wird. So ist es mir ein Anliegen, mich nach intensiver Recherche mit der daraus resultierenden Diplomarbeit für den Erhalt der Südtiroler Siedlungen einzusetzen, auch weil über das Thema noch keine umfangreiche architektonische Abhandlung vorliegt. Der Forschungsstand ist demnach ausbaufähig. Meine Diplomarbeit verfolgt das Ziel einer genaueren Erforschung der Umstände, unter welchen die Südtiroler Siedlungen erbaut wurden. Fragen nach den politischen Absichten, gesellschaftlichen Problemen oder infrastruktureller Organisation werden hierbei nicht ausgeklammert. Besonderes Augenmerk möchte ich auf die architektonischen Aspekte des Themas legen und so Näheres über Planungsstruktur, ausführende Architekten, Entwurfsvorgaben oder Einsatz verschiedener Bautechniken untersuchen. Hierfür werden drei Südtiroler Siedlungen genauer beleuchtet. Die Siedlung in Hall-Schönegg ist ein Beispiel für eine nicht sanierte Südtiroler Siedlung, jene in Reutte steht zur Hälfte unter Denkmalschutz und ist ein Musterbeispiel für den Erhalt von Südtiroler Siedlungen und als im urbanen Kontext eingebundenes Exempel dient ein bereits abgetragener Wohnblock in Innsbruck-Pradl. Ein Vergleich zu anderen Projekten der für die Südtiroler Siedlungen zuständigen Architekten soll das Thema einordnen. Durch diese Diplomarbeit soll über die Qualität der Südtiroler Siedlungen informiert und eine Einordnung in den zeitlichen und architektonischen Kontext versucht werden. Außerdem hoffe ich, einen Beitrag zur Bewusstseinsschaffung für diese weitgehend unbeachteten Denkmale in Gemeinden und Bevölkerung leisten zu können und damit die Erinnerungskultur zu stärken. ; The subject of my diploma thesis discusses the so-called Südtiroler Siedlungen. Built in the Third Reich they served as a new home for approximately 75,000 South Tyroleans who, following the agreement between Adolf Hitler and Benito Mussolini, decided to relocate to the German Reich in 1939. Between 1939 and 1945, more than 30 settlements in the "Gau" Tirol-Vorarlberg with around 5,000 apartments were completed by the settlement construction company "Neue Heimat Tirol" which was founded for this purpose. Those 5,000 apartments correspond to 59.1% of all apartments built for South Tyroleans. Further South Tyrolean settlements were built in Salzburg, Upper Austria, Styria, Carinthia and East Tyrol as well as in Vienna, Lower Austria and Burgenland and other parts of the German Empire. Despite great historical value and high architectural quality only one and a half of all Südtiroler Siedlungen in Tyrol are listed as historical monuments today. A growing number of these settlements is falling victim to new planning and renovation projects irrevocably destroying not only unique architecture, but also manifest history. Therefore, after intensive research, it is important to me to work with the resulting diploma thesis for the preservation of the Südtiroler Siedlungen, also because there is still no extensive architectural treatise on the subject. The state of research is still expandable. My diploma thesis pursues the goal of a more detailed investigation of the circumstances under which the Südtiroler Siedlungen were built. Questions about political intentions, social problems or infrastructural organization are not excluded here. I would like to pay particular attention to the architectural aspects of the topic and thus examine more details about the planning structure, the architects carrying out the work, design specifications or the use of various construction techniques. For this purpose, three Südtiroler Siedlungen are examined specifically. The settlement in Hall-Schönegg is an example of a Südtiroler Siedlung that has not been refurbished. Half of the Südtiroler Siedlung in Reutte is under monument protection and is a prime example of the preservation of Südtiroler Siedlungen. An example that has been integrated into the urban context is an already demolished block of flats in Innsbruck-Pradl. A comparison with other projects by the architects who were responsible for the Südtiroler Siedlungen should classify the topic. This diploma thesis is intended to provide information about the quality of the Südtiroler Siedlungen and trying to classify them into the temporal and architectural context. I also hope being able to contribute to raising awareness regarding these largely neglected monuments in communities and the population and thus to strengthen the culture of remembrance. ; Abweichender Titel laut Übersetzung der Verfasserin/des Verfassers ; Arbeit an der Bibliothek noch nicht eingelangt - Daten nicht geprüft ; Innsbruck, Univ., Masterarb., 2021 ; (VLID)6151545
Die Zukunft der Eisenbahn in Deutschland ist aus heutiger Sicht ungewiss. Technologische Entwicklungen, Innovationen, Veränderungen der Konkurrenzsituation und das Spannungsfeld zwischen gemeinwohl- und gewinnorientierten Anforderungen führen zu vielschichtigen Herausforderungen. Zudem haben die nationale wie internationale Politik, Gewerkschaften und Verbände sowie beteiligte Unternehmen diametral unterschiedliche Vorstellungen über die zukünftige Entwicklung der Eisenbahn. Es ist derzeit weder eine politische, unternehmerische noch gesellschaftliche Tendenz erkennbar, die der Eisenbahn eine klare Richtung vorgeben würde. Der Bedarf an gemeinsamen Leitbildern, zielgerichteten Strategien und konkreten Maßnahmen ist offensichtlich und eine Debatte über die Rolle der Eisenbahn in Deutschland überfällig. Diese Arbeit soll dazu beitragen, eine Auseinandersetzung mit dieser Thematik anzustoßen und liefert die dazu benötigte wissenschaftliche Grundlage. Um mögliche Zukünfte der Eisenbahn in Deutschland aufzuzeigen, wurde methodisch auf den explorativen Szenarioprozess zurückgegriffen und folgende Forschungsfrage formuliert: "Wie sehen mögliche Zukünfte des Schienenpersonenverkehrs in Deutschland im Jahre 2040 aus?". Das Hauptziel der Arbeit bestand also in der wissenschaftlichen Erarbeitung von möglichen Zukünften für die Eisenbahn in Deutschland im Jahr 2040. Dazu wurden eine Vielzahl an Einflussfaktoren gesammelt, ein Wirkungsgefüge erstellt und acht Schlüsselfaktoren identifiziert. Aus den Kombinationen der erarbeiteten 31 Ausprägungen entstanden Rohszenarien, von denen drei möglichst konsistente ausgewählt und ausführlich in Zukunftsbildern beschrieben wurden. Zur Unterstützung des Prozesses wurden Expertinnen und Experten miteinbezogen und die Software Parmenides EIDOS eingesetzt. Das Ergebnis des Prozesses sind neben wichtigen Erkenntnissen über das System Bahn drei Szenarien für das Jahr 2040: "New-Rail-Deal", "Big Mix" und "AUTOnomie". In diesen wird unteranderem auf die Rolle und Relevanz der Eisenbahn, das Schienenpersonenverkehrsangebot, die Rolle der Politik, die Konkurrenzsituation, die Ent-wicklung der Automatisierung sowie Organisationsformen eingegangen. Die Szenarien und die gewonnenen Erkenntnisse können von großer Bedeutung für die Eisenbahn- und Mobilitätsbranche, die Politik und die Gesellschaft sein. Durch die festgehaltenen Zukünfte besteht die Möglichkeit, durch einen nachgelagerten Strategiebildungsprozess Maßnahmen abzuleiten und Planungen in der Gegenwart zu treffen. Weiterhin ergeben sich eine Vielzahl weiterer Anknüpfungspunkte für Forschungen. ; The future of the railway in Germany is undefined and includes many uncertainties. New technologies, expected and possible innovations, and the continuous development of intermodal competition along with the unanswered question whether to opt for a profit-orientated business plan or serving the public good institute a variety of challenges and possible ways to approach them. Politics, trade unions, and associations as well as involved companies usually show little consensus in their agenda regarding the development of the railway in Germany. As of today, there is no political, entrepreneurial or social tendency perceptible that would help to identify a clear trend of the prospective railway. Therefore, the demand for shared concepts, goal-orientated strategies, and palpable measures is apparent and the debate on the function of the railway in Germany overdue. This master thesis adds to the above-mentioned debate and provides the reader with the current scientific state of knowledge. The illustration of different possible directions of development is done with a method loosely translated as "explorative scenario process". This approach is known for its quality to display results in the most unbiased manner. The following research question constitutes the guideline of this research paper: "How do different future scenarios of the rail passenger traffic system in Germany in the year 2040 look like?" The main aspect of the paper focuses on the scientific development of possible and consistent future scenarios for the railway in Germany in the year 2040. On these grounds, a variety of factors were collected, considered and displayed in a net of interdependencies from which eight key factors were extracted. Out of the 31 different projections, an extensive set of primary future scenarios were created and yet three main situations described in a detailed picture of a possible future scenario. To support the process and to raise the quality and validity of the results, the views and estimations of experts were integrated into the process and the software "Parmenides EIDOS" was used. The result of the process are important findings about the railway system and three consistent and possible scenarios for the railway in Germany: "New-Rail-Deal", "Big Mix" and "AUTOnomie". Amongst others they consist of the role and relevance of railways, an overview of all passenger railway services in the country, the role of politics, the market conditions (competition), the development of automation and the organisational structures. Our findings and results are a valuable contribution to the above mentioned debate, for the railway- and mobility business, the society and certainly for politicians and the government. The three scenarios provide the possibility to work on strategy matters and may help to plan the future railway system thoroughly and in the present age. The paper helps to avoid undesirable developments and to support forward-looking ideas and visions.
Der Bergbau ist in Slowenien bereits seit einigen Jahrhunderten eine wichtige Tätigkeit, die zum einen wirtschaftlich relevant ist und zum anderen stark auf die Region und den Bergbauprozess eingewirkt hat. Mit der Zeit kam es zur Erschöpfung der Minen und damit auch zu Prozessen der Schließung, weswegen die Siedlungen um den Bergbau allmählich aufgegeben und verlassen wurden. Nach der Schließung des Bergbaus stellt man sich nun die Frage, welche Potenziale die Regionen noch haben und mit was und auf welche Weise man sie wieder interessanter machen könnte. Den theoretischen Hintergrund bildeten zum einen Werke zur Post-Mining-Regionen-Thematik und zum anderen die heutige Bergbausituation samt der Gesetzgebung auf diesem Gebiet in Slowenien. Anhand von Interviews, Feldarbeit und Literaturrecherche wurden Daten gesammelt, die für die weitere Analyse wichtig waren. In dieser Masterarbeit werden anhand der gesammelten Daten die aktuelle wirtschaftliche und soziale Situation beider Regionen vorgestellt und mithilfe bestehender Beispiele aus der ganzen Welt sowie eigener Lösungsansätze Möglichkeiten für die weitere Entwicklung präsentiert. In theoretischer Hinsicht wurde herausgefunden, was Post-Mining-Regionen sind, welche Potenziale sie bieten und wie man diese am besten nutzen kann.Bezüglich der geschichtlichen und geografischen Aspekte ist ersichtlich, dass der Bergbau auf die regionale Entwicklung großen Einfluss nahm. Laut der slowenischen Gesetzgebung muss man nach die Landschaft, in welcher der Bergbau stattfand, durch Sanierung in den alten Zustand bringen bzw. sie in diesem Maße rekultivieren, dass sie für andere Zwecke genutzt werden kann. Aus den regionalen Entwicklungsplänen geht hervor, dass der Bergbau eine wichtige Rolle bei der weiteren Entwicklung des Šalek-Tals und Zasavje spielen wird. Die durchgeführte SWOT-Analyse hat ergeben, dass das meiste Potenzial im Tourismus liegt, da man auf diese Weise das Bergbauerbe am besten verwerten kann.Das Šalek-Tal offenbart nach den Untersuchungen Merkmale, die eine Post-Mining-Region ausmachen, da die alten Bergbaugebiete bereits saniert wurden und für neue Zwecke verwendet werden, was das wichtigste Merkmal einer Post-Mining-Region ist. Zasavje befindet sich hingegen noch zu Beginn des Prozesses, eine Post-Mining-Region zu werden. Zurzeit beschäftigt man sich vielmehr mit der Bergbauschließung als mit der Frage, wie man das Bergbauerbe am besten nutzen kann. Wenn die beiden Regionen stärker am Tourismus arbeiten werden, könnte in Slowenien zwei tatsächliche Post-Mining-Regionen aufweisen. ; Mining has been for centuries an important activity in Slovenia. It is economically relevant, and has also had a strong effect on the region, and the process of mining. In time it came to depletion, and also to closing down of the mines. Which is why the settlements around the mines were gradually given up, and abandoned. After closing down the mines, the question occurred about which potentials the regions still have, with what, and in what way they could be made more interesting again. The theoretical background was formed by the works of the topic of Post-Mining Regions, and also by the today's mining situation along with the legislation in this region of Slovenia. The data which was important for further analysis was collected on the basis of interviews, field work, and studying technical literature. In this master's thesis, the current economic and social situation of both regions is presented on the basis of the collected data, and possibilities for the further development are presented with the help of existing examples from around the world as well as from my own approaches to solution. In the theoretical regard it was clarified what Post-Mining-Regions are, which potentials they offer, and how they can be used in the best way.Regarding the historical and geographical aspects, it is apparent that mining greatly affected the regional development. According to the Slovenian legislation, the landscape where the mining took place has to be brought back to the former state through redevelopment, or recultivated to such extent that it can be used for other purposes again. From the regional development plans, it can be seen that mining will play an important role in the further development of the Šalek Valley, and Zasavje. The SWOT analysis revealed that the most potential lies in tourism, since in that way the mining legacy can be reused in the best way.According to the studies, the Šalek Valley reveals features that make up a Post-Mining Region, since the old mining areas have already been redeveloped, and reused for new purposes, which is an important feature of Post-Mining Regions. Zasavje, on the other hand, is still at the beginning of the process of becoming a Post-Mining region. Currently, the focus lies more on the closing of mines than on the question about how to use the mining legacy in the best way. If both regions worked stronger on tourism, Slovenia would have two actual Post-Mining Regions. ; vorgelegt von Gregor Spitalar ; Zusammenfassungen in Deutsch und Englisch ; Abweichender Titel laut Übersetzung des Verfassers/der Verfasserin ; Karl-Franzens-Universität Graz, Masterarbeit, 2016 ; (VLID)1331028
Die vorliegende Arbeit beschäftigt sich mit zeitgenössischem 'Frauenkabarett' in der Steiermark.Einleitend wurden im allgemeinen Teil Kabarettdefinitionen und Kabarettgeschichte genauer untersucht,wobei bereits hier der Fokus genderspezifisch auf die Frau und räumlich auf die Steiermarkgelegt wurde. Gegenstand dieser Arbeit ist einerseits eine vollständige Typologisierung aller Frauenkabarett-Modelle und andererseits die Analyse ihrer Funktion und die damit verbundenen Mittelzur Erzeugung von Komik. Die Untersuchung basiert auf aktuellen Kabarettprogrammen der gegenwärtigenKabarettistinnen in der Steiermark. Dazu wurden hauptsächlich Video-Materialien herangezogenund anschließend transkribiert. Ich habe aber auch ein Interview mit der steirischen KabarettistinMarion Petric geführt, das vollständig transkribiert im Anhang enthalten ist. ^Ziel dieser Arbeitist der Versuch einer Analyse, welche Rollen und Typen Frauen im zeitgenössischen Kabarettin der Steiermark einnehmen und wie sie sich innerhalb der verschiedenen Kabarettmodellen unterscheiden.Da das Thema Kabarett noch sehr jung und unerforscht ist, war es bereits im ersten Kapitelschwierig eine allgemeingültige Definition zu finden, da nur wenig Literatur über Kabarett existiert.Und wenn, bezieht sich diese immer auf den Mann als Kabarettisten, wohingegen die Frau zumeistkaum erwähnt wird. Dies gibt den Anschein, Frauen seien im Kabarett nicht vertreten.In der Vergangenheit wurde der Frau ihrem gesellschaftlichen Stellenwert geschuldet der Platzhinter dem Herd in der Küche zugeschrieben. Auch die Benimmregeln für Frauen im 17. Jahrhundert,die ihnen das Lachen in der Öffentlichkeit untersagten, unterstützten nicht gerade die Emanzipationder Frauen im Kabarett. ^So scheint es kein Zufall zu sein, dass der Werdegang der Kabarettistinnenweder einfach war noch ist. Meistens waren sie auf der Bühne in der Minderheit undmussten das klassische Frau-Sein, mit all den gängigen Vorurteilen und Klischees, spielen. Auch imKabarettmodell 'Ensemble' oder 'Mann-Frau-Duo' nimmt sie vorwiegend die standardisierte Rolleeiner 'typischen' Frau ein. Wohlgemerkt beschränken sich Frauen im Solo- oder Trio-Modell aucheher auf Frauenthemen und grenzen politische Kritik fast vollständig aus.Doch Kabarett befindet sich ständig im Wandel und heute gibt es immer mehr Kabarettistinnen, vorallem auch sehr junge, die sich bereits einen Namen in der Szene machen konnten. Frauen müssenzwar einen schweren Weg einschlagen, allerdings können sie ebenso erfolgreich sein wie ihremännlichen Kollegen. Man darf nicht vergessen, dass Frauen bereits seit Anfang an im Kabarettvertreten waren und daher bis heute unverzichtbar sind. ^Natürlich nehmen sie oft andere Haltungenals Männer ein, aber darum sind sie ja auch Frauen. Ein paar Unterschiede werden wohl (zumGlück) immer bestehen bleiben. ; The aim of this thesis is to present female performers in contemporary cabaret in Styria. First of all, definitions as well as the history of this artistic genre are introduced. The general part focuses on the gender aspect of cabaret shows and on the impact of the Styrian region on the shows. The main goal is, on the one hand, to show the different types of cabaret with female performers and, on the other hand, to analyze their functions and methods of creating humor.The analysis is based on contemporary cabaret shows performed in Styria. For this purpose video material was observed and then transcribed. Stage roles and types of female cabaret artists in present Styria are demonstrated.As the topic is still very new and unexplored, it has been very hard to find a general definition for cabaret. Additionally, it could be noticed that there is still a lack of literature in this field of research. ^Furthermore, the existing literature on the topic strongly relates to male cabaret performers, whereas female performers remain mostly unmentioned. This condition might even give the impression that there are no female cabaret artists at all. In the past, a womans place was in the kitchen, doing all the housework, which is grounded in the societal model of times past. In the 17th century, female emancipation was inhibited by the social conventions and rules and one of them forbid women to laugh in public. This is only one example to show that womens path to succeed in cabaret was hard in the past. Moreover, it is still far from easy nowadays for women to be successful in cabaret. On stage, women used to be in the minority and they were to play traditional female stereotypes. This is still the case in the cabaret forms 'ensemble and 'male-female-duet. ^It has to be mentioned that women also tend to focus on typical female content when they perform in a cabaret solo or trio. Topics such as politics are almost completely being excluded. However, cabaret is constantly a subject to change. Nowadays, there are more and more female cabaret artists that are already successful on stage and many of them are still very young. It has to be considered that women have always been part of cabaret shows right from the beginning. Moreover, female performers have become absolutely essential in cabaret. Women often still do not play the same roles as men and the female gender has different attitudes on stage. It can be concluded that there are still some gender differences in cabaret but this situation can also be regarded as advantageous. ; vorgelegt von Tatiana Kathrin Wolf ; Zusammenfassungen in Deutsch und Englisch ; Abweichender Titel laut Übersetzung der Verfasserin ; Karl-Franzens-Universität Graz, Masterarbeit, 2016 ; (VLID)1562157
Die vorliegende Arbeit hat die Analyse von Akteurskonstellationen und Machtverhältnissen im Kontext neoliberaler Formen der städtischen Raumproduktion zum Gegenstand. Konkret werden die ökonomischen und politischen Logiken und Dynamiken im Prozess der Stadterweiterung in Santiago de Chile untersucht, und zwar am Beispiel der Planung und Implementierung privater Megaprojekte. Diese Projekte, die sich an den Prinzipien des New Urbanism orientieren, haben in Santiago seit Mitte der 1990er einen regelrechten Boom erlebt und sowohl die physisch-materielle als auch die institutionelle Landschaft grundlegend verändert. In der Literatur wird diese Form der privaten Stadtentwicklung bislang vor allem als eine unmittelbare Auswirkung von Prozessen der Globalisierung und Neoliberalisierung interpretiert. In dieser Arbeit wird diese Diskussion aufgenommen und theoretisch und empirisch vertieft. Zunächst wird ein theoretischer Rahmen erarbeitet, der sowohl Elemente der Urbanen Politischen Ökonomie wie auch poststrukturalistische Ansätze berücksichtigt, um so im Prozess der Raumproduktion die Schnittstellen von Materialität und Diskurs in den Blick nehmen zu können. An zwei Fallbeispielkommunen in Santiago, wo sich eine Vielzahl von Megaprojekten in Entwicklung befinden, werden die Planungs- und Aushandlungsprozesse mit Hilfe von Methoden der qualitativen Sozialforschung (Leitfadeninterviews, Teilnehmende Beobachtung und Textanalyse) rekonstruiert und in Bezug auf die Fragestellung interpretiert. Festgehalten werden kann, dass der Boom der Megaprojekte eng mit der unter Pinochet eingeschlagenen Politik der Neoliberalisierung zusammenhängt. Es sind im Wesentlichen diejenigen ökonomischen Gruppen, die stark von der Politik der Glokalisierung und Privatisierung profitiert haben, die seit den 1980er Jahren sukzessive in das Geschäft der Landentwicklung eingestiegen sind. Die Megaprojekte stellen dabei eine spezifische Strategie dar, mit der drei Geschäftsfelder mit Bezug zur gebauten Umwelt – Bodenspekulation, Immobilienproduktion und Capital Switching – auf innovative Art und Weise verknüpft werden, was als 'strukturelle Spekulation' bezeichnet wird. Wiewohl die Landentwickler und die dahinter stehenden ökonomischen Gruppen es geschafft haben, ihre Verwertungsinteressen in Form der sogenannten Konditionierten Planung in die institutionelle Landschaft einzuschreiben, wird bei einer genauen Rekonstruktion der Entwicklung des Phänomens sowie der konfligierenden Interessen und Strategien deutlich, dass dies zu internen Widersprüchen und Konflikten zwischen unterschiedlichen Landentwicklern und Kapitalfraktionen einerseits und verschiedenen staatlichen Institutionen andererseits geführt hat. Was diese empirischen Befunde auf theoretischer Ebene anzeigen, ist, dass Globalisierung und Neoliberalisierung im Bereich der Stadtentwicklung weder Prozesse ohne Subjekt noch Einbahnstraßen sind. Ökonomische Logiken werden von politischen Dynamiken gebrochen, ebenso wie dies umgekehrt der Fall sein kann. An der Schnittstelle zwischen Politik und Wirtschaftsinteressen in Bezug auf Stadtentwicklungprozesse befindet sich das Planungssystem, innerhalb dessen die vielfältigen Konflikte ausgetragen werden und deren Ausgang kontingent ist. ; The present study deals with analyzing the actor constellations and power relations in the context of neoliberal forms of urban space production. Specifically, the economic and political logics and dynamics in the process of urban expansion in Santiago de Chile are examined using the example of the planning and implementation of private megaprojects as case studies. These projects, which are based on the principles of New Urbanism, have experienced a boom in Santiago since the mid-1990s and changed both the physical-material as well as the institutional landscapes fundamentally. In the literature this form of private urban development has so far been interpreted mainly as a direct impact of processes of globalization and neoliberalization. In this work, this discussion is taken up and deepened both theoretically and empirically. First, a theoretical framework is developed, which takes into account elements from Urban Political Economy as well as post-structuralist approaches in order to analytically address the intersection of materiality and discourse in the process of space production. In two case study communities in Santiago, where a large number of mega projects are developed, then the planning and negotiation processes are reconstructed and interpreted, with the help of methods of qualitative social research (semi-structured interviews, participant observation and text analysis). In terms of results, it can be noted that the boom of megaprojects is closely related to the neoliberalization policies under Pinochet. Especially those economic groups that greatly benefited from the glocalization and privatization strategies since the 1980s have been entering successively the business of land development. The megaprojects are in that context a specific strategy to innovatively connect three aspects with respect to the production of the built environment – land speculation, real estate production and capital switching – what is referred to as 'structural speculation'. While the land developers and connected economic groups have managed to inscribe their investment interests in the institutional landscape through the so-called 'conditioned planning', a fine grained reconstruction of the development of the phenomenon and of the conflicting interests and strategies at play reveals internal contradictions and conflicts between different land developers and fractions of capital on the one hand and various government institutions on the other side. What these empirical findings imply on a theoretical level is that globalization and neoliberalization in the field of urban development processes are nor one-way streets nor processes without a subject. Economic logics are broken by political dynamics and vice versa. At the interface of politics and business interests in urban development lies the planning system within which multiple conflicts are articulated whose outcomes are always contingent.
Die mit dem Reaktorunglück von Fukushima zusammenhängenden haftungsrechtlichen Fragen hat Julius Weitzdörfer in ZJapanR 31 (2011) eingehend untersucht. In Ergänzung seiner Überlegungen werden in diesem Beitrag die internationalen Aspekte des Haftungsfalls dargelegt. Auf der Grundlage der internationalen Atomhaftungsübereinkommen (Pariser Übereinkommen, Wiener Übereinkommen, Übereinkommen überergänzende Entschädigung für nuklearen Schaden) ist das Atomhaftungsrecht eine inhaltlich international weitgehend vereinheitlichte Rechtsmaterie. Zwar gehört Japan keinem der Übereinkommen an, aber deren Grundsätze haben Eingang in die nationale japanische Gesetzgebung und in die Gesetzgebungen zahlreicher anderer Nicht-Vertragsstaaten gefunden. Das japanische Atomhaftungsrecht ist auch ohne förmliche vertragliche Einbindung ein substantiell integrierter Bestandteil des internationalen Atomhaftungsregimes. Die Abwicklung der Fukushima-Schadensfälle ist somit zugleich ein Testfall für die internationalen Haftungsgrundsätze. Zu den tragenden internationalen Haftungsprinzipienzählen u.a. die einheitliche Definition des die Haftung auslösenden nuklearen Ereignisses, der Grundsatz der Haftung ohne Verschulden des Inhabers einer Kernanlage und die ausschließliche Haftung des Inhabers der Kernanlage (rechtliche Kanalisierung der Haftung). Betrachtet man die Entsprechungen dieser und der übrigen Haftungsgrundsätze im japanischen Recht genauer, so können sich Zweifel ergeben, ob der japanische Gesetzgeber diese Grundsätze tatsächlich in jeder Hinsicht so versteht, wie sie international ausgelegt werden. So schließt offenbar der Grundsatz der ausschließlichen Haftung des Inhabers der Kernanlage im japanischen Recht Haftungskonkurrenzen nicht vollständig aus, obwohl gerade das der Zweck des Grundsatzes der rechtlichen Haftungskanalisierung ist. Problematisch ist der Haftungsausschluss des japanischen Rechts für Schäden, die Folgen einer schweren Naturkatastrophe außergewöhnlicher Art sind. Dieser Haftungsausschluss ist ebenso wie der für kriegerische Ereignisse rechtlich zweifelhaft und praktisch wertlos. Er sollte aus dem japanischen Recht und auch aus den Übereinkommen gestrichen werden. International beispielhaft für nukleare Massenverfahren kann dagegen das im japanischen Recht angebotene institutionalisierte Streitschlichtungsverfahren bei der Geltendmachung von Schadensersatzansprüchen werden. Es kann die Ersatzleistung beschleunigen und so zur Wiederherstellung des sozialen und politischen Friedens beitragen. Japan scheint den Beitritt zu dem Übereinkommen über ergänzende Entschädigung für nuklearen Schaden zu erwägen. Dieser wäre nur möglich, wenn sich die japanische Gesetzgebung im Einklang mit dem Annex zu dem Übereinkommen befindet. Ob das der Fall ist, ist fraglich. ; In ZJapanR/J.Japan.L. 31 (2011), Julius Weitzdörfer published a thorough treatise on the liability issues connected with the Fukushima nuclear accident. As a complement to his considerations, this article deals with the international aspects of the liability case. Nuclear liability law is based on the international nuclear liability Conventions (i.e. the Paris Convention, the Vienna Convention, and the Convention on Supplementary Compensation for Nuclear Damage) and is thus a field of law that is internationally harmonized to a great extent. Japan is not a party to any of the Conventions, but those principles nevertheless became elements of the national legislation of Japan and of numerous other non-contracting states. Even without formal treaty obligations, the Japanese nuclear liability law forms an integral part of the international nuclear liability regime. Compensating Fukushima claims at the national Japanese level also means testing the international liability principles. Among the leading international liability principles are a unified definition of the 'nuclear incident' that triggers liability, the principle of liability without fault on the part of the operator of a nuclear installation, and the principle of exclusive liability of the operator of a nuclear installation (legal channelling of liability). If one looks at the corresponding concepts of the Japanese law a little more closely, there might be doubts as to whether the Japanese legislator understands these principles identically to the international interpretation. In particular, the exclusive liability of the operator of a nuclear installation does not entirely exclude claims for compensation based on other liability provisions. But that is exactly the purpose of legal channelling of liability. The exoneration under Japanese law from liability for damage caused by a grave natural disaster of an exceptional character is problematic. This exoneration and the exoneration from liability for damage due to hostilities, etc. are both legally unsound and, from a practical and political point of view, without any use. They should be deleted from both the Japanese law and the international conventions. The Japanese nuclear liability law, on the other hand, provides a claims handling procedure that might be used as an example at the international level. The law establishes a Claims Reconciliation Committee to optionally settle claims out of court. Especially in mass tort litigations, such a procedure might speed up the payment of compensation and contribute to regaining social and political peace. There are signals that Japan will adhere to the Convention on Supplementary Compensation for Nuclear Damage in the near future. This would require its nuclear liability legislation to comply with the Annex to that Convention. It is questionable whether there is such compliance.