In diesem Essay geht es um das Handwerk des Schreibens über Klientinnen, um dessen ethische Aspekte in Abgrenzung zur direkten optischen Darstellung in den (Massen-) Medien. Fragen der Wissenschaftlichkeit der Kasuistik sowie ihrer Grenzen werden angesprochen. Es wird gezeigt, welchen Platz Fallberichte innerhalb des gesellschaftspolitischen Auftrags der Psychotherapie einnehmen, in welch geistesgeschichtlicher Tradition sie stehen, vor allem, in welch nahem Verwandtschaftsverhältnis sie zur Literatur stehen. Daran reiht sich die Frage, welches Genre, welche Sprache und welche Sprachlichkeit dazu angetan sind, dem psychotherapeutischen "Gegenstand" (dem homo patiens) gerecht zu werden, und welche psychotherapeutischen Haltungen sich in den Darstellungsformen offenbaren und sich zur Diskussion stellen. Dies wird anhand eines eigenen Fallbeispiels exemplifiziert.Schlüsselwörter:Kasuistik; Massenmedien; Fallbericht; Wissenschaftlichkeit der Psychotherapie; Narrative; Sprache als Trägerin von Haltungen. ; In this essay I will discuss the technique and ethical aspects of writing about clients, as compared to the portrayal of psychotherapeutic situations in the mass media. Questions of the scientific method of casuistry and its boundaries are addressed. The role of case reports in the socio-political mission of psychotherapy will be demonstrated, as well as the intellectual tradition of which those reports are part, and, above all, their relationship to literature. From these considerations, other questions arise: which genre, what kind of language, and what linguistic structures are appropriate to do justice to the psychotherapeutic object, the homo patiens, and which psychotherapeutic approaches manifest themselves and present themselves for discussion? These questions will be addressed through a case study from the author herself.Key words:Casuistry; Mass media; Scholarliness of psychotherapy; Narrative; Language as carrier of attitudes ; II s'agit ici de l'art d'élaborer des textes sur des clients, de ses aspects éthiques et de ce qui le distingue de la mise en scène du contenu des thérapies dans les médias et la presse (populaire). En tant que psychothérapeutes nous nous chargeons d'une mission dans le contexte de la politique sociale ; nous devons donc rendre des comptes sur notre pratique, à nous-mêmes mais aussi à nos collègues et à la collectivité. Nous proposons dans cet article une réflexion sur les différentes modalités de présentation et mettons en évidence l'équilibre délicat entre clarté et exhibition(nisme) que doivent trouver, en particulier, les médias visuels. Il faut savoir utiliser le pouvoir qu'ont ces derniers à amplifier l'information et à élaborer un discours ; il faut développer une culture dotée de la capacité à résister à la soif de sensationnalisme, à la vanité thérapeutique et aux différentes formes (d'abus) de pouvoir. Les problèmes sont en partie dus au fait qu'au cours de son histoire relativement courte, la psychothérapie s'est retrouvée entourée de médias en constant développement (des médias visuels - qui pour elle ont caractère de spectacle - surtout) caractérisés par une attitude souvent limite impudique (contrastant avec la pruderie traditionnelle) et axée sur un monde virtuel. La psychothérapie a besoin du public, mais elle doit devenir plus sensible aux aspects qui lui permettront de se présenter avec sérieux et de manière adéquate par rapport à ses contenus. Selon le groupe visé, il faut choisir entre des formes de présentation plus ou moins directes : lorsque l'on s'adresse à des collègues ou dans le cadre de la formation, on peut être plus explicite tout en respectant le sérieux et le secret professionnels ; lorsque l'on s'adresse à un large public (incluant des clients potentiels), il s'agit de transmettre une image motivante de la psychothérapie et de faciliter l'accès aux traitements.S'exprimer par écrit sur la pratique psychothérapeutique - que ce soit sur un mode scientifique ou populaire - entraîne toute une série d'autres risques. Il est relativement facile de sauvegarder l'anonymat des clients, puisqu'une étude de cas est rédigée après réflexion et que son auteur a la possibilité d'introduire des éléments fictifs et abstraits. La frontière entre fiction et mensonge n'est pas toujours claire et les auteurs d'œuvres littéraires la gèrent en principe autrement ; mais lorsqu'on présente des « cas », on risque toujours de les embellir, de ne choisir que des processus qui se sont déroulés de manière positive ou même d'inventer les descriptions servant d'illustration - ce qui n'est pas acceptable si le texte doit servir de démonstration de l'utilité d'une approche thérapeutique.A ce niveau, il s'agit de questions touchant à l'épistémologie et à l'éthique scientifique, ainsi qu'au problème du caractère scientifique de la psychothérapie en général et de la casuistique en particulier : dans quel domaine scientifique la psychothérapie peut-elle se positionner? Pour nous, elle a ses racines dans les sciences sociales et l'herméneutique et elle est entre autres proche des arts, ce qui signifie que le facteur humain doit absolument être sauvegardé ; ceci la distingue d'une médecine se référant à la technique et aux sciences physiques pour laquelle le flou introduit par des récits humains est une interférence.Le fait que nos clients se montrent à nous par le biais de leurs narratifs démontre lui aussi que psychothérapie et littérature sont proches parentes. Il faut simplement se demander quel genre littéraire, quelle langue et quel langage sont les plus adéquats au moment de décrire « l'objet» de la psychothérapie (l'homo patiens).Il s'agit aussi de cerner les attitudes psychothérapeutiques et les implications sociétales qui se cristallisent dans le langage utilisé, puis d'en débattre. Cet aspect de la question ne peut pas être exposé en détail dans le présent essai, mais il est illustré par un exemple de cas.
The author, who travelled in southern Arabia during the winter 1958/59 together with Prof. H. v. Wissmann and Colonel D. van der Meulen, attempts in this contribution to demonstrate the changes in population and economic geography which have occured in Hadramaut during recent decades. Ḥaḍramaut as now understood forms the major part of the British Eastern Aden Protectorate. It consists of three physical regions: 1. The coastal area, occupied by sand and pebble deserts, the Harra surfaces of recent volcanic origin and a marginal mountain chain of pronounced relief. 2. The Djöl, a raised platform consisting mainly of early Tertiary limestone which in the west, opposite the highland of Yemen, commences with a clear scarp and submerges northwards under the sands of the Ruh' al-Khälï. 3. According to physical character the wadies which are incised in the Djöl and which collect in the Wädï Ḥaḍramaut, a vale of 2—4 Km width running in a west-easterly direction, must be taken as a physical region in its own right. The potentialities for farming in the Hadramaut are very limited; they only exist in the oases of the coastal region and in the wadies whereas most of the Djöl merely serves as a passage for the Bedouins. Thus Ḥaḍramaut, even under optimum conditions, has only been able to feed about a quarter of its inhabitants with home produced foodstuffs. These unfavourable natural conditions early forced the Hadärim to emigration. Initially it was to nearby areas on the Red Sea coast and in Eastern Africa where South Arabic settlement colonies existed as early as the time of the birth of Christ. From the beginning of the last Century onwards, however, South-East Asia, in particular Singapore, Java and Sumatra, became the most favoured destinations for migration. As a result before World War II the number of Arabs from Ḥaḍramaut in the Dutch East Indies had reached about 90,000. Since the emigrants always aimed to return eventually to their homeland after years of absence, the dose links with Indonesia have found a clear reflection in Ḥaḍramaut itself. It is apparent in the architecture of the urban settlements, in eating habits and also anthropologically in considerable Malayan traces amongst many families of the economically most successful upper classes. These contacts with the outside world, however, weakened the authority of the religious leaders, the "Seyyids", descendants of Mohammed, who by means of successful business in foreign countries had themselves amassed the greatest wealth. They were neither any longer able to mediate in the numerous feuds which the vendetta made flare up again and again, nor to stem the continuing loosening of the tribal structure and to put an end to the internal disunion of the country which nearly amounted to a latent state of war. Only the truce of 1937, achieved with British help, brought an end to these troubles and provided the possibility of undertaking various development schemes, e. g. the improvement of communications. The most important consequence was the opening of the access to the Wädï Ḥaḍramaut which the conservative and strongly anti-foreign Population had prevented so far. A period of drought during World War II, which reached catastrophic proportions, and a recession of emigration, which because of the changed political Situation could no longer be resumed on the former scale even after the war, have eventually forced Hadramaut to take all measures to use the indigenous possibilities to a greater degree and increase agricultural production. Irrigation, both by utilisation of the episodic floods (seyls) and permanent irrigation by means of wells, has especially been developed. Many newly built dams utilise the floods; the success achieved by this means in Ḥaḍramaut itself is only modest whereas, in Abyan, about 50 Km to the east of Aden it was possible to develop seyl irrigation on a large scale resulting in considerable progress. By means of compact installations for distribution of the water and an extensive network of irrigation ducts which are safeguarded against "seyl erosion" it was possible to expand the cultivated area, especially for cotton growing, to 18,000 ha and to provide the basis of existence for 5,000 farm units. In the case of the development of irrigation from wells it was less the construction of new installations but the introduction of technological improvements for lifting the ground water, viz. the installation of diesel pumps into the existing well shafts. At the end of 1958 about 1,000 wells, approximately half the total of the Wädi Ḥaḍramaut, were used that way. As a consequence the oasis economy of the Wädi Ḥaḍramaut experiences not only an increase of its area but also a shift towards cultivation of crops with higher yields in which process wheat comes to dominate agricultural production to a higher degree than hitherto. High production costs are, however, a handicap to the development of agriculture. They are a consequence of the still inadequate communications and the unhealthy social conditions of the agricultural population; these arise from the share cropping and tenant farm Systems of the Middle East and further from the contempt in which agricultural work is held by large sections of the population.
Die Würzburger Stadtgemeinde wurde in den Jahren von 1921-1933 sowie von 1946-1948 von Oberbürgermeister Dr. Hans Löffler geleitet. Wenngleich Löffler auch von zentraler Bedeutung für die Geschichte Würzburgs im 20. Jahrhundert war, wurde er dennoch von der geschichtlichen Wissenschaft bislang nicht vertieft berücksichtigt, weil das öffentliche Archivmaterial viel zu knapp ist und seine "Tagebücher" als verschollen galten. Dem Verfasser der vorliegenden Studie gelang es, den Verbleib dieser Tagebücher zu eruieren. Die Politik Hans Löfflers fundierte wie sich alsbald ergab unter anderem auf drei durchgängigen Persönlichkeitsstrukturen und Verhaltensmustern: Der Bürgerlichkeit, dem Liberalismus und der Religiosität. Keines dieser drei Merkmale lässt sich aus den öffentlichen Archivbeständen charakterisieren. Deswegen kam der Auswertung von Hans Löfflers Chronik eine besondere Bedeutung zu. Die spezifischen Schwierigkeiten der "(auto-)biografischen Illusion" (Pierre Bourdieu) waren gleichwohl zu berücksichtigen. Deshalb wurde vom Verfasser als Arbeitshypothese der "Biographisch-Kritische Methodenpluralismus" eingeführt. Aus Löfflers Egodokumenten ergaben sich zugleich auch aussagekräftige Datenquellen, nämlich die Entwicklung seines Einkommens in funktionaler Abhängigkeit zum Preisindex, des weiteren der quantitative Quellenverlauf, der einerseits interessante Hinweise darauf liefert, wann Löffler schreibt und in welchem Umfang - und wann die Arbeit an seiner Chronik ruht. Zugleich liefert der quantitative Quellenverlauf auch überaus interessante Erkenntnisse zur Relation von Erzählzeitpunkt und erzählter Zeit. Hans Löffler, dessen Familie aus dem Würzburgischen Amtsstädtchen Karlsstadt stammte, vollzog mit dem für die untere Mittelschicht typischen Ehrgeiz eine Juristenkarriere, die als solche typisch für das späte 19. Jahrhundert war. Der Umzug seiner Familie nach Würzburg, der Beitritt zum traditions- und einflussreichen Corps Bavaria und schließlich auch die Eheschließung mit einer Tochter aus der ebenso alten und wie wohlhabenden Würzburger Kaufmannsfamilie Held förderten den sozialen Aufstieg. Die politische Gesinnung Hans Löfflers lässt sich erst im Verlauf des Ersten Weltkriegs sowie während der anschließenden Doppelrevolution anhand des Quellenmaterials schärfer zeichnen. Dessen ungeachtet zeigte sich schon in frühen Jahren, hart an der Grenze zum 20. Jahrhundert, die Verehrung Löfflers für den Reichsgründer Otto von Bismarck und die Verachtung für Kaiser Wilhelm II. Schlussendlich vollzog Hans Löffler einen nahezu mühelosen Übergang von der Monarchie zur parlamentarischen Demokratie. Löffler schloss sich der Deutschen Demokratischen Partei (DDP), der Partei Max Webers, Thomas Manns und Albert Einsteins an. Nachdem sein Vorgänger Andreas Grieser in die Berliner Ministerialbürokratie gerufen worden war, wurde Hans Löffler 1921 ohne Gegenstimme vom Stadtrat zu dessen Nachfolger bestimmt. Während im Vergleichszeitraum insgesamt 11 Reichskanzler regierten, blieb Hans Löffler bis zu seiner Entlassung durch die Nationalsozialisten Oberbürgermeister von Würzburg. Seine restriktive Finanzpolitik, die als seine bedeutendste Leistung in Zeiten weltweiter wirtschaftlicher Rezession gelten muss, ermöglichte zugleich stadtpolitische Projekte, die Würzburg bis heute prägen. Dazu zählen neben der Fertigstellung der Universitätsklinik Luitpoldkrankenhaus die Etablierung des Mozartfests, die Eingemeindung der Stadt Heidingsfeld oder auch der Beginn der Besiedelung der heutigen Sieboldshöhe. Nachdem auch in Würzburg die Nationalsozialisten im Verlauf der 1920er Jahre begonnen hatten gegen den jüdischen Teil der Bevölkerung zu hetzen, stellt sich Hans Löffler unerschrocken vor seine Mitbürger und wurde von den Nationalsozialisten deshalb pejorativ als "Judenbürgermeister" bezeichnet. Bei der Reichspräsidentenwahl 1932 kam es auch in Würzburg zu einem letzten Aufbäumen bürgerlicher Kräfte im Rahmen einer sogenannten "Hindenburgfront". Die Existenz dieser Hindenburgfront in Würzburg wurde in der vorliegenden Studie erstmals aufgezeigt. Als 1933 auch im katholischen Würzburg die Nationalsozialisten die Macht übernahmen, musste Dr. Hans Löffler auf sein Oberbürgermeisteramt verzichten, kaufte sich ein kleines Anwesen am Chiemsee und ging in die Innere Emigration. Unmittelbarer Auslöser dieses Umzugs war der Umstand, dass Löffler wiederholt hinterbracht wurde, Würzburger Bürger, die bei der Stadtverwaltung mit ihrem Anliegen nicht durchdringen konnten, hätten sich mit Bemerkungen beschwert, zu Löfflers Zeiten sei alles besser gewesen. Diese Konfliktlage wurde Löffler zu gefährlich. Während der gesamten nationalsozialistischen Zeit war Löffler in Chieming und besuchte nur ab und an Würzburg. Löffler pflegte in Chieming den Gartenbau und las unter anderem Dissidenten-Literatur. Nach dem Einmarsch der US Army bekannte Löffler in schonungsloser Offenheit, dass er die in den Konzentrationslagern verübten Verbrechen all die Jahre geahnt habe. Zugleich verspürte Dr. Hans Löffler den Wunsch, wieder Oberbürger-meister des zu 90 % zerstörten Würzburgs zu werden, scheute sich aber, sich selbst ins Gespräch zu bringen. Nachdem sich in Bayern ein erheblicher Teil der Liberalen aus der Zeit vor 1933 der neu gegründeten CSU angeschlossen hatten, wurde Löffler für diese neue Partei von 1946-1948 nochmals Oberbürgermeister von Würzburg. Über seine Rolle bei der Gründung der CSU und innerhalb der CSU gibt es nicht den geringsten Hinweis. 1948 schied Löffler aus Altersgründen aus dem Amt und verbrachte die verbleibenden Jahre bis zu seinem Tod 1955 in seinem Haus an der Keesburgstraße. Am Ende stand die Erkenntnis, dass nur allzu wenige die Ehre für sich in Anspruch nehmen konnten, sich während des schwärzesten Kapitels der deutschen Geschichte wie Hans Löffler verhalten zu haben. Und in der Tat: Matthias Matussek hat nach dem Tod von Joachim Fest über diesen geschrieben, was auch bei Hans Löffler festzustellen ist: "… das Gerade enthält immer einen stillen Vorwurf." Insofern ist Löfflers Lebensgang Anklage und Aufforderung gleichermaßen. Dass Löffler entschieden bürgerlich und zugleich ein linksliberaler Corpsstudent war, entspricht nicht jedermanns Geschichtsbild – aber der Lebenswirklichkeit. Hans Löffler dekliniert auf seine Weise einen jener Lebenswege, denen zufolge Leistung (nicht Abstammung) den sozialen Aufstieg innerhalb der "open society" ermöglicht. Löffler selbst sprach von der "Ethik des Bürgertums". Thomas Nipperdey hatte für das ausgehende lange 19. Jahrhundert festgestellt, die Zukunft sei belastet und umschattet, wie immer verhängt, letztlich aber offen gewesen. Die Person Hans Löfflers zeigt gerade für diese Epoche, dass verbreitete nationalistische oder antisemitische Anfechtungen nicht notwendigerweise und unausweichlich im Wahnsinn des Nationalsozialismus hätten enden müssen. Und schließlich: Karl Popper hatte postuliert, dass es dem kritischen Ra-tionalismus entsprechend zwingendes Merkmal einer wissenschaftlichen Aussage ist, dass diese sich dem Grunde nach falsifizieren lässt. Dementsprechend wäre es das ungünstigste, was Hans Löffler zuteilwerden könnte, wenn sein Wirken weiterhin im Schatten wissenschaftlicher Aus-einandersetzung bliebe. Eine Verifizierung, aber auch eine Falsifikation der vorliegenden Studie freilich wäre genau das, was Dr. Hans Löffler - einer Zentralfigur der Würzburger Zeitgeschichte - zweifellos zustünde. Aus den nun erstmals erschlossenen Quellenbeständen wurde diagnostiziert, dass Löffler für sein eigenes Leben verlässliche Konstanten hatte und gerade dadurch selbst zu einer verlässlichen Konstanten für die Stadtgemeinde Würzburg wurde. In diesem Sinne will die vorliegende Untersuchung die so dringend angezeigte Löffler-Forschung weder abschließen noch determinieren, sondern den notwendigen Anfang einer vertieften kommunalgeschichtlichen Auseinandersetzung mit einem bedeutenden deutschen Oberbürgermeister bilden - auf dass sich besser noch erhellt wie es denn eigentlich gewesen. ; The borough of Wuerzburg was run by the Mayor Dr. Hans Löffler during the years from 1921-1933 as well as from 1946-1948. Although he was also of central importance for the history of Wuerzburg in the 20th century he has nevertheless not been considered by history yet as the public archive material is far too scarce and his "diaries" were thought to have been lost. The author of the present study succeeded in finding the whereabout of these diaries. It soon became evident that Hans Löffler's policy, inter alia, was based on three general personality structures and behaviour patterns: the bourgeois way of life, liberalism and religiousity. None of these three features can be profoundly characterised through the public archive holdings. The analysis of Hans Löffler's chronicle was therefore of particular importance. The particular difficulties of the "(au-to-)biographical illusion" (Pierre Bourdieu) had to be taken into conside-ration conscientiously. Hence, the "biographical critical pluralism of methods" was introduced by the author as a working hypothesis. At the same time, significant data sources arose from Löffler's ego documents, namely the development of his income in functional dependence on the price index, furthermore the quantitative course of sources as well as finally the relationship between the time of the narration and the narrated time being very meaningful for the historical-critical hermeneutics of sources. Hans Löffler, whose family came from the small district town of Karlstadt near Wuerzburg, pursued a legal career with middle-class cha-racteristic ambition which was as such typical for the late 19th century. The relocation of his family to Wuerzburg, the accession to the influential Corps Bavaria and eventually also the marriage with a daughter from the equally old as well as wealthy merchant family Held were conducive to his social advancement. Hans Löffler's political conviction cannot be submitted to a more profound observation until in the course of the First World War as well as the subsequent double revolution. Nevertheless, Löffler's admiration for the founder of the German Reich Otto von Bismarck and his contempt for Emperor Wilhelm II already appeared in his early years, very close to the turn of the 20th century. At the end, Hans Löffler made a virtually effortless transition from monarchy to par-liamentary democracy. Löffler joined the German Democratic Party (DDP), the party of Max Weber, Thomas Mann and Albert Einstein. In 1921, after his predecessor Andreas Grieser had been assigned to the Berlin ministerial bureaucracy, Hans Löffler was appointed his successor by the city council without a dissenting vote. While a total of 11 Reich Chancellors governed the country during the reference period, Hans Löffler remained Mayor of Wuerzburg until his dismissal by the National Socialists. His restrictive financial policy, which has to be considered his major achievement in times of worldwide economic recession, at the same time paved the way for municipal projects which shape the character of Wuerzburg to this day. These include among the completion of the University Hospital Luitpoldkrankenhaus the establishment of the Mozart festivals, the incorporation of the town of Heidingsfeld or also the beginning of the settlement of the present day Sieboldshöhe. When the National Socialists also began to stir up hatred against the Jewish part of the population in Wuerzburg in the course of the 1920s Hans Löffler boldly defended his fellow citizens and was therefore called "Mayor of the Jews" by the National Socialists. At the Reich presidential election in 1932 there was also a last rise up of bourgeois forces in Wuerzburg within the framework of a socalled "Hindenburgfront". The existence of this Hindenburgfront in Wuerz-burg has been proven for the first time in the present study. When the National Socialists also took over Catholic Wuerzburg in 1933, Dr. Hans Löffler had to resign as a Mayor, bought a small estate at the Chiemsee and went into inward emigration. The immediate cause of his relocation was that Löffler was informed several times that Wuerzburg citizens who were not able to succeed with their concern at the municipal administration were said to have complained with the remark that everything had been better in Löffler's days. This conflict situation became too dangerous to Löffler. During the whole National Socialist area Löffler was in Chieming and only visited Wuerzburg now and then. Löffler focused on horticulture and among others read dissident literature. After the march-in of the US Army Löffler confessed in relentless openness that he had anticipated the crimes committed in the concentra-tion camps all those years. At the same time, Dr. Hans Löffler had the desire to become mayor of Wuerzburg, which was destroyed up to 90 % , but was reluctant to become a topic of conversation. After a considerable part of the liberals in Bavaria had joined the newly founded CSU, Löffler became Mayor of Wuerzburg for this new party again from 1946 to 1948. There is not the slightest reference to his role in the foundation of the CSU and within the CSU. In 1948, Löffler retired for reasons of age and spent his remaining days until his death in 1955 at his residence at Keesburgstraße. At the end, there was the painful truth that just a few could claim the honor of having been an Hans Löffler during the darkest chapter of German history. And indeed: Matthias Matussek has written about Joachim Fest after his death what must also be stated about Hans Löffler: "… the straight always contains a silent reproach." Löffler's path of life is thus an accusation and a request at the same time. That Löffler was a decidedly bourgeois, left-wing liberal Corps student may not be in accordance with everyone's historical perception, but with life's reality. Hans Löffler points out those paths of life according to which achievement (not descent) allow social advancement within the "open society" in his own way. This is in Löffler´s own words the "ethics of bourgeoisie". With regard to the long late 19th century, Thomas Nipperdey has pointed out that the future had been strained and shadowed, overcast as always, but ultimately open. Concerning this epoch, the person of Hans Löffler particularly shows that nationalist or anti-Semitic animosities needn't have led to the madness of National Socialism necessarily and inevitably. And ultimately: Karl Popper had postulated that, in accordance with critical rationalism, it is a mandatory attribute of a scientific statement, that it can basically be falsified. Consequently, it would be the worst that could happen to Hans Löffler if his work remained in the shadow of scientific consideration. A verification, but all the same a falsification of this study would of course be just what Dr. Hans Löffler – a central figure of Wuerzburg's contemporary history – should be entitled to without doubt. From the source material which was revealed for the first time it was diagnosed that Löffler had reliable constants for his own life and that this is exactly what made him a reliable constant for the borough of Wuerzburg. With this in mind, the present study neither wants to conclude nor determine the urgently needed Löffler research but instead be the beginning of a profound communal historical debate on a great German Mayor – so that more light is shed on what actually happened.
Obwohl seit der Einführung des Penicillins ein wirksames Medikament gegen Streptokokken der Lancefield Gruppe A (GAS) existiert, bei welchem bislang keine Resistenzen beschrieben wurden, bleiben GAS-Infektionen auch heute noch ein großes gesundheitspolitisches Problem, das sowohl die Morbidität als auch die Mortalität der Menschen weltweit beeinflusst. GAS können ein breites Spektrum an Erkrankungen beim Menschen verursachen. Dazu zählen nicht nur unkomplizierte Racheninfektionen mit und ohne Scharlach oder Hautinfektionen wie Erysipel oder Impetigo, sondern auch invasive sowie Folgeerkrankungen. 1928 wurde als Typ-spezifische, Antikörperbildung-induzierende Substanz das M-Protein beschrieben, welches durch das emm-Gen kodiert und seither zur Beschreibung der Epidemiologie von GAS verwendet wird. Eine der Hauptfunktionen des auf der Oberfläche von GAS verankerten M-Proteins besteht darin, die Phagozytose durch polymorphkernige Leukozyten zu verhindern, was zu den wichtigsten Abwehrmechanismen von Infektionen mit GAS gezählt wird. Obwohl seit einigen Jahrzehnten große Anstrengungen unternommen wurden, bleibt ein sicherer und effektiver Impfstoff bisher ein unerreichtes Ziel. In der hier vorliegenden Studie wurde, anhand der über den Zeitraum vom 11.03.2006 bis 19.05.2012 am Universitätsklinikum Freiburg gesammelten Daten und Isolaten, die regionale Epidemiologie von Infektionen pädiatrischer Patienten durch GAS retrospektiv untersucht. Mit insgesamt 566 Isolaten und zugehörigen klinischen Daten stellt diese Studie die bisher größte unizentrische epidemiologische Untersuchung von pädiatrischen Erkrankungen mit emm-Typisierung von GAS in Deutschland dar. Dabei wurde besonders auf Zusammenhänge zwischen den molekularepidemiologischen Daten, basierend auf der emm-Typisierung, und den anonymisierten klinischen Informationen eingegangen. In die Kohorte konnten insgesamt 566 Fälle eingeschlossen werden. Bei 405 Fällen wurde eine Racheninfektion festgestellt, wovon bei wiederum 75 Fällen zusätzlich die Diagnose Scharlach gestellt wurde, 34 Kinder stellten sich mit einer Hautinfektion vor, 21 mit einer akuten Otitis media, 19 mit einer anogenitalen Infektion, acht mit einer invasiven Infektion und zwei mit einer Harnwegsinfektion. Als Kolonisation durch GAS ohne Krankheitswert wurden 77 Fälle gewertet, davon 48 mit pharyngealer Kolonisation. In der molekularepidemiologischen Untersuchung konnten drei neue emm-subtypen entdeckt werden, welche als emm29.13, emm36.7 sowie emm75.5 erstbeschrieben und deren Sequenzen in der Datenbank des CDC hinterlegt wurden. Über die gesamte Kohorte hinweg wurde Typ emm12 bei 19% aller Fälle gefunden und lag somit am häufigsten vor, gefolgt von emm1 und emm4 mit je 14% sowie emm28 und emm89 mit je 11%. Bei Betrachtung der emm-Cluster zeigte sich E4 mit 31% am häufigsten, danach folgten Cluster A-C4 mit 19%, A-C3 und E1 mit jeweils 14%. Unter den 405 Fällen mit GAS-Tonsillopharyngitis lag emm12 mit knapp 20% am häufigsten vor, gefolgt von emm4 mit 15%, emm1 mit 14%, emm89 mit 13% und emm28 sowie emm3 mit je 9%. Hinsichtlich der Cluster wurde E4 dort mit knapp 30% am häufigsten festgestellt, gefolgt von A-C4 mit 20%, E1 mit 15%und A-C3 mit 14%. In der vorliegenden Studie konnte gezeigt werden, dass sich die emm-Typ- sowie die emm-Cluster-Epidemiologie in Abhängigkeit von der klinischen Manifestation unterscheidet. Auch wenn sich die Verteilungen grundsätzlich ähnelten, traten emm4 bzw. die Cluster A-C5 und E1 bei Patienten mit Tonsillopharyngitis mit Scharlach auch nach Bonferroni-Korrektur signifikant häufiger auf als bei solchen mit Tonsillopharyngitis ohne Scharlach. Erste Hinweise hierfür wurden im Rahmen dieser Arbeit in einer Vorabauswertung zu dieser Kohorte 2013 erstmals beschrieben und durch Ergebnisse folgender, internationaler Studien gestützt. Bei anogenitalen Infektionen wurde in knapp 80% der Fälle Cluster E4 und in 58% emm28 festgestellt, so-dass hier ein deutlich eingeengtes Erregerspektrum vorlag. Verglichen zu allen Fällen mit Tonsillopharyngitis wurden bei anogenitaler Infektion Typ emm28 und Cluster E4 signifikant häufiger isoliert. Für Hautinfektionen konnte kein signifikanter Unterschied der emm-Typ-Verteilung im Vergleich zu Racheninfektionen insgesamt gefunden werden. Es zeigte sich jedoch Cluster E4 signifikant häufiger bei Patienten mit einer Hautinfektion als bei solchen mit Scharlach. Insgesamt zeigte sich im konkreten Vergleich zu einer französischen Studie eine weitgehende Übereinstimmung hinsichtlich der Epidemiologie der emm-Typen und -Cluster, jedoch auch einzelne Differenzen. Diese Unterschiede waren signifikant für emm6 und emm22, ebenso wie für Cluster M6. Weiterhin bestätigte unter anderen die Studie von d´Humieres et al. die Häufung von emm4 bei Scharlach-Patienten, was die Aussage der vorgelegten Ergebnisse unter-streicht. Weiterhin wurde zur Untersuchung der longitudinalen Entwicklung der emm-Typen und emm-Cluster die Verteilung des Zeitraumes vom 01.04.2006 und 31.03.2007 mit dem vom 01.05.2011 bis 30.04.2012 verglichen. Zumindest für den vergleichsweise kurzen zeitlichen Abstand konnten nach Adjustierung keine signifikanten Veränderungen der Epidemiologie hinsichtlich einzelner emm-Typen bzw. -Cluster beobachtet werden. In bisherigen Studien wurde die Pathogenität eines Stammes meist anhand des klinischen Erscheinungsbildes bestimmt. In dieser Studie wurde weiterführend untersucht, inwiefern sich einzelne emm-Typen bzw. emm-Cluster auch in quantitativ messbaren Parametern wie u.a. dem C-reaktiven Protein (CRP) sowie der Leukozytenzahl im Blut unterscheiden. Bei Patienten mit Tonsillopharyngitis zeigte sich lediglich Cluster E4 signifikant häufiger mit einem CRP-Wert über 35 mg/l assoziiert. Für die Leukozytenzahl war ein solcher Zusammenhang dagegen nicht nachweisbar. Da die verwendeten Analysen jedoch Störfaktoren unterlagen und ein Kausalzusammenhang zwischen der Pathogenität des Erregers und der Auslenkung der ge-nannten Parameter im Rahmen des Studiendesigns nicht bewiesen werden konnte, lassen diese Ergebnisse keine abschließende Beurteilung zu. Der bereits entwickelte 30-valente Impfstoff zeigte anhand der enthaltenen M-Antigene eine gute Übereinstimmung mit den in dieser Studie gefundenen emm-Typen. Dabei waren die Antigene von 19 der 25 in dieser Studie registrierten emm-Typen in dem Impfstoff enthalten, was jedoch unter Berücksichtigung der Kreuzreaktivitäts-Hypothese für emm-Cluster zu einem Deckungsgrad von 99,8% aller untersuchten Fälle (565 von 566) führt. Insgesamt erwies sich der unizentrische Charakter der hier vorgelegten Studie in gewisser Hinsicht als Vorteil gegenüber multizentrischen Studien, da hierdurch zu bestimmten Fragen Informationen ohne den Einfluss regionaler Besonderheiten ausgewertet werden konnten. Inwiefern regionale Prävalenzen einzelner emm-Typen oder deren Pathogenitätspotential ent-scheidend für die Epidemiologie insbesondere invasiver Infektionen sind, kann anhand dieser Studie nicht abschließend beurteilt werden. Zur näheren Untersuchung dieses Sachverhaltes wären weiterführende Studien in größerem Maßstab notwendig. Zusammenfassend wurde mit dieser Arbeit eine umfassende epidemiologische Untersuchung anhand der molekularepidemiologischen Erregeranalyse unter Einschluss klinischer Aspekte an einer großen pädiatrischen Kohorte durchgeführt. Die gewonnenen Erkenntnisse leisten einen Beitrag zur Aufklärung der regionalen wie auch internationalen Epidemiologie von GAS und bieten wichtige Grundlagen sowie Ansätze für nachfolgende Untersuchungen, insbesondere für die Impfstoffentwicklung gegen GAS.:1 Einleitung 7 2 Theoretische Grundlagen 8 2.1 Epidemiologie 8 2.2 Taxonomie 10 2.3 Infektionspathologie 11 2.4 Aufbau des M-Proteins 14 2.5 Die Bedeutung des M-Proteins 16 2.6 emm-Genetik 18 2.7 Therapie und Prophylaxe 20 3 Ziele der Studie 22 4 Patienten, Material und Methoden 23 4.1 Mikrobiologische Isolate und klinische Daten 23 4.1.1 "Klinische Krankheitsbilder" 25 4.1.2 Modifizierter Centor-Score 26 4.1.3 Grunderkrankungen 27 4.1.4 Paraklinik 27 4.2 Geräte und Materialien 29 4.2.1 Geräte und Hilfsmittel 29 4.2.2 Verbrauchsmaterialien 30 4.2.3 Molekulare Diagnostiksysteme 31 4.2.4 Primer für PCR und Sequenzierung 31 4.2.5 Medien und Lösungen 31 4.3 Mikrobiologische Methoden 32 4.3.1 Mikrobiologische Proben 32 4.3.2 Kultur von GAS 32 4.3.3 Latex-Agglutinationstest auf Gruppe A Antigen 33 4.3.4 Kryokonservierung der Isolate 34 4.4 Molekulargenetische Methoden 35 4.4.1 DNA-Isolierung 35 4.4.2 Photometrische Bestimmung der DNS-Konzentration und Einstellung 36 4.4.3 Polymerase-Kettenreaktion (PCR) 37 4.4.4 Agarose-Gelelektrophorese 37 4.4.5 DNA Sequenzierung 39 4.4.6 Sequenz-basierte Typisierung 41 4.5 Statistische Auswertung 42 5 Ergebnisse 43 5.1 Ausgewertete mikrobiologische Proben und retrospektive Daten 43 5.2 Analyse der Kohorte 45 5.2.1 Analyse der Altersverteilung 45 5.2.2 Analyse der Geschlechtsverteilung 48 5.2.3 Analyse der saisonalen Verteilung 49 5.2.4 Analyse der klinischen Symptome 51 5.2.5 Analyse von Vorerkrankungen und Versorgungsform 55 5.3 Laborbefunde 58 5.3.1 Analyse der semiquantitativen Wachstumsdichte der Abstrich-Kulturen 58 5.3.2 Blutparameter: C-Reaktives Protein (CRP) 59 5.3.3 Blutparameter: Leukozytenzahl 59 5.4 Molekulare Epidemiologie des emm-Typs 60 5.5 Erstbeschreibung neuer emm-Subtypen 60 5.6 emm-Typ- bzw. Cluster-Verteilung und klinische Manifestation 61 5.6.1 emm-Verteilung bei Tonsillopharyngitis 61 5.6.2 emm-Verteilung bei akuter Otitis media (AOM) 63 5.6.3 emm-Verteilung bei Hautinfektionen 64 5.6.4 emm-Verteilung bei anogenitalen Infektionen 65 5.6.5 emm-Verteilung bei invasiven Infektionen 68 5.6.6 emm-Verteilung bei asymptomatischer Rachen-Kolonisierung 68 5.7 Analyse der Altersverteilung für emm-Typen und -Cluster 70 5.8 Infektionsparameter und Korrelation zur molekularen Epidemiologie 71 5.8.1 Temperatur: 71 5.8.2 CRP: 72 5.8.3 Leukozytenzahl: 73 5.9 Patienten mit wiederholten Vorstellungen 73 5.9.1 Antibiotische Therapie 75 5.10 Resistenzlage 76 5.11 Analyse der molekularen Epidemiologie über der Zeit 78 6 Diskussion 80 6.1 Vorbemerkung 80 6.2 Kohorte 81 6.2.1 Alter 81 6.2.2 Geschlecht 82 6.2.3 Jahreszeit 82 6.2.4 Vorerkrankungen 83 6.2.5 Klinische Symptome 84 6.2.6 Diagnostischer Wert der semiquantitativen Wachstumsdichte 85 6.2.7 Rezidive 85 6.3 emm-Typ und –Cluster-Epidemiologie 86 6.3.1 emm-Typen und -Cluster bei Tonsillopharyngitis 86 6.3.2 emm-Typen und –Cluster bei Anogenitalinfektionen 86 6.3.3 emm-Typen und -Cluster bei invasiven Infektionen 87 6.3.4 emm-Typ und -Cluster-Epidemiologie im Vergleich zu anderen Studien 87 6.3.5 Longitudinale Betrachtung der emm-Typ-Epidemiologie 91 6.3.6 Vergleich der emm-Typen und Cluster-hinsichtlich des Alters der Patienten 92 6.3.7 emm-Typen und -Cluster hinsichtlich Infektionsparametern 92 6.3.8 Deckungsgrad mit 30-valentem M-Protein-basiertem GAS-Impfstoff 95 6.3.9 emm-Typ / -Cluster – Antibiotika-Resistenz 96 6.4 Ausblick 97 7 Zusammenfassung 98 8 Summary 101 9 Anhang 104 10 Abbildungsverzeichnis 112 11 Tabellenverzeichnis 114 12 Abkürzungsverzeichnis 116 13 Literaturverzeichnis 118 14 Anlage 1 127 15 Anlage 2 129 16 Danksagung 131 ; Although - since the introduction of penicillin - there has been an effective drug against strep-tococci of Lancefield Group A (GAS), in which no resistance has been described so far, GAS infections remain a major healthcare policy problem, which affects both morbidity and mortality of people worldwide. GAS can cause a wide range of disorders in humans. These include un-complicated pharyngeal infections with and without scarlet fever as well as skin infections such as erysipelas or impetigo but also invasive as well as secondary complications. In 1928, the M-protein encoded by the emm gene was described as a type-specific, antibody -inducing substance and has since been used to characterize the epidemiology of GAS. One of the main functions of the M protein, anchored on the surface of GAS, is to evade phagocytosis by polymorphonuclear leukocytes, which is one of the most important defense mechanisms against infections by GAS. Although major efforts have been made for several decades, a safe and effective vaccine remains an unreached goal. In this study, the regional epidemiology of infections of pediatric patients by GAS was retro-spectively investigated on the basis of data and isolates collected from 11.03.2006 to 19.05.2012 at the University Medical Center in Freiburg. With a total of 566 isolates and asso-ciated clinical data, the present study provides the largest uni-centric epidemiological study of pediatric diseases with emm-typing of GAS so far in Germany. Particular attention was paid to associations between molecular epidemiology, based on emm-typing, and anonymized clinical data. The total cohort included 566 cases, thereof 405 cases of pharyngeal infection, 75 of which were additionally diagnosed with scarlet fever, 34 children presented with a skin infection, 21 with an acute otitis media, 19 with an anogenital infection, eight with an invasive infection and two with an urinary tract infection. In 77 cases colonization by GAS was estimated as having no clinical relevance of those 48 isolates were isolated from pharyngeal swabs. In the molecular investigation, three new emm subtypes were discovered which were first de-scribed as emm29.13, emm36.7 as well as emm75.5. These sequences were entered into the database of the CDC. Over the entire cohort, emm12 was found in 19% of all cases and was thus the most frequent, followed by emm1 and emm4, with 14% each, emm28 and emm89, with 11% each. When considering emm-clusters, E4 was the most frequent with 31%, followed by cluster A-C4 with 19%, A-C3 and E1 with 14%. Among the 405 cases with GAS-related pharyngeal infection, emm12 was the most common with almost 20%, followed by emm4 with 15%, emm1 with 14%, emm89 with 13% and emm28 as well as emm3 with 9% each. With respect to the clus-ters, E4 was found to be the most common with around 30%, followed by A-C4 with 20%, E1 with 15% and A-C3 with 14%. In the present study it was shown that emm-types as well as emm-clusters differed depending on the clinical manifestation. Although the distributions were basically similar, emm4 as well as clusters A-C5 and E1 were significantly more common in patients with tonsillopharyngitis and scarlet fever, even after Bonferroni correction, than those with tonsillopharyngitis but without the diagnosis of scarlet fever. These findings were first described in a preliminary evaluation of this cohort in 2013 and supported by the results of consecutively published international stud-ies. In anogenital infections, cluster E4 was found in almost 80% and emm28 in 58%, indicat-ing a clearly narrowed spectrum. Compared to cases with tonsillopharygitis, emm28 and clus-ter E4 were significantly more frequently isolated in anogenital infections. For skin infections no significant difference could be found in the emm-distribution compared to tonsillopharyngi-tis. However, cluster E4 was found to be significantly more common in patients with a skin infection than in those with scarlet fever. Overall, in a direct comparison to a French study, there was a wide agreement regarding the epidemiology of emm-types and -clusters, but also some differences. These differences were significant for emm6, emm22, as well as for cluster M6. Furthermore, among others, the study by d´Humieres et al. confirmed the accumulation of emm4 in scarlet fever patients, which un-derlines the statement of the presented results. Furthermore, in order to investigate the longitudinal development of emm-types and emm-clusters, the distribution in the period from 01.04.2006 to 31.03.2007 was compared to that from 01.05.2011 to 30.04.2012. At least for the comparatively short period, no significant changes in the epidemiology of individual emm-types or -clusters could have been observed after adjusting the p-values. In previous studies, the pathogenicity of a strain was determined by its association to the clini-cal picture. In addition, this study investigated the extent to which individual emm-types or emm-clusters also differed in quantitatively measurable parameters such as the C-reactive protein (CRP) and the leukocyte count in the blood. In cases of tonsillopharyngitis, cluster E4 was found significantly associated with a CRP value above 35 mg/l. For the leukocyte count such a difference was not detectable. However, since the values were subject to confounding factors, a causal link between pathogenicity of certain emm-types and the deflection of the mentioned parameters could not be proved within the framework of this study. Therefore, these results do not allow to draw final conclusions. The existing 30-valent M-protein based vaccine would show a good agreement with the corre-sponding emm-types of the cohort used here. The antigens of 19 of the 25 different emm-types registered in this study were included in the vaccination model, which corresponds to a vaccine coverage of 99.8% (565 of 566) of all strains examined here, if cross-reactivity of GAS strains within an emm-cluster was taken into consideration. Overall, the uni-centric character of the study presented here provided in certain aspects an advantage over multi-centric studies, as differences and similarities between different clinical pictures, excluding regional differences as well as comprehensive clinical information on the cases, could be emphasized. The extent to which regional prevalence of individual emm-types or their pathogenicity potential are decisive for the epidemiology of invasive infections could not be conclusively assessed by this study. For a closer look at this issue, further studies on a larger scale would be necessary. In summary, this work presents a comprehensive epidemiological investigation on molecular epidemiologic pathogen analysis including clinical aspects in a large pediatric cohort. The find-ings contribute to the elucidation of the regional an international epidemiology of GAS and pro-vide important basics as well as approaches for subsequent investigations, especially for vac-cine development against GAS.:1 Einleitung 7 2 Theoretische Grundlagen 8 2.1 Epidemiologie 8 2.2 Taxonomie 10 2.3 Infektionspathologie 11 2.4 Aufbau des M-Proteins 14 2.5 Die Bedeutung des M-Proteins 16 2.6 emm-Genetik 18 2.7 Therapie und Prophylaxe 20 3 Ziele der Studie 22 4 Patienten, Material und Methoden 23 4.1 Mikrobiologische Isolate und klinische Daten 23 4.1.1 "Klinische Krankheitsbilder" 25 4.1.2 Modifizierter Centor-Score 26 4.1.3 Grunderkrankungen 27 4.1.4 Paraklinik 27 4.2 Geräte und Materialien 29 4.2.1 Geräte und Hilfsmittel 29 4.2.2 Verbrauchsmaterialien 30 4.2.3 Molekulare Diagnostiksysteme 31 4.2.4 Primer für PCR und Sequenzierung 31 4.2.5 Medien und Lösungen 31 4.3 Mikrobiologische Methoden 32 4.3.1 Mikrobiologische Proben 32 4.3.2 Kultur von GAS 32 4.3.3 Latex-Agglutinationstest auf Gruppe A Antigen 33 4.3.4 Kryokonservierung der Isolate 34 4.4 Molekulargenetische Methoden 35 4.4.1 DNA-Isolierung 35 4.4.2 Photometrische Bestimmung der DNS-Konzentration und Einstellung 36 4.4.3 Polymerase-Kettenreaktion (PCR) 37 4.4.4 Agarose-Gelelektrophorese 37 4.4.5 DNA Sequenzierung 39 4.4.6 Sequenz-basierte Typisierung 41 4.5 Statistische Auswertung 42 5 Ergebnisse 43 5.1 Ausgewertete mikrobiologische Proben und retrospektive Daten 43 5.2 Analyse der Kohorte 45 5.2.1 Analyse der Altersverteilung 45 5.2.2 Analyse der Geschlechtsverteilung 48 5.2.3 Analyse der saisonalen Verteilung 49 5.2.4 Analyse der klinischen Symptome 51 5.2.5 Analyse von Vorerkrankungen und Versorgungsform 55 5.3 Laborbefunde 58 5.3.1 Analyse der semiquantitativen Wachstumsdichte der Abstrich-Kulturen 58 5.3.2 Blutparameter: C-Reaktives Protein (CRP) 59 5.3.3 Blutparameter: Leukozytenzahl 59 5.4 Molekulare Epidemiologie des emm-Typs 60 5.5 Erstbeschreibung neuer emm-Subtypen 60 5.6 emm-Typ- bzw. Cluster-Verteilung und klinische Manifestation 61 5.6.1 emm-Verteilung bei Tonsillopharyngitis 61 5.6.2 emm-Verteilung bei akuter Otitis media (AOM) 63 5.6.3 emm-Verteilung bei Hautinfektionen 64 5.6.4 emm-Verteilung bei anogenitalen Infektionen 65 5.6.5 emm-Verteilung bei invasiven Infektionen 68 5.6.6 emm-Verteilung bei asymptomatischer Rachen-Kolonisierung 68 5.7 Analyse der Altersverteilung für emm-Typen und -Cluster 70 5.8 Infektionsparameter und Korrelation zur molekularen Epidemiologie 71 5.8.1 Temperatur: 71 5.8.2 CRP: 72 5.8.3 Leukozytenzahl: 73 5.9 Patienten mit wiederholten Vorstellungen 73 5.9.1 Antibiotische Therapie 75 5.10 Resistenzlage 76 5.11 Analyse der molekularen Epidemiologie über der Zeit 78 6 Diskussion 80 6.1 Vorbemerkung 80 6.2 Kohorte 81 6.2.1 Alter 81 6.2.2 Geschlecht 82 6.2.3 Jahreszeit 82 6.2.4 Vorerkrankungen 83 6.2.5 Klinische Symptome 84 6.2.6 Diagnostischer Wert der semiquantitativen Wachstumsdichte 85 6.2.7 Rezidive 85 6.3 emm-Typ und –Cluster-Epidemiologie 86 6.3.1 emm-Typen und -Cluster bei Tonsillopharyngitis 86 6.3.2 emm-Typen und –Cluster bei Anogenitalinfektionen 86 6.3.3 emm-Typen und -Cluster bei invasiven Infektionen 87 6.3.4 emm-Typ und -Cluster-Epidemiologie im Vergleich zu anderen Studien 87 6.3.5 Longitudinale Betrachtung der emm-Typ-Epidemiologie 91 6.3.6 Vergleich der emm-Typen und Cluster-hinsichtlich des Alters der Patienten 92 6.3.7 emm-Typen und -Cluster hinsichtlich Infektionsparametern 92 6.3.8 Deckungsgrad mit 30-valentem M-Protein-basiertem GAS-Impfstoff 95 6.3.9 emm-Typ / -Cluster – Antibiotika-Resistenz 96 6.4 Ausblick 97 7 Zusammenfassung 98 8 Summary 101 9 Anhang 104 10 Abbildungsverzeichnis 112 11 Tabellenverzeichnis 114 12 Abkürzungsverzeichnis 116 13 Literaturverzeichnis 118 14 Anlage 1 127 15 Anlage 2 129 16 Danksagung 131
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Die Universität löst den Konflikt um den Rücktritt ihres Vizepräsidenten. Dafür herrscht nun Aufregung um die Zukunft der Staats- und Universitätsbibliothek – und andere Vorschläge einer vom Präsidium beauftragten Unternehmensberatung.
DER ABSURD ANMUTENDE PERSONALSTREIT an der Universität Göttingen hat nach knapp drei Monaten einen Abschluss gefunden. Wie berichtet hatte Unipräsident Metin Tolan am 11. April den Senat per Mail informiert, dass der hauptamtliche Vizepräsident für Digitalisierung und Infrastrukturen, Norbert Lossau, zurückgetreten sei – was dieser anderthalb Stunden später ebenfalls per Mail bestritt. Es folgte ein nur teilweise hinter den Kulissen ausgetragenes Hin und Her, unter anderem war von strategischen Konflikten und einem zerstörten Vertrauensverhältnis die Rede. Dann herrschte über Wochen Schweigen – abgesehen von Andeutungen, dass man gemeinsam über eine gütliche Einigung verhandle.
Am Montag nun verkündete die Universität per Pressemitteilung, dass Lossau von Juli 2023 an die Leitung der "Hochschule.digital Niedersachsen" übernehme, einem Dachverbund aller niedersächsischen Hochschulen zur Digitalisierung, gegründet von der Landeshochschulkonferenz Niedersachsen und dem Niedersächsischen Ministerium für Wissenschaft und Kultur. Unipräsident Tolan dankte der Meldung zufolge Lossau für seine über zehnjährige Tätigkeit im Präsidium der Universität Göttingen. Lossau war seit 2012 Vizepräsident, vorher leitete er sechs Jahre lang als Direktor die Niedersächsische Staats- und Universitätsbibliothek Göttingen (SUB).
Lossau habe die Stiftungsuniversität in Bau, Liegenschaftsverwaltung und insbesondere bei der Digitalisierung aller Ebenen der Universität "enorm vorangebracht", so Tolan. Auch Lossau wird zitiert: "Ich habe mich gern für die Universität Göttingen und den Wissenschaftsstandort Göttingen eingesetzt und freue mich, meine Erkenntnisse nunmehr der gesamten niedersächsischen Hochschullandschaft zur Verfügung zu stellen." Schon früh direkt in den Konflikt eingeschaltet hatte sich Wissenschaftsminister Falko Mohrs (SPD) – unter anderem, indem alle Beteiligten aufgefordert worden waren, sich nicht weiter öffentlich zu äußern. Jetzt kommentierte Mohrs: "Die weitere, miteinander vernetzte Digitalisierung der niedersächsischen Hochschullandschaft ist uns wichtig – um die Innovationsfähigkeit und die Attraktivität Niedersachsens zu fördern."
Auf welche Deutung der Ereignisse hat man sich geeinigt?
Abgesehen von dem neuen Job für den Ex-Vizepräsidenten wäre freilich spannend zu erfahren, auf welche Deutung genau man sich für die Ereignisse rund um den bestrittenen Rücktritt geeinigt hat. Lossau selbst und die Universität äußerten sich dazu nicht. Einen Hinweis allerdings enthält die Pressemitteilung. Darin heißt es, Lossau sei "vor seinem Wechsel" Vizepräsident gewesen – was man so verstehen kann, dass er juristisch gesehen noch bis Ende Juni im Amt war. Sollte dies zutreffen, hätte sich die bisherige Darstellung von Hochschulleitung und Stiftungsrat, Lossaus Rücktritt sei im April mit sofortiger Wirkung zurückgetreten, erledigt.
Der Senat der Universität hatte in einer Erklärung kurz nach Beginn der Causa Losau heftige Kritik am Vorgehen der Hochschulleitung und auch des Stiftungsratsvorsitzenden Peter Strohschneider geübt. Die schon zum damaligen Zeitpunkt erkennbaren Auswirkungen auf die Reputation der Georg-August-Universität seien "verheerend und gefährden zusätzlich die laufende Exzellenzinitative". Stiftungsrat und Dekane hatten sich dagegen auf die Seite von Präsident Tolan gestellt.
Allerdings scheint trotz des beendeten Kündigungsstreits keine Ruhe in Göttingen einzukehren. In den vergangenen Tagen schrieb zuerst das Göttinger Tageblatt über Aufregung um das Projekt "Pro.Admin", das die Universitätsleitung aufgelegt hat, um die Prozesse in der Zentralverwaltung und in den zentralen Einrichtungen zu optimieren. Dazu hat man die Unternehmensberatung Boston Consulting Group (BCG) an Bord geholt, die über drei Monate hinweg eine Analyse vorgenommen hat, das Ergebnis war zunächst ein sogenanntes "Grobzielbild", das im Laufe der nächsten zwölf Monate zu einem "Feinzielbild" weiterentwickelt werden soll.
Aufregung um die Vorschläge einer Unternehmensberatung
Betroffen von möglichen Umstrukturierungen soll unter anderem die SUB sein – ausgerechnet Lossaus alte Wirkungsstätte. Das Göttinger Tageblatt zitierte Anfang der Woche aus einer Rund-Mail der SUB-Direktion an die Belegschaft, in der zu einem offenen Treffen eingeladen worden sei. Außerdem liege der Redaktion ein Bericht aus der Versammlung vor, in dem von "völlig überraschten und konsternierten" Angestellten die Rede sei. Mir gegenüber äußerten Uni-Mitarbeiter die Befürchtung, die SUB solle im Wesentlichen auf ihre Basisfunktionen der Bücherverwaltung reduziert werden. Viele Mitarbeiter, sagen sie, müssten dann die Bibliothek verlassen. Das Tageblatt gibt die Einschätzung eines Teilnehmers der Versammlung wieder, die BCG-Vorschläge hätten letztlich etwas von einem "Zerschlagungsprozess" und einer "Abwicklung" der SUB.
Dass Strategie-, Struktur- und Veränderungsprozesse auf Ängste und Widerstände stoßen, ist freilich auch an Universitäten nichts Ungewöhnliches – und spricht nicht zwangsläufig gegen (manchmal sogar eher für) diese. Am Ende ist entscheidend, ob die Hochschulleitung in der Lage ist, die Mehrheit der Universität dabei mitzunehmen. Derzeit schweigt das Präsidium öffentlich noch zu den Details. Der Pressesprecher der Universität, Thomas Richter, sagte auf Anfrage, zu internen Planungen und Prozessen, "die noch nicht einmal in den akademischen Gremien besprochen wurden", werde sich die Universitätsleitung nicht äußern.
In der Rundmail an die Belegschaft berichtet die SUB-Direktion laut Göttinger Tageblatt, die Umsetzung der empfohlenen "Grobzielplanung" würde bedeuten, dass alle bisher direkt der SUB-Direktion zugeordneten Stellen entweder in potentiell geeignete Stellen der Zentralverwaltung der Universität überführt oder in die Linienorganisation der verbleibenden fünf Abteilungen integriert würden. Auch sei empfohlen worden, "zu prüfen, ob die Direktion der SUB notwendig sei".
Wobei, wie die Direktion der Bibliothek in dem Schreiben an die Belegschaft selbst einräumt, dass bis zur "Feinzielplanung" noch völlig offen sei, was von den diskutierten Vorschlägen umgesetzt wird.
Im Universitäts-Newsletter hatte die für Finanzen und Personal zuständige Vizepräsidentin Valérie Schüller zu Beginn der BCG-Analyse Mitte März ausgeführt, es gehe um ein "zukunftsfähiges Zielbild für die universitäre Verwaltung". Weiter schrieb sie von einem "Gesamtkonzept des zielgerichteten Wandels", das zusammen mit seiner Detaillierung "zentraler Ankerpunkt" des hochschulweiten Austauschformats in der zweiten Phase sein werde. "Neben längerfristigen Entwicklungen sollen insbesondere auch zeitnahe Veränderungen vorangetrieben werden."
Am 12. Juli soll BCG die aktuellen Pläne im Senat der Universität präsentieren, am 22. August soll, offenbart als Start der von Schüller erwähnten Phase zwei, ein "Townhall Meeting" stattfinden, um die Universitätsöffentlichkeit über den Stand von "Pro.Admin" zu informieren.
Dabei dürften laut Insiderinformationen neben den diskutierten Strukturveränderungen an der SUB auch die BCG-Vorschläge eine Rolle spielen, tiefgreifende Strukturveränderungen bei der "Abteilung Göttingen International" vorzunehmen und ebenso bei der "Stabsstelle Chancengleichheit und Diversität". Während es der Hochschulleitung ganz offensichtlich um eine strategische Stärkung der Universität gerade im Vorfeld der neuen Exzellenzstrategie-Runde geht, fürchten Kritiker, zukunftsweisende Querschnittsthemen könnten im Falle einer Umsetzung "massiv geschwächt und degradiert" werden.
Unterdessen twitterte der Dekan der Juristischen Fakultät, Hans Michael Heinig, die SUB gehöre zu den profilierten und leistungsstarken Bibliotheken in Deutschland. "Wieso sollte die Uni die 'zerschlagen' oder mutwillig beschädigen wollen?" Die uniinterne "Höchsterregung über Quisqiulia" drohe jeden Versuch der Organisationsentwicklung zum Scheitern zu bringen.
Nachtrag am 11.Juli:
Ein offener Brief und eine Stellungnahme der Universitätsleitung
Einen Offener Brief zur Unterstützung der SUB haben seit Sonntag über 1900 Menschen unterzeichnet. Unter der Überschrift "Für eine Bibliothek mit Zukunft" heißt es unter anderem, eine Umsetzung der von der BCG vorgeschlagenen Umstrukturierung würde der SUB wesentliche Handlungsspielräume nehmen und eine Umkehr ihrer Entwicklung als moderne Forschungsinfrastruktur in einer digital vernetzten Wissenschaftslandschaft darstellen. Die SUB Göttingen habe eine lange Tradition und eine klare Mission. "Sie ist renommierte Vorreiterin und Partnerin für eine zukunftssichere Forschungs- und Informationsinfrastruktur einschließlich der Umsetzung von Open Science Policies in Deutschland und international. Diese profilierte Schnittstelle zwischen Forschung und Infrastruktur muss erhalten bleiben."
Die Universität kündigte am Montag in einer Pressemitteilung an, die Präsentation der BCG-Vorschläge am Mittwochnachmittag im Senat werde in der Alten Aula stattfinden und in die nahegelegene Alte Mensa übertragen, "so dass es genügend Plätze geben wird, um aus erster Hand die Ergebnisse und den Diskussionsprozess zu verfolgen. Dadurch wird größtmögliche Transparenz in diesem Prozess angestrebt." Die Analyseergebnisse und Vorschläge würden ergebnisoffen diskutiert, betonte die Universitätsleitung weiter und führte im Detail die geplanten Stationen der universitären Willensbildungsprozess aus, inklusive Gremienbefassung, universitätsöffentlichem TownHall-Meeting und einem weiteren zwölf Monate umfassenden Prozess.
Zu den Befürchtungen rund um die künftige Entwicklung der SUB betonte die Pressemitteilung, weder der Auftrag noch die Analyse und der Vorschlag sähen eine Änderung der Aufgaben der SUB vor. "Vielmehr geht es um die Optimierung von Verwaltungsstrukturen, auch von denen, die sich zwischen Universität und SUB sowie anderen Zentralen Einrichtungen möglicherweise doppeln." Wie weit dies gehen könne, werde eine genauere Analyse erst noch zeigen. "Das Ziel ist es aber auf jeden Fall, den Charakter der SUB als führende Forschungsbibliothek weiter zu stärken, da der SUB in verschiedenen Forschungsvorhaben eine Schlüsselrolle zukommt." Für die mit einem Änderungsprozess einhergehenden Ängste und Unsicherheiten äußerte die Universitätsleitung Verständnis. "Wir werden auch die weiteren Schritte in enger Abstimmung und unter Beteiligung der genannten Bereiche durchführen und hoffen auf die Bereitschaft Aller, mit uns eine offene Diskussion zu führen, ohne die Notwendigkeit von Veränderung ZUM WOHLE ALLER aus dem Blick zu verlieren."
Der Verlust der biologischen Vielfalt stellt eines der größten Umweltprobleme dar. In der 1992 gegründeten Konvention zur Biologischen Vielfalt (CBD) koordinieren sich nun die bislang 196 Mitgliedsstaaten in ihrem Bestreben, die Biodiversität zu erhalten. Jedoch wurden die globalen Biodiversitätssziele für 2010 weit verfehlt. Die Analysen des vierten Global Biodiversity Outlook (GBO-4) sowie aktuelle wissenschaftliche, globale Studien zeigen auf, dass bei derzeitigen Entwicklungen auch die in Aichi (Japan) beschlossenen Biodiversitätssziele des Strategischen Planes für die Periode bis 2021 nicht erreicht werden (Tittensor et al. 2014). Sich dieser Entwicklung entgegenzustellen ist eine besonders schwierige Aufgabe für biodiversitätsreiche Länder des globalen Südens, die Umweltschutzziele mit ökonomischen Interessen koordinieren müssen. Peru ist eines der 20 megadiversen Länder der Erde, Mitglied der CBD und verfolgt eine ambitionierte Strategie zum Schutz und zur nachhaltigen Nutzung von Biodiversität. Zum anderen ist Perus ökonomische Entwicklung auf Expansion und Extraktion von natürlichen Ressourcen ausgerichtet. Politische Maßnahmen zum Schutz der biologischen Vielfalt sind somit stets einem starken Interessenkonflikt ausgesetzt. Ziel dieser Arbeit ist es, am Beispiel Perus Ansatzpunkte zu identifizieren, mit deren Hilfe die Politik zum Schutz der biologischen Vielfalt effektiver gestaltet werden kann. Nach einer Einleitung in die Debatte der Effektivität der Biodiversitätspolitik und einer Vorstellung der Fallstudie Peru werden die folgenden wissenschaftlichen Fragestellungen untersucht (die Nummerierung entspricht der jeweiligen Publikation): 1. Welcher Narrative bedienen sich peruanische Biodiversitätsexperten, um das Problem des Biodiversitätsverlustes und ihre Perspektive auf eine nachhaltige Entwicklung zu beschreiben? 2. Wie sind Biodiversitätsnarrative im Verhältnis zur geschichtlichen Entwicklung Perus entstanden und welchen Einfluss hatten diese Bewegungen auf den nationalen Diskurs? 3. Wie bewerten lokale Experten die Auslöser und Effekte des Biodiversitätsverlustes und welche Schlussfolgerungen können daraus für die nationale Politik gezogen werden? 4. Inwieweit ist der Schutz der Biodiversität in die Strategien der nationalen, politischen Sektoren integriert? 5. Welche Bedingungen bei der Landnutzungsplanung in Migrantengemeinden in der Pufferzone des Nationalparks Cordillera Azul ermöglichten die Integration von lokalem und technischem Wissen zur Bildung von adaptiver Kapazität? Für die Betrachtung des Problems "Biodiversitätsverlust" und der Herausforderung, Naturschutzpolitik effektiver zu gestalten, war eine Verwendung von verschiedenen methodologischen Blickwinkeln notwendig. So wurden 72 semi-strukturierte, qualitative Einzelinterviews mit Experten, die im Bereich der Biodiversitätsschutzes tätig sind, durchgeführt. Durch die Anwendung des theoretischen Samplings wurde sichergestellt, dass möglichst verschiedene Perspektiven und Akteursgruppen repräsentiert werden. Alle interviewten Experten wurden danach befragt, wie sie das Biodiversitätsproblem bewerten, auf welche Auslöser oder Ursachen es zurückzuführen ist und wie mögliche Lösungsansätze aussehen könnten. Unter Anwendung der Grounded Theory konnten dann die fünf Narrativgruppen "Biodiversity Protectionists", "Biodiversity Capitalists", "Biodiversity Traditionalists", "Biodiversity Localists" and "Biodiversity Pragmatists" identifiziert werden. Publikation 1 analysiert die Narrativgruppen und diskutiert ihre Gemeinsamkeiten und Unterschiede in den fünf biodiversitätsrelevanten Kategorien "Konzept von Biodiversität", "Rolle von Akteuren", "Werte- und Wissenssysteme und Nachhaltigkeit" sowie "politische Lösungsstrategien". Publikation 2 setzt die Narrativgruppen in den historischen Kontext, auf den sie sich aufgrund ihrer Argumentationslinien beziehen. Für Publikation 3 wurden im Rahmen des partizipativen Prozesses zur Entwicklung einer neuen Biodiversitätsstrategie im Jahre 2012 Fokusgruppendiskussionen mit verschiedenen, von Regionalregierungen entsandten Experten aus Politik, Forschung, Wirtschaft und Naturschutzverbänden durchgeführt. In diesen Fokusgruppen - Diskussionen sollten die Experten die wichtigsten Auslöser und Effekte des Biodiversitätsverlustes in ihrer Region bestimmen. Durch die Anwendung einer qualitativen Inhaltsanalyse wurden diese Auslöser und Effekte charakterisiert und gruppiert. Es wird so ein Kontext des Biodiversitätsverlustes aufgezeigt, anhand dessen sich eine Reihe wichtiger Implikationen für die nationale Biodiversitätspolitik herauskristallisieren. Die Berücksichtigung dieser Implikationen in den Strategien der nationalen, politischen Sektoren wird in Publikation 4 untersucht. Dem Ansatz der "Environmental Policy Integration" (EPI) folgend wird hier untersucht, inwieweit nationale, politische, biodiversitätsrelevante Sektoren in Peru das Ziel des Biodiversitätsschutzes in ihre politischen Strategien integrieren. Für die Untersuchung wurden neben den Strategieplänen der einzelnen Sektoren Experteninterviews geführt und weitere Dokumente analysiert, die sich im Zuge der Untersuchung als für die Fragestellung besonders relevant erwiesen. Für Publikation 5 wurden die Faktoren analysiert, die während der partizipativen Landnutzungsplanung in Migrantengemeinden in der Pufferzone des Nationalparks Cordillera Azul zur Entwicklung von adaptiven Kapazitäten geführt haben. Eine kartographische Analyse von Satellitenbildern half bei der Erhebung der Entwaldungsrate in der Region. Basierend auf qualitativen Interviews mit Gemeindemitgliedern und -vertretern, NGO-Angestellten und den Prozessmoderatoren wurden Faktoren identifiziert, die die erfolgreiche Integration technischen und lokalen Wissens in das Ressourcenmanagement der Gemeinden ermöglichten. In einer abschließenden Synthese ergeben sich vier Faktoren, die sich, basierend auf den Ergebnissen der induktive Forschungsansätze der Publikationen, als wesentlich für die Effektivität der peruanischen Biodiversitätspolitik ergaben. Diese sind: die Definition von Biodiversitätszielen unter Einbindung verschiedener Wissens- und Wertesysteme, das Operationalisieren von Biodiversitätszielen, die Kapazitätenentwicklung für integrierte Biodiversitätsplanung sowie die Bildung von Sozialkapital für Zusammenarbeit. Abschließend wurde untersucht, inwieweit diese Faktoren in den Aktivitäten des Biodiversitätssektors aufgegriffen werden. Als empirisches Material dienten dazu die Peruanische Biodiversitätsstrategie, qualitative Experteninterviews und Beobachtungen aus der Teilnahme am partizipativen Prozess zur Erstellung der Biodiversitätsstrategie. ; Biodiversity loss is one of the most pressing global environmental problems of our generation. Member states to the Convention on Biological Diversity are developing national biodiversity strategies to conserve biodiversity in their countries. In the current global negotiations, different financial mechanisms are developed to particularly support poor, biologically diverse countries in the global South in their conservation efforts. In order to assure effectiveness of those efforts, research is needed to shed light on the policy processes in those countries. My research aims at developing a model to evaluate the effectiveness of biodiversity policies on various levels. As a first step towards this ambitious target, factors that are found to be crucial for the performance of biodiversity policies are evaluated in separate sub-projects and published as articles. Those aspects will later add to a comprehensive model for the assessment of biodiversity policies. Article 1 (Conservation Narratives in Peru - Envisioning Biodiversity in Sustainable Development) use grounded theory to distinguish the five groups of conservation narratives Biodiversity Protectionists, Biodiversity Traditionalists, Biodiversity Localists, Biodiversity Pragmatists and Biodiversity Capitalists. These groups are each presented along comparable aspects, such as the location of biodiversity in relation to the human life, valuation and knowledge systems, participation and leadership, substitutability of natural capital and its predominant political strategy. The presented results present an analytical scaffold to organise the conservation debates in Peru. These findings serve an example of how to break down the complex concepts of biodiversity conservation and sustainability and relate them to their political context and local implementation. Article 2 (Incorporating Biodiversity Conservation in Peruvian Development - A history with different episodes) connects the narrative groups identified in article 1 to historical conservation movements in Peru. This article analyses how these different groups emerged and started to develop a discourse on biodiversity conservation. After conducting qualitative interviews with stakeholders, discourse groups were identified and described with regard to their historical appearance. While those different discourse groups do not automatically contradict or exclude each other, this article sheds light on the different historical situations and motivations underlying these discourses. Article 3 (Learning from local knowledge in Peru—Ideas for more effective biodiversity conservation) explores the causes and effects that experts from Peruvian political regions connect to biodiversity loss. In four macro-regional workshops, experts from 22 Peruvian political regions were asked to state causes and effects of biodiversity loss in focus groups. Analysing this data, I show that even though biodiversity appears as a broad, complex concept of human-nature interactions, it can be clustered into different categories of tangible aspects. Furthermore I propose analysis of the problem of biodiversity loss in three dimensions of ecological impacts, human activities and developments, and political output. I argue that doing so can help enhancing transparency and effectiveness of biodiversity policies. Article 4 (Biodiversity Policy Integration as Conceptual Approach to Mainstreaming - Experiences from Peru) evaluates the inclusion of biodiversity conservation into sectoral policies along the dimensions inclusion, operationalization, coherence, capacity and weighting. Sectoral action plans, the design and institutional arrangement of policy instruments and qualitative expert interviews serve as the main sources for this study. As part of the participatory process leading to the development of the updated Peruvian Biodiversity Strategy and Action Plan (NBSAP), the integration of biodiversity targets into the national development plan, and the organisation of the different political actors in a national commission on biodiversity further help integrating the target of biodiversity. However, while the issues of environmental degradation and biodiversity loss are taken up by the strategy plans, they lack operationalization and institutional capacity for its implementation. Economic processes with a high potential of threats to biodiversity, such as overfishing, ecosystem degradation through extractive processes and infrastructural expansion are only marginally targeted. Possible institutional mechanisms for the coordination of political interests, such as an integrated land-use planning on the regional and local level still lack a necessary legal framework and appear to lack the necessary political commitment. Artikle 5 (Building adaptive capacity in changing SES: Integrating knowledge in communal land-use planning in the Peruvian Amazon) analyses adaptive capacity in social-ecological systems (SES) in the buffer zone of Cordillera Azul national Park (Peru). Communal participative land use planning (Zonificación Participativa Comunal– ZPC) is a tool designed for communities to organize their land use integrating conservation measures, while building knowledge on the SES. In this article, we assess to what extent the ZPC process has led to the development of adaptive capacities within SES around local communities along the dimmensions social capital, learning capacities, adaptive management and governance. Analysing these dimensions helps understanding the needs for resilient SES to cope with environmental, political, economic or social changes. It was particularly the long-term process building social capital between the instrument and local stakeholders, as well as continuously integrating, testing and reflecting technical and local knowledge that enabled communities to develop internal mechanisms supporting their adaptive capacities. Furthermore, taking leadership throughout the process, communities could adjust the ZPC to be integrated in existing formal and informal institutions governing resource use. The factors specification of contextual biodiversity targets, operationalization, social capital and the use of integrative planning instruments were identified as conditioning effective biodiversity governance. In a test of the Peruvian National Biodiversity Strategy and Action Plan (NBSAP) strengths and weaknesses are assessed and options for effective implementation are identified.
Einleitung: Die Verfassungswidrigkeit der ARGEn und das Erfordernis, die Grundsicherung für Arbeitsuchende neu zu regeln: Eine der umfangreichsten Sozialreformen in der Geschichte der Bundesrepublik Deutschland trat in Form des Sozialgesetzbuches II, der Grundsicherung für Arbeitsuchende, am 01.01.2005 in Kraft und führte die vormals bestehende Sozialhilfe nach dem BSHG mit der Arbeitslosenhilfe nach dem SGB III zusammen. Ziel der Reform war unter anderem, das Nebeneinander mehrerer Transferleistungen zu beenden und die Hilfen aus einer Hand zu gewährleisten. Der während des Gesetzgebungsverfahrens entbrannte politische Streit, wer Träger dieser neu geschaffenen Leistungen sein sollte und wie die organisatorische Umsetzung auszusehen habe, konnte nur durch einen Kompromiss im Vermittlungsausschuss zwischen Bundestag und Bundesrat beigelegt werden, mit dessen Folgen sich diese Masterthesis in weiten Teilen beschäftigt. Während die damalige Regierungskoalition die Bundesagentur für Arbeit als alleinigen Grundsicherungsträger in den Gesetzesentwurf einbrachte, sah die Opposition die Aufgabe bei den Kommunen besser aufgehoben. Das verabschiedete Gesetz schrieb in der Folge sowohl dem Bund als auch den Kommunen Aufgaben nach dem SGB II zu, was zu gemeinsamen Grundsicherungsstellen, den so genannten Arbeitsgemeinschaften (ARGEn) als Regelmodell im Rahmen einer Mischverwaltung führte. Zusätzlich, als zunächst zeitlich begrenztes Experiment, wurde 69 Kommunen die alleinige Grundsicherungsträgerschaft als zugelassene kommunale Träger (zkT) übertragen, um Aussagen darüber gewinnen zu können, welche Trägerform die bessere sei. Vom Gesetzgeber ungewollt, etablierte sich eine dritte Umsetzungsform in Gebieten, in denen sich Kommunen und lokale Agenturen für Arbeit nicht auf eine Arbeitsgemeinschaft einigen konnten: die Aufgabenwahrnehmung in getrennter Trägerschaft (gAw), bei denen jeder Grundsicherungsträger die ihm jeweils zugeschriebenen Aufgaben in eigener Zuständigkeit erbringt. Knapp drei Jahre nach Einführung dieser Organisationsmodelle erklärte das Bundesverfassungsgericht in seinem Urteil vom 20.12.2007 die Mischverwaltung, und damit das im Bundesgebiet weit überwiegend umgesetzte Regelmodell der ARGE, für verfassungswidrig und gab dem Gesetzgeber bis zum 31.12.2010 Zeit, um unter Einbeziehung der Ergebnisse der gesetzlich verankerten Wirkungsforschung die Betreuung der Hilfebedürftigen neu zu regeln. Seitdem entstehen in schneller Abfolge sich je nach politischer Grundposition gegenseitig ausschließende Umsetzungsvarianten, die alle dem Prinzip des alten Weins in neuen Schläuchen, also der Beibehaltung der bisherigen Positionierungen zu folgen scheinen. Aus Sicht der Verfasser nähern sich die politischen Haltungen kaum an und es steht zu befürchten, dass die Grundsicherung für Arbeitsuchende wiederum Opfer eines Kompromisses wird, der inhaltlich kaum besser ausgestaltet ist als bisher und dem Willen des Gesetzes nach einheitlicher und bürgernaher Leistungsgewährung nach wie vor nicht gerecht wird. Es gilt deshalb, und das ist das Anliegen dieser Masterthesis, einen vom bisherigen, mittlerweile mehr als fünf Jahre andauernden politischen 'Machtgerangel' unabhängigen, überwiegend an inhaltlichen Kriterien orientierten Lösungsansatz für eine neue Organisationsform des SGB II zu entwickeln. Konkretes Vorgehen bei der Entwicklung einer funktionierenden Organisation: Ausgehend von den rechtlichen Hintergründen der Verfassungswidrigkeit der ARGEn, über die das Urteil des Bundesverfassungsgerichts Auskunft gibt, wird zunächst der Gesetzentwurf ('Hartz IV-Gesetz') und damit verbunden der ursprüngliche Wille des Gesetzgebers untersucht, der in dem neu zu entwickelnden Umsetzungsmodell Berücksichtigung finden soll. Des Weiteren wird die Entstehungsgeschichte der Grundsicherung für Arbeitsuchende beschrieben und die normative Kraft des Faktischen in Bezug auf die etablierten drei Umsetzungsmodelle kritisch hinterfragt. Es folgt eine differenzierte Analyse des bisherigen Standes der Evaluations- und Wirkungsforschung, aus der sich folgende zentrale Zwischenergebnisse ableiten lassen: Es lassen sich auf Bundesebene bislang keine systematischen Vorteile eines bestimmten Umsetzungsmodells erkennen. Die Unterschiede innerhalb jedes der drei Umsetzungsmodelle sind mindestens so vielfältig wie zwischen den Formen der Aufgabenwahrnehmung. Unterschiedliche Wirtschaftsräume scheinen einen größeren Einfluss auf die operativen Ergebnisse zu haben als die Modelle selbst. Zum einen veranlassen diese Resultate die Verfasser zu der Annahme, dass ein 'Festhalten' der Entscheidungsträger an Option, ARGE oder getrennter Aufgabenwahrnehmung unter wissenschaftlichen Aspekten wenig sinnvoll erscheint; zum anderen wird der Frage nachgegangen, inwiefern sich auf der Mikroebene in einem möglichst homogenen Wirtschaftsraum unterschiedliche Rahmenbedingungen minimieren und Vorteile entweder eines Modells oder bestimmter organisatorischer Ausgestaltungsformen finden lassen. Anhand der Resultate verschiedener Studien wird in einem ersten Schritt die Region Bodensee-Oberschwaben (speziell die Landkreise Ravensburg, Konstanz und Bodenseekreis) als weitgehend homogener Wirtschaftsraum identifiziert, in dem zudem alle drei Organisationsformen in unmittelbarer Nachbarschaft vorzufinden sind. Um vergleichbare operative Ergebnisse der drei Grundsicherungseinheiten zu erhalten, werden die umfangreichen statistischen Datenbanken der Bundesagentur für Arbeit genutzt, ausgewertet und aufbereitet, dabei die Parameter 'Aktivierung der Hilfebedürftigen' und 'Übergang in sozialversicherungspflichtige Beschäftigung' als wesentliche Indikatoren für erfolgreiche Arbeit der Grundsicherungseinheiten herangezogen. Festzustellen ist, dass bezüglich der gewählten Erfolgsparameter in allen drei Kreisen bei vergleichbarem Mitteleinsatz vergleichbar erfolgreich gearbeitet wird, also wiederum keine systematischen Unterschiede zwischen den Umsetzungsmodellen erkennbar sind. Es erscheint daher legitim, sich in der Folge mit der inhaltlichen Arbeit vor Ort im Jobcenter Konstanz, in der gAw in Ravensburg und im Amt 'Hilfen für Arbeit' in Friedrichshafen auseinanderzusetzen und inhaltliche Erfolgsfaktoren sowie hemmende Faktoren zu identifizieren, die sich in ein neues 'funktionierendes' Modell für die Region Bodensee-Oberschwaben integrieren lassen. Eine Erhebung in Form teilstrukturierter Leitfadengespräche bei den drei Grundsicherungsstellen führt zu Aussagen bezüglich der konkreten Ausgestaltung der jeweiligen Organisation und den subjektiv wahrgenommenen Erfolgs- und hemmenden Faktoren bei der Umsetzung des SGB II. Unter Einbeziehung der deskriptiven Forschungsergebnisse sowie organisations- und managementtheoretischer Aspekte wird darauf ein neuartiges regionales Umsetzungsmodell aufgesetzt, das möglichst vielen Kriterien einer erfolgreichen Aufgabenerledigung in Bodensee-Oberschwaben weitgehend Rechnung trägt. Das Modell erscheint durch seine Flexibilität sowohl im Rahmen einer bundesunmittelbaren als auch einer kommunalen Aufsicht funktionsfähig. Methodischer Ansatz: Ansatz dieser Arbeit ist es, einen zum Verständnis der Thematik erforderlichen Überblick über die Chronologie der Ereignisse, die (politischen) Grundpositionen sowie die Zwischenergebnisse der Forschung zu bieten und letztere nicht nur darzustellen, sondern teilweise auch zu integrieren, also als erweiterte Datenbasis für eine eigene, kleinräumige und als solche nicht repräsentative Erhebung bei drei Grundsicherungseinheiten in Bodensee-Oberschwaben zu nutzen. Neuartig ist in diesem Zusammenhang u. a. die Einbeziehung verschiedener operativer Ergebnisse als Indikatoren für die Qualität der Arbeit der drei Organisationseinheiten. Dadurch wird eine Verbindung zwischen einzelnen Forschungsansätzen, die sich entweder auf deskriptive Aussagen oder einzelne operative Ergebnisse beschränken, hergestellt. Es zeigen sich dabei Zusammenhänge; Kausalschlüsse können jedoch nicht gezogen werden. Das auf diese Weise anschließend erarbeitete regionale Lösungsmodell erscheint auf den Bund übertragbar; der Versuch, sowohl die Erfahrungen aus der Praxis als auch die Evaluationsforschung sowie management- und organisationsentwicklungstheoretische Aspekte bei der Entwicklung einer tragfähigen Lösung zu integrieren, stellt dabei die Einzigartigkeit dieses Ansatzes dar. Trotz des relativ hohen Umfangs dieser Arbeit handelt es sich – angesichts Hunderter allein in den letzten Jahren veröffentlichter, inzwischen weit mehr als 50.000 Seiten umfassender Fachbeiträge aus Wissenschaft, Politik und Gesellschaft – um einen Ansatz zur Reduktion von Komplexität und zur Rückbesinnung auf pragmatische Prinzipien des Managements bei der Umgestaltung sozialer Dienstleistungsorganisationen. Der Sachverstand, die Professionalität und die kreativen Denkansätze der Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter, die täglich ihren Dienst in den Grundsicherungsstellen verrichten und dadurch wirkliche Experten sind, bilden dabei die Basis für bislang im politischen Dialog fast unbeachtete bottom up-Prozesse, die die Diskussion um inhaltliche und insbesondere 'unpolitische' Lösungsansätze bereichern und weiterbringen könnte.Inhaltsverzeichnis:Inhaltsverzeichnis: Danksagungii Inhaltsverzeichnisiii Abkürzungenvii Abbildungen und Tabellenix 1.Einleitung und Problemstellung1 1.1Die Verfassungswidrigkeit der ARGEn und das Erfordernis, die Grundsicherung für Arbeitsuchende neu zu regeln1 1.2Konkretes Vorgehen bei der Entwicklung einer funktionierenden Organisation2 1.3Methodischer Ansatz4 2.Das Bundesverfassungsgerichtsurteil vom 20.12.075 3.Die Geschichte des SGB II und der verschiedenen Umsetzungskonstellationen8 3.1Der Reformbedarf und der Wille der Regierung: Der Gesetzesentwurf zum 'Hartz IV-Gesetz'8 3.2Modifikationen des Gesetzes bis zur Verabschiedung15 3.3Der politische Weg: Neue Modelle seit dem Verfassungsgerichtsurteil vom 20.12.200720 3.3.1Das kooperative Jobcenter (KJC) – BMAS/BA20 3.3.2Zentrum für Arbeit – Deutscher Städte- und Gemeindebund21 3.3.3Die Bundesauftragsverwaltung (das 'Bayernmodell')22 3.3.4Aktueller Stand der politischen Diskussion – Modell 'ZAG' mit Verfassungsänderung und Festschreibung der Option24 3.4Die alles beherrschende Frage: Wer kann es besser? Der Bund oder die Kommunen?25 4.Evaluation der Experimentierklausel und allgemeine Wirkungsforschung29 4.1Wirkungsforschung zur Experimentierklausel im Auftrag des BMAS: ISG – Institut für Sozialforschung und Gesellschaftspolitik30 4.1.1Ergebnisse aus den Untersuchungsfeldern des ISG-Forschungsverbundes33 4.1.2Wer ist besser? ARGE, zkT oder gAw?37 4.2ISE – Internationales Institut für Staats- und Europawissenschaft im Auftrag des DLT (Deutscher Landkreistag)39 4.3Bundesagentur für Arbeit (BA): Sonderbericht – 'Übergänge aus Grundsicherung in Beschäftigung'42 4.4Weitere Forschungsansätze44 4.5Zusammenfassung des aktuellen Forschungsstandes46 5.Die Ausgestaltung des SGB II im regionalen Kontext 'Bodensee-Oberschwaben'49 5.1Methodische Erläuterungen49 5.2Überprüfung der Vergleichbarkeit des Landkreises Ravensburg, des Bodenseekreises und des Landkreises Konstanz50 5.2.1SGB II-Vergleichstypen nach IAB50 5.2.2Regionenmatching des ZEW im Rahmen der Evaluation der Experimentierklausel des § 6c SGB II51 5.2.3Deskriptive Analyse des regionalen Arbeitsmarkts54 5.3Zeitreihen zur Entwicklung der Arbeitsmarktlage sowie der Situation im SGB II – Bereich der untersuchten Kreise56 5.4Erfolgsparameter: Aktivierungs- und Integrationsquoten62 5.5Fazit aus dem Vergleich der Erfolgsparameter72 5.6Die organisatorische Ausgestaltung der drei Grundsicherungsträger ARGE Konstanz, zkT Bodenseekreis und gAw Ravensburg – Vorstellung der dazu verwendeten Methode (Befragung)75 5.6.1Umsetzung des SGB II in der gAw Ravensburg77 5.6.1.1Entstehungsgeschichte und organisatorische Ausgestaltung77 5.6.1.2Ausgestaltung des Fallmanagements und der Vermittlung88 5.6.1.3Qualitätsmanagement92 5.6.1.4Einsatz der Arbeitsmarktinstrumente ('Maßnahmemix')94 5.6.1.5Bewertung der getrennten Aufgabenwahrnehmung und der Umsetzung des Gesetzes durch die befragten Mitarbeiter96 5.6.2Die Umsetzung des SGB II beim zkT Bodenseekreis99 5.6.2.1Entstehungsgeschichte und organisatorische Ausgestaltung100 5.6.2.2Ausgestaltung des Fallmanagements und der Vermittlung105 5.6.2.3Qualitätsmanagement109 5.6.2.4Einsatz der Arbeitsmarktinstrumente ('Maßnahmemix')110 5.6.2.4Bewertung der kommunalen Option und der Umsetzung des Gesetzes durch die befragten Mitarbeiter112 5.6.3Die Umsetzung des SGB II in der ARGE Konstanz115 5.6.3.1Entstehungsgeschichte und organisatorische Ausgestaltung115 5.6.3.2Ausgestaltung des Fallmanagements und der Vermittlung125 5.6.3.3Qualitätsmanagement127 5.6.3.4Einsatz der Arbeitsmarktinstrumente ('Maßnahmemix')128 5.6.3.5Bewertung der ARGE und der Umsetzung des Gesetzes durch die befragten Mitarbeiter130 5.7Gemeinsamkeiten und Unterschiede bezüglich der Erfolgsfaktoren bei der Umsetzung des SGB II in den befragten Grundsicherungsstellen der Region Bodensee-Oberschwaben134 5.7.1Organisatorische Ausgestaltung134 5.7.2Wahrgenommene Erfolgsfaktoren138 5.7.3Wahrgenommene hemmende Faktoren143 5.7.4Zusammenfassung der bisherigen Ergebnisse147 6.Entwicklung eines regionalen Trägermodells für Bodensee-Oberschwaben150 6.1Die Entscheidungsgremien des regionalen Modells150 6.2Die Aufbau- und Ablauforganisation des regionalen Modells151 6.3Fallmanagement und Vermittlung156 6.4Der 'Maßnahmemix'159 6.5Das Qualitätsmanagement160 6.6Die trägerübergreifende IT-Lösung163 7.Übertragung des regionalen Modells auf den Bund164 7.1Einbettung des regionalen Modells in die Kompetenzordnung des Bundes und der Länder165 7.2Alles schon mal da gewesen…? – ein möglicher Ausweg166 8.Schlussbemerkung und Ausblick167 9.Literatur169 AnhangI–XVITextprobe:Textprobe: Kapitel 5.7.4, Zusammenfassung der bisherigen Ergebnisse: Betrachtet man die Darstellungen in den letzten Abschnitten zusammenfassend, so ist festzustellen dass sich in einer kleinräumigen Wirtschaftsregion mit ähnlichen Rahmenbedingungen im Rahmen einer 'Mikroanalyse' die bisherigen Forschungsergebnisse im Wesentlichen replizieren lassen. So fallen kontinuierliche organisatorische Veränderungsprozesse ins Auge sowie die Tatsache, dass sich unterschiedliche organisatorische Ausgestaltungen angesichts der zu verzeichnenden 'atypischen' Ausprägungen größtenteils nicht auf die Art des Trägermodells zurückführen lassen. Unabhängig vom Trägermodell und der (sich noch immer im Wandel befindlichen) Organisationstypologien entwickeln sich im Zeitverlauf in einigen Aspekten anscheinend unterschiedliche, in anderen Aspekten ähnliche Strukturen, Erfolgsfaktoren und Problematiken, unabhängig davon, ob die Organisationsform nun zentral vorgegeben ist, sich dezentral entwickelt hat oder eine 'Mischform' darstellt. Dazu gehört der bei allen Befragten geäußerte Wunsch bzw. die als Erfolgsfaktor benannte Individualisierung im Leistungsprozess, einerseits bei den eingesetzten Maßnahmen, andererseits im persönlichen Beziehungsaufbau zum Kunden, der letztlich auch entgegen vorgegebener Strukturen 'durchgesetzt' wird. Das weiter oben angeführte 'Baden-Württemberg-Paradox' zeigt sich in hohem Maße: Deutlich die Mehrheit der eHb werden als nicht direkt vermittelbar eingestuft und die Notwendigkeit sozial stabilisierender und nicht ausschließlich beschäftigungsorientierter Maßnahmen für diese Klientel in den Vordergrund gerückt. Individualisierung als Erfolgsfaktor im Prozess der Erbringung sozialer Dienstleistungen zeigt sich nicht nur im direkten Umgang mit dem Kunden, sondern ist auch in Aspekten der Mitarbeiterzufriedenheit bzw. der Mitarbeitermotivation, Engagement und Identifikation mit der Aufgabe zu finden, und zwar um so mehr dort, wo Mitarbeitern Gestaltungs- und Entscheidungsfreiheiten eingeräumt werden. Dem stehen andererseits Bemühungen des Gesetzgebers in Richtung zunehmender und größtmöglicher Standardisierung und 'Entpersonalisierung' der Leistungsprozesse entgegen, die durchweg als hemmend und die Arbeit beeinträchtigend erlebt werden. Transparenz, Einheitlichkeit und Einfachheit der Aufbau- und Ablaufstrukturen in der Organisation werden dagegen, ebenso wie eine komfortable und einheitliche EDV-Lösung und transparente, realisierbare geschäftspolitische Ziele als Erfolgsfaktoren wahrgenommen bzw. vermisst, wenn sie nicht vorhanden sind. Eher bzw. 'zu' informelle Strukturen, zu viele Ansprechpartner für die Mitarbeiter innerhalb der Organisation oder für die Kunden werden dagegen wegen der zu verzeichnenden Reibungsverluste und 'Brüche' in der Beziehung zum Kunden sowie der schwierigen Einarbeitung neuer Mitarbeiter eher als hemmend erlebt. Kommunale Strukturen und Netzwerkarbeit werden als Erfolgsfaktoren benannt, am Beispiel der gAw Ravensburg zeigt sich dabei, dass trotz institutionell bedingter Nachteile und entgegen anders lautender bundesweiter Evaluationsergebnisse dennoch ein relativ hohes Maß an Kooperation und Kundenfreundlichkeit sowie auch Netzwerkarbeit möglich ist, wenn die beteiligten Akteure entsprechende Handlungsspielräume erkennen und nutzen. Ganz deutlich wird dem Bedürfnis nach Individualisierung im zkT Bodenseekreis Rechnung getragen, was sich für die Mitarbeiter in einem hohen Beteiligungsgrad einerseits sowie andererseits in einem kaum vorzufindenden quantitativen Controlling zeigt. Auch die 'echte' Sozialarbeit und die wahrgenommene Unterstützung durch die Leitung hinsichtlich der Nicht-Quantifizierbarkeit vieler Ziele werden hervorgehoben. Andererseits sind hier dann auch die Befürchtungen, Gestaltungsspielräume künftig abgeben und sich verstärkt den Reglementierungen des BMAS oder des Bundes 'unterwerfen' zu müssen, am deutlichsten ausgeprägt, während ARGE- und gAw – Mitarbeiter an eine zunehmende Standardisierung eher gewöhnt zu sein scheinen und sich 'Nischen' im System suchen. Bezüglich der Erfolgsindikatoren deuten sich Zusammenhänge mit einzelnen, subjektiv wahrgenommenen Erfolgsfaktoren an, z. B. die Initiative '0 Prozent Jugendarbeitslosigkeit' im Bodenseekreis und die dort zu beobachtende geringe Jugendarbeitslosigkeit, die Betonung präventiver Ansätze und sozial stabilisierender Maßnahmen im Bodenseekreis und der leichte Vorsprung bei der Integration der eHb in Beschäftigung. Andererseits könnte die stärkere Beschäftigungsorientierung in Ravensburg und Konstanz mit der zu verzeichnenden, besseren Integrationsrate von arbeitslosen Hilfebedürftigen in Zusammenhang stehen. Hieraus Kausalzusammenhänge abzuleiten wäre angesichts der schmalen Datenbasis und der sehr schwachen Zusammenhänge jedoch nicht nur vermessen, sondern schlicht falsch. Auch können keine Zusammenhänge zwischen einzelnen Maßnahmen der jeweiligen 'Maßnahmemixe' oder zwischen verschiedenen organisatorischen Ausgestaltungen und 'messbarem' Erfolg festgestellt werden. Auch unter Hinzuziehung der Evaluationsforschung scheint das Modell der Aufgabenwahrnehmung unerheblich zu sein: Innerhalb der Modelle zeigt sich auch in einer kleinräumigen Studie ein derart hohes Maß an Abweichungen und gegenläufigen Tendenzen in mehreren Aspekten, dass letztlich festzuhalten bleibt, dass in Bodensee-Oberschwaben keines der Modelle eine erfolgreiche Wahrnehmung bzw. Umsetzung der sich aus dem SGB II ergebenden Aufgaben 'verhindert' sondern dass sich vielmehr unter Nutzung der Gestaltungsspielräume Abläufe entwickeln, die mehr oder weniger effizient sein mögen, aber – das zeigen die dargestellten Erfolgsparameter – offensichtlich ähnlich effektiv 'funktionieren'. Aus den postulierten Erfolgsfaktoren aller Träger versuchen die Verfasser nun, eine Organisationsform zu entwickeln, die möglichst viele der genannten Aspekte berücksichtigt und Reibungsverluste minimiert.
Inhaltsangabe: Einleitung: Das Phänomen der Ständestaatsideen von 1918 bis 1933: 'Alle Deutschen sind vor dem Gesetze gleich. Öffentlich-rechtliche Vorrechte oder Nachteile der Geburt oder des Standes sind aufzuheben.' Dieser Satz des Art. 109 der Weimarer Reichsverfassung (WRV) sollte ab dem 11.August 1919 eine neue politische Epoche manifestieren: Alle Menschen sind gleich, die Überbleibsel der alten Stände sind Vergangenheit. Das 3-Klassen-Wahlrecht des Kaiserreiches wurde abgeschafft. Der Art. 21 lässt die Abgeordneten des Reichstages Vertreter des ganzen Volkes sein und nicht Vertreter eines Standes, ferner verspricht der Art.22 die freie und gleiche Wahl, unabhängig von Standeszugehörigkeiten: 'eDie Abgeordneten werden in allgemeiner, gleicher, unmittelbarer und geheimr Wahl von den über zwanzig Jahre alten Männern und Frauen nach den Grundsätzen der Verhältniswahl gewählt.' Die reaktionäre konservative Monarchie wurde durch die Novemberrevolution beseitigt. Sozialisten, Sozialdemokraten, Liberale und Demokraten arbeiteten an einer neuen Republik. Nur die Republikgegner und Antidemokraten beriefen sich noch auf die konstitutionelle Monarchie des Kaiserreiches oder suchten das Heil in neuen völkischen, nationalen Bewegungen. Ein einfaches 'zurück' war nach der Flucht des Kaisers am 10. November 1918 nur für wenige eine realistische Alternative. Egal ob das Ziel die Rätedemokratie, eine parlamentarische Monarchie oder den Ausbau des Weimarer Parlamentarismus darstellte: Die modernen demokratischen Ideen, die politische Gleichheit der Staatsbürger und der Parlamentarismus schienen nicht nur auf dem Papier in Deutschland angekommen zu sein. Auch die ersten Wahlergebnisse zeigten eine demokratische Mehrheit, während gemäßigte und radikale antidemokratische Gruppen nur mäßigen Erfolg hatten. Da scheint es wie ein Paradoxon der Ideengeschichte: Plötzlich erblüht eine Begrifflichkeit neu, auf ein Mal werden Buchtitel veröffentlicht, die fernab demokratischer Ideen eigentlich dem Spätmittelalter zuzurechnen sind: der Ständestaat. Zwischen 1918 und 1933, den ersten Anfängen (Abdankung des Kaisers am 9.November 1918) und dem Ende (Ermächtigungsgesetz am 23.März 1933) der ersten deutschen Republik, gibt es eine beachtliche Anzahl von Konzepten, die eine neue ständestaatliche Ordnung formulierten. All jene Ständestaatskonzepte unterliegen einem Konsens: Staat und Gesellschaft sollen in Glieder eingeteilt werden und diese Glieder werden zu einem Bestandteil der staatlichen Ordnung. Der Staat ist kein Vertrag zwischen Einzelindividuen, Ausdruck einer Aristokratie oder Resultat des Willens eines Königs, sondern eine Summe von Gliedern, evtl. selbst nur ein staatstragender Teil des Gesellschaftsganzen. Der Einzelne ist kein Teil des Staates, sondern Teil eines Standes. Diese Stände sind Glieder des Staates und haben mehr oder weniger an der staatlichen Hoheit teil. Viele dieser Ideen brachen mit allen Idealen der modernen Demokratie: Georg Weipperts 'Prinzip der Hierarchie' oder Othmar Spanns 'wahrer Staat' sind hierarchische Ständestaaten ungleicher Menschen. Bei anderen Konzepten hingegen (zum Beispiel der so genannte 'Werksgemeinschaftsgedanke' oder bei den berufsständischen Gesetzgebungsausschüssen von Heinrich Herrfahrdt) trägt die ständische Selbstverwaltung fast schon wieder moderne, auf Partizipation orientierte Züge. Es existiert ein breites Spektrum weiterer Ständestaatskonzepte, die in der Forschung weitestgehend vernachlässigt wurden. Ziel dieser Magisterarbeit soll es deshalb sein, die Spannbreite dieser Ständestaatskonzepte aufzuzeigen sowie eine kurze Ideengeschichte dieser Ständestaatskonzepte zu bieten. Dabei wird eine möglichst vollständige Darstellung aller Konzepte angestrebt und die Frage gestellt, was wirklich neu an diesen Ideen ist und wo simple ideengeschichtliche Rückgriffe neu verpackt wurden. Es ist ebenso Anspruch dieser Arbeit, eine umfassende Literaturliste zum Forschungsthema vorzustellen. Dabei sollen nicht nur die im Sinne der Forschungsfrage untersuchten Werke aufgeführt werden, sondern auch all jene Werke, die nur Teile einer neuen ständestaatlichen Ordnung behandeln oder ein unvollständiges Ständestaatskonzept formulieren. Es ist nicht das Ziel dieser Arbeit, soziologische oder biografische Hintergründe der Autoren zu erfassen, die Wirkung und Bedeutung der genannten Ständestaatskonzepte zu analysieren, Ursachenforschung für antidemokratisches Denken zu betreiben oder sozialpsychologische Gründe für das Aufkommen der Ständestaatsideen zu finden. Die moderne wissenschaftliche Literatur zeigt ein gespaltenes Bild: Die einen offenbaren einen einheitlichen Ständestaatsgedanken unter dem Paradigma des 'gliedhaften Organismus'. Dabei werden die Ständestaatsideen als organische Staatsauffassungen beschrieben, die sich gegen den mechanischen und künstlichen demokratischen Liberalismus stellen. Der Staat wird hier 'Idee und Leben', der 'Inbegriff physischen und geistigen Lebens' mitsamt allen notwendigen Gegensätzen. Ohne Gegensätze, ohne eine Gliederung von Staat und Gesellschaft, wäre der Staat leblos. Doch kann man die Ständestaatskonzepte nach 1918 einfach unter der Formel des 'lebendigen Staates' vereinen? Die andere Richtung der Fachliteratur tendiert dazu, die Idee vom ständisch gegliederten Staat als Randphänomen unterschiedlicher antidemokratischer Zirkel zu betrachten. Diese stellten dem demokratischen Ideal ein hierarchisches Staatsbild gegenüber, das sich gegen jede Form der Gleichheit wehrte. Die demokratische Verirrung politischer Gleichheitsrechte, insbesondere das Recht der freien und gleichen Wahl, werde von diesen Zirkeln durch autoritäre Ständestaatsmodelle mit völkischem Hintergrund ersetzt. Der Ständestaatsgedanke wird hier als Hilfskonstrukt konservativrevolutionärer, nationalkonservativer, deutschvölkischer oder nationalrevolutionärer Ideologien vorgestellt. Die Vorherrschaft des Ökonomischen im staatlichen Bereich sollte gebrochen werden. Der Staat würde durch das Leitbild des ständisch gegliederten Staates seine Autorität und politische Hoheit zurückerhalten. Während letztere Exponenten wissenschaftlicher Literatur kaum Gemeinsamkeiten zwischen den Ständestaatsideen sehen und eher die Neuartigkeit korporativer und berufsständischer Ideen betonen, ziehen es die Erstgenannten vor, den Ständestaatsgedanken als unbeholfenen Rückgriff in die mittelalterliche und romantische Ideenwelt zu betrachten. Lässt sich bei diesem Zwiespalt überhaupt eine Ideengeschichte beschreiben? Und wenn ja, vollzieht diese nur Neuauflagen alter Gedankenwelten oder stellt sie fernab der Begriffsverwendung unabhängige Neuentwicklungen des Ständestaatsgedankens dar? Kann man die Ständestaatskonzepte der Weimarer Republik wirklich pauschal beurteilen als antidemokratische, antimoderne Rückgriffe fast schon mittelalterlicher Ständestaatsideen? Gab es hierbei auch Weiterentwicklungen überkommener Ständestaatsideen? Sind die Ständestaatskonzepte zwischen 1918 und 1933 Neuauflagen, Weiterentwicklungen oder Neuentwicklungen?Inhaltsverzeichnis:Inhaltsverzeichnis: 1.Einleitung1 1.1Das Phänomen der Ständestaatsideen von 1918 bis 19331 1.2Aktueller Forschungsstand, Quellenlage und Hinweise zur Quellenrecherche4 1.3Vorgehensweise7 2.Vorbetrachtungen12 2.1Begriffsbestimmungen12 2.1.1Ständestaat12 2.1.2Gliederung, Hierarchie und Organismus13 2.1.3Stand und ständische Staatsordnungen16 2.1.4Berufsstand und berufsständische Staats- oder Wirtschaftsordnungen19 2.1.5Korporationen, Korporativismus und korporative Staats- oder Wirtschaftsordnungen22 2.2Die Ständestaatsideen und Konzepte bis 191826 3.Die deutschen Ständestaatskonzepte von 1918 bis 193332 3.1Theoretisch und wissenschaftlich begründete Konzepte32 3.1.1Der Universalismus (1921)33 3.1.2Das 'Prinzip der Hierarchie' bei Georg Weippert (1932)39 3.1.3Paul Karrenbrock und der völkische Berufsständestaat (1932)42 3.1.4Der 'Drang zur Gemeinschaft' bei Franz Jerusalem (1925)46 3.2Konfessionell begründete Konzepte48 3.2.1Der berufsständische Gedanke in der katholischen Soziallehre48 3.2.1.1Der Solidarismus bei Oswald Nell-Breuning (1932)49 3.2.1.2Die katholische Romantik bei August Pieper (1926)55 3.2.2Der protestantische Ständestaat bei Rudolf Craemer (1933)59 3.3Politisch begründete Konzepte62 3.3.1Altkonservative und Monarchisten62 3.3.1.1Der Ständestaat im altkonservativen und monarchistischen Kreis62 3.3.1.2Der monarchistische Ständestaat bei Max Wundt (1925)63 3.3.1.3Edgar Tatarin-Tarnheydens berufsständisches Rätesystem (1922)66 3.3.1.4Die Stein'sche Selbstverwaltungsidee bei Wolfgang Freiherr von Dungern (1928)70 3.3.1.5Friedrich Everling und die Rückkehr zum 'gesunden Mittelalter' (1924)74 3.3.1.6Die 'Steuergemeinschaften' bei Julius Bunzel (1923)78 3.3.2Jungkonservative81 3.3.2.1Der ständische Gedanke unter Einfluss von Arthur Moeller van den Bruck81 3.3.2.2Der Korporativismus im Sinne von Max Hildebert Boehm (1920)83 3.3.2.3Die konservative 'neuständische Verfassung' nach Heinz Brauweiler (1925)88 3.3.2.4Die berufsständischen Gesetzgebungsausschüsse bei Heinrich Herrfahrdt (1919/1932)91 3.3.2.5Autoritarismus und ständische Gliederung bei Edgar Jung (1927)96 3.3.2.6Der deutsche 'stato corporativo fasci' nach Carl Düssel (1933)99 3.4Nationalökonomisch begründete Konzepte: Die Werksgemeinschaftsideen104 3.4.1Ständestaat und Werksgemeinschaft104 3.4.2Die Werksgemeinschaften bei Paul Bang(1927)105 3.4.3Die berufsständische Weiterentwicklung des Werksgemeinschaftsgedankens bei Gerhard Albrecht (1932)108 4.Schlussbetrachtung: Die Ständestaatskonzepte von 1918 bis 1933 zwischen Neuauflagen, Weiterentwicklungen und Neuentwicklungen.111 4.1Entwicklungsgeschichtliche und inhaltliche Gemeinsamkeiten111 4.2Die wesentlichsten Unterschiede114 4.3Alternative Klassifizierungsmöglichkeiten115 4.4Neuauflagen ständestaatlicher Konzepte: Typen und ihre Merkmale118 4.5Weiterentwicklungen ständestaatlicher Konzepte: Typen und ihre Merkmale120 4.6Neuentwicklungen ständestaatlicher Konzepte: Typen und ihre Merkmale122 4.7Fazit und Ausblick125 5.Abbildungsverzeichnis127 6.Literaturverzeichnis128 6.1Die deutschen Ständestaatskonzepte von 1918 bis 1933128 6.2Abhandlungen zu Teilfragen einer neuen ständestaatlichen Ordnung sowie unvollständige Ständestaatskonzepte aus dem Zeitraum von 1918 bis 1933131 6.3Weiterführende und zeitgenössische Literatur bis 1945 im Kontext der untersuchten deutschen Ständestaatskonzepte von 1918 bis 1933134 6.4Weiterführende Literatur nach 1945141Textprobe:Textprobe: Kapitel 3.1.1, Der Universalismus (1921): Der Universalismus, aufbauend auf dem Werk Othmar Spanns, ist die wohl bekannteste und umfangreichste Ständestaatskonzeption aus dem untersuchten Zeitraum. Die von Spann begründete Schule umfasst ein umfangreiches Bild verschiedener Autoren, die jedoch alle auf seinen Gedankengängen aufbauen. Er entwickelte nicht nur ein umfangreiches und in sich geschlossenes Ständestaatskonzept, sondern auch ein Gesellschafts- und Weltbild. Obwohl Österreicher, hatte Spann auch in Deutschland einen enormen Einfluss. Zunächst zur Genealogie. Othmar Spann bekennt sich zur romantischen Geisteshaltung und bezieht mittelalterlich-universalistische Ideen mit ein. Von der Scholastik übernimmt er den Satz 'Das Ganze ist vor dem Teil' sowie das Bild von einer Gesellschaft als göttliche Schöpfungsordnung. Vom deutschen Idealismus übernimmt er die These 'Gesellschaft ist Geist' und das Bild vom Staat als Ganzheit, von der Romantik übernimmt er unter anderem die Kritik an der Aufklärung, Rationalismus und Individualismus. Der Universalismus selbst ist in Methodik und Inhalt deutlich vom mittelalterlich-kirchlichen Weltbild geprägt. So ist die Nähe zu Thomas von Aquin und seiner metaphysischen hierarchischen Weltordnung deutlich. Mehrfach erwähnte er den Aufbau der katholischen Kirche als ideales Vorbild der Gesellschaft. Seine Philosophie basiert auf der Ganzheitslehre. Demnach definiert er das Ganze nach vier Lehrsätzen : 'Das Ganze als solches hat kein Dasein (1); es wird in den Gliedern geboren (2); darum ist es vor den Gliedern (3); es geht in den Gliedern nicht unter (4).' Diese Lehrsätze werden nun auf Staat und Gesellschaft übertragen. Der Staat als solcher, als Organismus, ist nicht zu finden. Der Organismus ist nur in seinen Gliedern erkennbar. Die Glieder wiederum bestehen nur als Ganzes. Sie können nur sein als Darstellungen der ihnen übergeordneten Ganzheit. Durch die Geburt des Ganzen aus den Gliedern folgt logisch die Gliederung des Staates und der Gesellschaft. Alles Erkennbare in Staat und Gesellschaft, auch der Bürger an sich, sei nur Ausgegliedertes, das dem Ganzen als Glied angehöre. Diese bei Spann noch umfangreichere 'Ganzheitslehre' ist die Grundlage seiner Ständestaatskonzeption und Vorlage des Universalismus. Ein Stand ist nach Spann ein Glied der geistigen Gemeinschaft, der Ganzheit: 'Die Stände sind die Sendlinge und Schößlinge einer Stammeinheit, die sich in vereinzelt-selbstständige Organe spaltet und scheidet (differenziert). Sie sind Bestandsformen eines Urstandes, des geistigen Lebens, sie sind das Mannigfaltige in der Einheit.' Walter Heinrich formuliert Stände als 'organisierte Lebenskreise mit ihren arteigenen Verrichtungen für das Ganze.' Sie sind 'Leistungsgemeinschaften auf Grund von Lebensgemeinschaften.' Diese Lebenskreise bestehen in jeder Gesellschaft, unabhängig davon, ob sie einen ständischen Status besitzen. Und gerade diese Lebenskreise sind es, die erst die Vielfalt der Gesellschaft ausmachen. Der Einzelne ist nicht autark, sondern ist Teil einer Einheit. Die Gestalt der Stände ist bestimmt durch die Ausgliederungsordnung. Das Ganze stellt sich in verschiedenen Teilinhalten und Teilganzen dar. Teilganze der Gesellschaft sind z.B. Religion, Wissenschaft, Kunst, Sinnlichkeit; Sittlichkeit, Sprache oder Recht. Diese Ausgliederung findet aber ausschließlich in einer Stufenordnung (Hierarchie) statt und nicht in einem Nebeneinander: 'Die Glieder der Ganzheit haben nicht alle den gleichen Ganzheitsgehalt, somit nicht alle die gleiche Ganzheitsnähe – also verschiedenen Rang.' Die Folgerung für die Gesellschaft: Organische Ungleichheit statt atomistischer Gleichheit der Teile. Das gesamte Gesellschaftsbild Othmar Spanns kennt nur Rangordnungen. Das Ganze der Gesellschaft gliedert sich in 'Gezweiungen' und Gemeinschaften, Stand bedeutet für ihn zuerst die Eigenschaft als Glied des Ganzen. Durch verschiedene widersprüchliche Folgerungen dieser Ausgliederung definiert Spann die Stände später nur noch nach ihren Verrichtungserfordernissen: Artgleiche Verrichtungen werden in einem Stand zusammengefasst. Die Stände sind zunächst geistige Stände, nicht reale Stände, die nur geistigen Inhalt haben. Er unterteilt auch noch den 'Vollstand', zu dem ein geistiger Stand wird, wenn er anfängt zu handeln ('handelnder Stand'). Der geistige Stand bleibt 'VorStand'. Spann unterscheidet die Stände nach dem Grad ihrer Geistigkeit. Dabei kennt er drei Stufen geistiger Gemeinschaften: Jene mit vitalem Inhalt, höhere geistige aber reproduzierende und die geistig schöpferischen Gemeinschaften. Er unterteilt den Stand der niederen Handarbeiter, den Stand der höheren Arbeiter und den schöpferischen Stand. Jeder Stand und zusätzliche 'besondere Stände' werden ebenfalls vielfach unterteilt. Diese äußerst vielfältige Unterteilung gibt er in späteren Werken auf. So fasst er die niederen Handarbeiter, den Stand der höheren Arbeiter und den Stand der Wirtschaftsführer in einen rein wirtschaftlichen 'Nährstand' zusammen. Zu diesem kommen ein allgemeiner politischer Stand (Staat) mit dem Wehrstand und Priesterstand (Kirche) sowie der schöpferische Lehrstand hinzu. All diese Unterteilungen differenziert er in Neuauflagen seines Werkes 'Der wahre Staat' neu. Er führt schlussendlich auch die 'Berufsstände' ein, jedoch ohne den Beruf als ausschlaggebendes Kriterium zu nutzen. Die Berufsstände sind dabei, anders als bei den berufsständischen Konzepten, keine eigenständigen Stände, sondern Teilstände des Gesamtstandes der Wirtschaft. Da Sachfragen nur von den Fachleuten erledigt werden können, sollen auch nur jene die 'Sachsouveränität' ausüben, also die Selbstregierung innerhalb der Stände ausüben. Innerhalb der Stände definiert sich auch die Freiheit des Einzelnen. An Stelle der liberalen Freiheiten entsteht die organische Freiheit innerhalb der ständischen Bindung. An Stelle der 'Freiheit und Gleichheit' des Naturrechts tritt das Prinzip 'Gleichheit unter Gleichen' mit einer 'verhältnismäßigen Gleichheit'. Rechte und Pflichten sind je nach Stand unterschiedlich. Der Universalismus sieht sich als Antipode zu Demokratie und Parlamentarismus . Es bedürfe einer Gegenrenaissance zum Individualismus. Damit verbunden ist die Ungleichheit der Menschen: 'Gleichheit unter Gleichen. Unterordnung des geistig Niederen unter das geistig Höhere – Das sind die Baugesetze des wahren Staates.' Hinzu kommt die Ablehnung des gleichen Stimmrechts: 'Jeder Einzelne ist ein gleichwertiges Atom, Nietzsche und sein Stiefelputzer haben dieselbe Stimme, jeder wird mit gleichem Gewicht in die Waagschale geworfen und mitgewogen: die Mehrheit soll herrschen!' und weiter: 'Man soll die Stimmen nicht zählen, sondern wägen, nicht die Mehrheit soll herrschen, sondern das Beste.' Die beste politische Gestaltung der Stände unterliegt der Maßgabe, dass auch die besten Herrschen. Die ideale Staatsform ist folglich jene, 'welche die Besten zur Herrschaft bringt' , die eine Herrschaftshierarchie der Glieder und eine weitgehende Dezentralisation vorsieht. Statt einem Volk und einer Regierung gelte der Satz 'Viele Teilstände und Volkskreise, viele Teilregierungen und Standesgewalten.' Dies beinhalte jedoch auch die begrenzte Selbstbestimmung, Selbstverwaltung und Selbstregierung der Stände. Der Staat selbst wird nach Spann nicht durch ein Parlament oder eine demokratisch legitimierte Regierung geführt, sondern durch einen staatstragenden, 'politischen Stand' . Dieser ist vergleichbar mit einem Adel. Der Staat selbst ist Höchststand und 'Oberleiter der Stände' : 'Der Staat kommt von sich her; er beruht weder auf einem berufsständischen Wirtschaftsparlament, noch auf einem Parlament, das 'alles Volk' umfasst; er beruht, wie jeder Stand, auf einem eigenen Kreis von Menschen, die sich seinen arteigenen Aufgaben widmen und ihn tragen.' Diese Staatsführung ist betont autoritär und folgt dem Führerprinzip. Lediglich die berufsständisch organisierte Wirtschaft solle von einem wirtschaftlichen Ständehaus vertreten werden, in dem jedoch nur allgemeine Angelegenheiten der Wirtschaft behandelt werden. Er formuliert dabei einen dualen, doppelständischen Aufbau: Es gibt wirtschaftliche Stände und politische Stände, die jedoch keine strukturellen Unterschiede aufweisen.
Die Debatte über den Einsatz von Biotechnologien in der Landwirtschaft ist eine der lautstärksten und emotionalsten der letzten Jahre, da kaum ein Gebiet wissenschaftlich und gesellschaftlich so umstritten ist, wie die moderne Gentechnik. Grund hierfür sind die stark divergierenden Ansichten der Verbraucher und Regierungen bezüglich der aktuellen und potentiellen Gefahren und Vorteile, die Produkte der landwirtschaftlichen Biotechnologie – GVO und Produkte hieraus – mit sich bringen können. Der Bereich der gv landwirtschaftlichen Produkte hat erst kürzlich großes öffentliches Aufsehen durch die bevorstehenden Genehmigung der ersten gv Kartoffel erregt. Die Bundesregierung hat die Biotechnologie sogar zur Strategie des Monats August 2007 erklärt. Die Einführung der Gentechnik in der Landwirtschaft hat zu kontroversen Diskussionen geführt, die neben der ökologischen auch eine große wirtschaftliche Dimension haben. Trotzdem sind die Auswirkungen der Gentechnik bisher weitgehend unbekannt, womit sich die dringliche Frage nach einem geeigneten, anpassungsfähigen Rechtssystem stellt, das diesen Anforderungen – dem schnellen Wandel der Technik, der Ungewissheit über die Risiken, dem Druck der Öffentlichkeit, insb. in Europa, den gegensätzlichen Verbraucherinteressen weltweit sowie den divergierenden Zielen der EG, WTO und des Cartagena-Protokolls – gerecht werden kann. Deutschland ist das Land mit den meisten Biotechnologiefirmen in Europa, die 2006 einen Umsatz von ca. 1,5 Mrd. Euro erzielten und auf 947 Hektar gv Pflanzen, die über eine Zulassung zum IVB verfügen, anbauten. Weltweit wurden ca. 102 Mio. Hektar gv Pflanzen in 22 Ländern angebaut, davon rund 82% in den USA, Argentinien und Brasilien. Gang der Untersuchung: Der rechtliche Hintergrund genmanipulierter landwirtschaftlicher Produkte als Gegenstand des Öffentlichen Wirtschaftsrechts ist eine sehr weitreichende Materie, die für eine zielgerichtete und informative Darstellung der Thematik einiger Einschränkung bedarf. Bei 'genmanipulierten landwirtschaftlichen Produkten' handelt es sich um gv landwirtschaftliche Erzeugnisse, die zunächst im allgemeinen Kontext des Öffentlichen Wirtschaftsrechts eine Konkretisierung erfordern: Ursprung des Regelungsbedarfs bezüglich gv landwirtschaftlicher Erzeugnisse ist die Problematik des nationalen und internationalen Handels mit diesen Produkten. Dieser stellt gleichzeitig auch Dreh- und Angelpunkt der verschiedenen Interessengruppen wie Unternehmen, Landwirte und Verbraucher dar und beansprucht somit die höchste Notwendigkeit an Rechtssicherheit. Aus diesem Grund sollen sich die folgenden Ausführungen vornehmlich auf das Außenhandelsrecht als Zweig des Öffentlichen Wirtschaftsrechts beziehen. Nicht alle Erzeugnisse sind von Sonderregelungen betroffen. Daher bleibt ein beträchtlicher Teil der Ein- und Ausfuhr den allgemeinen Regeln des Außenhandelsrechts unterworfen, z. B. der Bereich des Zollrechts. Dies gilt für gv landwirtschaftliche Produkte aber gerade nicht: Diese sind sowohl auf nationaler bzw. europarechtlicher Ebene durch ein gemeinschaftsrechtliches System als auch auf internationaler Ebene, insb. durch das Protokoll von Cartagena und das SPSÜ, handelspolitischen Sonderregelungen unterworfen. Da die vorliegende Arbeit die rechtliche Situation für den Handel mit gv landwirtschaftlichen Erzeugnissen darstellen soll, liegen die ganz allgemeinen Vorschriften des Außenhandelsrechts, die bei Nichtvorliegen einer Sonderregelung greifen, außerhalb des Betrachtungsfeldes. Weiterhin abzugrenzen sind die unterschiedlichen Anwendungszwecke gv landwirtschaftlicher Produkte: Für den Handel mit GVO werden nur die Vorschriften untersucht, die den Anwendungszweck des IVB und der Aus-, Ein- und Durchfuhr gv landwirtschaftlicher Produkte regeln. Zur Abgrenzung des Begriffs des IVB ist die positive Definition in Art. 2 Nr. 4 S.1 RL 2001/18/EG bzw. die Negativ-Abgrenzung in Art. 2 Nr. 4 S. 2 RL 2001/18/EG heranzuziehen, da diese Regelungen europaweit Geltung beanspruchen und darüber hinaus auch die internationalen Vorschriften des Protokolls von Cartagena umsetzen. Abzugrenzen ist der Begriff des IVB in zweierlei Hinsicht, und zwar einerseits gegen Systemverwendungen und andererseits gegen Freisetzungen: Die Anwendung in geschlossenen Systemen beinhaltet den Forschungsaustausch zur Weiterverwendung im Labor oder die Weitergabe von GVO im Rahmen eines Patentierverfahrens, aber auch gewerbliche Weitergabe von GVO, jedoch lediglich für die industrielle Produktion in geschlossenen Systemen. Die FreisetzungsRL und die SystemRL bilden systematisch eine Einheit, in dem die Systemverwendung von GVO deren Freisetzung und diese wiederum dem IVB von GVO aufgrund des Stufenprinzips zeitlich vorgeordnet sind. Ziel ist es, die gesamte Produktionskette bezüglich des Umgangs mit GVO rechtlich zu erfassen: Solange keine sektoralen Vorschriften greifen, wird jede Tätigkeit mit GVO entweder von der SystemRL oder der FreisetzungsRL erfasst. Da der Umgang mit GVM in geschlossenen Systemen aufgrund der Einschließungsmaßnahmen als weniger risikoreich und grundsätzlich leichter kontrollierbar angesehen wird, sind weniger restriktive Genehmigungsregelungen und kein aufwendiges Zulassungsverfahren wie beim IVB von GVO vorgesehen. Daher sind die Verwendung von GVO in geschlossenen Systemen und die entsprechenden Regelungen nicht Teil dieser Arbeit. Weiterhin ist gegen den Begriff der Freisetzung abzugrenzen, dem in der FreisetzungsRL zunächst zwei unterschiedliche Bedeutungen zukommen: Die Legaldefinition des Begriffs in Art. 2 Abs. 3 RL 2001/18/EG beschreibt die Freisetzung als 'jede Art von absichtlichem Ausbringen (von GVO) in die Umwelt […]'. Hierunter wäre also das IVB von GVO, das Ausbringen von bereits genehmigten GVO in die Umwelt sowie auch Freisetzungen i.e.S. zu verstehen. Die Freisetzung gv landwirtschaftlicher Produkte i.e.S. betrifft eher die experimentelle Freisetzung zu Forschungszwecken als die Verfolgung kommerzieller Profitziele. Die Zulassung zum Zwecke des IVB ist wesentlich strengeren Voraussetzungen unterworfen als die zum Zwecke der Freisetzung. Somit sind die Regelungen zur Freisetzung weniger stark regulierend und haben demnach geringere Auswirkungen auf den Handel. Zudem soll diese Arbeit den Handel, also das 'auf den Markt bringen' von GVO als in der Praxis relevantere Form der kommerziellen Nutzung untersuchen, die sich in Form des IVB der Produkte vollzieht. Sie steht daher im Mittelpunkt dieser Untersuchung. Die Einbeziehung der Regelungen zu gv Arzneimitteln, die im allgemeinen Handel mit GVO sicherlich eine wichtige Rolle spielen, verbietet sich schon durch den Titel der Arbeit, der explizit nur landwirtschaftliche Produkte umfasst, zu denen Arzneimittel nicht zählen. Bezüglich des nun definierten Rechtsgebietes sollen sich die Ausführungen auf den europarechtlichen Rechtsrahmen, der auf die nationale Situation indirekt durch Richtlinien und direkt durch die jeweiligen Verordnungen stark Einfluss ausübt, sowie den internationalen Rechtsrahmen beziehen. Auf das deutsche Gentechnikrecht soll aus diesem Grund nur knapp eingegangen werden. Darüber hinaus werden in einer vergleichenden Darstellung Kernpunkte der US-amerikanischen Vorschriften mit einbezogen, die aufgrund ihrer Divergenz gegenüber den europarechtlichen Vorschriften den rechtlichen Gegenpol zur Vorbereitung einer abschließenden Analyse bilden. Die vorliegende Arbeit besteht aus vier Teilen. Teil 1 bildet mit einer kurzen Einführung in das Thema, der Abgrenzung und Vorgehensweise sowie der Begriffsdefinition den einleitenden Teil der Arbeit. Anschließend wird in Teil 2 der Stand der Forschung und Entwicklung im Bereich der Gentechnik sowie deren Vor- und Nachteile dargestellt. Teil 3 befasst sich mit der Darstellung der derzeit existierenden Vorschriften bezüglich des Handels mit gv landwirtschaftlichen Produkten. Da der Rechtsrahmen für gv Erzeugnisse in Fachkreisen als kompliziert gilt, aber dennoch für die Praxis äußerst relevant ist, bildet dieser Punkt den Hauptteil der Arbeit. Den Schlussteil der Arbeit bildet in Teil 4 die Analyse des Rechtsrahmens unter Berücksichtigung wichtiger Probleme aus der Praxis, wobei der Versuch gemacht wird, durch Vergleich gewonnene Verbesserungsvorschläge integrativ darzustellen. Abschließend wird ein kurzer Ausblick in die mögliche zukünftige Entwicklung im Bereich gv landwirtschaftlicher Produkte gegeben.Inhaltsverzeichnis:Inhaltsverzeichnis: InhaltsverzeichnisII AbkürzungsverzeichnisIV 1.Einleitung1 1.1Problemstellung1 1.2Abgrenzung des Themas und Vorgehensweise der Untersuchung2 1.3Erläuterung zentraler Begriffe5 2.Anwendungsbereiche und Risiken der Gentechnik in Landwirtschaft und Industrie8 2.1Stand der Forschung und Anwendungsbereiche8 2.2Risiken gentechnisch veränderter landwirtschaftlicher Produkte10 2.3Vor- und Nachteile des Handels mit gentechnisch veränderten landwirtschaftlichen Produkten aus ökonomischer Sicht11 3.Der Rechtsrahmen für den Handel mit gentechnisch veränderten Produkten13 3.1Entstehungsgeschichte der derzeitigen Reglementierung innerhalb der EU und der WTO14 3.2Die nationalen und europarechtlichen Vorschriften15 3.2.1Andere gentechnisch veränderte Organismen19 3.2.1.1RL 2001/18/EG über die absichtliche Freisetzung gentechnisch veränderter Organismen in die Umwelt und zur Aufhebung der RL 90/220/EWG des Rates19 3.2.1.2Das deutsche Gentechnikgesetz zur Umsetzung der RL 2001/18/EG27 3.2.2Alle gentechnisch veränderten Organismen29 3.2.2.1VO (EG) Nr. 1830/2003 über die Rückverfolgbarkeit und Kennzeichnung von GVO und über die Rückverfolgbarkeit und Kennzeichnung von aus GVO hergestellten Lebens- und Futtermitteln sowie zur Änderung der RL 2001/18/EG29 3.2.2.2VO (EG) Nr. 1946/2003 zur grenzüberschreitenden Verbringung von GVO bezüglich des Exports von GVO aus der EU32 3.2.3Lebens- und Futtermittel33 3.2.3.1VO (EG) Nr. 1829/2003 über das Inverkehrbringen von gentechnisch veränderten Lebens- und Futtermitteln34 3.2.3.2VO (EG) Nr. 258/97 über neuartige Lebensmittel und neuartige Lebensmittelzutaten (Novel-Food-VO) und ihr Verhältnis zur VO (EG) Nr. 1829/200337 3.3Vergleichende Darstellung der US-amerikanischen Vorschriften gegenüber den europarechtlichen Vorschriften39 3.4Die internationalen juristischen Regelwerke41 3.4.1SPS-Übereinkommen42 3.4.2TBT-Übereinkommen47 3.4.3GATT-Regelung51 3.4.4Cartagena-Protokoll zur biologischen Sicherheit52 3.4.5Der WTO-Biotech-Fall und der transatlantische Streit bezüglich GVOs55 4.Abschließende Gesamtbetrachtung der jurisitischen Regelwerke und Ausblick58 4.1Abschließende Analyse und Bewertung der untersuchten Rechtssysteme unter Berücksichtigung aktueller Praxisprobleme58 4.2Ausblick über zukünftige Entwicklung der untersuchten Rechtssysteme62 LiteraturverzeichnisVI AnhangXVTextprobe:Textprobe: Kapitel 3.3, Vergleichende Darstellung der US-amerikanischen Vorschriften gegenüber den europarechtlichen Vorschriften: Die USA ist eines der Länder, in denen die Regierungen den neuen Biotechnologien – und damit insb. der Biotechnologie- und Saatgutindustrie – relativ wenige rechtliche Hürden in den Weg gelegt haben. In Sachen Gentechnik ist die USA den Europäern einen Schritt voraus: Vor allem die Gesetzeslage ermöglicht der Forschung einen größeren Spielraum. Dies ist eine Folge der unterschiedlichen Rechtskulturen. Die Diskrepanzen der Rechtssysteme spiegeln die unterschiedlichen Ansätze und Einstellungen der Verantwortlichen der US-Regierung, der Verbraucher und der Industrie gegenüber GVO und gv Lebensmitteln. Das US-amerikanische Rechtssytem bezüglich GVO unterscheidet sich also stark von dem europäischen Rechtssystem. Der Grund: Die EU handelt nach dem Vorsorgeprinzip. In Europa gilt das Gentechnik-Verfahren grundsätzlich als risikoreich. Erst wenn man Schäden durch Gen-Pflanzen ausschließen kann, erlaubt Brüssel die Nutzung. Anders in den USA: Die Vorreiter auf dem Gebiet der Gentechnik forschen schon seit drei Jahrzehnten. Das Vorsorgeprinzip wird aufgrund seiner Fähigkeit, gesetzeswidrige Handelsbeschränkungen zu rechtfertigen und zu schützen, nur mit größter Vorsicht angewendet. Eine zentrale Kontrollstelle wie bspw. die EFSA gibt es ebenso wenig wie ein einheitliches Gentechnikrecht: Basierend auf dem Ansatz, dass gv Produkte im Grunde genommen nur eine Erweiterung herkömmlicher Produkte darstellen, machte sich die US-Regierung ursprünglich die bereits existierenden Gesetze zunutze, um die Sicherheit der gv Produkte zu garantieren. 1986 erließ die US-Administration dann das 'Coordinated Framework for Regulation of Biotechnology' und setzte damit den rechtlichen Grundstein für die folgenden 20 Jahre US-amerikanischer Regelungen zur Biotechnologie. Dieses Rahmenkonzept, das mit unwesentlichen Änderungen bis heute gilt, stellt einen vertikalen, risikobezogenen Verfahrensansatz bei der Regulierung der Gentechnik in den USA dar. Nach diesem Rahmenwerk sind Behörden, die für die Aufsicht über bestimmte Kategorien von Produkten oder bestimmte Arten der Produktverwendung verantwortlich waren, auch zuständig für die Bewertung gleichartiger gv Produkte. Es sind demnach keine neuen Behörden speziell für den Bereich gv Produkte errichtet worden, wie dies bspw. nach europarechtlichen Regelungen bei der ESFA der Fall war. So ist die 'Food and Drug Administration' (FDA) verantwortlich für die Lebens- und Futtermittelsicherheit, auch im Bereich der GVO. Im US-amerikanischen Landwirtschaftsministerium (United States Department of Agriculture, USDA) ist der 'Animal and Plant Health Inspection Service' (APHIS) verantwortlich für die Risikobewertung gv Pflanzen; und die 'Environmental Protection Agency' (EPA) ist zuständig für die Entwicklung und Freisetzung gv Pflanzen. Die derzeitigen rechtlichen Vorschriften für Produkte der modernen Biotechnologie sind der 'Plant Protection Act' (PPA), der 'Federal Food, Drug, and Cosmetic Act' (FFDCA), der 'Federal Insecticide, Fungicide, and Rodenticide Act' (FIFRA) und der 'Toxic Substances Control Act' (TSCA). Neue Vorschriften wurden - sofern notwendig – nach Maßgabe dieser Gesetze entwickelt, um der Entwicklung neuer gv Produkte gerecht zu werden. Leitlinien zur Genforschung schreiben die National Institutes of Health (NIH) vor. Die einzelnen Bundesstaaten überprüfen die Nutzung. Außerdem werden US-Unternehmen über ein einheitliches Haftungsrecht direkt zur Verantwortung gezogen, wohingegen gerade die Haftungsproblematik in Europa noch nicht einheitlich geregelt ist. In den USA ist die Gentechnik längst im Alltag angekommen. Gentechnisch veränderte Lebensmittel finden sich in jedem gut sortierten Supermarkt – ursprünglich ohne Kennzeichnung. Allerdings ist in den letzten Jahren der Widerstand der Verbraucher gegenüber gv Lebensmitteln auch in den USA angewachsen, so dass auch die US-amerikanische Öffentlichkeit immer stärker nach einer angemessenen Kennzeichnung gv Lebensmittel verlangt. Im US-Kongress hat der Abgeordnete Kucinich seit 2000 die Gesetzgebung bezüglich der freiwilligen Kennzeichnung von gv Lebensmitteln vorangetrieben und 2003 sechs Reformvorschläge zu Rechtsvorschriften über gv Pflanzen erarbeitet und eingeführt. Der vorgeschlagene 'Genetically Engineered Food Right to Know Act of 2006' sowie weitere fünf Vorschriften zu gv Produkten sollen den Schutz der Verbraucher stärken, insb. durch die Verpflichtung der Lebensmittelindustrie, alle Lebensmittel, die GVO enthalten oder mit GVO hergestellt sind, als solche zu kennzeichnen. Desweiteren soll die FDA Kontrollen durchführen, um die Einhaltung der Vorschriften zu gewährleisten. Der seit 2001 bestehende 'Pre-market notice concerning bionegineered foods' verlangte eine Anmeldung zur Genehmigung bei der 'agency of data and information' bezüglich gv Lebens- oder Futtermittel, mindestens 120 Tage vor dem IVB, allerdings nur auf freiwilliger Basis. Diese Vorschriften sollen nun ersetzt werden durch strengere Vorschriften zur Kennzeichnung, Überwachung und Genehmigung, angeregt durch das USDA. Diese Verstärkung der Gentech-Vorschriften soll auch ein mehrstufiges, risikobasiertes Zulassungsverfahren enthalten, um das derzeitige Zulassungs-/Genehmigungsverfahren zu ersetzen. Amerikanische Verbraucher haben offensichtlich weniger Angst vor Gen-Food. Sie scheinen eher der Wirtschaft zu vertrauen, und die Europäer eher den staatlichen Behörden, die sich auf Verbraucherschutz und auf die Freiheit, zwischen genmanipulierten und konventionellen Lebensmitteln wählen zu können, berufen.
Die spätmoderne, neoliberale Gesellschaft hat uns in eine Spirale der Beschleunigung und Entfremdung geführt, die Folgeprobleme wie Klimakrise und Pandemie ausgelöst hat. Antworten zur Lösung dieser durch Technologien mitverursachten Probleme sind oft noch mehr und noch komplexere Technologien. So wird ein fehlgeleitetes System fortgeschrieben und die Krisenanfälligkeit immer weiter erhöht. An die mögliche der Reduktion von Komplexität wird dabei oft nicht gedacht. Das Gehen, als "Low-Tech-Technologie", vereint zahlreiche Chancen in sich: Neben seinem Potenzial für die anstehende globale Decarbonisierung zum Klimaschutz und der Senkung von Gesundheits- und Infrastrukturkosten, bietet seine Aufwertung in der öffentlichen Meinung weitere Potenziale: Eine Verbesserung der Ich-Umwelt-Beziehung, die Transformation des Stadtraums zu einem positiv erlebbaren Sinnesraum und die damit verbundene Erhöhung der Lebensqualität: Das kognitive Potenzial des Gehens kann der Spirale der Beschleunigung und Entfremdung entgegenwirken: Ein dringend notwendiger Wandel von einem EGO- in ein ECO-System, wie es C. Otto Scharmer in seiner "Theorie U" beschreibt, ist längst erforderlich. Die vorliegende Masterarbeit versucht dem soziokulturellen Feld des Gehens in Wien auf die Spur zu kommen. Die Antworten auf die drei Forschungsfragen zeigen, welche Machtverhältnisse, Narrationslinien, Konfliktlinien und Argumentationsstrategien den Diskurs zum Gehen im Wiener Straßenraum beherrschen, welche manifesten und latenten Sinnkonstruktionen im Dispositiv bestehen, und wie das Gehen genutzt werden kann, um politische und planerische Ziele effizienter zu erreichen. Dazu wurde ein grafisches Dispositivschema "Wirklichkeitskonstruktion Gehen" konstituiert und analysiert. Zentrales Forschungsobjekt darin ist ein Online-Diskurs einer österreichischen Tageszeitung. Dispositivanalysen wurden noch selten versucht, hier wurde ein neuer theoretischer Zugang entwickelt, der zukünftig sogar an anderen Themen erprobt werden kann. Auch die Analyse von Internet-Foren ist ein junges Forschungsgebiet. Hierfür wurde vom Autor das Instrument der Diskurslinienkategorisierung entwickelt, das sich zur Darstellung des Forums als hilfreich erwiesen hat. Weiters kamen für die Auswertung des Online-Forums eine Inhaltsanalyse nach Mayring und die Feinstrukturanalyse von Textsequenzen nach Froschauer/Lueger zum Einsatz. Die empirischen Ergebnisse aus dem Online-Diskurs wurden in Crosschecks mit der realen Umwelt, sozialphilosophischen Theorien und mit Fachkonzepten der Wiener Stadtplanung verglichen. Daraus wurden die Forschungsfragen beantwortet. Die Masterarbeit zeigt, dass das Automobil, mit seinen Versprechungen von Freiheit, Fortschritt, Geschwindigkeit, Aufschwung, Individualität, Status und unbeschränkter Mobilität, die öffentlichen Straßenräume nachhaltig geprägt hat. Auf latenter Ebene wird es zunehmend zum Substitut, mit dessen Hilfe Selbstwirksamkeitserfahrung ermöglicht wird, und es wird Symbol für die Ersatzbefriedigung individueller Bedürfnisse und Kontrolle im Leben, die wir im alltäglichen Hamsterrad der Wettbewerbsgesellschaft verlieren. Von aufstrebenden Gruppen wird eine faire Umverteilung der Nutzungsflächen im Straßenraum eingefordert. Dadurch könnte in Wien die Erreichung der Klimaziele bei gleichzeitiger Verbesserung der Lebensqualität erreicht werden. Im öffentlichen Diskurs herrschen Machtkonflikte zwischen Gruppen von Verkehrsteilnehmenden vor. Politik und Planung werden mit ihren abstrakten Zielsetzungen in der Öffentlichkeit schwer verstanden. Das transformative Potenzial des Gehens wird nicht genützt, weil visionäre Narrative fehlen. Die vorliegende Masterarbeit skizziert, wie Sinnklüfte zur BürgerIn überbrückt werden könnten. Sie beschreibt, wie Entschleunigung durch das Gehen zu Selbstwirksamkeitserfahrung, gesellschaftlicher Transformation, besserer Lebensqualität sowie zur Erreichung der Klimaziele beitragen könnten. Der Ausblick reflektiert die im Rahmen der Arbeit entwickelten Analysemethoden. ; Late modern, neoliberal society has led us into a spiral of acceleration and alienation, which, in turn, has triggered or aided defining challenges such as the climate crisis or the current pandemic. Conventional answers to solving these problems - which are partly caused by technological advances - often include an even greater pish for more and more complex technologies. As a result, a misguided system is perpetuated and made susceptible to further crises. By contrast, alternative solutions involving a reduction of complexity often find only cursory consideration. Walking as a "low-tech technology" creates numerous opportunities: In addition to its contribution to decarbonization , its health benefits and its role in curbing infrastructure expenditures, promoting its public acceptance and status promises additional benefits: An improvement of the relationship between individuals and the environment, the transformation of urban space into a sensory space offering a more immediate and positive experience, and an associated increase in the quality of life. The cognitive promise of walking can counteract the spiral of acceleration and alienation and promote an urgent move from an EGO- to an ECO-system, as described by C. Otto Scharmer in his "Theory U". This master thesis seeks to trace and explore walking as a socio-cultural domain in Vienna. It investigates the power relations, narratives, conflict and argumentative strategies that shape and dominate the discourse on walking in the Vienna street space, and in analyses the observable and latent paradigms persist in the contemporary dispositif. For this purpose, the thesis develops and analyzes a graphical representation of the dispositive entitled " Walking as Construction of Reality", with the online discourse in an Austrian daily newspaper as its central research object. As dispositif analyses are rare in the literature, the thesis develops a new theoretical approach that may also be tested on other topics in future work. The analysis of Internet foruma is also a recent field of research. Here, the author developed an instrument for categorizing discourse lines as a tool for representing the forum. The online forum was further scrutinized using content analysis (as proposed by Mayring), and a detailed structural analysis of text sequences (Froschauer/Lueger). The empirical results from the online discourse were subsequently juxtaposed in cross-checks with the physical environment, with relevant socio-philosophical theories and with applicable professional urban-planning concepts in Vienna. The approach allowed developing answers to the main research questions. The master thesis shows that the automobile, with its promises of freedom, progress, speed, economic development, individuality, status and unconstrained mobility, has had a lasting impact on public street spaces. On a latent level, it is increasingly becoming a substitute for experiences of self-efficacy, and it is serving as a replacement for a satisfaction of individual needs and control in life that we lose in the "everyday hamster wheel" of competitive society. By contrast, aspiring groups are demanding a fair redistribution of usable space in the street space, which could further the achievement of climate goals in Vienna, while also improving the quality of life. Meanwhile, the public discourse remains characterized by power conflicts between different groups of road users. Abstract policy directions and planning objectives are difficult to communicate and not easily understood by the public, and without visionary narratives, the transformative potential of walking remains unrealised. The thesis outlines approaches for bridging the prevalent gaps in communication and understanding could be bridged. It describes how deceleration through walking could contribute to self-efficacy experiences, societal transformation, better quality of life, and the achievement of climate goals. The outlook reflects on the analytical methods developed and applied in the thesis. ; Abweichender Titel laut Übersetzung der Verfasserin/des Verfassers ; Arbeit an der Bibliothek noch nicht eingelangt - Daten nicht geprüft ; Wien, FH Campus Wien, Masterarb., 2021 ; (VLID)6240893
Fragen: Es gibt nach h.M. der deutschen Strafrechtswissenschaft drei Vorsatzformen: Absicht, sicheres Wissen und dolus eventualis. Soll unterschiedliche Vorsatzform, ceteris paribus, auch bei der Strafzumessung unterschiedlich bewertet werden? Warum? Methode: Diese Fragen werden in einem interdisziplinären Dialog zwischen Norm und Empirie untersucht. Neben der strafrechtlichen und verfassungsrechtlichen Ausführung bezieht sich diese Arbeit großenteils auf die Erkenntnisse aus den Bereichen Kriminalpolitik, Kriminologie, Psychologie, Verhaltensökonomie und Neurowissenschaft. Zur Auswertung der Erkenntnisse wird großer Wert auch auf Forschungsmethode gelegt. Ergebnisse: Zur ersten Frage: Die Schuldangemessenheit gebietet, unterschiedliche Vorsatzformen bei der Strafzumessung unterschiedlich zu bewerten, wenn sie quantitative oder qualitative beachtliche Unterschiede aufweisen. Zur zweiten Frage: Der in Kapitel 6 erarbeitete Maßstab, Vorsatzformen nach dem Risiko für die Tatbestandsverwirklichung abzustufen, erweist sich als am aussichtsvollsten, sich auf solide Grundlagen der Norm und Empirie zu stützen. Möglichkeiten für Vorsatzabstufung nach diesem Maßstab werden erörtert. Eine klare Antwort bedarf aber einer Anpassung der Vorsatzformen an empirisches Wissen, weil die Studien aus anderen Bereichen den Nuancen von rechtlichen Begriffen nicht genug Rechnung tragen. Ferner wäre eine Vorsatzabstufung nach dem Bedarf einer Straftäterbehandlung, wie in Kapitel 4 gezeigt, erfolgversprechend, sollte die Beziehung zwischen den Vorsatzformen und dem Rückfallrisiko festgestellt werden. Ausblick: Der Verfasser plädiert für eine normativ sowie empirisch fundierte Strafrechtsdogmatik. Das heißt, Strafrechtler sollen empirische Beweise vorbringen, nötigenfalls durch eigene Studien, soweit ihre Argumente empirische Thesen enthalten. Zum Schluss verweist der Verfasser auf die Erforderlichkeit, das Potenzial und die Grenzen dieses Ansatzes und die Herausforderungen auf diesem Weg. ; Question: According to the prevailing view of German legal doctrines, there are three severe types of mens rea, collectively referred to as "Vorsatz," i.e., intent, knowledge, and dolus eventualis. This work examined two questions: Should criminal acts committed with different "Vorsatz" types, all other things being equal, be punished differently? Why? Method: This work answered these questions in an interdisciplinary discourse between jurisprudence and empirical research, based chiefly on knowledge from criminal and constitutional law jurisprudence, penal policy, criminology, psychology, behavioral economics, and empirical research methods. Conclusion: To the first question: The proportionality between the penalty and criminal act demands that criminal acts committed with different "Vorsatz" types shall be differently punished if they exhibit considerable qualitative or quantitative differences. To the second question: The state of research, as discussed in Chapter 6, indicated that a gradation of "Vorsatz" types according to the risk they pose for crime completion is the most promising guideline that could enjoy both normative and empirical justifications. Possibilities of "Vorsatz" gradation are suggested. However, revisions of the definition of "Vorsatz" types are prerequisite for all these possibilities, because the studies in other disciplines did not take sufficiently into consideration the nuances of legal notions. On the other hand, a gradation of "Vorsatz" types according to the requirements for successful offender rehabilitation, as shown in Chapter 4, would also be promising if the relation between "Vorsatz" types and recidivism risk could be proven. Prospects: The author called for a criminal legal dogmatics on both normative and empirical bases. It means that criminal law scholars should provide evidence for arguments comprising empirical hypotheses. The necessity, potential, and limitations of this approach and challenge toward it are discussed. ; 問題:按照德國刑法學通說,故意有三種類型:意圖、明知、間接故意。假設其他條件相同,不同的故意類型在量刑時是否應做不同評價? 方法:本文以規範與實證之間的對話來回答上述問題。除了刑法學和憲法學的辯證之外,本文大量援引數個領域的知識,例如刑事政策、犯罪學、心理學、行為經濟學及神經科學。為了適切評析實證知識,也注重實證研究方法的理解。 結果:回答第一個問題:罪刑相當原則要求,若故意類型之間具有量或質的重要差異,便應於量刑時做相應不同的評價。回答第二個問題:第6章提出的標準,亦即按照故意類型所代表的構成要件實現風險來做故意分級,是最有潛力同時具備堅實的規範基礎及實證基礎之標準。本章提出按照此標準來做故意分級的數種可能性。然而,必須先對故意類型的定義略做修改,才能得出明確的答案,這是因為其他領域做的研究不能充分顧及法律概念的細微變化。此外,若有朝一日能釐清故意類型與再犯風險之間的關係,則按照犯罪人矯治的需求來做故意分級,如同第4章所分析,也是很可能成功的。 展望:作者提倡「兼具規範與實證基礎的刑法釋義學」,此意味著,刑法學者應該提出經驗證據來支持自己論述當中的經驗命題,若有需要時,也應自己從事實證研究來達成此事。於論文結尾,作者提示這種研究取徑的必要性、潛力和界線,也指出追求此路徑之際可能面臨的挑戰。
For years there have been significant structural and intercultural attempts to reduce the significance of the division the Oder border constitutes in the perception of the local population on both sides of the river. Nonetheless, this division remains present and stifles contacts between the two sides, with mutual interests restricted primarily to the material sphere (availability of jobs, education, goods). In youth exchanges especially we find that outside of these material interests the majority of participants has no existing links to the other side of the border. Yet intercultural exchange that is based on interests and motivation to learn about each other is necessary to truly reduce the barriers constituted by the border, and increase the radius of movement for the rural population. Increasingly, this well-known and often referenced deficit-oriented view on the German-Polish border region is being contradicted by positive developments. There are various cooperations, joint projects and events that bring together people from both sides of the border and decrease distance through personal contact. Many important steps to a joint development of the border region have been taken in the past 12 years and we can point to many areas in which new, cross-border structures have been growing. These developments are encouraging and should create interest in the opportunities for future developments of transnational civil society in the German-Polish border region. In the article the author raises the following issues: he discusses the areas and conclusions which result form the literature on the subject of the transnational projects of civil involvement, and presents chosen associations, organisations, and initiatives on the German-Polish border region – their aims, chances, and difficulties. ; Społeczeństwo obywatelskie, obszar wiejski i pogranicze: niemiecko-polski przykładMimo że od wielu lat podejmuje się strukturalne i interkulturowe starania, aby zburzyć granicę na Odrze w głowach społeczności zamieszkującej ten teren, to nadal one istnieją i utrudniają kontakty po obu stronach rzeczywistej granicy. Wzajemne zainteresowanie dotyczy głównie kwestii materialnych: wykształcenia, zawodu, wymiany towarowej. W przypadku młodzieży większość nie zbudowała innych niż wyżej wskazane punktów zaczepienia po drugiej stronie granicy. Właściwe zburzenie granicy, które zmieniłoby nastawienie społeczne, szczególnie na terenach wiejskich, wymaga interkulturowych kontaktów, których treści i cele będą motywować do uczestnictwa w oferowanych przedsięwzięciach. Naprzeciw temu wychodzą inicjatywy, które pokazują, że nakreślona na wstępie sytuacja zmienia się na polsko-niemieckim pograniczu. Przyczyniają się do tego liczne formy współpracy, wspólne projekty i inicjatywy po obu stronach granicy, które umożliwiają spotkania i zbliżają dzięki osobistym kontaktom. W ostatnich 12 latach podjęto wiele inicjatyw służących wspólnemu urządzaniu polsko-niemieckiego pogranicza. Te osiągnięcia dodają odwagi i rozbudzają zainteresowanie przyszłością transnarodowego obywatelskiego społeczeństwa po obu stronach Odry. Autor podejmuje w swoim artykule następujące kwestie: omawia obszary i wnioski wynikające z literatury przedmiotu na temat transnarodowych projektów obywatelskiego zaangażowania, a także prezentuje wybrane stowarzyszenia, organizacje i inicjatywy na polsko- -niemieckim pograniczu – ich cele, szanse i trudności. W literaturze przedmiotu zauważa, po pierwsze, wzrost liczby publikacji na temat partycypacji w transnarodowych inicjatywach, a jednocześnie częste pomijanie aspektów praktycznych w tym względzie. Osiągnięciem jest wypracowanie atrybutów powodzenia tego typu przedsięwzięć, takich jak: innowacyjność, całościowe ujęcie, zrównoważenie, wsparcie, wspólnotowość, ważność, niezależność, przestrzeganie zasad demokracji, adaptacyjność, odpowie-dzialność, ewaluacja. Po drugie, w literaturze przedmiotu dominują społeczne i historyczne aspekty transnarodowych warunków współpracy, które nie opierają się na badaniach empirycznych czy ewaluacji projektów. Po trzecie, w literaturze przedmiotu ważne miejsce zajmują studia przypadków udanych transnarodowych form współpracy, np. między szkołami wyższymi. Po czwarte, warto uzupełnić metodyczną literaturę przedmiotu o wyniki transnarodowych przedsięwzięć, w tym interkulturowej edukacji. Często analizowaną w literaturze kwestią jest dyskurs granicy, obszaru granicznego jako przestrzennego, geograficznego i politycznego fenomenu, szczególnie w kontekście zniesienia granic Unii Europejskiej. Częściej w literaturze przedmiotu są analizowane miasta niż obszary wiejskie. Podsumowując, można powiedzieć, że literatura uwzgledniająca badania na temat partycypacji, obywatelskiego zaangażowania i transnarodowej współpracy jest bogata, ma wiele interdyscyplinarnych wątków, międzynarodowych studiów porównawczych. Jednocześnie jest mocno naznaczona normatywnie, ma słabo ugruntowaną pojęciowość, niewiele w nich przykładów inicjatyw służących europejskiemu zaangażowaniu. Na polsko-niemieckim pograniczu jest wiele organizacji, które mają już długą tradycję wzajemnej współpracy, np. Stowarzyszenie Zamek Trebnitz Centrum Edukacji i Spotkań (Schloß Trebnitz Bildungs‐ und Begegnungszentrum; http://www.schloss-trebnitz.de/pl/), Regionalny Ośrodek Edukacji, Integracji i Demokracji (RAA Frankfurt/O; http://www.raa- -brandenburg.de), Inicjatywa Kreisau (Kreisau-Initiative; www.kriesau.de), Instytut Historii Stosowanej – Społeczeństwo i Nauka w Dialogu (Institut für angewandte Geschichte – Gesellschaft und Wissenschaft im Dialog; http://www.instytut.net), Fundacja Rozwoju Demokracji Lokalnej (www.frdl.org.pl), Stowarzyszenie Kinderring Neuhardenberg (www.kinderring. eu), polsko-niemieckie przedszkola, np. we Frankfurcie/O. "Eurokita", w Słubicach "Pinokio"; Uniwersytet Viadrina we Frankfurcie/O., Collegium Pollonicum, Centrum Interdyscyplinarnych Polskich Studiów. Poza tym w ostatnich latach po polskiej stronie powstało 12 nowych stowarzyszeń, które mają w swojej nazwie polsko-niemiecki człon, co świadczy o rosnącym zainteresowaniu współpracą. Podobnie jest po niemieckiej stronie. Rośnie przy tym potrzeba tworzenia sieci instytucji i organizacji, które nie będą tylko ze sobą konkurowały, np. o środki finansowe, ale będą ze sobą współpracowały w dążeniu do wspólnych celów. Tymczasem wiele polsko-niemieckich inicjatyw ma akcyjny charakter, brakuje systematyczności i ustawiczności działania. Dużą barierą jest nadal język mimo wielu możliwości uczenia się po obu stronach granicy, począwszy od przedszkola. Brakuje też merytorycznego i organizacyjnego wsparcia polsko-niemieckich inicjatyw czy wskazówek opartych na ewaluacji i badaniach empirycznych, jak tę współpracę organizować. Lukę tę próbuje wypełnić od kilku lat Europejskie Centrum Transnarodowej Partycypacji (http://participation-transnational. eu/?language=pl), które dokumentuje współpracę polsko-niemiecką w obszarze kultury, sportu, polityki; oferuje ekspertyzy, pomaga w nawiązywaniu kontaktów, wspiera współpracę między podmiotami zaangażowanymi w polsko-niemiecką współpracę.
For years there have been significant structural and intercultural attempts to reduce the significance of the division the Oder border constitutes in the perception of the local population on both sides of the river. Nonetheless, this division remains present and stifles contacts between the two sides, with mutual interests restricted primarily to the material sphere (availability of jobs, education, goods). In youth exchanges especially we find that outside of these material interests the majority of participants has no existing links to the other side of the border. Yet intercultural exchange that is based on interests and motivation to learn about each other is necessary to truly reduce the barriers constituted by the border, and increase the radius of movement for the rural population. Increasingly, this well-known and often referenced deficit-oriented view on the German-Polish border region is being contradicted by positive developments. There are various cooperations, joint projects and events that bring together people from both sides of the border and decrease distance through personal contact. Many important steps to a joint development of the border region have been taken in the past 12 years and we can point to many areas in which new, cross-border structures have been growing. These developments are encouraging and should create interest in the opportunities for future developments of transnational civil society in the German-Polish border region. In the article the author raises the following issues: he discusses the areas and conclusions which result form the literature on the subject of the transnational projects of civil involvement, and presents chosen associations, organisations, and initiatives on the German-Polish border region – their aims, chances, and difficulties. ; Społeczeństwo obywatelskie, obszar wiejski i pogranicze: niemiecko-polski przykładMimo że od wielu lat podejmuje się strukturalne i interkulturowe starania, aby zburzyć granicę na Odrze w głowach społeczności zamieszkującej ten teren, to nadal one istnieją i utrudniają kontakty po obu stronach rzeczywistej granicy. Wzajemne zainteresowanie dotyczy głównie kwestii materialnych: wykształcenia, zawodu, wymiany towarowej. W przypadku młodzieży większość nie zbudowała innych niż wyżej wskazane punktów zaczepienia po drugiej stronie granicy. Właściwe zburzenie granicy, które zmieniłoby nastawienie społeczne, szczególnie na terenach wiejskich, wymaga interkulturowych kontaktów, których treści i cele będą motywować do uczestnictwa w oferowanych przedsięwzięciach. Naprzeciw temu wychodzą inicjatywy, które pokazują, że nakreślona na wstępie sytuacja zmienia się na polsko-niemieckim pograniczu. Przyczyniają się do tego liczne formy współpracy, wspólne projekty i inicjatywy po obu stronach granicy, które umożliwiają spotkania i zbliżają dzięki osobistym kontaktom. W ostatnich 12 latach podjęto wiele inicjatyw służących wspólnemu urządzaniu polsko-niemieckiego pogranicza. Te osiągnięcia dodają odwagi i rozbudzają zainteresowanie przyszłością transnarodowego obywatelskiego społeczeństwa po obu stronach Odry. Autor podejmuje w swoim artykule następujące kwestie: omawia obszary i wnioski wynikające z literatury przedmiotu na temat transnarodowych projektów obywatelskiego zaangażowania, a także prezentuje wybrane stowarzyszenia, organizacje i inicjatywy na polsko- -niemieckim pograniczu – ich cele, szanse i trudności. W literaturze przedmiotu zauważa, po pierwsze, wzrost liczby publikacji na temat partycypacji w transnarodowych inicjatywach, a jednocześnie częste pomijanie aspektów praktycznych w tym względzie. Osiągnięciem jest wypracowanie atrybutów powodzenia tego typu przedsięwzięć, takich jak: innowacyjność, całościowe ujęcie, zrównoważenie, wsparcie, wspólnotowość, ważność, niezależność, przestrzeganie zasad demokracji, adaptacyjność, odpowie-dzialność, ewaluacja. Po drugie, w literaturze przedmiotu dominują społeczne i historyczne aspekty transnarodowych warunków współpracy, które nie opierają się na badaniach empirycznych czy ewaluacji projektów. Po trzecie, w literaturze przedmiotu ważne miejsce zajmują studia przypadków udanych transnarodowych form współpracy, np. między szkołami wyższymi. Po czwarte, warto uzupełnić metodyczną literaturę przedmiotu o wyniki transnarodowych przedsięwzięć, w tym interkulturowej edukacji. Często analizowaną w literaturze kwestią jest dyskurs granicy, obszaru granicznego jako przestrzennego, geograficznego i politycznego fenomenu, szczególnie w kontekście zniesienia granic Unii Europejskiej. Częściej w literaturze przedmiotu są analizowane miasta niż obszary wiejskie. Podsumowując, można powiedzieć, że literatura uwzgledniająca badania na temat partycypacji, obywatelskiego zaangażowania i transnarodowej współpracy jest bogata, ma wiele interdyscyplinarnych wątków, międzynarodowych studiów porównawczych. Jednocześnie jest mocno naznaczona normatywnie, ma słabo ugruntowaną pojęciowość, niewiele w nich przykładów inicjatyw służących europejskiemu zaangażowaniu. Na polsko-niemieckim pograniczu jest wiele organizacji, które mają już długą tradycję wzajemnej współpracy, np. Stowarzyszenie Zamek Trebnitz Centrum Edukacji i Spotkań (Schloß Trebnitz Bildungs‐ und Begegnungszentrum; http://www.schloss-trebnitz.de/pl/), Regionalny Ośrodek Edukacji, Integracji i Demokracji (RAA Frankfurt/O; http://www.raa- -brandenburg.de), Inicjatywa Kreisau (Kreisau-Initiative; www.kriesau.de), Instytut Historii Stosowanej – Społeczeństwo i Nauka w Dialogu (Institut für angewandte Geschichte – Gesellschaft und Wissenschaft im Dialog; http://www.instytut.net), Fundacja Rozwoju Demokracji Lokalnej (www.frdl.org.pl), Stowarzyszenie Kinderring Neuhardenberg (www.kinderring. eu), polsko-niemieckie przedszkola, np. we Frankfurcie/O. "Eurokita", w Słubicach "Pinokio"; Uniwersytet Viadrina we Frankfurcie/O., Collegium Pollonicum, Centrum Interdyscyplinarnych Polskich Studiów. Poza tym w ostatnich latach po polskiej stronie powstało 12 nowych stowarzyszeń, które mają w swojej nazwie polsko-niemiecki człon, co świadczy o rosnącym zainteresowaniu współpracą. Podobnie jest po niemieckiej stronie. Rośnie przy tym potrzeba tworzenia sieci instytucji i organizacji, które nie będą tylko ze sobą konkurowały, np. o środki finansowe, ale będą ze sobą współpracowały w dążeniu do wspólnych celów. Tymczasem wiele polsko-niemieckich inicjatyw ma akcyjny charakter, brakuje systematyczności i ustawiczności działania. Dużą barierą jest nadal język mimo wielu możliwości uczenia się po obu stronach granicy, począwszy od przedszkola. Brakuje też merytorycznego i organizacyjnego wsparcia polsko-niemieckich inicjatyw czy wskazówek opartych na ewaluacji i badaniach empirycznych, jak tę współpracę organizować. Lukę tę próbuje wypełnić od kilku lat Europejskie Centrum Transnarodowej Partycypacji (http://participation-transnational. eu/?language=pl), które dokumentuje współpracę polsko-niemiecką w obszarze kultury, sportu, polityki; oferuje ekspertyzy, pomaga w nawiązywaniu kontaktów, wspiera współpracę między podmiotami zaangażowanymi w polsko-niemiecką współpracę.
Das Publikationsvorhaben mit dem Titel "Vergangenheit, die nicht vergeht. Das Gedächtnis der Shoah in Frankreich seit 1945 im Medium Film" erforscht anhand französischer Spielfilme - die als Teil einer Kinematografie der Shoah ausgemacht werden können - die grundlegenden Transformationen des Gedächtnisses der Shoah am Beispiel Frankreich. Mit einem gedächtnisgeschichtlichen Ansatz, der sich an den kulturwissenschaftlichen Modellen des kollektiven Gedächtnisses orientiert, konkretisiert die Arbeit den Wandel des Gedächtnisses anhand der jeweiligen filmischen Narrative und verfolgt auf diese Weise Langzeitentwicklungen und Brüche in der französischen Erinnerungskultur zwischen 1945 und heute. Dem empirischen Arbeitsteil sind theoretische und methodische Überlegungen vorgeschaltet, die einerseits einen eindeutigen und differenzierten Zugriff auf das Begriffsrepertoire der aktuellen kulturwissenschaftlichen Gedächtnisforschung erlauben und zugleich das Untersuchungsmaterial "Spielfilm" als Primärquelle der Geschichtswissenschaft fassbar bzw. bearbeitbar machen. Die Untersuchung gliedert sich in fünf chronologisch gereihte Abschnitte und bezieht insgesamt ein Corpus von 50 Filmen in die allgemeine Fragenstellung ein, bevor nach dem Prinzip des Fallbeispiels einzelne Filme einer genaueren Analyse unterzogen werden. Den ersten Untersuchungsabschnitt (1945-69) - zu dem der Forschungsstand als umfassend erachtet werden darf - rekonstruiert die Arbeit unter dem Gesichtspunkt der Bildung und Ausformung unterschiedlicher Gedächtnisformationen in Frankreich, die in der Spielfilmproduktion ihren Niederschlag findet. Im Zentrum steht hierbei das In-, Neben- und Gegeneinander von nationalem Gedächtnis, sowie politischen und diversen partikularen sozialen Gedächtnissen, die vor dem Hintergrund einer sich Anfang der 1960er Jahre einsetzenden Ausbildung eines Shoah-Gedächtnisses im eigentlichen Sinne untersucht wird. Der zweite - sich im Schwerpunkt auf die 1970er Jahre beziehende - Abschnitt fokussiert auf ein zentrales Moment der Modifikation kollektiver Langzeiterinnerung in Frankreich. Das Medium Film ist in dieser Phase zudem als prominenter Austragungsort von Diskursen zu fassen, das die Transformation weg von einem Résistance- hin zu einem Shoah-Gedächtnis nicht nur reflektiert sondern wesentlich vorantreibt. Der Film als Parameter eines öffentlich-demokratischen Gedächtnisraumes erschließt den vielschichtigen Ablöseprozess der politisch legitimierten heldenzentrierten Nationalerinnerung hin zu einer transnationalen opferzentrierten Shoah-Erinnerung. In der anschließenden dritten Phase - die 1980er und 90er Jahre umfasst - konkretisiert sich diese fundamentale Transformation und zeitigt zugleich weitreichende Konsequenzen. Im Kontext der zusehenden Medialisierung und Politisierung der Shoah auf internationaler Ebene konzentriert sich die Arbeit auf die Ausgestaltung dreier Wandlungsprozesse kollektiver Holocaust-Erinnerung: Universalisierung, Amerikanisierung und Viktimisierung. Der vierte Abschnitt verlagert vorübergehend den Fokus, weg von den französischen Filmen hin zu medialen und intellektuellen Diskursen anlässlich internationaler Filme in Frankreich und ihrer Fortsetzung im Streit um das sogenannte "Darstellungsverbot" seit "Schindlers Liste" 1994. Der fünfte und letzte Abschnitt des Untersuchungszeitraums ortet und bestimmt aktuelle Tendenzen der filmischen Repräsentation der Shoah. Berücksichtigt werden hierfür Filme bis zum Jahr 2007. Neben einer allgemeinen Darstellung der teils sehr divergenten Entwicklung des filmischen Bezugnehmens auf die Shoah in Frankreich, setzt die Arbeit ausgewählte Beispiele in Bezug zu allgemeinen Phänomenen des gesellschaftlichen Umgangs mit Vergangenheit, insbesondere der "Patrimonialisation" (Pierre Nora), der Sakralisierung und sowie der Re-Politisierung der Geschichte. Die diachron ausgerichtete Untersuchung - die bislang zum Forschungsgegenstand spärlich vorhanden sind - sowie der breite Erfassungsradius empirischen Materials erweisen sich hinsichtlich der Rekonstruktion und Analyse einzelner Wandlungsprozesse und Konstellationen von kollektiven Gedächtnisformationen als sehr ertragreich. Ergebnis der Arbeit ist eine umfassende Gedächtnisgeschichte der Shoah für Frankreich seit 1945. ; The publication entitled "Vergangenheit, die nicht vergeht. Das Gedächtnis der Shoah in Frankreich seit 1945 im Medium Film" (A past, that doesn't pass. Holocaust Memory in France since 1945 in the Media Film) explores the basic transformations of the Holocaust-memory in France on the basis of French fiction films that are to be identified as part of cinematography of the Holocaust. The chosen approach that can be described as a history of memory referring to models of collective memory in cultural science studies. The aim is to specify the change of collective memory at the level of the particular filmic narratives and - by doing so - to identify and to analyze the long term development and ruptures in the French culture of remembrance since 1945. The empiric part of this study is preceded by methodological reflections that on the one hand permit a clear and differentiating application of the terms used in the current cultural studies of collective memory. On the other hand this chapter should help to conceive the material of research "Fiction Film" as primal source for historical science. The investigation is divided into five chronological parts and involves altogether a sample of 50 films into the general study before electing cases for deeper analyses. The first section (1945-69) which is generally well covered by the research to date is paying particular attention to the creation and the formation of different formations of collective memory in France, a process that has left its prints in the early films about the Holocaust. The focus is laid on the complex relationship of national memory and other political collective memories as well as particular social memories which is forming the background of the creation of a Holocaust-memory in a strict sense at the begin of the 1960ies. The second - primarily concerning the 1970ies - section is dealing with a central momentum of modification of collective long term memory in France. The cinema of this period is to understand as prominent forum of discourses which does not only reflect the ongoing transformation from Résistance dominated memory into a Holocaust dominated memory but also significantly stimulating this shift. Film as one influencing value in a public-democratic sphere of collective memory is documenting on various (visual + narrative) levels the decline of the herocentric national remembrance towards a transnational victim based Holocaust memory. In the following third period which is located in the 1980ies and 1990ies this fundamental transformation is continuously specified and at the same time showing consequences. In the broader context of continuous medialization and politicization of the Holocaust on an international level the study is concentrating on three elements of the transformation in collective Holocaust remembrance: Universalization, Americanization and Victimization. The fourth section is for a moment dislocating its focus, as it turns from the production of French film to the public and intellectual reception of the most successful international Holocaust films in the 1990ies as well as the continued dispute over the appropriate representation of the Holocaust. The last part of the empiric part is locating and defining current tendencies in the filmic representation of the Holocaust in French cinema. The author is taking into account films presented until the year 2007. Besides a general description of the sometimes very divergent evolution of the cinematic-taking reference to the Shoah in France, the study continues to relate selected examples to general phenomena of social intercourse with the past, especially the "Patrimonialisation" (Pierre Nora), and the Sacralization and the Re -politicization of history. The diachronically oriented investigation - so far are sparse on the subject of research - and the wide coverage radius of empirical data prove - regarding the reconstruction and analysis of individual changes and constellations of collective memory formation - as very fruitful. Result of the present study is a extended and comprehensive history of the Holocaust Memory in France since 1945.
Die Dissertation enthält Abhandlungen des Autors zur Entwicklungspolitik und Solidarität in der DDR im Zeitraum von 1968 bis 1990 bzw. 1994. Im Rahmen analytischer Rekonstruktionen werden die entwicklungsbezogene Bildungsarbeit der unabhängigen Dritte-Welt-Gruppen und die staatliche Entwicklungszusammenarbeit untersucht. Wichtige Grundlagen für die Abhandlungen sind bisher zur wissenschaftlichen und theoretischen Fundierung des Verständnisses von Entwicklungspolitik und Solidarität in der DDR nur in geringem Maße herangezogene Archivmaterialien der ehemaligen Staats- und Parteiapparate sowie aus kirchlichen Beständen. Die entwicklungsbezogene Bildung der unabhängigen Dritte-Welt-Gruppen wird auf ihre Korrespondenzen mit internationalen Entwicklungen seit 1968 und den staatlichen Rahmen in der DDR analysiert. Aufgezeigt wird, dass die unabhängigen Gruppen seit 1968 mit internationalen emanzipatorischen Bestrebungen in Kontakt standen und von den ökumenischen Verbindungen der Kirchen partizipierten. Konzepte der evangelischen Kirchen der 1970er Jahre von einem "verbesserlichen Sozialismus" (Heino Falcke) und der "Kirche als Lerngemeinschaft" unterstützten frühzeitig substantiell die politische Bildungsarbeit der Gruppen unter den repressiven Verhältnissen der DDR und förderten eigenständiges und selbstorganisiertes Engagement. Impulse aus der westeuropäischen Erwachsenenbildung (Ernst Lange) und der "Pädagogik der Unterdrückten" (Paulo Freire) lassen sich nachweisen. In den 1980er Jahren kam es zu einem Wechsel von einer auf kirchliche Strukturen ausgerichteten Arbeit hin zu einer politischen Arbeit, die auf Veränderungen in der Gesellschaft der DDR abzielte. Der Ansatz der entwicklungsbezogenen Bildung, durch Informations- und Bewusstseinsarbeit Verständnis für Veränderungen im Nord-Süd-Verhältnis, wie in der eigenen Gesellschaft zu fördern, erwies sich auch unter den Verhältnissen der DDR als motivierend. Rekonstruiert wird die Entstehung und Arbeitsweise des ostdeutschen entwicklungspolischen Netzwerkes INKOTA. Ihm wird eine intermediäre Funktion zwischen verschiedenen Akteuren zugeschrieben, die den gemäßigt widerständigen Charakter der Dritte-Welt-Gruppen in der Oppositionsbewegung der DDR mit prägte. In den Gruppen fand vielfältiges informelles Lernen und selbstorganisierter Kompetenzerwerb statt. Herausgearbeitet wird, dass diese Lernprozesse im zentralistischen System der DDR für die unabhängigen Gruppen einen hohen Stellenwert aufwiesen. Den in den Gruppen erworbenen Fähigkeiten kam in der friedlichen Wende 1989/1990 eine herausragende Bedeutung zu. Mit der politischen Einheit Deutschlands verloren diese Fähigkeiten schnell an Wirksamkeit. Die weit verstreut und halboffiziell in Kleinstauflagen erschienenen kirchlichen Veröffentlichen zur entwicklungsbezogenen Bildung werden erstmals in einer Bibliografie nach den Herausgebern zusammengefasst und systematisch geordnet. Damit wird eine Grundlage zur weiteren Erforschung entwicklungsbezogener bzw. politischer Bildungsarbeit im Rahmen der Oppositionsforschung der DDR gegeben. An den Beziehungen der DDR zu Mosambik und Äthiopien wird untersucht, wie zu ausgewählten Entwicklungsländern auf Grundlage der marxistisch-leninistischen Theorie der Außenpolitik bzw. der Außenhandelspolitik und wirtschaftlicher Engpässe die praktische Solidarität gestaltet wurden. Aufgezeigt wird, dass die eigenen ökonomischen Interessen teilweise in erheblichem Maße zum Schaden der befreundeten Entwicklungsländer durchsetzt wurden. Dieser Widerspruch sollte unter anderem durch eine hohe Geheimhaltung verdeckt werden. Die staatliche Informationspolitik zu entwicklungspolitischen Fragen erfolgte aus diesem Grund besonders restriktiv. An Hand von exemplarischen Analysen (Äthiopien: Unterstützung des Machtwechsels 1977, Kaffeeimport; Mosambik: Steinkohlebergbau, landwirtschaftliche Großprojekte, Vertragsarbeiter, Außenhandelsschulden, Solidaritätsleistungen) werden Entscheidungsprozesse des Partei- und Staatsapparates aufgezeigt. Die Ergebnisse entsprachen meist nicht den eigenen Ansprüchen wie den Kriterien solidarischer Entwicklungszusammenarbeit. Gedruckte Version im Verlag erschienen: Döring, Hans-Joachim: Es geht um unsere Existenz. Die Politik der DDR gegenüber der Dritten Welt am Beispiel von Mosambik und Äthiopien. - 2. Aufl. - Berlin: Links, 2001. - 353 S. - ISBN 978-3-86153-185-2 ; The dissertation contains discourses by the author on development policies and solidarity in the GDR from 1968-1990 and 1994 respectively. The development-related education of independent, Third World groups and the state development cooperation will be examined in the framework of analytic reconstructions. Up till now, important fundamentals for the discourse have been the scientific and theoretical foundations of the understanding of development polities and solidarity in the GDR. These were put together from scarce archive materials of the former state and party machine as well as from church documents. The development-related education of the independent Third World groups will be analyzed by their correspondences with international developments since 1968 and the state framework of the GDR. It shows that the independent groups were in contact with international emancipation attempts since 1968 and participated in the ecumenical connections of the church. Concepts of the evangelical churches in the 1970s of an "improvable socialism" (Heino Falcke) and the "church as a learning community" earlier substantially supported the political education of the groups under the repressive conditions of the GDR and demanded independent and self-organized commitments. Impetus from Western European adult education (Ernst Lange) and the "pedagogy of the repressed" (Paulo Freire) demonstrate this. In the 1980s there was a change from a work aimed at a ecclesiastical structure to a political work that targeted a change in the society of the GDR. The basic approach of education, which was development-related, promoted understanding through information and consciousness work for changes in the North-South relationship as one would do in his own society. This proved to be motivating even under the atmosphere of the GDR. The creation and the operating principles of the East German developmental policy network INKOTA was reconstructed. It was assigned an intermediary function between the different players that helped form the moderate resistive nature of the Third World groups in the counter movement of the GDR. A complex informal learning and self-organized acquisition of expertise took place in the groups. It was defined that the independent groups in the centralized system of the GDR highly valued this learning process. The abilities acquired in the group took on a prominent importance during the peaceful revolution between 1989/1990. However, with the political unity of Germany these accomplishments quickly lost their effectiveness. The widely dispersed and half-official ecclesiastic publications, which were printed in small runs on the development education were systematically organized into a bibliography and categorized according to their publisher. This laid the basis for further research on development related and political education in the framework of the opposition research given in the GRD. The relationship of the GDR to Mozambique and Ethiopia is being examined to see how they designed their solidarity to certain developing countries, which were chosen according to their foundations of Marxist-Lenin theory of foreign policies, foreign trade policies and economic bottle-necks. What was discovered was that their own economical interests were asserted usually at the expense of the developing countries they had befriended. This contradiction was kept hidden as a strict secret. The state information policies on questions involving development policies which followed as a result were especially restricted. By means of example analysis (In Ethiopia: supporting the change of power in 1977, coffee import; In Mozambique: anthracite, large agricultural projects, contract workers, trade schools, solidarity achievements) the decision-making processes of the party and state administrations were identified. The results did not correspond most of the time with their own demands, like with the solidarity of development cooperation criteria. Printed version available: Döring, Hans-Joachim: Es geht um unsere Existenz. Die Politik der DDR gegenüber der Dritten Welt am Beispiel von Mosambik und Äthiopien. - 2. Aufl. - Berlin: Links, 2001. - 353 S. - ISBN 978-3-86153-185-2