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There is a great deal of poetry, wit, and wisdom in the writings of Adam Smith, and many wonderful passages. I like this one for several reasons. I like its grammatical austerity. I like that it is active rather than passive. I like the way the verb in the present tense gives the impression of indefinite continuation. I like the way the dual, hylomorphic, meaning of "produce," as both the act of producing and also the material result of production, corresponds nicely with the dual, hylomorphic, meaning of "constitutes," as both the act of imposing form and also as the matter of which the product consists.

The positive/normative distinction, in its modern form, was introduced into economics by Lionel Robbins. Robbins's discussion of the distinction was provoked in part by Ralph Hawtrey's prior claim that economics cannot be dissociated from ethics. Robbins's argument has been quite influential, but Hawtrey himself was not persuaded and later explicitly reaffirmed his view but did not sketch out its basis in any published writing. This article offers an interpretation of the philosophical underpinnings of Hawtrey's position. It argues that Hawtrey had a sophisticated, well-developed, and coherent position, with deep historical roots and based on the ethics of G. E. Moore and that rejected moral Robbins's moral skepticism. Hawtrey took the view that goodness is an objective property of the world and, as a result, he construed the relationship between ethics and economics in a manner quite different from that which prevails today.

Résumé L'effondrement du système basé sur les accords de Bretton Woods en 1973et l'envoyée des prix du pétrole ont accéléré une divergence d'opinion grandissante entre l'appartenance à la communauté européenne et les pays dont les monnaies faisaient partie du système de taux d'échange communautaire (le "serpent"). En 1974, les monnaies françaises, italiennes et anglaises se sont retirées de ce serpent, contrairement à celles des états non membres (Norvège et Suède) qui ont continué à fonctionner sur ce système. Cette situation commença à menacer de plomber les projets français en vue du développement futur de la communauté, une inquiétude qui se vérifia lors de l'élection de Valéry Giscard d'Estaing en 1974. Le gouvernement Giscard D'Estaing rendit alors prioritaire la réforme du serpent, dans le but de faciliter le retour du Franc et de limiter ainsi toute nouvelle arrivée parmi les membres de l'Europe Monétaire qui serait contre cet objectif. Paris réussit a atteindre ses objectifs à long terme mais échoua pour ceux à court terme. En fait, la France bloqua l'entrée du Franc Suisse dans le serpent (elle s'y opposait vigoureusement), mais fut incapable de changer aucune des règles fondamentales régissant le fonctionnement du serpent (et cela malgré des efforts répétés). La France, à l'intérieur de l'Europe Monétaire, a exercé une influence considérable sur les questions concernant les membres mais moindre sur celles touchant aux lois sur les états membres - une tendance qui se répètera au fil des années.