Die Dystopie des Spätkapitalismus bei Gert Prokop: ein Sonderfall der DDR-Science-Fiction?
In: Hefte zur DDR-Geschichte 154
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In: Hefte zur DDR-Geschichte 154
In: Berliner Debatte Initial: sozial- und geisteswissenschaftliches Journal, Band 26, Heft 2, S. 111-122
ISSN: 0863-4564
Die Grenzen ungebremsten Wirtschaftswachstums wurden nach 1970 auch von der DDR-Opposition diskutiert. Im Ergebnis entstanden drei Öko-Utopien, die – bei aller Sperrigkeit – erstaunlich relevante Fragen aufwerfen. Rudolf Bahro, Wolfgang Harich und Robert Havemann waren die wohl bekanntesten SED-Kritiker in der DDR. Dabei verstanden sie sich als Marxisten und ihre Forderungen reichten weit über eine Demokratisierung des Realsozialismus hinaus. Als in den siebziger Jahren im Westen die Umweltfrage wichtiger wurde, hielt die SED das für ein ideologisches Manöver des Klassenfeindes. Anders sahen das die drei Dissidenten: Sie verbanden Sozialismus und Ökologie und griffen dabei auf die unter Marxisten verpönte Utopie zurück. Damit schufen sie für den Ostblock einmalige politische Konzeptionen. Alexander Amberger stellt sie vor, setzt sie in Beziehung und stellt die Frage nach ihrer damaligen und heutigen Relevanz.
In: Historical materialism book series volume 306
"Rudolf Bahro, Wolfgang Harich and Robert Havemann were probably the best-known critics of the DDR's ruling Socialist Unity Party. Yet they saw themselves as Marxists, and their demands extended far beyond a democratisation of real socialism. When environmental issues became more important in the West in the 1970s, the Party treated it as an ideological manoeuvre of the class enemy. The three dissidents saw things differently: they combined socialism and ecology, adopting a utopian perspective frowned upon by the state. In doing so, they created political concepts that were unique for the Eastern Bloc. Alexander Amberger introduces them, relates them to each other, and poses the question of their relevance then and now"--
In: Actuel Marx, Band 74, Heft 2, S. 71-88
ISSN: 1969-6728
Après le rapport du « Club de Rome », le débat écologique a acquis une très grande audience à l'Ouest. Les « limites de la croissance » étaient discutées publiquement dans de nombreux ouvrages à succès et faisaient l'objet de débats dans le champ politique, culturel, économique et social. Un mouvement environnemental s'est constitué qui, par la suite, a donné naissance aux partis verts. En RDA, en revanche, la croissance n'a pas fait l'objet de discussions à cette époque. Le parti-État qu'était le SED était focalisé sur l'idée d'une croissance extensive et d'une consommation financée par la dette. L'objectif était de dépasser l'Ouest sur le plan économique. La « crise écologique » était donc perçue comme une arme idéologique contre la croissance du socialisme réel. À la fin des années 1970, Rudolf Bahro, Wolfgang Harich et Robert Havemann, auteurs marxistes de RDA critiques à l'égard du système, ont élaboré des utopies écologiques orientées vers des alternatives éco-communistes. L'article présente ces utopies et leurs auteurs et esquisse les grandes lignes de la réception dont elles ont bénéficié à l'époque et aujourd'hui.
In: Staat und Politik bei Ernst Bloch, S. 107-126
In: Technikzukünfte, Wissenschaft und Gesellschaft
In: Berliner Debatte Initial 29. Jg., 2 (2018)