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Offre et demande de soins médicaux
In: Revue des sciences sociales de la France de l'Est, Volume 14, Issue 1, p. 73-78
La sociologie a fourni un complément indispensable à l'économie pour l'étude de l'offre et de la demande de soins médicaux. Mais les enquêtes santé de l'INSEE et du CREDOC restent encore insuffisantes car aucune question n'est posée sur les attitudes à l'égard du corps, de l'hygiène, de la notion de santé, de la médecine, des médicaments.
Deliège-Rott D. — Le marché des soins médicaux
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Volume 20, Issue 1, p. 162-162
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Medizinische Betreuung ist Pflicht / Les soins médicaux: un devoir
In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Volume 86, Issue 24, p. 1443-1444
ISSN: 1424-4004
Renoncement aux soins médicaux et confinement : les enseignements d'une enquête en ligne
La moyenne hebdomadaire des nouvelles admissions COVID des dernières semaines a conduit le SPF Santé Publique à suggérer un passage à la phase 1B du plan de Surge Capacity le 22 mars 2021. Selon cette phase 1B, les hôpitaux doivent reporter des soins non urgents afin de disposer d'une capacité hospitalière suffisante pour fournir les soins nécessaires aux patients COVID comme aux patients non-COVID. Le report et/ou le renoncement à des soins médicaux depuis le début de la crise sanitaire est devenu plus fréquent dans la population. Qu'il s'agisse d'un report de rendez-vous par les professionnels de santé ou un renoncement aux soins par les patients par crainte de contracter le coronavirus, ces soins médicaux non satisfaits pourraient conduire à une dégradation ultérieure de l'état de santé et donc directement ou indirectement à une surmortalité. Ce numéro de Regards économiques réalise un premier état des lieux de l'ampleur du renoncement aux soins durant le premier confinement à partir des données d'une enquête en ligne menée auprès de la population en Belgique au printemps 2020. L'analyse montre un important renoncement à des soins spécialistes et des examens médicaux dans la plupart des cas pour des raisons qui relèvent de l'offre de soins, notamment le fait que les hôpitaux ou les établissements de soins ont annulé ou reporté les rendez-vous médicaux ou que les professionnels de santé avaient fermé leur cabinet. Puisqu'ils sont nécessairement de plus grands utilisateurs de soins, ce sont les plus malades qui ont particulièrement renoncé à des soins médicaux. En revanche, dans le cas des soins dentaires, des disparités dans le renoncement s'observent majoritairement au détriment des plus pauvres. Une détérioration de l'état de santé de la population est donc à craindre du fait du renoncement à des soins médicaux durant le confinement et au-delà puisqu'une proportion non négligeable de personnes rapportent ne pas envisager d'aller consulter lors d'un futur besoin de soins. A partir de ces premiers résultats chiffrés de l'ampleur et les raisons du renoncement aux soins durant le premier confinement, nous formulons plusieurs points d'attention pour les décideurs politiques. Bien que nous ne soyons pas en mesure de comparer l'ampleur du renoncement aux soins au cours des confinements successifs, le maintien de l'offre de soins dans les confinements plus récents devrait permettre de limiter les externalités négatives sur les autres malades que les malades COVID-19. Le report de soins même jugés non urgents devrait être évité autant que possible. Alors que le profil des répondants à l'enquête est socialement plus avantagé que la population générale, nous avançons que ces résultats sont une borne inférieure de l'ampleur du renoncement aux soins dans la population belge et des conséquences futures sur la santé de la population. Les conséquences de soins médicaux non satisfaits sont susceptibles d'être encore plus importantes dans des sous-groupes de la population qui cumuleront non seulement un renoncement aux soins médicaux dû au confinement mais aussi un renoncement pour raisons financières s'ils subissent des pertes d'emploi ou de revenu accrues en raison de la COVID-19. Ces obstacles à l'accès aux soins de santé et les besoins insatisfaits ont mis en évidence la difficulté du système de santé à être suffisamment résilient pour absorber le choc d'une pandémie. Il sera donc important que les décideurs politiques envisagent des plans nationaux de santé publique de grande ampleur qui «ramènent» les patients vers les soins. Il s'agira non seulement d'encourager les patients dont le suivi s'est interrompu à reprendre leur traitement et à évaluer la détérioration de leur état de santé mais aussi d'encourager tous les patients qui ont manqué une opportunité de dépistage de ne pas perdre plus de temps dans l'identification potentielle de problèmes de santé sévères.
BASE
Renoncement aux soins médicaux et confinement : les enseignements d'une enquête en ligne
La moyenne hebdomadaire des nouvelles admissions COVID des dernières semaines a conduit le SPF Santé Publique à suggérer un passage à la phase 1B du plan de Surge Capacity le 22 mars 2021. Selon cette phase 1B, les hôpitaux doivent reporter des soins non urgents afin de disposer d'une capacité hospitalière suffisante pour fournir les soins nécessaires aux patients COVID comme aux patients non-COVID. Le report et/ou le renoncement à des soins médicaux depuis le début de la crise sanitaire est devenu plus fréquent dans la population. Qu'il s'agisse d'un report de rendez-vous par les professionnels de santé ou un renoncement aux soins par les patients par crainte de contracter le coronavirus, ces soins médicaux non satisfaits pourraient conduire à une dégradation ultérieure de l'état de santé et donc directement ou indirectement à une surmortalité. Ce numéro de Regards économiques réalise un premier état des lieux de l'ampleur du renoncement aux soins durant le premier confinement à partir des données d'une enquête en ligne menée auprès de la population en Belgique au printemps 2020. L'analyse montre un important renoncement à des soins spécialistes et des examens médicaux dans la plupart des cas pour des raisons qui relèvent de l'offre de soins, notamment le fait que les hôpitaux ou les établissements de soins ont annulé ou reporté les rendez-vous médicaux ou que les professionnels de santé avaient fermé leur cabinet. Puisqu'ils sont nécessairement de plus grands utilisateurs de soins, ce sont les plus malades qui ont particulièrement renoncé à des soins médicaux. En revanche, dans le cas des soins dentaires, des disparités dans le renoncement s'observent majoritairement au détriment des plus pauvres. Une détérioration de l'état de santé de la population est donc à craindre du fait du renoncement à des soins médicaux durant le confinement et au-delà puisqu'une proportion non négligeable de personnes rapportent ne pas envisager d'aller consulter lors d'un futur besoin de soins. A partir de ces premiers résultats chiffrés de l'ampleur et les raisons du renoncement aux soins durant le premier confinement, nous formulons plusieurs points d'attention pour les décideurs politiques. Bien que nous ne soyons pas en mesure de comparer l'ampleur du renoncement aux soins au cours des confinements successifs, le maintien de l'offre de soins dans les confinements plus récents devrait permettre de limiter les externalités négatives sur les autres malades que les malades COVID-19. Le report de soins même jugés non urgents devrait être évité autant que possible. Alors que le profil des répondants à l'enquête est socialement plus avantagé que la population générale, nous avançons que ces résultats sont une borne inférieure de l'ampleur du renoncement aux soins dans la population belge et des conséquences futures sur la santé de la population. Les conséquences de soins médicaux non satisfaits sont susceptibles d'être encore plus importantes dans des sous-groupes de la population qui cumuleront non seulement un renoncement aux soins médicaux dû au confinement mais aussi un renoncement pour raisons financières s'ils subissent des pertes d'emploi ou de revenu accrues en raison de la COVID-19. Ces obstacles à l'accès aux soins de santé et les besoins insatisfaits ont mis en évidence la difficulté du système de santé à être suffisamment résilient pour absorber le choc d'une pandémie. Il sera donc important que les décideurs politiques envisagent des plans nationaux de santé publique de grande ampleur qui «ramènent» les patients vers les soins. Il s'agira non seulement d'encourager les patients dont le suivi s'est interrompu à reprendre leur traitement et à évaluer la détérioration de leur état de santé mais aussi d'encourager tous les patients qui ont manqué une opportunité de dépistage de ne pas perdre plus de temps dans l'identification potentielle de problèmes de santé sévères.
BASE
Enquête sur la santé et les soins médicaux (1980-1981)
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Volume 40, Issue 1, p. 183
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Soins médicaux et sociaux en faveur des personnes âgées, 1960-1990
In: Gérontologie et société, Volume 16 / n° 67, Issue 4, p. 54-65
Les soins médicaux pour les migrants en Chine urbaine : une nouvelle frontière
In: Perspectives chinoises: Shenzhou-zhanwang, Volume 113, Issue 4, p. 37-51
ISSN: 1021-9013
Comment améliorer l'accès aux soins médicaux des migrants chinois(1) ? Les travailleurs migrants sont confrontés à deux formes d'exclusion dans l'accès aux soins sur leur lieu de travail : l'une est financière (le niveau de revenu), l'autre est sociale (par manque de réseaux sociaux en ville). Nous analysons une enquête de 2006 sur les travailleurs migrants d'origine rurale, menée dans cinq villes à la pointe du développement économique. Les résultats empiriques corroborent l'hypothèse d'un départ de la zone urbaine des travailleurs migrants en mauvaise santé. Outre les permis de résidence et les revenus, l'intégration sociale des travailleurs migrants apparaît comme un facteur déterminant de l'accès aux soins.
Consommation de soins médicaux durant la premiere année d'existence du Plan de Santé
In: Rapport 4
In: Evaluation du Plan de Sante
L'homme-machine et l'homme-microcosme : l'approche occidentale et l'approche japonaise des soins médicaux
In: Annales: histoire, sciences sociales, Volume 35, Issue 5, p. 1116-1136
ISSN: 1953-8146
En 1620, Francis Bacon constatait: « La recherche et la découverte de la vérité ne se font et ne peuvent se faire que de deux façons. La première saute des significations et des particularités aux axiomes les plus généraux... c'est la mode actuelle. L'autre arrive aux axiomes en partant des significations et des particularités selon une courbe ascendante et continue qui mène en dernier au plus général des axiomes. Ceci est la bonne voie, même si elle n'a pas encore cours » (Novum Organum, 1620).
Projet «Accès aux soins médicaux en Suisse»: Enquête auprès des hôpitaux et des médecins traitants
In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Volume 84, Issue 36, p. 1834-1835
ISSN: 1424-4004
Enquête sur la santé et les soins médicaux 1991 - 1992: consommation médicale en ville
In: Insee résultats 342/344
In: Consommation, modes de vie 64/66
In: Insee résultats 342/344
Réseaux croisés : statistiques, santé et soins médicaux à São Paulo au début du XXe siècle
In: Brésil(s): sciences humaines et sociales, Volume 25
ISSN: 2425-231X
L'objectif de cet article est d'interroger l'utilisation des statistiques dans l'histoire de la santé, dans l'État de São Paulo. Depuis les premières commissions statistiques instaurées au XIXe siècle par l'Assemblée législative, les informations sur les naissances et les décès ont servi à mesurer les richesses de la région. La question sociale ne représentait pas, en soi, un sujet d'intérêt pour les différentes administrations, à cause de la croyance en la salubrité locale, du peu d'attention accordée à la santé individuelle et de la disponibilité de la main-d'œuvre esclave. À l'époque républicaine, un réseau d'assistance s'est constitué en liaison avec des associations philanthropes, bénéficiant de subventions du gouvernement de l'État fédéré et des sphères fédérale et municipale.