Abortion Trends in France, 1990-2005
In: Population. English edition, Band 64, Heft 3, S. 443
ISSN: 1958-9190
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In: Population. English edition, Band 64, Heft 3, S. 443
ISSN: 1958-9190
International audience ; Position du problème Le nombre de femmes ayant recours plusieurs fois à l'IVG ne cesse de s'accroître depuis 1975 en France comme dans de nombreux pays où la contraception est d'un accès facile. L'analyse du recours dit " répété " à l'IVG au fil du temps et selon les caractéristiques sociales, démographiques et contraceptives des femmes contribue à éclairer la signification sociale que recouvre cette pratique et à évaluer les politiques de santé sexuelle et reproductive. Méthodes L'analyse porte sur les bulletins statistiques d'IVG de 1990 à 2007 et sur les données de l'enquête nationale sur le recours a l'IVG en France, collectées auprès d'un échantillon aléatoire de 7 067 femmes en France métropolitaine. Les méthodes usuelles d'analyse uni et multivariée ont été utilisées. Résultats L'augmentation du recours répété à l'IVG est observée dans toutes les catégories de la population mais plus marquée chez les femmes de moins de 30 ans, chez celles qui vivent seules et les étudiantes. Les femmes se présentant pour une deuxième IVG déclarent plus que les autres avoir utilisé une méthode de contraception au moment où elles se sont trouvées enceintes. Conclusion L'augmentation du recours multiple à l'IVG au fil du temps traduit avant tout l'allongement de la période entre le premier rapport sexuel et le premier enfant. Le fait d'avoir plusieurs IVG renvoie aux difficultés de gérer un parcours contraceptif sans failles dans le cadre de trajectoires affectives et sexuelles de plus en plus diversifiées.
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International audience ; Position du problème Le nombre de femmes ayant recours plusieurs fois à l'IVG ne cesse de s'accroître depuis 1975 en France comme dans de nombreux pays où la contraception est d'un accès facile. L'analyse du recours dit " répété " à l'IVG au fil du temps et selon les caractéristiques sociales, démographiques et contraceptives des femmes contribue à éclairer la signification sociale que recouvre cette pratique et à évaluer les politiques de santé sexuelle et reproductive. Méthodes L'analyse porte sur les bulletins statistiques d'IVG de 1990 à 2007 et sur les données de l'enquête nationale sur le recours a l'IVG en France, collectées auprès d'un échantillon aléatoire de 7 067 femmes en France métropolitaine. Les méthodes usuelles d'analyse uni et multivariée ont été utilisées. Résultats L'augmentation du recours répété à l'IVG est observée dans toutes les catégories de la population mais plus marquée chez les femmes de moins de 30 ans, chez celles qui vivent seules et les étudiantes. Les femmes se présentant pour une deuxième IVG déclarent plus que les autres avoir utilisé une méthode de contraception au moment où elles se sont trouvées enceintes. Conclusion L'augmentation du recours multiple à l'IVG au fil du temps traduit avant tout l'allongement de la période entre le premier rapport sexuel et le premier enfant. Le fait d'avoir plusieurs IVG renvoie aux difficultés de gérer un parcours contraceptif sans failles dans le cadre de trajectoires affectives et sexuelles de plus en plus diversifiées.
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International audience ; Position du problème Le nombre de femmes ayant recours plusieurs fois à l'IVG ne cesse de s'accroître depuis 1975 en France comme dans de nombreux pays où la contraception est d'un accès facile. L'analyse du recours dit " répété " à l'IVG au fil du temps et selon les caractéristiques sociales, démographiques et contraceptives des femmes contribue à éclairer la signification sociale que recouvre cette pratique et à évaluer les politiques de santé sexuelle et reproductive. Méthodes L'analyse porte sur les bulletins statistiques d'IVG de 1990 à 2007 et sur les données de l'enquête nationale sur le recours a l'IVG en France, collectées auprès d'un échantillon aléatoire de 7 067 femmes en France métropolitaine. Les méthodes usuelles d'analyse uni et multivariée ont été utilisées. Résultats L'augmentation du recours répété à l'IVG est observée dans toutes les catégories de la population mais plus marquée chez les femmes de moins de 30 ans, chez celles qui vivent seules et les étudiantes. Les femmes se présentant pour une deuxième IVG déclarent plus que les autres avoir utilisé une méthode de contraception au moment où elles se sont trouvées enceintes. Conclusion L'augmentation du recours multiple à l'IVG au fil du temps traduit avant tout l'allongement de la période entre le premier rapport sexuel et le premier enfant. Le fait d'avoir plusieurs IVG renvoie aux difficultés de gérer un parcours contraceptif sans failles dans le cadre de trajectoires affectives et sexuelles de plus en plus diversifiées.
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International audience ; Position du problème Le nombre de femmes ayant recours plusieurs fois à l'IVG ne cesse de s'accroître depuis 1975 en France comme dans de nombreux pays où la contraception est d'un accès facile. L'analyse du recours dit " répété " à l'IVG au fil du temps et selon les caractéristiques sociales, démographiques et contraceptives des femmes contribue à éclairer la signification sociale que recouvre cette pratique et à évaluer les politiques de santé sexuelle et reproductive. Méthodes L'analyse porte sur les bulletins statistiques d'IVG de 1990 à 2007 et sur les données de l'enquête nationale sur le recours a l'IVG en France, collectées auprès d'un échantillon aléatoire de 7 067 femmes en France métropolitaine. Les méthodes usuelles d'analyse uni et multivariée ont été utilisées. Résultats L'augmentation du recours répété à l'IVG est observée dans toutes les catégories de la population mais plus marquée chez les femmes de moins de 30 ans, chez celles qui vivent seules et les étudiantes. Les femmes se présentant pour une deuxième IVG déclarent plus que les autres avoir utilisé une méthode de contraception au moment où elles se sont trouvées enceintes. Conclusion L'augmentation du recours multiple à l'IVG au fil du temps traduit avant tout l'allongement de la période entre le premier rapport sexuel et le premier enfant. Le fait d'avoir plusieurs IVG renvoie aux difficultés de gérer un parcours contraceptif sans failles dans le cadre de trajectoires affectives et sexuelles de plus en plus diversifiées.
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International audience ; Position du problème Le nombre de femmes ayant recours plusieurs fois à l'IVG ne cesse de s'accroître depuis 1975 en France comme dans de nombreux pays où la contraception est d'un accès facile. L'analyse du recours dit " répété " à l'IVG au fil du temps et selon les caractéristiques sociales, démographiques et contraceptives des femmes contribue à éclairer la signification sociale que recouvre cette pratique et à évaluer les politiques de santé sexuelle et reproductive. Méthodes L'analyse porte sur les bulletins statistiques d'IVG de 1990 à 2007 et sur les données de l'enquête nationale sur le recours a l'IVG en France, collectées auprès d'un échantillon aléatoire de 7 067 femmes en France métropolitaine. Les méthodes usuelles d'analyse uni et multivariée ont été utilisées. Résultats L'augmentation du recours répété à l'IVG est observée dans toutes les catégories de la population mais plus marquée chez les femmes de moins de 30 ans, chez celles qui vivent seules et les étudiantes. Les femmes se présentant pour une deuxième IVG déclarent plus que les autres avoir utilisé une méthode de contraception au moment où elles se sont trouvées enceintes. Conclusion L'augmentation du recours multiple à l'IVG au fil du temps traduit avant tout l'allongement de la période entre le premier rapport sexuel et le premier enfant. Le fait d'avoir plusieurs IVG renvoie aux difficultés de gérer un parcours contraceptif sans failles dans le cadre de trajectoires affectives et sexuelles de plus en plus diversifiées.
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In: Population. English edition, Band 62, Heft 1, S. 57
ISSN: 1958-9190
In: Population. English edition, Band 67, Heft 2, S. 309
ISSN: 1958-9190
In: Cahiers du monde russe et soviétique, Band 33, Heft 1, S. 59-81
Susan Gross Solomon, The demographic argument in Soviet debates over the legalization of abortion in the 1920s.
The signing of the Soviet edict of November 1920 legalizing abortion on social as well as medical grounds provoked intense criticism from within the Russian medical community. Curiously, the demographic argument against abortion, so widespread in other countries of Europe at this time, played almost no role in the Soviet physicians' critique of legalization; until the early 1930's, the doctors attacked the new policy primarily on the grounds that abortion, legal or illegal, had harmful effects on the female organism. This paper argues that the focus of the Soviet physician's critique was shaped by the terms under which the state granted physicians authority over the performance of abortion in 1920. In support of this argument, the paper draws on three different bodies of writing about problems of fertility in Soviet Russia - debates by Soviet physicians over contraception, discussions by Soviet demographers of abortion, and evaluations by German demographers of the impact of legalizing abortion on the Soviet birth rate.
In: Population. English edition, Band 68, Heft 1, S. 7
ISSN: 1958-9190
In: Population. English edition, Band 58, Heft 6, S. 657
ISSN: 1958-9190
In: Politique européenne, Band 45, Heft 3, S. 122-150
ISSN: 2105-2875
Cet article analyse l'effet des valeurs sur la morality politics européenne à travers la question de l'avortement. Face à la politisation d'une compétence souveraine au sein de l'UE, la théorie américaine des guerres culturelles permet d'étudier l'instrumentalisation des valeurs par des groupes confessionnels. L'approche méthodologique qualitative repose sur des entretiens semi-directifs et analyses de documents. Les résultats confirment que les valeurs aident les acteurs à (ré) affirmer une identité particulière. Les controverses européennes sur la signification de notions a priori séculières transforment alors les valeurs en finalité en tant que telle. Ceci pourrait alors avoir un impact sur la politique européenne traditionnelle.
In: Population. English edition, Band 59, Heft 3, S. 439
ISSN: 1958-9190
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique : RCSP, Band 29, Heft 2, S. 243-268
ISSN: 0008-4239
Les grossesses à l'adolescence suscitent de nombreuses questions et restent un problème de santé publique au niveau mondial. Elles sont problématiques car elles sont souvent associées à des difficultés socio-économiques, familiales et psychologiques. L'objectif de cette étude est de comparer les profils psychologiques et sociaux de jeunes filles ayant opté pour une interruption volontaire de grossesse, de celles ayant décidé de la poursuivre, et de jeunes filles n'ayant jamais vécu de grossesse. L'échantillon se compose de 14 jeunes filles âgées entre 16 et 21 ans dont 7 qui ont décidé de poursuivre leur grossesse et 7 autres de l'interrompre. Ces adolescentes ont été comparées à un groupe témoin de 18 jeunes filles n'ayant jamais été enceintes. Un entretien et des questionnaires structurés leur ont été administrés afin d'évaluer les caractéristiques individuelles et environnementales. Résultats / Un milieu familial dépourvu de soutien, des carences affectives, un réseau social restreint, un milieu socio-économique précaire, une mauvaise estime de soi et un désinvestissement scolaire seraient effectivement de puissants prédicteurs de la poursuite d'une grossesse à l'adolescence. Par contre, aucun trait particulier au niveau de la personnalité n'a été démontré. Conclusion Les programmes de prévention doivent, à notre sens, être davantage investis par les politiques de santé publique, sous forme d'informations d'éducation à la sexualité et ce, dès l'enseignement primaire. Toutefois, ces actions doivent dépasser l'information sur la contraception et son utilisation, car la grossesse à l'adolescence est bien plus qu'un défaut ou un échec de contraception, elle répond, pour de nombreuses adolescentes, à des attentes implicites d'une identité nouvelle et de réparation par rapport à des fractures et traumatismes antérieurs. Eu égard aux difficultés psychosociales et au vécu d'adversité des mères adolescentes qui ne sont plus scolarisées, des interventions spécifiques de soutien à la parentalité, en vue de renforcer leurs compétences et sentiments de compétence parentale, et les sensibiliser à leurs propres besoins et à ceux de leur enfant, pourraient être menées à partir d'une clinique en milieu de vie et d'interventions à domicile. ; précocesAbstractIntroduction. – Teenage pregnancy arouses lots of questions and remains a worldwide social and public health problem. This phenomenon isproblematic because it is often associated with socio-economic, family and psychological difficulties.Objective. – Our study aims to identify the individual and environmental factors that influence the teenager's decision whether to keep her child ornot.Method. – A sample of fourteen girls between 16 and 21 years old was recruited who had been or were pregnant. The girls were divided into2 groups: seven who decided to continue with their pregnancy and seven others who decided to have an abortion. This group was compared to girlswho had never been pregnant (n = 18). An interview was carried out and structured questionnaires were administered in order to evaluate individualand environmental characteristics as the age of menarche and the first sexual intercourse, the emotional and sexual education, the social and family support, the socio-cultural background and the socio-economic environment. Different other dimensions were analyzed: individual characteristics(Temperament and Character Inventory Junior, Impulsive Behaviour Scale, Coopersmith Self-Esteem Inventory) and family characteristics (AdverseChildhood Experiences) such as childhood family strengths and adverse childhood experiences.Results and conclusions. – Our study findings showed that a precarious socio-economic environment, a lack of support and affection in thefamily, emotional deprivations, a restricted social network, low self-esteem and school disinvestments would effectively predict the continuationof a pregnancy. Childhood family strengths seem to be strongly protective against early sexual intercourse, adolescent pregnancy and long-termpsychosocial consequences. On the other hand, no particular personality feature was demonstrated. Individual characteristics would thus have lessimpact on premature pregnancies than environmental characteristics. Prevention programs must stretch beyond the use of contraception, i.e. tendtoward an intervention for psycho-socially and socio-economically at risk families, so as to support them in their educational and affective rolewith their children. Psychological help could also be brought to young girls who have had experiences of maltreatment, to favour self-esteem andraise their awareness of the consequences of sexual risk behaviour. Finally, there should be specific help for the girls during the decision-makingperiod. Counselling during this period should be attentive to the resources and the motivations of the adolescent and to the circumstances of the pregnancy. ; Peer reviewed
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