Private international law aspects of corporate social responsibility
In: Ius comparatum - global studies in comparative law volume 42
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In: Ius comparatum - global studies in comparative law volume 42
In the last few years, especially after the Brexit referendum and the 2016 US elections, there has been a surge in academic interest for misinformation and disinformation. Social, cognitive, and political scientists' work on these phenomena has focused on two main aspects:● Individuals' (and by extension societies') vulnerability to misinformation.● Factors and interventions that can increase individuals' (and societies')resistance to misinformation.In this article we offer a critical review of the psychological research pertaining to these two aspects. Drawing on this review, we highlight an emerging tension in the relevant literature. Indeed, the current state-of-the-art of the political misinformation literature reflects the combined operation of two opposing psychological constructs: excess gullibility on the one hand and excess vigilance on the other. We argue that this conceptualization is important in both advancing theories of individuals' and societies' vulnerability to misinformation and in designing prospective research programs. We conclude with proposing what, in our view, are the most promising avenues for future research in the field. ; info:eu-repo/semantics/published
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Diese Schrift besteht aus drei Teilen, die meinen verschiedenen Forschungsschwerpunkten entsprechen. Der erste, der sich mit der Verbindung von Verfassungsrecht und politischer Philosophie befasst, ist eine radikale, aber noch nicht abgeschlossene Kritik an der repräsentativen Form der Demokratie. Sie stößt nicht nur zunehmend an ihre Grenzen, sondern scheint auch der Idee der Demokratie selbst zu widersprechen. Der zweite betrifft scheinbar technische Aspekte des Verfassungsrechts, die aber in Wirklichkeit diese Überlegungen ergänzen, da sie in den ersten beiden Artikeln dem Referendum und der Notwendigkeit einer zumindest halbdirekten Demokratie gewidmet sind, die in Frankreich, anders als in Italien, de facto, wenn nicht sogar de jure, nicht existiert. Der dritte Schwerpunkt ist dem Herzland Italien und seinen politischen Institutionen gewidmet. Er gliedert sich um einen roten Faden (abgesehen von dem historischen Artikel über den Vergleich des französischen und italienischen Kulturguts) in Form eines Postulats, das sich aus einer Intuition ergibt. Die italienische Politik scheint, was auch immer man von ihr halten mag, die Entwicklung unseres französischen politischen Ansatzes vorwegzunehmen, so dass man Italien als ein nützliches "Labor" zur Beobachtung unserer Situation betrachten kann. ; This paper is composed of three parts, corresponding to my various lines of research. The first, devoted to the articulation of constitutional law and political philosophy, is a radical, but still unfinished, critique of the representative form of democracy. Not only does it increasingly show its limits, but it also seems contradictory to the very idea of democracy. The second concerns apparently technical aspects of constitutional law, but in reality complementary to this reflection, since the first two articles are devoted to the referendum and the need for a democracy that is at least semi-direct, which in fact, if not in law, does not exist in France, unlike in Italy. The third axis is devoted to Italy, a country at ...
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Diese Schrift besteht aus drei Teilen, die meinen verschiedenen Forschungsschwerpunkten entsprechen. Der erste, der sich mit der Verbindung von Verfassungsrecht und politischer Philosophie befasst, ist eine radikale, aber noch nicht abgeschlossene Kritik an der repräsentativen Form der Demokratie. Sie stößt nicht nur zunehmend an ihre Grenzen, sondern scheint auch der Idee der Demokratie selbst zu widersprechen. Der zweite betrifft scheinbar technische Aspekte des Verfassungsrechts, die aber in Wirklichkeit diese Überlegungen ergänzen, da sie in den ersten beiden Artikeln dem Referendum und der Notwendigkeit einer zumindest halbdirekten Demokratie gewidmet sind, die in Frankreich, anders als in Italien, de facto, wenn nicht sogar de jure, nicht existiert. Der dritte Schwerpunkt ist dem Herzland Italien und seinen politischen Institutionen gewidmet. Er gliedert sich um einen roten Faden (abgesehen von dem historischen Artikel über den Vergleich des französischen und italienischen Kulturguts) in Form eines Postulats, das sich aus einer Intuition ergibt. Die italienische Politik scheint, was auch immer man von ihr halten mag, die Entwicklung unseres französischen politischen Ansatzes vorwegzunehmen, so dass man Italien als ein nützliches "Labor" zur Beobachtung unserer Situation betrachten kann. ; This paper is composed of three parts, corresponding to my various lines of research. The first, devoted to the articulation of constitutional law and political philosophy, is a radical, but still unfinished, critique of the representative form of democracy. Not only does it increasingly show its limits, but it also seems contradictory to the very idea of democracy. The second concerns apparently technical aspects of constitutional law, but in reality complementary to this reflection, since the first two articles are devoted to the referendum and the need for a democracy that is at least semi-direct, which in fact, if not in law, does not exist in France, unlike in Italy. The third axis is devoted to Italy, a country at ...
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In: Collection Culture et publics
In: Collection Ouvertures psy
In: Les dossiers de BJS
Les règles de cette nouvelle économie de partage.0Uber, Airbnb, BlaBlaCar et les autres acteurs de l?économie collaborative séduisent un public de plus en plus large. Ces plateformes d?intermédiation d?un genre nouveau cherchent évidemment à générer des profits et leurs utilisateurs sont sensibles aux économies réalisées en recourant à leurs services. Mais le phénomène témoigne également d?une volonté des consommateurs de trouver des solutions à la fois plus fonctionnelles et plus soucieuses de l?intérêt général.0L?économie collaborative, au cadre encore très flou, suscite de nombreuses discussions sociétales, économiques et politiques. Il s?agit d?une tendance profonde et mondiale, dont les aspects juridiques déterminent la faisabilité et la pérennité : certes les règles de droit sont ébranlées par l?apparition de ces nouvelles formes d?économie, mais les réglementations, souvent sectorielles, rattrapent peu à peu ces activités.0Cet ouvrage dresse un diagnostic des questions juridiques posées par l?économie collaborative (tant en droit social, commercial, des assurances et des responsabilités, qu?en droit public, fiscal et concernant la protection des données), en présentant les réponses qui existent et en analysant les possibles évolutions
In: Collection de la Faculté de droit et des sciences sociales 74
In: Actes & colloques
In: Les voies du politique
Allemagne : la résilience d'un " modèle " de référence / Martin Behrens -- Autriche : l'essoufflement politique d'un système consensuel / Patrick Moreau -- Belgique : l'adaptation d'un " modèle " de concertation sociale / Évelyne Léonard et François Pichault -- Bulgarie : syndicalisme et tripartisme après la chute du communisme / Vassil Kirov -- Danemark : un " modèle " en difficulté / Jens Lind -- Espagne : le " modèle ibérique " face à la crise et aux Indignés / Marina Casula -- États-Unis : crise du syndicalisme et de la négociation collective / Mathieu Dupuis et Claude Rioux -- France : la cartellisation des relations professionnelles / Dominique Andolfatto et Dominique Labbé -- Grèce : les relations du travail au prisme des politiques d'austérité et de dérèglementation / Lefteris Kretsos -- Italie : libéralisation du marché du travail et résistances syndicales / Guillaume Gourgues et Jessica Sainty -- Pays-Bas : le syndicalisme des polders / Antoine Bevort -- Québec : un système de relations industrielles en mutation / Mélanie Laroche et Patrice Jalette -- Roumanie : des minériades à l'intégration européenne / Anemona Constantin -- Royaume-Uni : l'européanisation d'un modèle très libéral / Sylvie Contrepois -- Suède : brève histoire du syndicalisme et défis actuels / Christer Thörnqvist, Monica Andersson Bäck et Jesper Hamark
International audience ; Tout pouvoir public à Rome trouve sa légitimité dans une confirmation divine et le pouvoir impérial ne fait pas exception. Les formes et les rites de cette validation suivaient néanmoins encore les pratiques républicaines et n'impliquèrent jamais que la charge suprême de l'État fût divinisée-au moins du point de vue institutionnel. Comme les magistrats, l'empereur romain aussi était choisi par les hommes et agréé par les dieux ; cependant la position d'empereur était le résultat d'une combinaison de pouvoirs et de prérogatives diverses, chacune avec leurs propres rites de validation. En tant que princeps de la res publica, père de la patrie et garant de la paix et du non-retour vers le chaos des guerres civiles, l'empereur était symbole et instrument de la bienveillance que les dieux avaient toujours démontrée envers Rome, mais il n'etait pas dieu lui-même. L'empereur n'était pas non plus l'élu des dieux, car aucun rite divinatoire public ne fut jamais introduit pour choisir un empereur plutôt qu'un autre, c'est-à-dire pour réserver aux dieux une prérogative qui restait l'exclusivité du sénat et du peuple. Le divin rentre en relation avec le pouvoir impérial dans un très grand nombre d'occasions et il est impossible de rendre compte de cette complexité dans l'espace d'un simple article. Ce qui nous occupera ici est donc seulement l'une des facettes de cette relation, celle qui concerne l'investiture impériale et la dimension religieuse de l'exercice du pouvoir civil et militaire par l'empereur. Cette synthèse vise en particulier à éclaircir certains points qui pourraient faire l'objet de malentendus et donner la fausse impression d'une origine divine du pouvoir impérial. En effet, de nombreuses sources montrent que l'idée de la divinité de l'empereur régnant était largement répandue, mais nous devons être capables de les interpréter correctement dans leur contexte religieux, politique, topographique et social. Dans une religion sans révélation ni dogme ni autorité centrale, comme l'était ...
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International audience ; Tout pouvoir public à Rome trouve sa légitimité dans une confirmation divine et le pouvoir impérial ne fait pas exception. Les formes et les rites de cette validation suivaient néanmoins encore les pratiques républicaines et n'impliquèrent jamais que la charge suprême de l'État fût divinisée-au moins du point de vue institutionnel. Comme les magistrats, l'empereur romain aussi était choisi par les hommes et agréé par les dieux ; cependant la position d'empereur était le résultat d'une combinaison de pouvoirs et de prérogatives diverses, chacune avec leurs propres rites de validation. En tant que princeps de la res publica, père de la patrie et garant de la paix et du non-retour vers le chaos des guerres civiles, l'empereur était symbole et instrument de la bienveillance que les dieux avaient toujours démontrée envers Rome, mais il n'etait pas dieu lui-même. L'empereur n'était pas non plus l'élu des dieux, car aucun rite divinatoire public ne fut jamais introduit pour choisir un empereur plutôt qu'un autre, c'est-à-dire pour réserver aux dieux une prérogative qui restait l'exclusivité du sénat et du peuple. Le divin rentre en relation avec le pouvoir impérial dans un très grand nombre d'occasions et il est impossible de rendre compte de cette complexité dans l'espace d'un simple article. Ce qui nous occupera ici est donc seulement l'une des facettes de cette relation, celle qui concerne l'investiture impériale et la dimension religieuse de l'exercice du pouvoir civil et militaire par l'empereur. Cette synthèse vise en particulier à éclaircir certains points qui pourraient faire l'objet de malentendus et donner la fausse impression d'une origine divine du pouvoir impérial. En effet, de nombreuses sources montrent que l'idée de la divinité de l'empereur régnant était largement répandue, mais nous devons être capables de les interpréter correctement dans leur contexte religieux, politique, topographique et social. Dans une religion sans révélation ni dogme ni autorité centrale, comme l'était ...
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