Lancée le 22 novembre 2018, le programme national Territoires d'industrie réunit l'État, la Banque des Territoires et sept opérateurs nationaux qui mobilisent des moyens financiers, techniques et humains en partenariat avec les conseils régionaux pour faciliter le déploiement de nouveaux projets industriels dans les territoires. L'objectif de cette note est de brosser le portrait des 146 territoires d'industrie et de mettre en évidence la diversité qui prévaut à l'intérieur de ce groupe.
Lancée le 22 novembre 2018, le programme national Territoires d'industrie réunit l'État, la Banque des Territoires et sept opérateurs nationaux qui mobilisent des moyens financiers, techniques et humains en partenariat avec les conseils régionaux pour faciliter le déploiement de nouveaux projets industriels dans les territoires. L'objectif de cette note est de brosser le portrait des 146 territoires d'industrie et de mettre en évidence la diversité qui prévaut à l'intérieur de ce groupe.
Mardi 22 février, le tribunal de district de La Haye a clos son dernier procès relevant de la compétence universelle, contre un binational afghan-néerlandais soupçonné d'avoir été un commandant et un chef du département des affaires politiques de la sinistre prison de Pul-e-Charki, à Kaboul, dans les années 1980. Le procès a mis en exergue ce qui semble être de vastes défis autour de l'enquête sur des accusations de crimes de guerre.
Die Berichtigungen zu den Reihen I, III und VII der Leibniz-Akademie-Ausgabe enthalten eine gebündelte Zusammenstellung aller bereits im Druck erschienenen Berichtigungen zu den heute vom Leibniz-Archiv herausgegebenen Reihen der historisch-kritischen Gesamtausgabe Gottfried Wilhelm Leibniz: Sämtliche Schriften und Briefe, hrsg. von der Preußischen Akademie der Wissenschaften u. a., Darmstadt u. a. 1923 ff. (Leibniz-Akademie-Ausgabe). Das vorliegende Dokument gibt den Stand vom Oktober 2016 wieder. Von Reihe I: Allgemeiner, politischer und historischer Briefwechsel wurden alle Berichtigungen bis Bd 22 erfasst, von Reihe III: Mathematischer, naturwissenschaftlicher und technischer Briefwechsel die Berichtigungen bis Bd 8 und von Reihe VII: Mathematische Schriften diejenigen bis Bd 6.
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
"En Afrique, la période de décolonisation prend une nouvelle tournure avec l'arrivée de Charles de Gaulle. Son projet de la Communauté est bien accueilli, à l'exception de quelques pays dont la Guinée. Sékou Touré y voit le néocolonialisme, auquel il dit non. Anticolonialiste dans l'âme, le Guinéen tient à tout prix à la Révolution. Dès l'indépendance en 1958, la France quitte le pays en laissant un désordre administratif et en subtilisant des millions de dollars. Prix à payer pour conserver l'indépendance, Sékou Touré va éviter plusieurs coups d'État et tentatives d'assassinat entre 1958 et 1970, ce qui contribue à sa croyance du complot permanent. Cela dit, l'opération "Mer Verte", le 22 novembre 1970, est l'élément le plus explosif. Orchestré par le Portugal et exécuté à partir de la frontière Guinée-Bissau par des mercenaires et dissidents guinéens, la Guinée est frappée par une violence inattendue ciblant Sékou Touré. Certainement ébranlé, après quelques mois il publie La 5ème Colonne. En quoi l'idée de la cinquième colonne, telle qu'élaborée par Sékou Touré, marque une volonté de défendre la Révolution, ou est-elle symptomatique du complot permanent? Pour répondre à la question, nous regardons la fonction qu'occupe la cinquième colonne dans sa pensée. Nous croyons que son inspiration socialiste transparait dans la manière de construire une esthétique politique justifiant ses futures intentions de répressions. La cinquième colonne s'établit dans sa pensée sous la forme d'une volonté à résister aux impérialismes, en ayant évité plusieurs coups d'État. [.]"
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
International audience ; Dans ce chapitre nous proposons un retour critique sur les débats qui ont traversé le colloque qui s'est tenu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle du 16 au 22 septembre 2019. Intitulé « Sciences Techniques et Agricultures », le colloque s'est ouvert sur l'expression d'une volonté de répondre aux « grands défis sociétaux » et de contribuer aux « transformations des mondes contemporains ». Doublée d'une interrogation quant aux possibilités et aux manières de le faire en tant que chercheurs s'intéressant à l'agriculture, l'introduction des organisateurs a été largement partagée par leurs invités. Agronomes, écologues, zootechniciens, sociologues, anthropologues, économistes, philosophes, biologistes, juristes et politistes ont présenté et débattu de leurs travaux durant une semaine marquée par l'ambition de concourir au changement et par des préoccupations quant au sens du métier de chercheur. Ce colloque de Cerisy a consisté en plusieurs journées de discussions, certaines dans l'enceinte du château éponyme, d'autres hors les murs. Ces déplacements visaient à ouvrir des espaces de dialogue permettant de penser la place des sciences et des techniques en agriculture par-delà les frontières du monde académique. Toutefois, que ces échanges aient eu lieu entre nous (invités au colloque) ou avec d'autres (agriculteurs, enseignants et élèves d'un lycée agricole voisin, entrepreneurs d'innovation), qu'ils se soient tenus dans un des bâtiments du château, dans la cour d'une ferme, dans un hall technologique ou dans l'amphithéâtre du lycée, il n'a pas toujours été facile d'engager une conversation, c'est-à-dire de créer une relation sociale permettant d'articuler différentes visions du monde [Haraway, 1988].
Tesis Doctoral inédita cotutelada por la Aix-Marseille Université de Marsella y la Universidad Autónoma de Madrid, Facultad de Filosofía y Letras, Departamento de Filología Francesa. Fecha de Lectura: 22-10-2021 ; Esta tesis tiene embargado el acceso al texto completo hasta el 22-04-2023 ; Les origines de Mordred sont floues, et parfois contradictoires entre elles, tant estgrande l'absence d'unité dans les destins narratologiques de ce chevalier du cycle arthurien. Pour les chroniques galloises, rédigées au plus tard au Xe siècle, il est « Medrawt », mort à la bataille de Camlann. Au XIIe siècle, il évolue en « Mordret », chevalier du roi et neveu de celui-ci, dont il usurpe le trône. Entre les XIIIe et XVe siècles, il devient le bâtard incestueux d'Arthur, l'amoureux éconduit de Guenièvre, et parricide. Si ces strates suggèrent un enracinement du personnage dans le Mal, entre le Xe et le XXe siècle, il reste mineur. Il n'a d'utilité que pour le dénouement des branches arthuriennes, et n'occupe que le second plan, ignorant les vertus chevaleresques et l'amour courtois. A chaque époque, son rôle est orienté pour mieux incarner les maux contemporains. Ce travail analyse les évolutions mordretiennes au cours des siècles et dans plusieurs domaines politico-linguistiques. Les rémanences du personnage sont étudiées selon les transferts orchestrés depuis d'autres personnages arthuriens d'abord, puis avec un fonds de topoï plus large. Tant au niveau du corpus médiéval que du corpus moderne, cette étude s'intéresse aux modifications structurelles de la symbolique mordretienne. Lié au Mal pour une période christianisée, il ne métaphorise plus que l'Autre, dangereux non plus par son stigmate, mais seulement pour ses caractéristiques différentes. Apparaît alors une revalorisation victimisante du personnage, qui suscite la sympathie. Loin d'en faire un repoussoir, cette ligne directrice émergente révèle un état civilisationnel. L'identification à Mordred correspond à un schéma mythique, à une fable sur l'ethos empathique transformant notre rapport à nous-mêmes et aux autres ; Los orígenes de Mordred no están claros, y en ocasiones son contradictorios, tan grande es la falta de unidad en los destinos narratológicos de este caballero del ciclo artúrico. Para las crónicas galesas, escritas en el siglo X, se trata de "Medrawt", que murió en la batalla de Camlann. En el siglo XII, se convirtió en "Mordret", caballero del rey y sobrino de éste, al cual usurpó el trono. Entre los siglos XIII y XV, volvió el bastardo incestuoso de Arturo, el despreciado amante de Ginebra y el parricidio. Si estas líneas sugieren un arraigo del personaje en el Mal, entre el siglo X y el XX, sigue siendo menor. Sólo es útil para desenredar las ramas artúricas, y queda relegado aun secundo plano, ignorando las virtudes caballerescas y el amor cortés. En cada época, su papel está orientado a encarnar mejor los males contemporáneos. Este trabajo analiza las evoluciones mordretianas a lo largo de los siglos y en varioscampos político-lingüísticos. Estudiaremos las remanencias del personaje de acuerdo con las transferencias orquestadas desde otros personajes arturianos primero, luego con unfondo más amplio. Tanto a nivel del corpus medieval como del corpus moderno, este estudio se interesa por las modificaciones estructurales del simbolismo mordretiano. Vinculado al Mal durante un período cristianizado, metaforiza únicamente al Otro, peligroso ya no por su estigma, sino sólo por sus diferentes características. Aparece entonces una revalorización victimizante del personaje quien pasa a ser el centro de un pathos simpático. Lejos de convertirlo en algo repulsivo, esta línea emergente revela un estado de civilización. La identificación con Mordred corresponde con un patrón mítico, una fábulasobre el ethos empático que transforma nuestra relación con nosotros mismos y con los demás