Sociology and demography
In: Population. English edition, Band 61, Heft 1, S. 19
ISSN: 1958-9190
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In: Population. English edition, Band 61, Heft 1, S. 19
ISSN: 1958-9190
In: Revue économique, Band 53, Heft 2, S. 291
ISSN: 1950-6694
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 93, Heft 1, S. 23-50
ISSN: 1777-5825
L'article se propose, en tenant compte du développement des études simmeliennes, de saisir les relations entre sociologie pure du phénomène religieux et analyse de la catégorie religieuse comme cadre général de formation de la réalité. Une première partie rappelle les grands thèmes de la sociologie pure de Simmel. La seconde partie précise les étapes qui mènent à la monographie de 1906 puis commente l'idée centrale de Die Religion : la religion est la mise en forme d'une religiosité diffuse présente dans de nombreuses manifestations ou relations sociales, qui ne sont pas à strictement parler religieuses. Une approche de certains phénomènes sociaux en terme de religiosité, l'étude des conditions du passage de la religiosité diffuse à la religion, l'approche enfin des analyses par Simmel de la situation religieuse de son temps complètent le tableau et illustrent l'intérêt d'un nouveau regard critique des sociologues des religions sur une oeuvre encore trop méconnue.
In: Politique européenne, Band 36, Heft 1, S. 194-197
ISSN: 2105-2875
In: Revue européenne des sciences sociales: cahiers Vilfredo Pareto = European journal of social sciences, Heft XXXVIII-117, S. 217-228
ISSN: 1663-4446
In: Archives de sociologie des religions, Band 32, Heft 1, S. 143-164
In: Loisir & société: Society and leisure, Band 15, Heft 1, S. 20-38
ISSN: 1705-0154
In: Politique européenne, Band 37, Heft 2, S. 178-182
ISSN: 2105-2875
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Band 78, Heft 2, S. 45-58
ISSN: 1950-6708
Bref exercice de critique de la sociologie, cet article démontre les contributions indéniables de W. E. B. Du Bois à l'histoire, au discours et au développement de la sociologie américaine en particulier, et au monde de la sociologie en général. Cette approche dialectique du discours sociologique de Du Bois permettra aux interprètes objectifs de son œuvre de constater que, par comparaison et contraste avec l'œuvre monumentale de Karl Marx, Max Weber et Émile Durkheim, ce qui était et reste véritablement distinctif de la sociologie de Du Bois est précisément sa préoccupation sans prétention pour des questions sociales, politiques et culturelles clairement et distinctement américaines, comme, par exemple : la race et le racisme anti-noir dans le contexte de l'esclavage, du lynchage, des codes noirs, des lois Jim Crow, de la ségrégation et d'autres formes d'oppression raciale aux États-Unis ; le capitalisme racial et la colonisation raciale des classes sociales aux États-Unis ; la colonisation raciale du genre et de la sexualité aux États-Unis ; la colonisation raciale de la religion aux États-Unis ; la colonisation raciale de l'éducation aux États-Unis ; et, enfin, la criminalisation raciale des Noirs, parmi d'autres personnes colonisées racialement et frappées par la pauvreté, aux États-Unis.
In: Revue française de science politique, Band 64, Heft 6, S. 1229-1230
ISSN: 0035-2950
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 38, Heft 1, S. 109-121
ISSN: 1777-5825
Le champ des analyses de Weber et de Durkheim détermine encore étroitement les centres d'intérêt de la sociologie des religions. Cette fidélité aux précurseurs entraîne pour bon nombre de chercheurs l'ignorance de concepts et de démarches propres à d'autre domaines de la sociologie et le désintérêt, par exemple, pour l'étude des organisations religieuses en tant que telles. Ainsi s'explique le petit nombre d'ouvrages britanniques ou américains consacrés au pouvoir, à l'influence ou aux élites, domaines de recherche considérés comme extérieurs à la sociologie des religions.
Notre analyse de la hiérarchie de l'Eglise d'Angleterre montre que la similitude de l'origine sociale ou scolaire des évêques et des archidiacres va de pair avec des différences notables au niveau des carrières ecclésiastiques. La promotion des archidiacres s'effectue à travers une hiérarchie de fonctions, alors que celle des évêques — dans sa phase pré-épiscopale — est bien moins caractérisée d'un point de vue organisationnel. On aboutit à la conclusion que si les évêques constituent une élite nationale, les archidiacres, en raison de l'estime et de l'influence dont ils jouissent en tant que managers du diocèse, et du pouvoir important, bien que local et purement administratif, qu'ils détiennent, forment ce qu'on pourrait appeler une « sous-élite ».
In: Canadian journal of political and social theory: Revue canadienne de théorie politique et sociale, Band 10, Heft 3, S. 136-141
ISSN: 0380-9420
In: Archives de sociologie des religions, Band 11, Heft 1, S. 147-148
In: Politix: revue des sciences sociales du politique, Band 20, Heft 79, S. 224-230
ISSN: 0295-2319
In: Recherches féministes, Band 13, Heft 2, S. 183
ISSN: 1705-9240