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Ein allgemeines Misstrauen ist das perfide Ergebnis der Überwachung vor allem durch die informellen Mitarbeiter der Stasi der DDR gewesen: Ein unbedachtes Wort konnte schreckliche Folgen haben. Nach meinem an der sozialistischen Staatsideologie gescheiterten Kompositionsstudium – ". . . seine Arbeiten sind eines zukünftigen sozialistischen Komponisten unwürdig", so die Begründung der Ablehnung meines Staatsexamens durch die Musikhochschule Berlin (Ost) – hatte ich mich so weit als möglich von der Außenwelt zurückgezogen – ohne Zeitung, Radio, Fernsehen, um im Komponieren Gott zu suchen. Dass eine derart 'unpolitische' Haltung in einem Staat wie der DDR eine höchst politische Haltung ist, habe ich bald erfahren. Vor allem aber hat die scheinbar alles durchdringende staatliche Reglementierung als Gegenkraft eine außergewöhnliche Solidarität hervorgerufen. Neben vielfachen Unterstützungen von verschiedensten Menschen verdanke ich vielen Musikern Zusammenarbeit und Aufführungen an den Kulturgremien der Partei vorbei. – Erstaunlicherweise sind unter ihnen, selten genug, auch Stasimitarbeiter gewesen. Da ich der Überzeugung bin, dass auch diese zwiespältige Erfahrung bei der Aufarbeitung der Stasi beachtet werden sollte, möchte ich hier auf ein solches Beispiel eingehen.

Staatliche Überwachung war und ist allgegenwärtig. Nichtsdestotrotz sind Erkenntnisse zu Nutzen und Kosten staatlicher Überwachungsmaßnahmen begrenzt. Dieser Beitrag fasst die Ergebnisse einer aktuellen Forschungsarbeit zusammen, in der die langfristigen Auswirkungen der Überwachung durch die DDR-Staatssicherheit auf das gesellschaftliche Sozialkapital sowie die wirtschaftliche Entwicklung in Ostdeutschland nach dem Ende der DDR-Diktatur untersucht werden. Die Ergebnisse dieser Arbeit zeigen, dass flächendeckende Überwachung der Bevölkerung stark negative und langanhaltende Konsequenzen haben kann.

Tagungsbericht: Fiedler, Yvonne : 10 Jahre Stasi-Unterlagen-Gesetz. Bilanz und Ausblick : Tagungsbericht / Tagung der Leipziger BStU-Außenstelle und des Bürgerkomitee Leipzig e.V am 12. Januar 2002

Wie verteidigte die Geheimpolizei der DDR die Diktatur und vor allem: Wie erging es den Bürgern dabei? Die Länderstudie "Stasi in Thüringen" führt gut lesbar in die Geschichte der Staatssicherheit in den ehemaligen DDR-Bezirken ein. Im Mittelpunkt stehen die regionalen Auswirkungen von politischen Ereignissen und die Reaktionen der Stasi entlang der großen historischen Zäsuren. Biografische Fallbeispiele machen dabei die Auswirkungen der politischen Repression auf den Einzelnen anschaulich und nachvollziehbar. Auch ohne einschlägige Vorkenntnisse bietet der Band so jedem historisch Interessierten einen aufschlussreichen Zugang zur regionalen Stasi-Geschichte. Alle Bände der Reihe sind umfassend mit zeitgenössischen Fotos und Dokumenten illustriert und bieten mit Organigrammen, Dienststellen-Verzeichnissen und Biographien der Stasi-Kader einen schnellen Überblick.

Roland Freislers sich überschlagende Stimme im Volksgerichtshof, die beklemmende Atmosphäre im Nürnberger Gerichtssaal während des Prozesses gegen die Hauptkriegsverbrecher, Adolf Eichmann vor Gericht in Jerusalem: Töne und Bilder einiger besonders bedeutender Strafprozesse sind der Öffentlichkeit vertraut. Doch entstanden die Ton- und Filmaufnahmen nur in Ausnahmefällen und bereits mit Blick auf die Öffentlichkeit. Dies gilt für die Schauprozesse der NS-Diktatur, die für die mediale Verbreitung inszeniert wurden, ebenso wie für die Nürnberger Prozesse, bei denen die Dokumentation zur Aufklärung über die Verbrechen und zur Demonstration rechtsstaatlicher Verfahren diente.

This article examines the privacy debates surrounding records from the former East German government's secret police agency, the Stasi. The Stasi records of mass surveillance and punishment of citizens serve as both a record of the East German people's oppression and a vital tool for coming to terms with the communist dictatorship in East Germany. Debates about opening versus sealing these files allowed Germans to analyze the disconnect between rights of privacy and rights of information. The success of the laws created to both open and restrict the use of the Stasi files can be attributed to the innovative way that these laws were able to accommodate those who needed the information as well as those concerned about their privacy. Further, the whole debate raises many questions about the power of sensitive documents. In the course of the debate, the veracity of the files was questioned repeatedly, and individually they are highly suspect. However, taken as a group, they build a very accurate picture of a repressive police state. Additionally, the files work as a collective memory-building project for former East Germans. Through the files, they can acknowledge and work through the trauma of the East German government's surveillance. Ultimately, the German resolution to the problem of the Stasi files serves as an example for other governments struggling with the disposal of extremely sensitive documents.

Der Autor gehört zu den produktivsten und kreativsten Historikern der jüngeren Generation (Jg. 1967) von DDR-Forschern. Nach Standardwerken zur Hochschulpolitik der SED, zur Geschichtswissenschaft der DDR, zum Volksaufstand von 1953 und zur Friedlichen Revolution legt der Projektleiter der Abteilung Bildung und Forschung der Stasi-Unterlagenbehörde nun eine Geschichte der Staatssicherheit vor. Gerade auf Grund seiner beruflichen Stellung und Erfahrung erscheint Kowalczuk zweifellos besonders geeignet, um die kaum noch zu überblickende Flut an Spezialliteratur zur Stasi zu systematisieren und in ein eigenes Forschungskonzept zu integrieren.

Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.

Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.

Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.

Cet article rappelle les grandes lignes de l'histoire de la Stasi. L'interrogation porte sur les débats qui ont présidé à l'ouverture des archives : était-elle nécessaire au nom du devoir de mémoire, de la justice et de la " vérité " historique, ou bien allait-elle créer une atmosphère de délation et jeter l'opprobre sur la population est-allemande qui n'avait pas bénéficié de la " grâce d'une naissance à l'Ouest de l'Elbe " ? Les réponses à ces questions sont illustrées par l'étude de différents exemples. Le premier concerne l'ensemble de la population : il s'agit de la publication des listes d'indicateurs de la Stasi à Halle en 1992, qui mit toute une ville en émoi. Quelles ont été ses conséquences réelles dans la vie de la cité et dans celle des individus concernés ? Deux procédures juridiques ayant trait aux dossiers de la Stasi sont ensuite étudiées : d'une part celle qui a concerné un homme politique de l'Est, Manfred Stolpe, ancien ministre-président du Brandebourg, soupçonné d'avoir été indicateur, et d'autre part celle de l'ancien chancelier Helmut Kohl, qui a refusé que chercheurs et journalistes aient accès à son dossier. Enfin, il est question des dossiers Rosenholz qui ont fait apparaître qu'une partie des députés ouest-allemands des années 1970 étaient des agents de la Stasi. On peut finalement se demander dans quelle mesure les dossiers de la Stasi sont encore un enjeu de la recherche historique et de la vie politique actuelle en Allemagne et s'ils participent réellement à la " réconciliation ". La question de la crédibilité des dossiers et de leur surestimation dans la recherche d'une vérité ultime sur la RDA est posée.

The National Legislative Assembly of Thailand has enacted on February 19, 2015 the Protection for Children Born through Assisted Reproductive Technologies Act (ART Act). Its primary objective aims at protecting children born through assisted reproductive technologies and providing the legal procedures that the intended parents must follow. The focus of this article is to discuss the ongoing issues involving assisted reproduction in Thailand. After reviewing the past legal framework surrounding surrogate motherhood and the downsides of the assisted reproductive technology market in Thailand, the article will discuss the new ART Act and its regulatory framework. It will conclude that although the new law contains some flaws and limitations, it has so far been successful in tackling surrogacy trafficking and preventing reproductive scandals from occurring again.

We investigate the long-run effects of government surveillance on civic capital and economic performance, studying the case of the Stasi in East Germany. Exploiting regional variation in the number of spies and administrative features of the system, we combine a border discontinuity design with an instrumental variable strategy to estimate the long-term, post-reunification effect of government surveillance. We find that a higher spying density led to persistently lower levels of interpersonal and institutional trust in post-reunification Germany. We also find substantial and long-lasting economic effects of Stasi surveillance, resulting in lower income, higher exposure to unemployment, and lower self-employment.

We investigate the long-run effects of government surveillance on civic capital and economic performance, studying the case of the Stasi in East Germany. Exploiting regional variation in the number of spies and administrative features of the system, we combine a border discontinuity design with an instrumental variables strategy to estimate the long-term, post-reunification effect of government surveillance. We find that a higher spying density led to persistently lower levels of interpersonal and institutional trust in post-reunification Germany. We also find substantial and long-lasting economic effects of Stasi surveillance, resulting in lower income, higher exposure to unemployment, and lower self-employment.

We investigate the long-run effects of government surveillance on civic capital and economic performance, studying the case of the Stasi in East Germany. Exploiting regional variation in the number of spies and administrative features of the system, we combine a border discontinuity design with an instrumental variables strategy to estimate the long-term, post-reunification effect of government surveillance. We find that a higher spying density led to persistently lower levels of interpersonal and institutional trust in post-reunification Germany. We also find substantial and long-lasting economic effects of Stasi surveillance, resulting in lower income, higher exposure to unemployment, and lower self-employment.