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Using data from international surveys, quantitative indicators have been developed to describe how education systems treat the young generations under their responsibility and how they perfom their task (Baye, Demeuse, Monseur & Goffin, 2006; European Group for Research on Equity in Education systems, 2005; OCDE, 2005). While initial research in this area concentrated mainly on the efficiency of education systems, an interest in equity gradually developed, based at first on existing documents such as the OECD's Education at a Glance, and then followed by specific documents (Baye, 2005; Gibson & Meuret, 1995; Hutmacher, Cochrane & Bottani, 2001). Starting with the concept of equal access, such as the right for everyone to attend school regardless of origin, and moving on to equal treatment consisting in an identical service being offered to all, modern society is increasingly demanding with respect to school in terms of equality of performance and achievements. Thus, in most European countries, schools are expected to produce students with equal performance levels at the end of a given stage of education, at least in terms of basic skill acquisition, and a minimum level in the skills considered essential for life. This should obviously not prevent an increasing number of them from extending their time at school to a greater or lesser degree beyond compulsory education. In the following text, we only deal with the education received by all during the period of compulsory education, which should be of equal benefit to everyone in terms of life skills (OECD, 1999, 2003), even if some of the data used to analyse performance at this level are derived from higher education data. ; Les données issues des enquêtes internationales ont permis de réaliser des indicateurs quantitatifs qui décrivent la manière dont les systèmes éducatifs traitent la jeune génération dont ils ont la charge et la manière dont ils s'acquittent de cette tâche (Baye, Demeuse, Monseur et Goffin, 2006 ; European Group for Research on ...

En s'inspirant du sous-chapitre « Mesure et démesure » de L'Homme révolté , d'Albert Camus, cette courte note souligne l'importance qu'il y à refuser et à se révolter, aujourd'hui, contre une civilisation contemporaine qui, par la quantification et le formalisme, tente de réduire l'humain au monde des choses, des produits financiers, des marchandises et du spectacle.

Les communes suisses sont confrontées à des enjeux et à des défis socio-économiques, politiques et organisationnels communs à l'ensemble des pays européens, mais dont les manifestations, le rythme d'émergence et de dynamique, et les réponses institutionnelles qui leur sont apportées sont marqués de caractères spécifiques. On assaisonne de Nouvelle Gestion Publique la plupart des programmes de réforme municipale, en Suisse comme ailleurs. De même, le renforcement de la coopération intercommunale apparaît comme un impératif quasi-universel, recommandé énergiquement à la fois par les autorités étatiques et par les responsables locaux. Si elle paraît atypique à l'échelle internationale, la voie de la fusion empruntée par plusieurs cantons depuis le milieu des années 1990 devrait en tout cas susciter le plus vif intérêt parmi les réformateurs d'autres pays européens désespérément en quête d'un renouveau de cette formule quasiment abandonnée depuis les années 1970. On remarquera enfin que, contrairement aux nombreuses expériences menées notamment en Allemagne, en Italie et dans les pays nordiques, les cantons et les communes suisses ne se sont que très rarement engagées dans une refonte des règles du jeu politique interne des municipalités par une redéfinition.

Apres avoir reconnu la justesse du geste henryen, consistant à placer l'individu vivant au centre de son interprétation, c'est l'atomisation voire l'approche «nominaliste» du travail qui en découle qu'Hervé Touboul met vigoureusement en question, au fil d'une analyse approfondie de la manière dont M. Henry en viendrait à méconnaitre les dialectiques, toujours à l'œuvre dans le texte de Marx, de la quantité et de la qualité, ou de la valeur d'usage et de la valeur d'échange. L'auteur pense décisif d'interroger la posture henryenne: la conception réductrice du travail – comme qualité pure et refus de l'objectivité, au nom de la subjectivité transcendantale. D'où la difficulté à aborder la socialité du travail – les médiations dont elle est tissée, son anonymat irréductible à toute inter-personnalité – et au-delà, à dégager les conditions de sa répétition proprement politique.

PISA (Programme for International Student Assessment) is an international survey organised by the OECD. Its aim is to create indicators to measure the skills and abilities of 15-year-old pupils in reading, mathematics and science, as well as learning strategies, motivation and computer skills. The results are based on national representative samples. The indicators are calculated according to the characteristics of the
system, schools and pupils. In order to be able to make time comparisons, these competence measurements are repeated every three years, with a new focus every three years (2000 reading, 2003 mathematics with the addition problem solving, 2006 natural sciences).
Around 60 countries participated in the 2006 survey. The test takes about 120 minutes. It is followed by a 45-minute questionnaire. This questionnaire contains mandatory international questions that shed light on the socio-economic environment of pupils, as well as optional international and national questions. Switzerland chose two international options for the student questionnaire: the module on interdisciplinary competences and the ICT module on familiarity with the new technologies. In addition, national modules were added. Another questionnaire for schools aims to collect information about the characteristics of the school and its teaching.
Around 24,700 pupils from 510 schools throughout Switzerland took part in the 2006 survey. The national project management 2000-2003-2006 was carried out by the Federal Statistical Office in Neuchâtel which was responsible for the project coordination in close cooperation with the international PISA consortium and 4 regional centres in Switzerland.

PISA (Programme for International Student Assessment) is an international survey organised by the OECD. Its aim is to create indicators to measure the skills and abilities of 15-year-old pupils in reading, mathematics and science, as well as learning strategies, motivation and computer skills. The results are based on national representative samples. The indicators are analysed according to the characteristics of the school system, schools and pupils. In order to be able to make chronological comparisons, these competence measurements are repeated every three years, with a new focus every three years (2000 reading, 2003 mathematics with the addition problem solving, 2006 natural sciences).

Around 40 countries participated in the 2003 survey. The test takes about 120 minutes. It is followed by a 45-minute questionnaire. This questionnaire contains mandatory international questions that shed light on the socio-economic environment of pupils, as well as optional international and national questions. Switzerland chose two international options for the student questionnaire: the module on interdisciplinary competences and the ICT module on familiarity with the new technologies. In addition, national modules were added. Another questionnaire for schools aims to collect information about the characteristics of the school and and its didactics.

Around 24,700 pupils from 451 schools took part in the 2003 survey. The national project management 2000-2003-2006 was carried out by the Federal Statistical Office in Neuchâtel which was responsible for coordination in close cooperation with the international PISA consortium and 4 regional centres in Switzerland.

Apres avoir reconnu la justesse du geste henryen, consistant à placer l'individu vivant au centre de son interprétation, c'est l'atomisation voire l'approche « nominaliste » du travail qui en découle qu'Hervé Touboul met vigoureusement en question, au fil d'une analyse approfondie de la manière dont M. Henry en viendrait à méconnaitre les dialectiques, toujours à l'œuvre dans le texte de Marx, de la quantité et de la qualité, ou de la valeur d'usage et de la valeur d'échange. L'auteur pense décisif d'interroger la posture henryenne : la conception réductrice du travail – comme qualité pure et refus de l'objectivité, au nom de la subjectivité transcendantale. D'où la difficulté à aborder la socialité du travail – les médiations dont elle est tissée, son anonymat irréductible à toute inter-personnalité – et au-delà, à dégager les conditions de sa répétition proprement politique.

Cet article propose un état des lieux de la littérature portant sur la croissance rapide des classes moyennes des pays émergents d'Asie de l'Est selon trois axes. La définition et la mesure de ces classes moyennes sont d'abord questionnées. Les caractéristiques microéconomiques de ces classes en termes de consommation et d'investissement en capital humain sont ensuite examinées. Enfin, la capacité de ces groupes sociaux à croissance rapide à provoquer des changements politiques est évaluée, notamment à la lumière des spécificités des configurations sociopolitiques propres à chaque pays de cette région.