In Memoriam Marianne Walle
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 261, Heft 1, S. 3-4
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In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 261, Heft 1, S. 3-4
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 253, Heft 1, S. 27-41
Une des nouveautés de cette guerre de 14-18 est l'ampleur des camps de prisonniers et pour la première fois de prisonnières traitées aussi durement que les hommes. Si beaucoup de résistantes sont arrêtées et emprisonnées, ce sont surtout les femmes espionnes et donc traîtres, jugées par les tribunaux militaires qui souffrent le plus des placements en camp spéciaux ou dans un bagne : Louise de Bettignies, rattachée aux services secrets britanniques et chef du réseau Ramble en est un exemple. Envoyée au bagne de Siegburg, elle connaît la cruauté, la souffrance et la mort entre 1915 et 1918, pour le prix de son action contre les Allemands.
In: Revue historique des armées, Band 272, Heft 3, S. 51-60
Depuis les cantinières ou infirmières de la guerre de 1870, les femmes ont évolué et en 1914 elles cherchent à participer non pas aux combats, ce qui leur est refusé mais à des actions qui leur sont demandées. Des résistances nombreuses naissent en Belgique et dans les régions envahies du nord et de l'est de la France contre l'occupation allemande, particulièrement cruelle envers les femmes. Plusieurs d'entre elles vont passer de la résistance à l'espionnage, sur la demande des services secrets britanniques, français et belges, car moins contrôlées que les hommes. Chargées soit de diriger des réseaux soit de surveiller directement tout mouvement de troupes aux abords des voies ferrées et des voies navigables, ces femmes comme Louise de Bettignies acceptent ce rôle périlleux qui leur vaut la mort ou la prison à vie. Aussi menacées sont celles qui sont chargées par la reine de Belgique de préparer des entrevues de paix entre Alliés et Allemands.
In: Revue historique des armées, Heft 3=272, S. 51-60
ISSN: 0035-3299
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 232, Heft 4, S. 143-154
Résister, espionner : nouvelle fonction pour la femme en 1914-1918 L'espionnage des femmes n'est pas recensé dans les fonctions civiles et nouvelles au service de la Première Guerre mondiale. Pourtant, dans les pays ou régions envahis par les Allemands, des résistantes se manifestent pour aider les Alliés. Mais les services de renseignement demandent plus d'informations, d'où l'organisation de réseaux d'espionnes. Les agents doubles françaises travaillent différemment mais toutes souffrent d'une ambiguïté et de rester ignorées après les manifestations officielles des années 1920.
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 230, Heft 2, S. 23-36
Le recrutement dans l'empire colonial français, 1914-1918 L'empire colonial français à peine achevé en août 1914 et considéré par quelques généraux ayant pratiqué les guerres coloniales et la guerre de 1870 comme un apport indispensable à l'armée française ne trouve pas d'échos dans le gouvernement. De 1914 à 1918, le manque d'effectifs entraîne finalement le Parlement à édicter des décrets successifs permettant un recrutement de soldats et de travailleurs « indigènes » de plus en plus important grâce à des hommes comme Blaise Diagne et le général Mangin. L'après-guerre repose la question de la citoyenneté des recrues des colonies.
In: Revue Historique des Armées, Band 247, Heft 2, S. 42-51
L'espionnage, sujet controversé pendant la Grande Guerre, a eu un succès considérable dans les années 1930. Actuellement, les témoignages des espions et des services secrets, même s'ils ne sont pas tous véridiques, permettent, en complétant par les archives, de mieux comprendre l'importance du renseignement pendant la Grande Guerre, l'organisation de l'espionnage chez les alliés, le recrutement des espions, la surveillance des agissements de l'ennemi, la découverte d'un nouveau rôle de la femme passant des travaux à l'arrière à l'espionnage en territoire occupé ou dans les milieux interlopes. L'espionnage comme le contre-espionnage mis en place par les alliés, s'ils ont été considérés par certains belligérants comme une affaire immorale et difficile à utiliser, ont permis de protéger les pays en guerre et d'agir sur la stratégie des états-majors. Conscients de l'importance de leur rôle, d'anciens espions entreront dans la Résistance à la Seconde Guerre mondiale.
In: Revue historique des armées, Heft 247, S. 42-51
ISSN: 0035-3299
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 219, Heft 3, S. 53-62
1915. La France en chantier Après la bataille de la Marne, le ministre de la Guerre réunit les principaux représentants de la sidérurgie et de la métallurgie pour préparer une guerre longue. Dès 1915, se crée à Paris, un Bureau d'études économiques qui réunit les principaux industriels français pour promouvoir des comités économiques dans les départements. Les ministres A. Thomas, E. Clémentel, le député Dalbiez imposent les débuts d'une mobilisation industrielle nationale. Ils s'appuient sur le comité des Forges, sur des organismes déjà nombreux dans les départements et de nouveaux comités. L'exemple de la Seine-et-Marne montre l'imbrication des différents organismes qui gèrent l'industrie, l'agriculture et la main-d'œuvre sur un plan départemental et régional.
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 253, Heft 1, S. 3-4
In: Guerres mondiales et conflits contemporains, Band 232, Heft 4, S. 3-4