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World Affairs Online
Les rencontres de Yaoundé
In: Politique africaine, Band 62, Heft 1, S. 131-136
ISSN: 2264-5047
Le gentleman de Yaoundé
In: Politique africaine, Band 13, Heft 1, S. 108
ISSN: 2264-5047
Piraterie im Golf von Guinea: Greift der Yaoundé-Prozess?
Die Staatschefs der westafrikanischen Staaten haben 2013 beschlossen, gemeinsam für mehr maritime Sicherheit im Golf von Guinea zu sorgen. Damit haben sie den nach dem Tagungsort benannten Yaoundé-Prozess in die Wege geleitet. Seitdem hat sich das Risiko von Geiselnahmen auf Schiffen jedoch erhöht: 2018 entfielen von weltweit 83 entführten Besatzungsmitgliedern 78 Personen auf den Golf von Guinea. Dennoch kann der Yaoundé-Prozess auch Erfolge vorweisen, die auf den ersten Blick in der Statistik nicht erkennbar sind. Allerdings bleibt festzuhalten, dass diese Fortschritte zum großen Teil nur mit umfangreicher internationaler Hilfe erreicht worden sind und es auch Rückschläge gab. Da die Ursachen von Seeräuberei an Land liegen, ist die ausschließliche Konzentration auf das Seegebiet ein "Geburtsfehler" des Yaoundé-Prozesses. Mittelfristig müssen diese Ursachen bekämpft werden, wenn Piraterie wirksam zurückgedrängt werden soll. Als Erstes muss die Zunahme an Geiselnahmen auf offener See gestoppt werden. Dazu benötigen die Marinen der westafrikanischen Staaten neben weiterer Ausbildung, Wartung und Logistik auch Schiffe. Das Hauptaugenmerk sollte auf Nigeria und Ghana liegen: Nigeria ist einerseits am stärksten von Sicherheitsvorfällen auf See betroffen, andererseits verfügt das Land, wie Ghana, über eine große Signalwirkung in der Region. Die internationale Gemeinschaft sollte das klare Signal vermitteln, dass Erfolge und Engagement einer afrikanischen Initiative durch weitere Unterstützung belohnt werden. Dabei geht es nicht um die Entlassung der afrikanischen Staaten aus der Verantwortung für ihre eigene Sicherheit - im Gegenteil: Die Anrainerstaaten müssen ihre gemeinsamen Anstrengungen fortsetzen. Dafür bietet der Yaoundé-Prozess den richtigen Rahmen.
BASE
Piraterie im Golf von Guinea: greift der Yaoundé-Prozess?
In: SWP-Studie, Band 5/2019
Die Staatschefs der westafrikanischen Staaten haben 2013 beschlossen, gemeinsam für mehr maritime Sicherheit im Golf von Guinea zu sorgen. Damit haben sie den nach dem Tagungsort benannten Yaoundé-Prozess in die Wege geleitet. Seitdem hat sich das Risiko von Geiselnahmen auf Schiffen jedoch erhöht: 2018 entfielen von weltweit 83 entführten Besatzungsmitgliedern 78 Personen auf den Golf von Guinea. Dennoch kann der Yaoundé-Prozess auch Erfolge vorweisen, die auf den ersten Blick in der Statistik nicht erkennbar sind. Allerdings bleibt festzuhalten, dass diese Fortschritte zum großen Teil nur mit umfangreicher internationaler Hilfe erreicht worden sind und es auch Rückschläge gab. Da die Ursachen von Seeräuberei an Land liegen, ist die ausschließliche Konzentration auf das Seegebiet ein »Geburtsfehler« des Yaoundé-Prozesses. Mittelfristig müssen diese Ursachen bekämpft werden, wenn Piraterie wirksam zurückgedrängt werden soll. Als Erstes muss die Zunahme an Geiselnahmen auf offener See gestoppt werden. Dazu benötigen die Marinen der westafrikanischen Staaten neben weiterer Ausbildung, Wartung und Logistik auch Schiffe. Das Hauptaugenmerk sollte auf Nigeria und Ghana liegen: Nigeria ist einerseits am stärksten von Sicherheitsvorfällen auf See betroffen, andererseits verfügt das Land, wie Ghana, über eine große Signalwirkung in der Region. Die internationale Gemeinschaft sollte das klare Signal vermitteln, dass Erfolge und Engagement einer afrikanischen Initiative durch weitere Unterstützung belohnt werden. Dabei geht es nicht um die Entlassung der afrikanischen Staaten aus der Verantwortung für ihre eigene Sicherheit - im Gegenteil: Die Anrainerstaaten müssen ihre gemeinsamen Anstrengungen fortsetzen. Dafür bietet der Yaoundé-Prozess den richtigen Rahmen. (Autorenreferat)
Renouvellement de la Convention de Yaoundé
In: Revue tiers monde: études interdisciplinaires sur les questions de développement, Band 10, Heft 37, S. 213-236
ISSN: 1963-1359
Crise, réformes des politiques économiques et emploi à Yaoundé
In: Les Dossiers du CEPED, No. 64
Die 1996 in Yaoundé durchgeführte Untersuchung ergab, daß sich die von Weltbank und IWF empfohlene strukturelle Anpassung zur Bewältigung der Wirtschaftskrise negativ auf den Arbeitsmarkt in Yaoundé auswirkte: Junge Leute suchten länger nach ihrer ersten Stelle, besonders im öffentlichen Sektor, und im modernen Sektor verloren mehr Menschen ihren Arbeitsplatz. Daran änderte auch die Währungsabwertung wenig. (DÜI-Cls)
World Affairs Online
Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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Se protéger à Yaoundé : des productions de sécurité différenciées
International audience ; Cet article propose d'analyser les formes de production de la sécurité dans deux quartiers pauvres de Yaoundé. La capitale du Cameroun rassemble en son sein diverses institutions de rang national, régional, départemental ou local en charge de la sécurité. Malgré cette concentration, la peur de subir un vol ou une agression physique est forte parmi les habitants. Le contexte économique difficile n'est pas indifférent à une telle situation. Pour autant, il faut se garder de toute idéalisation des politiques de sécurité publique dans les décennies précédant cette crise. Ainsi, dès l'époque coloniale, police et gendarmerie effectuent des missions de surveillance et de contrôle au service du pouvoir, au détriment de la protection des biens et des personnes. Certains quartiers et habitants de Yaoundé semblent abandonnés par les institutions dans le cadre d'un Etat néo-patrimonial. Cela pose la question de la répartition de l'offre de sécurité dans l'une des plus grandes villes du Cameroun. Nous formulons l'hypothèse que les populations génèrent leurs propres réponses face à l'insécurité réelle et ressentie. Cet article étudie ainsi les inégalités d'accès à la sécurité, le sentiment d'injustice des populations dépourvues de protection et leur capacité « à se rendre justice. »
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