Le handicap moteur dans la ville de Yaoundé: trajectoires et expériences de vie
In: Études eurafricaines
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Il s'agit ici, d'une manière générale, d'envisager les phénomènes économiques de l'enrichissement et de l'accumulation de la richesse en rapport avec les pouvoirs invisibles et les forces occultes au sein de la ville de Yaoundé. Une première partie est consacrée à une mise en contexte historique, politique, économique et sociale du cadre d'étude (le Cameroun et plus particulièrement Yaoundé) ; puis à un retour sur la littérature anthropologique africaniste qui l'informe, ainsi qu'à la mise en place d'une méthodologie et d'une boite à outils conceptuelle pour distiller les données ethnographiques. Une deuxième partie présente trois études de cas distinctes, destinées à informer « par le bas » certaines pratiques, certains discours et certains rapports à l'enrichissement. D'abord le cas des jeunes du Bunker qui présente un groupe de jeunes marginalisés proche de l'univers urbain de la rue : à travers des trajectoires sociologiques, des modes de vie, des conceptions et des sociabilités, des modes d'énonciation (l'argot notamment), les pratiques économiques et les imaginaires qui les englobent apparaissent en filigrane. Puis le cas de Valentin qui travaille au service d'une famille renommée, avec qui la relation est faite d'ambigüités et d'attentes réciproques contradictoires, obligeant Valentin à s'entretenir par ailleurs des revenus à travers le recours à sa call-box. Enfin, une brève ethnographie de l'Eglise pentecôtiste « Va et rencontre », en mettant en avant les discours qu'elle énonce concernant l'enrichissement et ses liens avec la bénédiction divine. Une troisième et dernière partie fournit une analyse de ces données pour spécifier la place et le rôle de l'occulte en lien avec l'enrichissement, et par là, informer les ressorts du fonctionnement des économies occultes. Il s'agit de chercher à caractériser de manière concrète les procédures, les logiques d'action et les représentations par lesquelles l'occulte vient s'insérer dans certains domaines de l'activité économique. Eu égard à cela, les résultats apparaissent multiples. Tout d'abord, un intérêt ethnographique pour les pratiques économiques « par le bas » amène à informer les logiques d'action concrètes qui œuvrent à l'activité économique. Les jeunes de la rue s'insèrent dans des logiques sociales réticulaires où se reproduisent en partie les conceptions agonistiques des sociabilités ordinaires. Le cas de Valentin illustre les rapports complexes et ambigus entre « grands » et « petits », fondés sur des représentations de la puissance et des attentes pragmatiques qui en découlent. Et on peut remarquer enfin comment une institution comme l'Eglise « Va et rencontre » manipule des discours de l'enrichissement et amène à reconstruire de nouvelles formes d'actions économiques en rapport avec les puissances invisibles (celles bénéfiques de Dieu et les forces diabolisées et réifiées de la sorcellerie). Ces logiques d'action au sein de dispositifs de pouvoir, participant aux modes populaires d'action économique, ouvrent à une compréhension des mécanismes de reconduction de la vraisemblance des imaginaires de l'occulte à travers l'activité économique.
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Il s'agit ici, d'une manière générale, d'envisager les phénomènes économiques de l'enrichissement et de l'accumulation de la richesse en rapport avec les pouvoirs invisibles et les forces occultes au sein de la ville de Yaoundé. Une première partie est consacrée à une mise en contexte historique, politique, économique et sociale du cadre d'étude (le Cameroun et plus particulièrement Yaoundé) ; puis à un retour sur la littérature anthropologique africaniste qui l'informe, ainsi qu'à la mise en place d'une méthodologie et d'une boite à outils conceptuelle pour distiller les données ethnographiques. Une deuxième partie présente trois études de cas distinctes, destinées à informer « par le bas » certaines pratiques, certains discours et certains rapports à l'enrichissement. D'abord le cas des jeunes du Bunker qui présente un groupe de jeunes marginalisés proche de l'univers urbain de la rue : à travers des trajectoires sociologiques, des modes de vie, des conceptions et des sociabilités, des modes d'énonciation (l'argot notamment), les pratiques économiques et les imaginaires qui les englobent apparaissent en filigrane. Puis le cas de Valentin qui travaille au service d'une famille renommée, avec qui la relation est faite d'ambigüités et d'attentes réciproques contradictoires, obligeant Valentin à s'entretenir par ailleurs des revenus à travers le recours à sa call-box. Enfin, une brève ethnographie de l'Eglise pentecôtiste « Va et rencontre », en mettant en avant les discours qu'elle énonce concernant l'enrichissement et ses liens avec la bénédiction divine. Une troisième et dernière partie fournit une analyse de ces données pour spécifier la place et le rôle de l'occulte en lien avec l'enrichissement, et par là, informer les ressorts du fonctionnement des économies occultes. Il s'agit de chercher à caractériser de manière concrète les procédures, les logiques d'action et les représentations par lesquelles l'occulte vient s'insérer dans certains domaines de l'activité économique. Eu égard à cela, les résultats apparaissent multiples. Tout d'abord, un intérêt ethnographique pour les pratiques économiques « par le bas » amène à informer les logiques d'action concrètes qui œuvrent à l'activité économique. Les jeunes de la rue s'insèrent dans des logiques sociales réticulaires où se reproduisent en partie les conceptions agonistiques des sociabilités ordinaires. Le cas de Valentin illustre les rapports complexes et ambigus entre « grands » et « petits », fondés sur des représentations de la puissance et des attentes pragmatiques qui en découlent. Et on peut remarquer enfin comment une institution comme l'Eglise « Va et rencontre » manipule des discours de l'enrichissement et amène à reconstruire de nouvelles formes d'actions économiques en rapport avec les puissances invisibles (celles bénéfiques de Dieu et les forces diabolisées et réifiées de la sorcellerie). Ces logiques d'action au sein de dispositifs de pouvoir, participant aux modes populaires d'action économique, ouvrent à une compréhension des mécanismes de reconduction de la vraisemblance des imaginaires de l'occulte à travers l'activité économique.
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Il s'agit ici, d'une manière générale, d'envisager les phénomènes économiques de l'enrichissement et de l'accumulation de la richesse en rapport avec les pouvoirs invisibles et les forces occultes au sein de la ville de Yaoundé. Une première partie est consacrée à une mise en contexte historique, politique, économique et sociale du cadre d'étude (le Cameroun et plus particulièrement Yaoundé) ; puis à un retour sur la littérature anthropologique africaniste qui l'informe, ainsi qu'à la mise en place d'une méthodologie et d'une boite à outils conceptuelle pour distiller les données ethnographiques. Une deuxième partie présente trois études de cas distinctes, destinées à informer « par le bas » certaines pratiques, certains discours et certains rapports à l'enrichissement. D'abord le cas des jeunes du Bunker qui présente un groupe de jeunes marginalisés proche de l'univers urbain de la rue : à travers des trajectoires sociologiques, des modes de vie, des conceptions et des sociabilités, des modes d'énonciation (l'argot notamment), les pratiques économiques et les imaginaires qui les englobent apparaissent en filigrane. Puis le cas de Valentin qui travaille au service d'une famille renommée, avec qui la relation est faite d'ambigüités et d'attentes réciproques contradictoires, obligeant Valentin à s'entretenir par ailleurs des revenus à travers le recours à sa call-box. Enfin, une brève ethnographie de l'Eglise pentecôtiste « Va et rencontre », en mettant en avant les discours qu'elle énonce concernant l'enrichissement et ses liens avec la bénédiction divine. Une troisième et dernière partie fournit une analyse de ces données pour spécifier la place et le rôle de l'occulte en lien avec l'enrichissement, et par là, informer les ressorts du fonctionnement des économies occultes. Il s'agit de chercher à caractériser de manière concrète les procédures, les logiques d'action et les représentations par lesquelles l'occulte vient s'insérer dans certains domaines de l'activité économique. Eu égard à cela, les résultats apparaissent multiples. Tout d'abord, un intérêt ethnographique pour les pratiques économiques « par le bas » amène à informer les logiques d'action concrètes qui œuvrent à l'activité économique. Les jeunes de la rue s'insèrent dans des logiques sociales réticulaires où se reproduisent en partie les conceptions agonistiques des sociabilités ordinaires. Le cas de Valentin illustre les rapports complexes et ambigus entre « grands » et « petits », fondés sur des représentations de la puissance et des attentes pragmatiques qui en découlent. Et on peut remarquer enfin comment une institution comme l'Eglise « Va et rencontre » manipule des discours de l'enrichissement et amène à reconstruire de nouvelles formes d'actions économiques en rapport avec les puissances invisibles (celles bénéfiques de Dieu et les forces diabolisées et réifiées de la sorcellerie). Ces logiques d'action au sein de dispositifs de pouvoir, participant aux modes populaires d'action économique, ouvrent à une compréhension des mécanismes de reconduction de la vraisemblance des imaginaires de l'occulte à travers l'activité économique.
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Il s'agit ici, d'une manière générale, d'envisager les phénomènes économiques de l'enrichissement et de l'accumulation de la richesse en rapport avec les pouvoirs invisibles et les forces occultes au sein de la ville de Yaoundé. Une première partie est consacrée à une mise en contexte historique, politique, économique et sociale du cadre d'étude (le Cameroun et plus particulièrement Yaoundé) ; puis à un retour sur la littérature anthropologique africaniste qui l'informe, ainsi qu'à la mise en place d'une méthodologie et d'une boite à outils conceptuelle pour distiller les données ethnographiques. Une deuxième partie présente trois études de cas distinctes, destinées à informer « par le bas » certaines pratiques, certains discours et certains rapports à l'enrichissement. D'abord le cas des jeunes du Bunker qui présente un groupe de jeunes marginalisés proche de l'univers urbain de la rue : à travers des trajectoires sociologiques, des modes de vie, des conceptions et des sociabilités, des modes d'énonciation (l'argot notamment), les pratiques économiques et les imaginaires qui les englobent apparaissent en filigrane. Puis le cas de Valentin qui travaille au service d'une famille renommée, avec qui la relation est faite d'ambigüités et d'attentes réciproques contradictoires, obligeant Valentin à s'entretenir par ailleurs des revenus à travers le recours à sa call-box. Enfin, une brève ethnographie de l'Eglise pentecôtiste « Va et rencontre », en mettant en avant les discours qu'elle énonce concernant l'enrichissement et ses liens avec la bénédiction divine. Une troisième et dernière partie fournit une analyse de ces données pour spécifier la place et le rôle de l'occulte en lien avec l'enrichissement, et par là, informer les ressorts du fonctionnement des économies occultes. Il s'agit de chercher à caractériser de manière concrète les procédures, les logiques d'action et les représentations par lesquelles l'occulte vient s'insérer dans certains domaines de l'activité économique. Eu égard à cela, les résultats apparaissent multiples. Tout d'abord, un intérêt ethnographique pour les pratiques économiques « par le bas » amène à informer les logiques d'action concrètes qui œuvrent à l'activité économique. Les jeunes de la rue s'insèrent dans des logiques sociales réticulaires où se reproduisent en partie les conceptions agonistiques des sociabilités ordinaires. Le cas de Valentin illustre les rapports complexes et ambigus entre « grands » et « petits », fondés sur des représentations de la puissance et des attentes pragmatiques qui en découlent. Et on peut remarquer enfin comment une institution comme l'Eglise « Va et rencontre » manipule des discours de l'enrichissement et amène à reconstruire de nouvelles formes d'actions économiques en rapport avec les puissances invisibles (celles bénéfiques de Dieu et les forces diabolisées et réifiées de la sorcellerie). Ces logiques d'action au sein de dispositifs de pouvoir, participant aux modes populaires d'action économique, ouvrent à une compréhension des mécanismes de reconduction de la vraisemblance des imaginaires de l'occulte à travers l'activité économique.
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World Affairs Online
In: Cinq Continents, Band 7, Heft 15, S. 112-135
The economic crises of the years 1980-1990 weakened the power of African states to create decent jobs, fight against poverty and ameliorate the living conditions of
the population. Just as other African countries, Cameroon has been hard hit by this
crisis as well as the damaging effects of the structural adjustment plan. Currently, Cameroonian towns with the example of Yaoundé are at the centre of socioeconomic innovations, indigenous know how and circular economy. This situation is shown on the spot by the interest given by the populations to the novel initiatives and the creation of
income generating activities. Such is the case with the horticulture trade in the towns of Douala and Yaoundé. In effect, the sale of natural flowers is an activity that is increasing in proportion in these two towns of Cameroon. Here, flowers are no longer only vegetation species meant for decoration. They are more than ever sold and give
employment to a wide variety of people young and old. In the town of Yaoundé, a flower
market has been created at avenue Foch at ABBIA. This study analyses the socioeconomic and spatial implications of this market. A survey, of 38 of the 73 vendors in the flower market of the town of Yaoundé in 2015, shows that the sale of natural flowers is part of the socioeconomic landscape of Yaoundé. Today, it generates enormous income that contributes in the amelioration of the lives of those involved in it. It contributes to significant spatial flux in Yaoundé and the entire Cameroon. But it is important for it to be organised and made popular so that its actors can draw significant income for an emerging Cameroonian economy.
In: Enseignement complémentaire N.S., 4,1
Cette thèse vise à contribuer à l'amélioration des connaissances sur la contraception d'urgence, dans un contexte d'étude comme celui de Yaoundé, caractérisé notamment par un faible niveau de la pratique contraceptive, la problématique des grossesses non-désirées et les avortements clandestins. L'objectif général de la recherche est de comprendre dans quelle mesure les femmes ont accès à l'information en matière de contraception d'urgence, et d'analyser la place de cette dernière dans leurs pratiques contraceptives. Selon une approche méthodologique essentiellement qualitative, nous nous intéressons à la fois à l'offre et à la demande de la contraception d'urgence. Il s'agit d'appréhender les opinions, les attitudes et les pratiques non seulement des utilisatrices et non-utilisatrices de cette méthode contraceptive, mais aussi celles des professionnels de santé. Les arguments de santé publique, les perceptions sociales de la contraception d'urgence, les normes sociales en matière de sexualité et de reproduction, les situations relationnelles et les rapports de genre sont des facteurs qui soulignent la diversité et la complexité des logiques et des enjeux sous-jacents à l'utilisation de la méthode. ; (POLS - Sciences politiques et sociales) -- UCL, 2017
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Cette thèse vise à contribuer à l'amélioration des connaissances sur la contraception d'urgence, dans un contexte d'étude comme celui de Yaoundé, caractérisé notamment par un faible niveau de la pratique contraceptive, la problématique des grossesses non-désirées et les avortements clandestins. L'objectif général de la recherche est de comprendre dans quelle mesure les femmes ont accès à l'information en matière de contraception d'urgence, et d'analyser la place de cette dernière dans leurs pratiques contraceptives. Selon une approche méthodologique essentiellement qualitative, nous nous intéressons à la fois à l'offre et à la demande de la contraception d'urgence. Il s'agit d'appréhender les opinions, les attitudes et les pratiques non seulement des utilisatrices et non-utilisatrices de cette méthode contraceptive, mais aussi celles des professionnels de santé. Les arguments de santé publique, les perceptions sociales de la contraception d'urgence, les normes sociales en matière de sexualité et de reproduction, les situations relationnelles et les rapports de genre sont des facteurs qui soulignent la diversité et la complexité des logiques et des enjeux sous-jacents à l'utilisation de la méthode. ; (POLS - Sciences politiques et sociales) -- UCL, 2017
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World Affairs Online
In: Hommes et sociétés
African cities are currently at the heart of many transformations as a result of political dynamics, the search for economic development, the global integration of environmental concerns, the quest for national unity and social cohesion. All these dynamics attract more people from the countryside to the city and thus promote rapid urbanization. This results to urban sprawl and shantytowns which are the juxtaposition of precarious neighborhoods. This mainly questions the capacity of the institutional actors in charge to develop strategies of anticipation in land allocations. The biggest cities (Yaoundé and Douala) of the countryoscillate between the consolidation of an outdated urban planning and the transcription of the sustainable development precepts. However, there remains in this movement an ideological break between the strategic visions of urban development carried by the public authorities (the State) and local urban practices from (urban) populations whose expectations are different. Different forms of traditional appropriation of the latter create an impression of urban rurality shocking the public authorities who desire the world community largely influenced by the precepts of sustainable development. This break according to our analysis, gives to theCameroonian cities, although influenced by the precepts of sustainable development, a morphological segmentation. Also, Western influence is maintained only through financial and sometimes technical aid, meaning that the primary motivation of African states, in a situation of financial precariousness since the crisis of 80s, compared their inclusion in globalenvironmental concerns based on the notion of aid: the African belief in the West-savior. It is therefore important to know the type of sustainability in Cameroon: Which actors for which sustainable city ? ; Les villes Africaines connaissent de multiples transformations liées à la recherche d'un développement économique, à l'intégration mondiale des préoccupations environnementales, à la recherche d'une unité nationale et d'une cohésion sociale. Toutes ces dynamiques attirent de plus en plus les populations des campagnes vers la ville et favorisent ainsi une urbanisation rapide. L'une des conséquences est l'étalement urbain qui s'accompagne de la bidonvilisation c'est-à-dire de la juxtaposition de quartiers précaires. Au Cameroun, les documents de planification urbaine ne sont pour la plupart établis qu'après appropriation de l'espace par les populations. Cela questionne principalement la capacité des acteurs institutionnels en charge de la gestion de ces villes à développer des stratégies d'anticipation dans les allocations foncières. Pourtant, ces villes dont les plus importantes sont Yaoundé et Douala, ont pour principaux enjeux : la consolidation d'une planification retardataire et la transcription des préceptes du développement durable au sein de leurs aménagements. Cependant, il subsiste dans cette mouvance une rupture idéologique entre les visions stratégiques d'aménagement urbain portées par les pouvoirs publics (l'Etat) et les pratiques urbaines locales issues des populations (citadins) dont les attentes sont autres. Les formes d'appropriations traditionnelles différentes de ces dernières créent une impression de ruralité urbaine rejetée pour les pouvoir publics qui ne désirent pour toute urbanité que celle portée par la communauté mondiale, influencée par les préceptes du développement durable. Cette rupture selon notre analyse est celle qui donne aux villes camerounaises une segmentation morphologique. Aussi, l'influence occidentale n'est maintenue qu'aux travers des aides financières et parfois techniques, c'est-à-dire que la motivation première des Etats Africains, en situation de précarité financière depuis la crise des années 80, par rapport à leur inscription aux préoccupations environnementales mondiales repose sur la notion d'aide au développement : sur la croyance africaine à l'Occidentsauveur. Il est donc question de savoir quelle durabilité est à l'œuvre au Cameroun : quels acteurs pour quelle ville durable ?
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