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Corruption Yaoundé fait son autocritique
In: Jeune Afrique, Heft 2587, S. 31-32
Piraterie im Golf von Guinea: Greift der Yaoundé-Prozess?
Die Staatschefs der westafrikanischen Staaten haben 2013 beschlossen, gemeinsam für mehr maritime Sicherheit im Golf von Guinea zu sorgen. Damit haben sie den nach dem Tagungsort benannten Yaoundé-Prozess in die Wege geleitet. Seitdem hat sich das Risiko von Geiselnahmen auf Schiffen jedoch erhöht: 2018 entfielen von weltweit 83 entführten Besatzungsmitgliedern 78 Personen auf den Golf von Guinea. Dennoch kann der Yaoundé-Prozess auch Erfolge vorweisen, die auf den ersten Blick in der Statistik nicht erkennbar sind. Allerdings bleibt festzuhalten, dass diese Fortschritte zum großen Teil nur mit umfangreicher internationaler Hilfe erreicht worden sind und es auch Rückschläge gab. Da die Ursachen von Seeräuberei an Land liegen, ist die ausschließliche Konzentration auf das Seegebiet ein "Geburtsfehler" des Yaoundé-Prozesses. Mittelfristig müssen diese Ursachen bekämpft werden, wenn Piraterie wirksam zurückgedrängt werden soll. Als Erstes muss die Zunahme an Geiselnahmen auf offener See gestoppt werden. Dazu benötigen die Marinen der westafrikanischen Staaten neben weiterer Ausbildung, Wartung und Logistik auch Schiffe. Das Hauptaugenmerk sollte auf Nigeria und Ghana liegen: Nigeria ist einerseits am stärksten von Sicherheitsvorfällen auf See betroffen, andererseits verfügt das Land, wie Ghana, über eine große Signalwirkung in der Region. Die internationale Gemeinschaft sollte das klare Signal vermitteln, dass Erfolge und Engagement einer afrikanischen Initiative durch weitere Unterstützung belohnt werden. Dabei geht es nicht um die Entlassung der afrikanischen Staaten aus der Verantwortung für ihre eigene Sicherheit - im Gegenteil: Die Anrainerstaaten müssen ihre gemeinsamen Anstrengungen fortsetzen. Dafür bietet der Yaoundé-Prozess den richtigen Rahmen.
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Piraterie im Golf von Guinea: greift der Yaoundé-Prozess?
In: SWP-Studie, Band 5/2019
Die Staatschefs der westafrikanischen Staaten haben 2013 beschlossen, gemeinsam für mehr maritime Sicherheit im Golf von Guinea zu sorgen. Damit haben sie den nach dem Tagungsort benannten Yaoundé-Prozess in die Wege geleitet. Seitdem hat sich das Risiko von Geiselnahmen auf Schiffen jedoch erhöht: 2018 entfielen von weltweit 83 entführten Besatzungsmitgliedern 78 Personen auf den Golf von Guinea. Dennoch kann der Yaoundé-Prozess auch Erfolge vorweisen, die auf den ersten Blick in der Statistik nicht erkennbar sind. Allerdings bleibt festzuhalten, dass diese Fortschritte zum großen Teil nur mit umfangreicher internationaler Hilfe erreicht worden sind und es auch Rückschläge gab. Da die Ursachen von Seeräuberei an Land liegen, ist die ausschließliche Konzentration auf das Seegebiet ein »Geburtsfehler« des Yaoundé-Prozesses. Mittelfristig müssen diese Ursachen bekämpft werden, wenn Piraterie wirksam zurückgedrängt werden soll. Als Erstes muss die Zunahme an Geiselnahmen auf offener See gestoppt werden. Dazu benötigen die Marinen der westafrikanischen Staaten neben weiterer Ausbildung, Wartung und Logistik auch Schiffe. Das Hauptaugenmerk sollte auf Nigeria und Ghana liegen: Nigeria ist einerseits am stärksten von Sicherheitsvorfällen auf See betroffen, andererseits verfügt das Land, wie Ghana, über eine große Signalwirkung in der Region. Die internationale Gemeinschaft sollte das klare Signal vermitteln, dass Erfolge und Engagement einer afrikanischen Initiative durch weitere Unterstützung belohnt werden. Dabei geht es nicht um die Entlassung der afrikanischen Staaten aus der Verantwortung für ihre eigene Sicherheit - im Gegenteil: Die Anrainerstaaten müssen ihre gemeinsamen Anstrengungen fortsetzen. Dafür bietet der Yaoundé-Prozess den richtigen Rahmen. (Autorenreferat)
The ACP: From Yaoundé to Cotonou
In: Development Policy of the European Union, S. 46-69
Mobilité urbaine et politique de transport à Yaoundé
La mobilité urbaine à Yaoundé comme dans la majorité des agglomérations à forte croissance urbaine en Afrique est dominée par des véhicules de petite capacité comme les taxis collectifs et moto-taxis. Ce phénomène a comme conséquence une augmentation des externalités négatives comme la congestion, les accidents, la pollution, et des coûts monétaires élevés à supporter par les usagers des transports. L'objectif de ce policybrief est d'informer les communautés urbaines en Afrique ou à Yaoundénotamment, que pour résoudre ce dysfonctionnement,il est urgent de redéfinir une nouvelle politique d'occupation du sol à Yaoundé et d'augmenter l'offrequantitative et qualitative en transport publique collectifde massepourréduire la part modale du taxi enle valorisant dans certains types de déplacements comme les dépôts.
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Yaoundé carcérale: géographie d'une ville et de sa prison
In: Sociétés, espaces, temps
Rail - Yaoundé ne veut pas rater son train
In: Jeune Afrique, Heft 2681, S. 113-114