The Sociology of Religion in South Africa
In: Archives de sociologie des religions, Band 32, Heft 1, S. 143-164
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In: Archives de sociologie des religions, Band 32, Heft 1, S. 143-164
In: Archives de sociologie des religions, Band 11, Heft 1, S. 147-148
In: Current sociology 5,1
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 93, Heft 1, S. 23-50
ISSN: 1777-5825
L'article se propose, en tenant compte du développement des études simmeliennes, de saisir les relations entre sociologie pure du phénomène religieux et analyse de la catégorie religieuse comme cadre général de formation de la réalité. Une première partie rappelle les grands thèmes de la sociologie pure de Simmel. La seconde partie précise les étapes qui mènent à la monographie de 1906 puis commente l'idée centrale de Die Religion : la religion est la mise en forme d'une religiosité diffuse présente dans de nombreuses manifestations ou relations sociales, qui ne sont pas à strictement parler religieuses. Une approche de certains phénomènes sociaux en terme de religiosité, l'étude des conditions du passage de la religiosité diffuse à la religion, l'approche enfin des analyses par Simmel de la situation religieuse de son temps complètent le tableau et illustrent l'intérêt d'un nouveau regard critique des sociologues des religions sur une oeuvre encore trop méconnue.
After the increasing criticism on the theory of secularisation during the last decades, post-secularisation has been consolidated as a new paradigm in the sociology of religion. However, an approach to sociological production on the subject reveals two basic lines of interpretation, one that emerges from social theory and another that makes use of post-secularisation as a descriptive category. This article focuses on the integration of both perspectives and their interaction within the post-secularisation paradigm. The relevance of this joint approach is based on both the reflections taken from the main works on post-secularisation and data from sociological analysis, including the author's research on the Spanish case of secularisation and data from the broader European context. The critical approach to secularisation and the challenge of plurality are the two main axes of study. Both categories will allow us to explore the interaction between "post-secular consciousness" and historical sociology, on the one hand, and between the normative recognition of plurality and the challenges of its sociological analysis, on the other. This tension between theory and sociological reality, which the theory of secularisation missed at a certain point in its development, is what enables the post-secularisation paradigm to limit the excesses of its predecessor in interpreting religious transformations in modernity. ; Tras la creciente crítica efectuada a la teoría de la secularización durante las últimas décadas, la postsecularización se ha consolidado como nuevo paradigma en sociología de la religión. Sin embargo, una aproximación a la producción sociológica sobre el tema revela dos líneas interpretativas básicas, aquella que emerge de la teoría social y la que efectúa un uso de la postsecularización como categoría descriptiva. El presente artículo apuesta por la integración de ambas perspectivas y de su interacción en el paradigma de la postsecularización. La pertinencia de esta aproximación conjunta será desarrollada a partir de las reflexiones extraídas de las principales obras sobre la postsecularización con los datos procedentes del análisis sociológico, tanto de la investigación del autor sobre el caso español de secularización como del más amplio contexto europeo. La aproximación crítica a la secularización y el reto de la pluralidad serán los dos ejes principales de la exploración. Ambas categorías nos permitirán indagar en la interacción entre "conciencia postsecular" y sociología histórica, de un lado, y entre el reconocimiento normativo de la pluralidad y los retos de su análisis sociológico, de otro. Esta tensión entre la teoría y la realidad sociológica, que la teoría de la secularización obvió en cierto punto de su desarrollo, es la que posibilita al paradigma de la postssecularización limitar los excesos de su predecesora a la hora de interpretar las transformaciones religiosas en la modernidad.
BASE
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Heft 127, S. 33-56
ISSN: 1777-5825
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 83, Heft 1, S. 127-139
ISSN: 1777-5825
Este articulo tiene por objetivo la identificación de ciertos temas y probematicas cuya emergencia ha empezado ya a modificar el panorama de las investigaciones en la sociologia de las religiones. Este panorama, dominado hasta los anos 60 por el analisis del funcionamento de las denominaciones cristianas, ha vacilado frente al desarollo de las teorias del conflicto, a la influencia de la fenomenologia y del interaccionismo simbólico, y al ascenso de las teorias sobre las elecciónes racionales. Sin embargo la misma coyunctura socio-religiosa ha provocado la diversificación actual de las tematicas de investigación. La renovación teórica y metodológica de esta esfera particular de la sociologia, necesita tener en cuenta problemas como el de la religión informal, de los vínculos entre religión y etnicidad, del lugar de las mujeres en el campo religioso, y tambien el de las relaciones entre religión, cuerpo y emociones.
In: Archives de sociologie des religions, Band 32, Heft 1, S. 29-52
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 65, Heft 1, S. 55-65
ISSN: 1777-5825
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 47, Heft 1, S. 23-51
ISSN: 1777-5825
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 38, Heft 1, S. 109-121
ISSN: 1777-5825
Le champ des analyses de Weber et de Durkheim détermine encore étroitement les centres d'intérêt de la sociologie des religions. Cette fidélité aux précurseurs entraîne pour bon nombre de chercheurs l'ignorance de concepts et de démarches propres à d'autre domaines de la sociologie et le désintérêt, par exemple, pour l'étude des organisations religieuses en tant que telles. Ainsi s'explique le petit nombre d'ouvrages britanniques ou américains consacrés au pouvoir, à l'influence ou aux élites, domaines de recherche considérés comme extérieurs à la sociologie des religions.
Notre analyse de la hiérarchie de l'Eglise d'Angleterre montre que la similitude de l'origine sociale ou scolaire des évêques et des archidiacres va de pair avec des différences notables au niveau des carrières ecclésiastiques. La promotion des archidiacres s'effectue à travers une hiérarchie de fonctions, alors que celle des évêques — dans sa phase pré-épiscopale — est bien moins caractérisée d'un point de vue organisationnel. On aboutit à la conclusion que si les évêques constituent une élite nationale, les archidiacres, en raison de l'estime et de l'influence dont ils jouissent en tant que managers du diocèse, et du pouvoir important, bien que local et purement administratif, qu'ils détiennent, forment ce qu'on pourrait appeler une « sous-élite ».
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 89, Heft 1, S. 61-81
ISSN: 1777-5825
Deux notions centrales de la sociologie des religions de Max Weber sont ici soumises à l'examen : la "rationalisation occidentale" et le "désenchantement du monde". S'agissant de la première, on conteste la thèse, suggérée par Marianne Weber et reprise par certains commentateurs, selon laquelle la problématique générale de Weber se serait fondamentalement modifiée entre L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme (1904-1905) et les travaux postérieurs à 1910 (auxquels appartiennent les travaux rassemblés sous le titre : L'éthique économique et les grandes religions du monde). On soutient au contraire que les conditions de formation de l'économie capitaliste sont restées tout au long de son oeuvre le thème principal de sa réflexion, malgré l'élargissement du matériel historique mobilisé pour les fins de la comparaison. En ce qui concerne la notion de "désenchantement du monde", qui sert trop souvent de résumé commode à l'interprétation wébérienne des rapports entre religion et modernité (assimilée à une théorie de la sécularisation), on s'oppose ici à une lecture "phénoménologique" de la pensée wébérienne : Weber ne rapporte pas la fonction sociale des religions à leur capacité de donner sens au monde, et le retrait du religieux qu'il diagnostique dans les sociétés occidentales modernes ne résulte pas pour lui d'un effacement de la transcendance, mais de la marginalisation des déterminations éthiques dans le façonnement des conduites sociales.
In: Ediciones de bolsillo 454
In: Ciencias sociales