Abstract People who want gender-affirming surgery without a change in social role represent a range of unique perspectives and use a range of self-descriptive terms, including transgender, transsexual, genderqueer, gender nonconforming, TGNC, nonbinary, and cross-dresser. They may seek surgery to reduce gender dysphoria or to enhance gender euphoria. Professional literature and medical protocols such as the World Professional Association for Transgender Health's (WPATH) Standards of Care, version 7 (SOC-7), have been developed to reflect the needs of people who want to change their social role as well as their body. Medical protocols including SOC-7 recommend a period of "real-life experience" as a criterion for some surgeries, which is not appropriate for people who want medical without social transition, who may want a private expression of gender, and who are at high risk for self-treatment and self-injury. This article describes the many factors that may affect transition and surgical choices. A composite case example is presented to illustrate how surgery without social transition might enhance the life of a female-identified person who lives socially as a man. Medical and mental health providers do provide treatment for people who want medical transition without social transition, but the practice has yet to be well documented.
Politique et/ou démocratique, la transition est devenue un de ces concepts-bateaux qu'affectionnent tant les médias et les journalistes politiques que les institutions internationales et leurs experts. Bien entendu, le concept a ses références qui remontent aux années 90 du XXe siècle. Des interventions onusiennes, la mise en place et l'accompagnement de processus électoraux, le changement-phare en Afrique du Sud, mais aussi le Cambodge, Haïti, le Salvador, le Rwanda, l'ex-Yougoslavie, l'Irak, … Proprement, les transitions militaires et violentes ont occulté les processus pacifiques. Avec les situations plus récentes en Tunisie et en Côte d'Ivoire, le terme a presque disparu devant la montée des risques de guerre civile et d'extrémisme. Sur le plan politique, l'ordre transitionnel a fait son temps. Nous sommes aujourd'hui confrontés à la fin d'un système hégémonique basé sur le contrôle des énergies carbones et des flux financiers qu'ils engendraient. L'heure est à la recomposition des rapports de force entre grandes puissances et puissances émergentes. Les économies construites sur le pétrole cher se sont rapidement écroulées en Amérique Latine et en Afrique.
Politique et/ou démocratique, la transition est devenue un de ces concepts-bateaux qu'affectionnent tant les médias et les journalistes politiques que les institutions internationales et leurs experts. Bien entendu, le concept a ses références qui remontent aux années 90 du XXe siècle. Des interventions onusiennes, la mise en place et l'accompagnement de processus électoraux, le changement-phare en Afrique du Sud, mais aussi le Cambodge, Haïti, le Salvador, le Rwanda, l'ex-Yougoslavie, l'Irak, … Proprement, les transitions militaires et violentes ont occulté les processus pacifiques. Avec les situations plus récentes en Tunisie et en Côte d'Ivoire, le terme a presque disparu devant la montée des risques de guerre civile et d'extrémisme. Sur le plan politique, l'ordre transitionnel a fait son temps. Nous sommes aujourd'hui confrontés à la fin d'un système hégémonique basé sur le contrôle des énergies carbones et des flux financiers qu'ils engendraient. L'heure est à la recomposition des rapports de force entre grandes puissances et puissances émergentes. Les économies construites sur le pétrole cher se sont rapidement écroulées en Amérique Latine et en Afrique.
In: Strategic policy: the journal of the International Strategic Studies Association ; the international journal of national management, Band 42, Heft 3, S. 18-18