Janina M. Safran, Defining Boundaries in al-Andalus. Muslims, Christians and Jews in Islamic Iberia
In: Mélanges de la Casa de Velazquez, Heft 45-2
ISSN: 2173-1306
20 Ergebnisse
Sortierung:
In: Mélanges de la Casa de Velazquez, Heft 45-2
ISSN: 2173-1306
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 69, Heft 3, S. 794-795
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 69, Heft 3, S. 788-790
ISSN: 1953-8146
In: The legal status of ḏimmī-s in the Islamic West (second/eighth-ninth/fifteenth centuries); Religion and law in Medieval Christian and Muslim Societies, S. 167-197
In: Mélanges de la Casa de Velazquez, Heft 41-2, S. 234-236
ISSN: 2173-1306
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 64, Heft 2, S. 514-515
ISSN: 1953-8146
The Beira district serves as a model for studying the frontier areas of the early medieval Iberia. The constant changes in the political control of the region did not affect the stability of its indigenous Christian population. The reorganisation of the territory after the Christian conquest in 878 did not destroy previous social structures. The endurance of Arab-Romance onomastics could be understood as a sign of the maintenance of some links with al-Andalus. The second period of Islamic political control (998-1064) confirms this explanation, due to the implementation of a kind of Andalusi protectorate north of the Mondego river, an area shaped by a tessellation of Christian small polities. Lorvão and other monasteries survived through adaptation to the new political structure. The reconquest of Coimbra in 1064 did not cause a complete change, but the pressure of the clergy which supported the Gregorian reform, promoted the process of Latinization. The development of royal chronicles and the compilation of ecclesiastical chartularies were important facts of the social and cultural process of transformation in the 12th and 13th Centuries ; La Beira es un caso modélico para estudiar las áreas fronterizas de la Alta Edad Media ibérica. En este espacio, el flujo de los dominios que se sucedieron hasta finales del siglo XI contrasta con la estabilidad relativa del poblamiento cristiano autóctono. La reorganización del territorio después de la conquista cristiana ocurrida en 878 no llegó a borrar por completo las estructuras sociales anteriores. La vigencia de la onomástica árabo- romance parece traducir el mantenimiento de ciertos contactos con el sur andalusí. La segunda fase de dominio islámico (998-1064) confirma esta interpretación, estableciéndose al norte del Mondego una suerte de protectorado andalusí en una zona compuesta de un verdadero mosaico de micropoderes cristianos. Lorvão y otros monasterios sobrevivieron y se adaptaron al nuevo dominio. La reconquista de Coimbra en 1064 tampoco impulsó un cambio radical. Sin embargo, la presión del clero favorable a la reforma gregoriana promovió un proceso de latinización. El desarrollo de la cronística real y la compilación de cartularios acompañaron el proceso de remodelación social y cultural de los siglos XII y XIII.
BASE
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 63, Heft 4, S. 900-902
ISSN: 1953-8146
In: Mélanges de la Casa de Velazquez, Heft 36-2, S. 331-335
ISSN: 2173-1306
In: Guerre, pouvoirs et idéologies dans l’Espagne chrétienne aux alentours de l’an mil, S. 25-35
International audience ; Depuis vingt ans, la recherche sur l'histoire des peuples sahariens connaît un renouveau discret mais remarquable. L'impensé ancien d'un Sahara prémoderne réduit à une frontière entre l'Afrique du Nord et l'Afrique Équatoriale recule en effet au profit de l'idée d'un Grand Désert comme aire autonome à la jonction des deux autres Afriques. Ce numéro de la REMMM s'inscrit dans cette dynamique en questionnant la cohérence et l'altérité de l'espace saharien durant la période islamique précédant les poussées coloniales. Le point de départ de la réflexion est le constat d'une tension entre le caractère insulaire des sociétés sahariennes et leur vocation cosmopolite, entre la discontinuité géographique du peuplement et les formes de cohésion qui peuvent en assurer l'unité, entre la multiplication des cultures vernaculaires et le développement d'un vaste réseau d'échanges et de contacts. Cette organisation rappelle celle des archipels maritimes, un modèle conceptuel depuis longtemps utilisé en sciences sociales et qui mérite d'être questionné dans le cadre des études sur le Sahara précolonial. Trois grands thèmes, interrogeant cette notion d'archipel(s) saharien(s), traversent les neuf études de cas rassemblées dans ce numéro : celui de la mobilité des hommes, notamment marchands, pasteurs et lettrés ; celui des structurations politiques et sociales de ces sociétés ; et celui des productions culturelles, qu'elles soient matérielles ou savantes.
BASE
International audience ; Depuis vingt ans, la recherche sur l'histoire des peuples sahariens connaît un renouveau discret mais remarquable. L'impensé ancien d'un Sahara prémoderne réduit à une frontière entre l'Afrique du Nord et l'Afrique Équatoriale recule en effet au profit de l'idée d'un Grand Désert comme aire autonome à la jonction des deux autres Afriques. Ce numéro de la REMMM s'inscrit dans cette dynamique en questionnant la cohérence et l'altérité de l'espace saharien durant la période islamique précédant les poussées coloniales. Le point de départ de la réflexion est le constat d'une tension entre le caractère insulaire des sociétés sahariennes et leur vocation cosmopolite, entre la discontinuité géographique du peuplement et les formes de cohésion qui peuvent en assurer l'unité, entre la multiplication des cultures vernaculaires et le développement d'un vaste réseau d'échanges et de contacts. Cette organisation rappelle celle des archipels maritimes, un modèle conceptuel depuis longtemps utilisé en sciences sociales et qui mérite d'être questionné dans le cadre des études sur le Sahara précolonial. Trois grands thèmes, interrogeant cette notion d'archipel(s) saharien(s), traversent les neuf études de cas rassemblées dans ce numéro : celui de la mobilité des hommes, notamment marchands, pasteurs et lettrés ; celui des structurations politiques et sociales de ces sociétés ; et celui des productions culturelles, qu'elles soient matérielles ou savantes.
BASE
International audience ; Depuis vingt ans, la recherche sur l'histoire des peuples sahariens connaît un renouveau discret mais remarquable. L'impensé ancien d'un Sahara prémoderne réduit à une frontière entre l'Afrique du Nord et l'Afrique Équatoriale recule en effet au profit de l'idée d'un Grand Désert comme aire autonome à la jonction des deux autres Afriques. Ce numéro de la REMMM s'inscrit dans cette dynamique en questionnant la cohérence et l'altérité de l'espace saharien durant la période islamique précédant les poussées coloniales. Le point de départ de la réflexion est le constat d'une tension entre le caractère insulaire des sociétés sahariennes et leur vocation cosmopolite, entre la discontinuité géographique du peuplement et les formes de cohésion qui peuvent en assurer l'unité, entre la multiplication des cultures vernaculaires et le développement d'un vaste réseau d'échanges et de contacts. Cette organisation rappelle celle des archipels maritimes, un modèle conceptuel depuis longtemps utilisé en sciences sociales et qui mérite d'être questionné dans le cadre des études sur le Sahara précolonial. Trois grands thèmes, interrogeant cette notion d'archipel(s) saharien(s), traversent les neuf études de cas rassemblées dans ce numéro : celui de la mobilité des hommes, notamment marchands, pasteurs et lettrés ; celui des structurations politiques et sociales de ces sociétés ; et celui des productions culturelles, qu'elles soient matérielles ou savantes.
BASE
International audience ; Depuis vingt ans, la recherche sur l'histoire des peuples sahariens connaît un renouveau discret mais remarquable. L'impensé ancien d'un Sahara prémoderne réduit à une frontière entre l'Afrique du Nord et l'Afrique Équatoriale recule en effet au profit de l'idée d'un Grand Désert comme aire autonome à la jonction des deux autres Afriques. Ce numéro de la REMMM s'inscrit dans cette dynamique en questionnant la cohérence et l'altérité de l'espace saharien durant la période islamique précédant les poussées coloniales. Le point de départ de la réflexion est le constat d'une tension entre le caractère insulaire des sociétés sahariennes et leur vocation cosmopolite, entre la discontinuité géographique du peuplement et les formes de cohésion qui peuvent en assurer l'unité, entre la multiplication des cultures vernaculaires et le développement d'un vaste réseau d'échanges et de contacts. Cette organisation rappelle celle des archipels maritimes, un modèle conceptuel depuis longtemps utilisé en sciences sociales et qui mérite d'être questionné dans le cadre des études sur le Sahara précolonial. Trois grands thèmes, interrogeant cette notion d'archipel(s) saharien(s), traversent les neuf études de cas rassemblées dans ce numéro : celui de la mobilité des hommes, notamment marchands, pasteurs et lettrés ; celui des structurations politiques et sociales de ces sociétés ; et celui des productions culturelles, qu'elles soient matérielles ou savantes.
BASE