Ce mémoire a pour objectif d'étudier l'oeuvre de René Zuber, comprise entre les années 30 et 40. Période charnière dans l'histoire contemporaine et l'histoire des idéologies, elle se combine avec une époque de transition dans les domaines artistiques ; transformés par l'effondrement des idéaux artistiques académiques hérités du XIXe et les nouvelles possibilités techniques de la société moderne naissante. Ces éléments vont façonner une période atypique pour l'expression artistique, particulièrement dans ses relations entre les artistes, le public, les idéologies et les instances politiques. La notion d'engagement dans l'art va progressivement se dégager et devenir un axe important de l'analyse artistique, si bien que notre conception actuelle d'une oeuvre d'art l'inclut comme une thématique forte - voire indispensable, consciemment ou non - ce qui amène à considérer l'artiste comme un vecteur idéologique plus ou moins impactant.
Ce mémoire a pour objectif d'étudier l'oeuvre de René Zuber, comprise entre les années 30 et 40. Période charnière dans l'histoire contemporaine et l'histoire des idéologies, elle se combine avec une époque de transition dans les domaines artistiques ; transformés par l'effondrement des idéaux artistiques académiques hérités du XIXe et les nouvelles possibilités techniques de la société moderne naissante. Ces éléments vont façonner une période atypique pour l'expression artistique, particulièrement dans ses relations entre les artistes, le public, les idéologies et les instances politiques. La notion d'engagement dans l'art va progressivement se dégager et devenir un axe important de l'analyse artistique, si bien que notre conception actuelle d'une oeuvre d'art l'inclut comme une thématique forte - voire indispensable, consciemment ou non - ce qui amène à considérer l'artiste comme un vecteur idéologique plus ou moins impactant.
Ce mémoire a pour objectif d'étudier l'oeuvre de René Zuber, comprise entre les années 30 et 40. Période charnière dans l'histoire contemporaine et l'histoire des idéologies, elle se combine avec une époque de transition dans les domaines artistiques ; transformés par l'effondrement des idéaux artistiques académiques hérités du XIXe et les nouvelles possibilités techniques de la société moderne naissante. Ces éléments vont façonner une période atypique pour l'expression artistique, particulièrement dans ses relations entre les artistes, le public, les idéologies et les instances politiques. La notion d'engagement dans l'art va progressivement se dégager et devenir un axe important de l'analyse artistique, si bien que notre conception actuelle d'une oeuvre d'art l'inclut comme une thématique forte - voire indispensable, consciemment ou non - ce qui amène à considérer l'artiste comme un vecteur idéologique plus ou moins impactant.
Ce mémoire a pour objectif d'étudier l'oeuvre de René Zuber, comprise entre les années 30 et 40. Période charnière dans l'histoire contemporaine et l'histoire des idéologies, elle se combine avec une époque de transition dans les domaines artistiques ; transformés par l'effondrement des idéaux artistiques académiques hérités du XIXe et les nouvelles possibilités techniques de la société moderne naissante. Ces éléments vont façonner une période atypique pour l'expression artistique, particulièrement dans ses relations entre les artistes, le public, les idéologies et les instances politiques. La notion d'engagement dans l'art va progressivement se dégager et devenir un axe important de l'analyse artistique, si bien que notre conception actuelle d'une oeuvre d'art l'inclut comme une thématique forte - voire indispensable, consciemment ou non - ce qui amène à considérer l'artiste comme un vecteur idéologique plus ou moins impactant.
Ce mémoire a pour objectif d'étudier l'oeuvre de René Zuber, comprise entre les années 30 et 40. Période charnière dans l'histoire contemporaine et l'histoire des idéologies, elle se combine avec une époque de transition dans les domaines artistiques ; transformés par l'effondrement des idéaux artistiques académiques hérités du XIXe et les nouvelles possibilités techniques de la société moderne naissante. Ces éléments vont façonner une période atypique pour l'expression artistique, particulièrement dans ses relations entre les artistes, le public, les idéologies et les instances politiques. La notion d'engagement dans l'art va progressivement se dégager et devenir un axe important de l'analyse artistique, si bien que notre conception actuelle d'une oeuvre d'art l'inclut comme une thématique forte - voire indispensable, consciemment ou non - ce qui amène à considérer l'artiste comme un vecteur idéologique plus ou moins impactant.
Ce mémoire a pour objectif d'étudier l'oeuvre de René Zuber, comprise entre les années 30 et 40. Période charnière dans l'histoire contemporaine et l'histoire des idéologies, elle se combine avec une époque de transition dans les domaines artistiques ; transformés par l'effondrement des idéaux artistiques académiques hérités du XIXe et les nouvelles possibilités techniques de la société moderne naissante. Ces éléments vont façonner une période atypique pour l'expression artistique, particulièrement dans ses relations entre les artistes, le public, les idéologies et les instances politiques. La notion d'engagement dans l'art va progressivement se dégager et devenir un axe important de l'analyse artistique, si bien que notre conception actuelle d'une oeuvre d'art l'inclut comme une thématique forte - voire indispensable, consciemment ou non - ce qui amène à considérer l'artiste comme un vecteur idéologique plus ou moins impactant.
Lire le livre en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 Ce livre est sous licence Creative Commons CC-BY 4.0 ; International audience ; Accessible en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 « Amateurs », « citoyens », « profanes », « non-professionnels », « usagers », « public » ont trouvé leur place dans la création artistique et scientifique. Difficile à mesurer, cette diversification des pratiques créatives est cependant certaine : des amateurs et des amatrices participent à l'élaboration et à la réalisation de projets artistiques dans le domaine de la danse, du théâtre, de la musique, du cinéma ; des non-spécialistes contribuent à la production de connaissances dans des domaines aussi variés que la botanique, l'entomologie, l'astrophysique, quand ils ne sont pas associés à la conception même de projets de recherche. Comment comprendre et comment analyser cette diffusion des savoirs et pratiques amateurs ? Sommes-nous aujourd'hui tous créateurs et toutes créatrices ? Des limites insurmontables maintiennent-elles les amateurs à distance des créateurs ? Les contributions réunies dans ce livre, issues d'un colloque tenu au Château de Goutelas (France) en 2015, proposent des regards disciplinaires variés sur les conditions d'une participation réussie des amateurs à la création et sur les obstacles auxquels cette démarche est confrontée. Des entretiens mettent en discussion des expériences concrètes de participation de citoyens et citoyennes à la création artistique et scientifique. Table des matières Avant-propos Marie-Claude Mioche Les auteurs et auteures Introduction Olivier Leclerc Partie 1. Le temps des amateurs et amatrices La participation des amateurs et des amatrices à la création artistique, Michel Miaille Le temps civique de l'amateurat, Philippe Dujardin Veduta : la plateforme de l'amateur à la Biennale d'art contemporain de Lyon. Entretien avec Olivier Leclerc, Mélanie Fagard Politique et poétique du théâtre amateur, Marie-Christine Bordeaux Partie 2. Donner ...
Lire le livre en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 Ce livre est sous licence Creative Commons CC-BY 4.0 ; International audience ; Accessible en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 « Amateurs », « citoyens », « profanes », « non-professionnels », « usagers », « public » ont trouvé leur place dans la création artistique et scientifique. Difficile à mesurer, cette diversification des pratiques créatives est cependant certaine : des amateurs et des amatrices participent à l'élaboration et à la réalisation de projets artistiques dans le domaine de la danse, du théâtre, de la musique, du cinéma ; des non-spécialistes contribuent à la production de connaissances dans des domaines aussi variés que la botanique, l'entomologie, l'astrophysique, quand ils ne sont pas associés à la conception même de projets de recherche. Comment comprendre et comment analyser cette diffusion des savoirs et pratiques amateurs ? Sommes-nous aujourd'hui tous créateurs et toutes créatrices ? Des limites insurmontables maintiennent-elles les amateurs à distance des créateurs ? Les contributions réunies dans ce livre, issues d'un colloque tenu au Château de Goutelas (France) en 2015, proposent des regards disciplinaires variés sur les conditions d'une participation réussie des amateurs à la création et sur les obstacles auxquels cette démarche est confrontée. Des entretiens mettent en discussion des expériences concrètes de participation de citoyens et citoyennes à la création artistique et scientifique. Table des matières Avant-propos Marie-Claude Mioche Les auteurs et auteures Introduction Olivier Leclerc Partie 1. Le temps des amateurs et amatrices La participation des amateurs et des amatrices à la création artistique, Michel Miaille Le temps civique de l'amateurat, Philippe Dujardin Veduta : la plateforme de l'amateur à la Biennale d'art contemporain de Lyon. Entretien avec Olivier Leclerc, Mélanie Fagard Politique et poétique du théâtre amateur, Marie-Christine Bordeaux Partie 2. Donner leur place aux amateurs et amatrices De quelques formes de créativité dans le cinéma amateur, Roger Odin Participation, créativité et création des amateurs et amatrices : les gramophiles des années 1920 et 1930, Sophie Maisonneuve Entre le garage, le public et le marché : valuations de la biologie do-it-yourself, Morgan Meyer et Rebecca Wilbanks Contributions profanes et attribution scientifique, David Pontille Le droit de la propriété intellectuelle face à l'amateur, Michel Vivant Partie 3. Les amateurs et amatrices dans la création : pratiques, actions, institutions Les Futurs de l'Écrit à l'Abbaye de Noirlac. Entretien avec Olivier Leclerc, Paul Fournier Le croisement des savoirs et des pratiques. Entretien avec Olivier Leclerc, Claude et Françoise Ferrand Créer une boutique des sciences au Bénin Entretien avec Olivier Leclerc, Pierre-Chanel Hounwanou et Djossè Roméo Tessy Le dialogue des savoirs comme fondement de la démocratie scientifique. Entretien avec Olivier Leclerc, Florence Piron Les sciences participatives et la collecte de données naturalistes. Entretien avec Olivier Leclerc, Romain Julliard Analyser les ressources du milieu pour une collaboration réellement participative. Quelques exemples autour de l'ornithologie et de l'entomologie, Florian Charvolin Les Partenariats institutions-citoyens pour la recherche et l'innovation. Entretien avec Olivier Leclerc, Marc Lipinski Associer des amateurs et amatrices à la création? Essai de cartographie. Olivier Leclerc À propos de la maison d'édition
Lire le livre en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 Ce livre est sous licence Creative Commons CC-BY 4.0 ; International audience ; Accessible en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 « Amateurs », « citoyens », « profanes », « non-professionnels », « usagers », « public » ont trouvé leur place dans la création artistique et scientifique. Difficile à mesurer, cette diversification des pratiques créatives est cependant certaine : des amateurs et des amatrices participent à l'élaboration et à la réalisation de projets artistiques dans le domaine de la danse, du théâtre, de la musique, du cinéma ; des non-spécialistes contribuent à la production de connaissances dans des domaines aussi variés que la botanique, l'entomologie, l'astrophysique, quand ils ne sont pas associés à la conception même de projets de recherche. Comment comprendre et comment analyser cette diffusion des savoirs et pratiques amateurs ? Sommes-nous aujourd'hui tous créateurs et toutes créatrices ? Des limites insurmontables maintiennent-elles les amateurs à distance des créateurs ? Les contributions réunies dans ce livre, issues d'un colloque tenu au Château de Goutelas (France) en 2015, proposent des regards disciplinaires variés sur les conditions d'une participation réussie des amateurs à la création et sur les obstacles auxquels cette démarche est confrontée. Des entretiens mettent en discussion des expériences concrètes de participation de citoyens et citoyennes à la création artistique et scientifique. Table des matières Avant-propos Marie-Claude Mioche Les auteurs et auteures Introduction Olivier Leclerc Partie 1. Le temps des amateurs et amatrices La participation des amateurs et des amatrices à la création artistique, Michel Miaille Le temps civique de l'amateurat, Philippe Dujardin Veduta : la plateforme de l'amateur à la Biennale d'art contemporain de Lyon. Entretien avec Olivier Leclerc, Mélanie Fagard Politique et poétique du théâtre amateur, Marie-Christine Bordeaux Partie 2. Donner leur place aux amateurs et amatrices De quelques formes de créativité dans le cinéma amateur, Roger Odin Participation, créativité et création des amateurs et amatrices : les gramophiles des années 1920 et 1930, Sophie Maisonneuve Entre le garage, le public et le marché : valuations de la biologie do-it-yourself, Morgan Meyer et Rebecca Wilbanks Contributions profanes et attribution scientifique, David Pontille Le droit de la propriété intellectuelle face à l'amateur, Michel Vivant Partie 3. Les amateurs et amatrices dans la création : pratiques, actions, institutions Les Futurs de l'Écrit à l'Abbaye de Noirlac. Entretien avec Olivier Leclerc, Paul Fournier Le croisement des savoirs et des pratiques. Entretien avec Olivier Leclerc, Claude et Françoise Ferrand Créer une boutique des sciences au Bénin Entretien avec Olivier Leclerc, Pierre-Chanel Hounwanou et Djossè Roméo Tessy Le dialogue des savoirs comme fondement de la démocratie scientifique. Entretien avec Olivier Leclerc, Florence Piron Les sciences participatives et la collecte de données naturalistes. Entretien avec Olivier Leclerc, Romain Julliard Analyser les ressources du milieu pour une collaboration réellement participative. Quelques exemples autour de l'ornithologie et de l'entomologie, Florian Charvolin Les Partenariats institutions-citoyens pour la recherche et l'innovation. Entretien avec Olivier Leclerc, Marc Lipinski Associer des amateurs et amatrices à la création? Essai de cartographie. Olivier Leclerc À propos de la maison d'édition
Lire le livre en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 Ce livre est sous licence Creative Commons CC-BY 4.0 ; International audience ; Accessible en ligne : http://www.editionscienceetbiencommun.org/?p=400 « Amateurs », « citoyens », « profanes », « non-professionnels », « usagers », « public » ont trouvé leur place dans la création artistique et scientifique. Difficile à mesurer, cette diversification des pratiques créatives est cependant certaine : des amateurs et des amatrices participent à l'élaboration et à la réalisation de projets artistiques dans le domaine de la danse, du théâtre, de la musique, du cinéma ; des non-spécialistes contribuent à la production de connaissances dans des domaines aussi variés que la botanique, l'entomologie, l'astrophysique, quand ils ne sont pas associés à la conception même de projets de recherche. Comment comprendre et comment analyser cette diffusion des savoirs et pratiques amateurs ? Sommes-nous aujourd'hui tous créateurs et toutes créatrices ? Des limites insurmontables maintiennent-elles les amateurs à distance des créateurs ? Les contributions réunies dans ce livre, issues d'un colloque tenu au Château de Goutelas (France) en 2015, proposent des regards disciplinaires variés sur les conditions d'une participation réussie des amateurs à la création et sur les obstacles auxquels cette démarche est confrontée. Des entretiens mettent en discussion des expériences concrètes de participation de citoyens et citoyennes à la création artistique et scientifique. Table des matières Avant-propos Marie-Claude Mioche Les auteurs et auteures Introduction Olivier Leclerc Partie 1. Le temps des amateurs et amatrices La participation des amateurs et des amatrices à la création artistique, Michel Miaille Le temps civique de l'amateurat, Philippe Dujardin Veduta : la plateforme de l'amateur à la Biennale d'art contemporain de Lyon. Entretien avec Olivier Leclerc, Mélanie Fagard Politique et poétique du théâtre amateur, Marie-Christine Bordeaux Partie 2. Donner leur place aux amateurs et amatrices De quelques formes de créativité dans le cinéma amateur, Roger Odin Participation, créativité et création des amateurs et amatrices : les gramophiles des années 1920 et 1930, Sophie Maisonneuve Entre le garage, le public et le marché : valuations de la biologie do-it-yourself, Morgan Meyer et Rebecca Wilbanks Contributions profanes et attribution scientifique, David Pontille Le droit de la propriété intellectuelle face à l'amateur, Michel Vivant Partie 3. Les amateurs et amatrices dans la création : pratiques, actions, institutions Les Futurs de l'Écrit à l'Abbaye de Noirlac. Entretien avec Olivier Leclerc, Paul Fournier Le croisement des savoirs et des pratiques. Entretien avec Olivier Leclerc, Claude et Françoise Ferrand Créer une boutique des sciences au Bénin Entretien avec Olivier Leclerc, Pierre-Chanel Hounwanou et Djossè Roméo Tessy Le dialogue des savoirs comme fondement de la démocratie scientifique. Entretien avec Olivier Leclerc, Florence Piron Les sciences participatives et la collecte de données naturalistes. Entretien avec Olivier Leclerc, Romain Julliard Analyser les ressources du milieu pour une collaboration réellement participative. Quelques exemples autour de l'ornithologie et de l'entomologie, Florian Charvolin Les Partenariats institutions-citoyens pour la recherche et l'innovation. Entretien avec Olivier Leclerc, Marc Lipinski Associer des amateurs et amatrices à la création? Essai de cartographie. Olivier Leclerc À propos de la maison d'édition
International audience ; À la fin des années 1960, de nouvelles formes d'expression artistique émergent dans un contexte troublé où revendications politiques, sociales, économiques et culturelles contribuent à transformer radicalement les rapports entre artistes et institutions muséales. Alors que ces dernières, fortement attaquées pour leur conservatisme et leur posture autoritaire, tentent de trouver un compromis avec leurs détracteurs, les artistes eux s'engagent dans des processus créatifs qui contournent l'hégémonie tant culturelle qu'économique du musée en s'en emparant comme d'un outil expérimental. Marcel Broodthaers et Fred Wilson, chacun à leur manière, analysent avec acuité le rôle idéologique du musée dans leurs expositions.
International audience ; À la fin des années 1960, de nouvelles formes d'expression artistique émergent dans un contexte troublé où revendications politiques, sociales, économiques et culturelles contribuent à transformer radicalement les rapports entre artistes et institutions muséales. Alors que ces dernières, fortement attaquées pour leur conservatisme et leur posture autoritaire, tentent de trouver un compromis avec leurs détracteurs, les artistes eux s'engagent dans des processus créatifs qui contournent l'hégémonie tant culturelle qu'économique du musée en s'en emparant comme d'un outil expérimental. Marcel Broodthaers et Fred Wilson, chacun à leur manière, analysent avec acuité le rôle idéologique du musée dans leurs expositions.
À partir de la vie chorégraphique à Rennes, nous cherchons à montrer comment l'exercice de ces activités s'apparente, dans certaines situations, à un régime d'exercice de « prestation de service ». Les orientations de la politique culturelle à Rennes participent à privilégier, chez les chorégraphes « instables », une recherche de maintien d'activités. Des situations d'activités artistiques hétérodoxes ouvrent un nouvel espace de transactions de ces activités où domine une demande de prestation de service, possible du fait d'une valorisation des processus artistiques dans les mondes de l'art devenant compétence dans les mondes étrangers à ces derniers. Dans ces situations, l'indétermination associée à l'artiste se déplace vers les processus chorégraphiques entendus comme ressorts de la création et savoir-faire. Ce second sens explique l'interchangeabilité possible des chorégraphes devenant « artistes ordinaires ».
À partir de la vie chorégraphique à Rennes, nous cherchons à montrer comment l'exercice de ces activités s'apparente, dans certaines situations, à un régime d'exercice de « prestation de service ». Les orientations de la politique culturelle à Rennes participent à privilégier, chez les chorégraphes « instables », une recherche de maintien d'activités. Des situations d'activités artistiques hétérodoxes ouvrent un nouvel espace de transactions de ces activités où domine une demande de prestation de service, possible du fait d'une valorisation des processus artistiques dans les mondes de l'art devenant compétence dans les mondes étrangers à ces derniers. Dans ces situations, l'indétermination associée à l'artiste se déplace vers les processus chorégraphiques entendus comme ressorts de la création et savoir-faire. Ce second sens explique l'interchangeabilité possible des chorégraphes devenant « artistes ordinaires ».
The creation of a the Biennale of young artists in Paris takes place for the first time at the Museum of Decorative Arts at the Pavillon de Marsan (in the Louvre) in 1957. However, this event organised in favour of the so called New "Ecole de Paris" will be erased from the history of Biennales organized and narrated by Raymond Cogniat at the beginning of the French fifth Republic. This first experiment however turns out however many lessons about relationships between the government and the artists and therefore, deserves to be discussed. Its organization, which precludes any real selection and its relative failure, will give valuable indications to the future organizers of similar events, such as Raymond Cogniat and François Mathey, the Museum of Decorative Arts curator, a defender of contemporary art. ; La création d'une Biennale des jeunes artistes à Paris se déroule pour la première fois au musée des Arts décoratifs, au Pavillon de Marsan (au palais du Louvre) en 1957. Toutefois cette manifestation favorable à la nouvelle école de Paris, va être effacée de l'histoire des Biennales qui seront organisées et racontées par Raymond Cogniat au début de la Ve République. Cette première expérience s'avère pourtant riche d'enseignements sur les rapports entre les pouvoirs publics et les artistes vivants, et mérite à ce titre d'être commentée. Ses modalités d'organisation, qui écartent toute sélection réelle et son échec relatif, vont servir de leçons aux futurs organisateurs de manifestations similaires, comme Raymond Cogniat et François Mathey, conservateur musée des Arts décoratifs et promoteur de l'art vivant.