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World Affairs Online
Les faux-semblants de la commission Stasi
In: Politis. Hors série, Issue 787, p. 12-15
ISSN: 1290-5550
World Affairs Online
Une société sous surveillance: les intellectuels et la Stasi
In: Bibliothèque Albin Michel
In: Idées
La Commission Stasi vue par l'un de ses membres
In: French politics, culture and society, Volume 22, Issue 3, p. 135-141
ISSN: 1537-6370, 0882-1267
Le travail de la commission Stasi. Entretien avec Rémi Schwartz
In: Hommes & migrations: première revue française des questions d'immigration, Volume 1258, Issue 1, p. 28-32
ISSN: 2262-3353
Le 3 juillet 2003, le président de la République, Jacques Chirac, créait une commission de réflexion "sur l'application du principe de laïcité dans la République". Il en confiait la présidence à Bernard Stasi, médiateur de la République. Rémy Schwartz, qui en fut le rapporteur, évoque les auditions, en particulier celle de Jean-Paul Costa, vice-président de la commission européenne, et se félicite de l'enrichissement des discussions grâce à la collégialité. Il revient, deux ans après,
sur la nécessité de prolonger le débat.
L'Algerie au coeur des passions francaises
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Issue 202, p. 59-61
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
World Affairs Online
Fonction sociale et politique des associations
In: France forum, p. 32-36
ISSN: 0046-4910
L'enjeu des dossiers de la Stasi dans la vie publique en Allemagne depuis 1990
Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.
BASE
L'enjeu des dossiers de la Stasi dans la vie publique en Allemagne depuis 1990
Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.
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L'enjeu des dossiers de la Stasi dans la vie publique en Allemagne depuis 1990
Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.
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L'enjeu des dossiers de la Stasi dans la vie publique en Allemagne depuis 1990
Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.
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