Le fruit d'un long cheminement
In: Recma: revue internationale de l' économie sociale, Heft 325, S. 4
ISSN: 2261-2599
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In: Recma: revue internationale de l' économie sociale, Heft 325, S. 4
ISSN: 2261-2599
World Affairs Online
In: Innovations Agronomiques (9), 37-45. (2010)
La qualité d'un produit alimentaire est un levier essentiel de l'acte d'achat et de l'acte de ré-achat par le consommateur. Les critères de qualité retenus par le consommateur sont divers et leur importance relative varie en fonction des individus, de l'environnement social et sociétal. Les fruits et légumes souffrent parfois d'un déficit d'image qualité. Le PEIFL propose un modèle descriptif de la qualité des fruits et légumes et analyse comment la recherche peut apporter des réponses pour une meilleure maitrise de la qualité et renforcer la compétitivité de la filière. ; Quality of a food product is a main lever of the purchase and re-purchase act made by the consumer. Quality criteria chosen by the consumer are diverse and their ranking depends on individuals, social and society environment. Fruits and vegetable sometimes suffer of a poor quality image. The PEIFL proposes a descriptive model of fruits and vegetables quality and analyse how research could provide answers for a better management of quality and to reinforce supply chain competitiveness
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In: Jeune Afrique, Band 47, Heft 2412-2413, S. 65-98
World Affairs Online
In: Jeune Afrique, Band 46, Heft 2372, S. 43-76
World Affairs Online
Note introductive Dans le continent Africain, un inventaire exhaustif faunistique et floristique est rare ou même quasi inexistant et n'a lieu que lorsqu'une situation devient subitement préoccupante. C'est exactement ce qui est arrivé avec les mouches des fruits. A l'exception de tentatives timorées concernant des aspects particuliers par rapport à une situation aussi particulière comme la mouche méditerranéenne des fruits et la mouche des cucurbitacea, il est presque impossible de trouver un recensement complet des téphrites indigènes, de leurs plantes hôtes et des niveaux de dégâts associés. Dans la plupart des cas en Afrique, chaque nouvelle introduction (cochenille farineuse du manioc, cochenille farineuse du manguier, la mouche blanche spiralée, le biotype B de bémisia, l'acarien vert du manioc, Salvinia etc.) ne peut se ressentir que lorsque la côte d'alerte est dépassée. Pour qui connaît le processus d'une introduction accidentelle d'une espèce exotique, la période de présence est de loin bien antérieure à celle de la signalisation. Partout où un inventaire a été fait, il est sorti la domination de l'effectif de C. cosyra par rapport aux autres espèces du genre. Aussi, la première signalisation de Bactrocera invadens, a eu lieu en 2003 au Kenya et la circulaire d'information de Conseil Phytosanitaire Africain ne daterait que de Mars 2005. Actuellement, B. invadens semble être rapporté un peu partout à travers le continent Africain et de surcroît a fait naître un intérêt particulier pour les taxonomistes, les services de protection des végétaux, les producteurs et les décideurs politiques tant au plan national qu'international. Il aurait été plus facile de recommander d'utiliser des pesticides pour leurs larges spectres d'action et les résultats spectaculaires dans le cadre d'un vaste programme de pulvérisation. Mais pour quatre raisons essentielles cette démarche n'est pas envisageable : (i) les effets secondaires sur l'homme, les animaux, les auxiliaires de l'agricultures et l'environnement, (ii) certains aspects biologiques de l'insecte, les formes sessiles des mouches sont dans le sol ou dans les fruits, (iii) les risques d'assister à une recrudescence des cochenilles farineuses du manioc et des manguiers qui sont actuellement sous contrôle biologique depuis respectivement en 1990 et 1995 et (iv) l'apparition éventuelle d'ennemis secondaires des cultures. La plupart des chercheurs évaluent à moins de 0,3% les quantité de pesticides pulvérisée qui atteignent leur cibles (ravageurs), ce qui veut dire que 99,7% des substances déversées s'en vont « ailleurs ». Cependant, il ne s'agit pas d'abandonner les pesticides mais de tirer le maximum de bénéfice et le minimum de risques de leur utilisation travers des mesures curatives raisonnables. La technique d'utilisation des males stériles d'insectes face à l'urgence de la situation n'est pas aussi recommandable en raison de ses nombreux préalables de connaissances fondamentales et de développement qui peuvent durer plusieurs années (5 ans peut être un minimum). Aussi faut-il disposer d'infrastructures adéquates et des hommes qualifiés à la hauteur des tâches. Les facilités nécessitent un certain investissement sans compter le matériel de roulement, et de lâchers. Mais au rythme où B. invadens et C. cosyra évoluent et la misère que ces espèces peuvent entraîner, une forte mobilisation de la Communauté Internationale est nécessaire pour les contenir en Afrique et dégager les moyens de leur éradication. Aussi bien pour B. invadens que pour C. cosyra, il faut développer un programme de recherche et de développement dans le sens de pouvoir : - monter un d'élevage de masse - Développer un type d'aliment et un régime alimentaire à bon marché avec de préférence du matériel local pour sa disponibilité - développer une méthode de contrôle de qualité par rapport aux émergences, aux aptitudes de vol, à la longévité, à la compatibilité sexuelle, à la compétitivité - des doses optimales d'irradiation - déterminer une méthodes de lâchers pour chaque types de cible (vergers et les arrière-cours, forêt et secteurs inaccessibles) - déterminer un taux de lâcher en fonction des densités de population (ratio d'inondation de 10:1) Note de l'auteur ; En raison des lacunes existantes sur le cycle de vie des insectes pour meilleures intégrations de certains aspects de la lutte intégrée, une approche générale et rentable sera envisagée.
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In: Le monde diplomatique, Band 53, Heft 626, S. 16
ISSN: 0026-9395, 1147-2766
The fruit and vegetables industry (filière) has recently had to deal with issues concerning the legitimate ways of selling these products and a larger range of actors intervening in its government (local authorities, producers, wholesalers, professional organizations) have sought to promote new modes of commercialization which can be described as an attempt to reduce social and geographical distances between producers and consumers. Since 2009, a French public policy has indeed encouraged the development of short food supply chains, defined as supply chains involving none or just one intermediary between the two ends of the chain. These short food supply chains have also been linked by their promoters to the "re-localization" of economic exchanges. Historically, the incumbents of the industry's government have tried to go beyond such geographical constraints in order to extend their markets spatially, and this by marginalizing politically and economically shorter supply chains. But they now have to deal with new ways of organizing markets and defining the quality of their products. This situation has been examined in this Phd. using rigorous analytical and methodological tools. From this angle, at the local scale challengers have been able to take control away from incumbents by redefining the legitimate issues which need to be treated. At other scales, however, the traditional incumbents are still in control of the industry's government and the bulk of its economic exchanges. Ultimately, what has taken place is less the re-localization of supply chains within the industry than the institutionalization of new forms of qualification based upon the valuation of the "local" as a distinctive sign of quality. ; La filière des fruits et légumes frais est aujourd'hui confrontée à la mise en question des institutions gouvernant ses rapports institués de distribution. De plus en plus, une partie des acteurs intervenant dans le gouvernement de cette filière (collectivités territoriales, producteurs, distributeurs, ...
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In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 198, Heft 1, S. 103-111
ISSN: 2111-4587
In: Esprit, Band Mars/avril, Heft 3, S. 230-232
Effondrée dans les années 80, la production ghanéenne de cacao se rétablit dans les années 90 pour rebondir à partir de 2003 [1]. L'économie du pays, bon élève du FMI, se redresse. Bien des observateurs concluent au succès d'une politique de libéralisation progressive et partielle. Mais de multiples autres facteurs entrent en ligne de compte.
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In: Politiques nutritionnelles, régulation des filières et consommation alimentaire, Paris, FRA, 2009-05-25-
On admet généralement que la consommation individuelle moyenne de fruits et légumes (F&L) en France est de l'ordre de 350 g/j ce qui, au regard d'un objectif de consommation de 400 g/j, conduit à évaluer à 50 g/j par jour et par personne le déficit moyen à combler. A priori, une telle croissance de la consommation de F&L peut être recherchée à travers plusieurs leviers d'action tels que des politiques agissant sur les prix, sur la segmentation du marché ou sur l'information des consommateurs. Nous présentons ici les résultats d'un ensemble de travaux visant à mieux comprendre la formation des prix dans les filières fruits et légumes et à évaluer l'impact de politiques publiques destinées à accroître leur consommation. Les travaux ont porté essentiellement sur les deux principaux fruits et légumes consommés en France : la tomate et la pomme.
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In: INRA Sciences Sociales 2 , 1-4. (2009)
On admet généralement que la consommation individuelle moyenne de fruits et légumes (F&L) en France est de l'ordre de 350 g/j ce qui, au regard d'un objectif de consommation de 400 g/j, conduit à évaluer à 50 g/j par jour et par personne le déficit moyen à combler. A priori, une telle croissance de la consommation de F&L peut être recherchée à travers plusieurs leviers d'action tels que des politiques agissant sur les prix, sur la segmentation du marché ou sur l'information des consommateurs. Nous présentons ici les résultats d'un ensemble de travaux visant à mieux comprendre la formation des prix dans les filières fruits et légumes et à évaluer l'impact de politiques publiques destinées à accroître leur consommation. Les travaux ont porté essentiellement sur les deux principaux fruits et légumes consommés en France : la tomate et la pomme.
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Background as of March 2019As a result of the health monitoring carried out by the members of ANSES's Expert Committee and our ANSES employees, we became aware of an alert concerning an emerging tomato virus: tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV).Tomato brown rugose fruit virus is an emerging tobamovirus first reported in 2014 in Israel and 2015 in Jordan on greenhouse tomatoes. In 2018, it was also reported in Mexico (where its eradication is under way), and in the United States where it was eradicated in the same year. Within the European Union (EU), it was reported in Germany in 2018 (North Rhine-Westphalia where its eradication is under way) and in Italy (Sicily) in early 2019. This virus was also the subject of an alert in the Bulletin de Santé du Végétal (BSV) for the Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) region in December 2018. It was added to the alert list of the European and Mediterranean Plant Protection Organization (EPPO) in January 2019 and was the subject of an alert sheet issued by ANSES's Laboratory for Plant Health (LSV_2019_03_0027).The main host plants of ToBRFV are tomato (Solanum lycopersicum) and pepper (Capsicum annuum). The damage observed on greenhouse tomato plants includes chlorosis, mosaic and mottling on the leaves and necrotic spots on peduncles, calyces and flower stalks. Fruits show yellowor brown spots with characteristic rugose symptoms, and may be deformed and ripen irregularly, making them non-marketable. The incidence of the disease varies between 10 and 100% of fruit depending on the site. Similar symptoms have also been observed on Capsicum annuum fruits inMexico. Viruses belonging to the genus Tobamovirus have a particularly effective means of spread. Transmission is mechanical, through simple direct contact between plants or via hands, work tools, clothing, pollinating insects, birds or irrigation water. Seeds can also transmit tobamoviruses. Lastly, these viruses are highly stable and can survive for several months on inert media without any loss of infectivity. These ...
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Background as of March 2019As a result of the health monitoring carried out by the members of ANSES's Expert Committee and our ANSES employees, we became aware of an alert concerning an emerging tomato virus: tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV).Tomato brown rugose fruit virus is an emerging tobamovirus first reported in 2014 in Israel and 2015 in Jordan on greenhouse tomatoes. In 2018, it was also reported in Mexico (where its eradication is under way), and in the United States where it was eradicated in the same year. Within the European Union (EU), it was reported in Germany in 2018 (North Rhine-Westphalia where its eradication is under way) and in Italy (Sicily) in early 2019. This virus was also the subject of an alert in the Bulletin de Santé du Végétal (BSV) for the Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) region in December 2018. It was added to the alert list of the European and Mediterranean Plant Protection Organization (EPPO) in January 2019 and was the subject of an alert sheet issued by ANSES's Laboratory for Plant Health (LSV_2019_03_0027).The main host plants of ToBRFV are tomato (Solanum lycopersicum) and pepper (Capsicum annuum). The damage observed on greenhouse tomato plants includes chlorosis, mosaic and mottling on the leaves and necrotic spots on peduncles, calyces and flower stalks. Fruits show yellowor brown spots with characteristic rugose symptoms, and may be deformed and ripen irregularly, making them non-marketable. The incidence of the disease varies between 10 and 100% of fruit depending on the site. Similar symptoms have also been observed on Capsicum annuum fruits inMexico. Viruses belonging to the genus Tobamovirus have a particularly effective means of spread. Transmission is mechanical, through simple direct contact between plants or via hands, work tools, clothing, pollinating insects, birds or irrigation water. Seeds can also transmit tobamoviruses. Lastly, these viruses are highly stable and can survive for several months on inert media without any loss of infectivity. These ...
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