Employé, mot à double sens. Avoir un emploi : voilà aujourd'hui le sens lourd. Mais l'autre, non moins plein, se lit au féminin : travailler comme employée. Car aujourd'hui, en France, trois employés sur quatre sont des femmes. Genre et catégorie sociale -ou genre et classe ? -, ainsi va le «petit » salariat, celui des employées et des ouvriers (ceux-ci aux 4/5 masculins). Petit salariat, le plus grand pourtant par son nombre. Ce n 'est pas là, la seule contradiction, le seul paradoxe ! Le maintien, dans des sous-statuts de salariées occasionnelles, non qualifiées, n'est pas l'apanage des «employées libre-service caissières » (ELSC.), ni même de celles qui travaillent à temps partiel. Dans les bureaux, les politiques de gestion du personnel utilisent et intègrent des dénominations de postes, dont la construction et les délimitations floues permettent de faire appel à une population sur-qualifiée, par rapport aux exigences de l'emploi à pourvoir. Ce décalage entre «le titre et le poste » place les employées qui le vivent dans des situations difficiles au regard de leur expérience quotidienne de travail. L'appellation complémentaire «aide », «assistante de... » qui au départ a pu être présentée comme la promesse d'une ascension professionnelle rapide, fait vite place à la désillusion avec le maintien dans un statut d'employée. Par leurs trajectoires communes, par l'importance des désillusions subies, les employées dont il sera question dans cette intervention, constituent le fil d'Ariane à partir duquel on se propose d'analyser la situation de ce qu'il faut bien dénommer des cadres à statut employé.
Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques.En 2015-2016, l'enquête sur les solidarités informelles a eu pour objectif d'étudier plus précisément au sein du panel :1. comment les enquêtés conçoivent la solidarité, sa définition, son périmètre ;2. comment ont évolué leurs pratiques quant aux aides les plus significatives ressorties de l'enquête 2014-2015 ;3. comment ils s'approprient différentes initiatives proposées par des enquêtés en 2014-2015 : les services d'échange locaux, le covoiturage de proximité, l'entraide autour des enfants ;4. quel est leur usage des NTIC (nouvelle technologie de l'information et de la communication) en la matière.Il s'agissait également de pouvoir toucher deux publics-cibles sous-représentés dans le panel : les habitants du parc social locatif avec une enquête complémentaire sur le quartier de la Halvêque (Nantes) ; les « jeunes » adultes de 18 à 30 ans vivant dans l'agglomération nantaise.
Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques.En 2015-2016, l'enquête sur les solidarités informelles a eu pour objectif d'étudier plus précisément au sein du panel :1. comment les enquêtés conçoivent la solidarité, sa définition, son périmètre ;2. comment ont évolué leurs pratiques quant aux aides les plus significatives ressorties de l'enquête 2014-2015 ;3. comment ils s'approprient différentes initiatives proposées par des enquêtés en 2014-2015 : les services d'échange locaux, le covoiturage de proximité, l'entraide autour des enfants ;4. quel est leur usage des NTIC (nouvelle technologie de l'information et de la communication) en la matière.Il s'agissait également de pouvoir toucher deux publics-cibles sous-représentés dans le panel : les habitants du parc social locatif avec une enquête complémentaire sur le quartier de la Halvêque (Nantes) ; les « jeunes » adultes de 18 à 30 ans vivant dans l'agglomération nantaise.
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Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques.En 2015-2016, l'enquête sur les solidarités informelles a eu pour objectif d'étudier plus précisément au sein du panel :1. comment les enquêtés conçoivent la solidarité, sa définition, son périmètre ;2. comment ont évolué leurs pratiques quant aux aides les plus significatives ressorties de l'enquête 2014-2015 ;3. comment ils s'approprient différentes initiatives proposées par des enquêtés en 2014-2015 : les services d'échange locaux, le covoiturage de proximité, l'entraide autour des enfants ;4. quel est leur usage des NTIC (nouvelle technologie de l'information et de la communication) en la matière.Il s'agissait également de pouvoir toucher deux publics-cibles sous-représentés dans le panel : les habitants du parc social locatif avec une enquête complémentaire sur le quartier de la Halvêque (Nantes) ; les « jeunes » adultes de 18 à 30 ans vivant dans l'agglomération nantaise.
Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques.En 2015-2016, l'enquête sur les solidarités informelles a eu pour objectif d'étudier plus précisément au sein du panel :1. comment les enquêtés conçoivent la solidarité, sa définition, son périmètre ;2. comment ont évolué leurs pratiques quant aux aides les plus significatives ressorties de l'enquête 2014-2015 ;3. comment ils s'approprient différentes initiatives proposées par des enquêtés en 2014-2015 : les services d'échange locaux, le covoiturage de proximité, l'entraide autour des enfants ;4. quel est leur usage des NTIC (nouvelle technologie de l'information et de la communication) en la matière.Il s'agissait également de pouvoir toucher deux publics-cibles sous-représentés dans le panel : les habitants du parc social locatif avec une enquête complémentaire sur le quartier de la Halvêque (Nantes) ; les « jeunes » adultes de 18 à 30 ans vivant dans l'agglomération nantaise.
Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques. Plusieurs thématiques sont investies : les mécanismes de discriminations et de non accès aux droits (habitat, emploi, formation, culture, etc.) fragilisant la solidarité ; les économies et pratiques d'échanges non monétaires ou non marchands qui se « bricolent » et renforcent les solidarités, (mutualisations, échanges et création de services …), de façon complémentaire aux systèmes de solidarité plus structurés (comme les associations caritatives). ; l'inscription des habitants dans des réseaux de voisinages, associatifs, sociaux et dans leur territoire de vie ; les sentiments d'insécurité sociale (relatifs aux sentiments de vulnérabilité, de déclassement social, de dégradation de la tranquillité, d'isolement,) que peuvent ressentir les habitants de l'agglomération nantaise, au quotidien, dans leurs territoires de vie ; l'impact du cadre de vie quotidien, sa qualité et sa diversité (espaces verts, expositions aux nuisances, propreté), ses usages et son appropriation par les habitants comme support de convivialité et de solidarités.
Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques. Plusieurs thématiques sont investies : les mécanismes de discriminations et de non accès aux droits (habitat, emploi, formation, culture, etc.) fragilisant la solidarité ; les économies et pratiques d'échanges non monétaires ou non marchands qui se « bricolent » et renforcent les solidarités, (mutualisations, échanges et création de services …), de façon complémentaire aux systèmes de solidarité plus structurés (comme les associations caritatives). ; l'inscription des habitants dans des réseaux de voisinages, associatifs, sociaux et dans leur territoire de vie ; les sentiments d'insécurité sociale (relatifs aux sentiments de vulnérabilité, de déclassement social, de dégradation de la tranquillité, d'isolement,) que peuvent ressentir les habitants de l'agglomération nantaise, au quotidien, dans leurs territoires de vie ; l'impact du cadre de vie quotidien, sa qualité et sa diversité (espaces verts, expositions aux nuisances, propreté), ses usages et son appropriation par les habitants comme support de convivialité et de solidarités.
Rapport annuel sur Les pratiques de solidarité informelles. Enquête longitudinale sur les modalités, ressources et contraintes de l'entraide au sein du territoire de Nantes Métropole. Dans le cadre de l'Observatoire des Solidarités, la mission « Politique de la Ville » de Nantes Métropole et l'Agence d'Urbanisme de la Région Nantaise (AURAN) souhaitaient mettre en place un travail d'enquête, afin de repérer les initiatives citoyennes qui permettent de renforcer les solidarités. Ce travail à caractère opérationnel vise à développer et renforcer les politiques publiques. Plusieurs thématiques sont investies : les mécanismes de discriminations et de non accès aux droits (habitat, emploi, formation, culture, etc.) fragilisant la solidarité ; les économies et pratiques d'échanges non monétaires ou non marchands qui se « bricolent » et renforcent les solidarités, (mutualisations, échanges et création de services …), de façon complémentaire aux systèmes de solidarité plus structurés (comme les associations caritatives). ; l'inscription des habitants dans des réseaux de voisinages, associatifs, sociaux et dans leur territoire de vie ; les sentiments d'insécurité sociale (relatifs aux sentiments de vulnérabilité, de déclassement social, de dégradation de la tranquillité, d'isolement,) que peuvent ressentir les habitants de l'agglomération nantaise, au quotidien, dans leurs territoires de vie ; l'impact du cadre de vie quotidien, sa qualité et sa diversité (espaces verts, expositions aux nuisances, propreté), ses usages et son appropriation par les habitants comme support de convivialité et de solidarités.
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