Steuern und Ungleichheit
In: Schweizerisches Jahrbuch für Wirtschafts- und Sozialgeschichte Band 36, 36. Jahrgang
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In: Schweizerisches Jahrbuch für Wirtschafts- und Sozialgeschichte Band 36, 36. Jahrgang
In: Göttinger Studienhefte zur Besteuerung 7
Partant de la distinction entre " révolution politique " et " révolution systémique " opérée par Zygmunt Bauman, cet article montre qu'un processus de révolution politique a bel et bien été enclenché par le départ de Hosni Moubarak le 11 février 2011. Les structures politiques de l'ancien régime ont en effet été mises à mal par l'action conjointe des organisations révolutionnaires, du pouvoir judiciaire et du processus électoral, isolant toujours davantage le pouvoir militaire qui en constituait le cœur.
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Partant de la distinction entre " révolution politique " et " révolution systémique " opérée par Zygmunt Bauman, cet article montre qu'un processus de révolution politique a bel et bien été enclenché par le départ de Hosni Moubarak le 11 février 2011. Les structures politiques de l'ancien régime ont en effet été mises à mal par l'action conjointe des organisations révolutionnaires, du pouvoir judiciaire et du processus électoral, isolant toujours davantage le pouvoir militaire qui en constituait le cœur.
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Partant de la distinction entre " révolution politique " et " révolution systémique " opérée par Zygmunt Bauman, cet article montre qu'un processus de révolution politique a bel et bien été enclenché par le départ de Hosni Moubarak le 11 février 2011. Les structures politiques de l'ancien régime ont en effet été mises à mal par l'action conjointe des organisations révolutionnaires, du pouvoir judiciaire et du processus électoral, isolant toujours davantage le pouvoir militaire qui en constituait le cœur.
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Partant de la distinction entre " révolution politique " et " révolution systémique " opérée par Zygmunt Bauman, cet article montre qu'un processus de révolution politique a bel et bien été enclenché par le départ de Hosni Moubarak le 11 février 2011. Les structures politiques de l'ancien régime ont en effet été mises à mal par l'action conjointe des organisations révolutionnaires, du pouvoir judiciaire et du processus électoral, isolant toujours davantage le pouvoir militaire qui en constituait le cœur.
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In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Hiver, Heft 4, S. 133-143
ISSN: 1958-8992
Le salafisme égyptien commence véritablement à se développer dans les années 1970. Il comporte différentes tendances, dont la plus violente est responsable de l'attentat de Louxor en 1997. À la suite de la révolution de 2011, plusieurs partis salafistes sont créés. Le plus visible, le parti Nour, remporte plus d'un quart des suffrages. Il se bat pour la traduction effective de la charia dans le droit positif. Après l'éviction du président Morsi, il surprend en se positionnant du côté du nouveau régime.
In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Band 87, Heft 4, S. 165-181
ISSN: 2102-5991
Les Frères musulmans ont remporté les élections de 2011 et 2012 en faisant des promesses contradictoires aux révolutionnaires et aux contre-révolutionnaires. Une fois au pouvoir, les contradictions inhérentes à cette stratégie les ont menés à leur perte, en relançant à leurs dépends à la fois la révolution et la contre-révolution, unies dans l'objectif de les chasser du pouvoir. Ces événements ont conduit à la chute des Frères musulmans et ont accouché d'un régime thermidorien, réunissant quatre factions aux objectifs inconciliables à terme : les partisans de l'ancien régime, la bourgeoisie libérale, les nationalistes nostalgiques de Nasser et les salafistes du parti Nour.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 78, Heft 4, S. 133-143
ISSN: 0032-342X
The Libyan crisis is one part of a system of regional conflicts whose individual elements cannot be understood in isolation from one another. Armed groups circulate from one territory to another in zones juxtaposing Islamist sanctuaries, profiting numerous non-state actors, of which the Islamic movements constitute just one component. The Libyan territory plays a central role as a geographic epicenter and as a focal point for Islamic recruitment. (Politique étrangère (Paris) / SWP)
World Affairs Online
In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Band 87, Heft 87, S. 165-181
ISSN: 1148-2664
World Affairs Online
This article relies on a corpus of newspapers and Egyptian scientist writings dealing with this issue. It proposes a classification of Egyptian political parties under the regime of Mubarak, based upon their degree of integration in the political system. This degree of integration depends on the combination of two elements: the amount of resources of each party which are dependent on the political power (legalization, money, and chairs in Parliament), and the quantity of independent means (money, estates, activists, candidates, and so on). Combining these two criteria, I constructed three types of Egyptian political parties : those which are excluded from the political system, those which are integrated, and lastly those which are co-opted. These latter didn't have any means but from the government, and consequently supported the regime. Integrated parties had independent resources, but the political power gave them some advantages. They didn't try to confront the regime during the last years, and stayed away from protest movements. Lastly, excluded parties had interest to end the regime. Consequently, they took part into the protest movements of the last decade. This classification explains the positions of the Egyptian political parties during the revolution, giving their immediate interests, and their links with protest movements. ; Cet article propose une classification des partis politiques dans l'Égypte de Moubarak, reposant sur le degré d'intégration des organisations partisanes égyptiennes à l'ancien régime, et qui dépend de la combinatoire de deux éléments : les ressources octroyées directement ou indirectement par le pouvoir exécutif, et les différentes ressources indépendantes du centre étatique. La combinaison de ces deux variables nous permet de classer les partis égyptiens en trois catégories: les partis exclus du système, les partis cooptés, intégrés à ce dernier, et enfin les partis artificiels, qui ne disposent de quasiment aucune ressource propre et sont en conséquence extrêmement dépendants du ...
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This article relies on a corpus of newspapers and Egyptian scientist writings dealing with this issue. It proposes a classification of Egyptian political parties under the regime of Mubarak, based upon their degree of integration in the political system. This degree of integration depends on the combination of two elements: the amount of resources of each party which are dependent on the political power (legalization, money, and chairs in Parliament), and the quantity of independent means (money, estates, activists, candidates, and so on). Combining these two criteria, I constructed three types of Egyptian political parties : those which are excluded from the political system, those which are integrated, and lastly those which are co-opted. These latter didn't have any means but from the government, and consequently supported the regime. Integrated parties had independent resources, but the political power gave them some advantages. They didn't try to confront the regime during the last years, and stayed away from protest movements. Lastly, excluded parties had interest to end the regime. Consequently, they took part into the protest movements of the last decade. This classification explains the positions of the Egyptian political parties during the revolution, giving their immediate interests, and their links with protest movements. ; Cet article propose une classification des partis politiques dans l'Égypte de Moubarak, reposant sur le degré d'intégration des organisations partisanes égyptiennes à l'ancien régime, et qui dépend de la combinatoire de deux éléments : les ressources octroyées directement ou indirectement par le pouvoir exécutif, et les différentes ressources indépendantes du centre étatique. La combinaison de ces deux variables nous permet de classer les partis égyptiens en trois catégories: les partis exclus du système, les partis cooptés, intégrés à ce dernier, et enfin les partis artificiels, qui ne disposent de quasiment aucune ressource propre et sont en conséquence extrêmement dépendants du pouvoir. Cette typologie offre une grille de lecture expliquant les positions prises par les différents partis égyptiens durant la révolution, en tenant compte non seulement de leurs intérêts immédiats, mais également des répertoire d'actions à leur disposition et de leur proximité avec les mouvements protestataires, ces deux derniers éléments étant hérités de leurs conduites passées.
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This article relies on a corpus of newspapers and Egyptian scientist writings dealing with this issue. It proposes a classification of Egyptian political parties under the regime of Mubarak, based upon their degree of integration in the political system. This degree of integration depends on the combination of two elements: the amount of resources of each party which are dependent on the political power (legalization, money, and chairs in Parliament), and the quantity of independent means (money, estates, activists, candidates, and so on). Combining these two criteria, I constructed three types of Egyptian political parties : those which are excluded from the political system, those which are integrated, and lastly those which are co-opted. These latter didn't have any means but from the government, and consequently supported the regime. Integrated parties had independent resources, but the political power gave them some advantages. They didn't try to confront the regime during the last years, and stayed away from protest movements. Lastly, excluded parties had interest to end the regime. Consequently, they took part into the protest movements of the last decade. This classification explains the positions of the Egyptian political parties during the revolution, giving their immediate interests, and their links with protest movements. ; Cet article propose une classification des partis politiques dans l'Égypte de Moubarak, reposant sur le degré d'intégration des organisations partisanes égyptiennes à l'ancien régime, et qui dépend de la combinatoire de deux éléments : les ressources octroyées directement ou indirectement par le pouvoir exécutif, et les différentes ressources indépendantes du centre étatique. La combinaison de ces deux variables nous permet de classer les partis égyptiens en trois catégories: les partis exclus du système, les partis cooptés, intégrés à ce dernier, et enfin les partis artificiels, qui ne disposent de quasiment aucune ressource propre et sont en conséquence extrêmement dépendants du pouvoir. Cette typologie offre une grille de lecture expliquant les positions prises par les différents partis égyptiens durant la révolution, en tenant compte non seulement de leurs intérêts immédiats, mais également des répertoire d'actions à leur disposition et de leur proximité avec les mouvements protestataires, ces deux derniers éléments étant hérités de leurs conduites passées.
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