Le couple et le mariage vus par les Europeens
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 395, S. 11-24
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
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In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 395, S. 11-24
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
"Famille, sociabilité, morale, travail, économie, religion, politique,environnement, etc. ? Quelles sont les valeurs qui, aujourd'hui, font sens pour les Français ? Comment ont-elles évolué depuis 40 ans?L'ouvrage propose une analyse approfondie des opinions et attitudes des Français et permet de mesurer les tendances de fond de l'opinion publique. Il s'appuie sur la dernière vague de l'enquête internationale de référence, la European Values Study, réalisée en 1981, 1990, 1999, 2008 et 2018. Organisé sous forme d'une cinquantaine de notices courtes classées selon huit grands thèmes, il est conçu comme une encyclopédie avec un index de mots-clés. Les notices présentent les résultats de 2018 et en proposent une interprétation claire, le plus souvent en comparaison avec les enquêtes antérieures.Un ouvrage de référence indispensable, aussi bien pour les étudiants que pour les observateurs de la société, pour les professionnels du monde des médias et les acteurs associatifs,sociaux et politiques."
World Affairs Online
International audience ; How do individual integration to religion and to the political community combine? In the French context, characterized by a strong secularization, we analyse the effect of belonging to a faith group (Christian, Muslim, other) and the irreligiosity (mesasured as distance vis-à-vis religion) based on a large data set (n=9.000) of students attending junior high school. We find than intense religiosity is never correlated to the the higher attachment to the nation-state. Attachment is highest among the most irreligious adolescents, and lowest among Muslims. In addition those espousing the ideals of liberty and equality and strict separation of church and state are the most irreligious children. ; Dans un contexte de croissance de l'affirmation de l'identité cultuelle des musulmans, en particulier des jeunes, la religion a pris une place centrale dans le débat politique en France mais aussi dans toute l'Europe 1 depuis maintenant une bonne vingtaine d'années. Le lien entre convictions religieuses et citoyenneté, mais aussi la pertinence dans le contexte actuel des modalités du sécularisme 2 , sont maintenant un enjeu politique de premier plan. Comment se combinent l'intégration religieuse et politique des adolescents ? Dans le contexte français, marqué par une forte sécularisation 3 , il ne s'agit pas seulement de prendre en compte les effets sociaux et politiques de l'adhésion à différentes dénominations, mais également à la non-religion, en incluant à l'analyse les irréligieux ou « sans religion », les athées convaincus ou simplement les indifférents à la religion, qui représentent la vision du monde la plus fréquente chez les adolescents. L'idée de la nation occidentale est étroitement liée à celle de l'Etat, et on parle d'Etat-Nation. Un enjeu important consiste donc à savoir si la religion est une sorte de dénominateur commun, un pourvoyeur de liens et de normes partagées, ou bien si elle divise. Chaque Etat a historiquement tenté de rassembler les diverses collectivités ou communautés ...
BASE
International audience ; How do individual integration to religion and to the political community combine? In the French context, characterized by a strong secularization, we analyse the effect of belonging to a faith group (Christian, Muslim, other) and the irreligiosity (mesasured as distance vis-à-vis religion) based on a large data set (n=9.000) of students attending junior high school. We find than intense religiosity is never correlated to the the higher attachment to the nation-state. Attachment is highest among the most irreligious adolescents, and lowest among Muslims. In addition those espousing the ideals of liberty and equality and strict separation of church and state are the most irreligious children. ; Dans un contexte de croissance de l'affirmation de l'identité cultuelle des musulmans, en particulier des jeunes, la religion a pris une place centrale dans le débat politique en France mais aussi dans toute l'Europe 1 depuis maintenant une bonne vingtaine d'années. Le lien entre convictions religieuses et citoyenneté, mais aussi la pertinence dans le contexte actuel des modalités du sécularisme 2 , sont maintenant un enjeu politique de premier plan. Comment se combinent l'intégration religieuse et politique des adolescents ? Dans le contexte français, marqué par une forte sécularisation 3 , il ne s'agit pas seulement de prendre en compte les effets sociaux et politiques de l'adhésion à différentes dénominations, mais également à la non-religion, en incluant à l'analyse les irréligieux ou « sans religion », les athées convaincus ou simplement les indifférents à la religion, qui représentent la vision du monde la plus fréquente chez les adolescents. L'idée de la nation occidentale est étroitement liée à celle de l'Etat, et on parle d'Etat-Nation. Un enjeu important consiste donc à savoir si la religion est une sorte de dénominateur commun, un pourvoyeur de liens et de normes partagées, ou bien si elle divise. Chaque Etat a historiquement tenté de rassembler les diverses collectivités ou communautés ...
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International audience ; Les enquêtes de l'International Social Survey Programme (ISSP) portent en 2003 et 2013 sur le thème de l'identité nationale et de la perception des immigrés, avec de nombreuses questions identiques, ce qui permet des analyses comparées dans le temps et selon les pays.La communication s'intéresse d'abord – pour quinze pays européens - à un problème méthodologique : comment considérer les réponses « ne peut choisir » et l'absence de réponse, que les résultats distinguent ? Sur 47 variables communes aux deux vagues d'enquête, deux indices sont construits, montrant que les « ne peut choisir » et les sans réponse correspondent à deux populations assez spécifiques, même si leurs caractéristiques sociodémographiques ont des parentés assez fortes selon le genre, l'âge, les catégories sociales, l'implication politique.De 2003 à 2013, on observe une baisse de la propension à ne pas se positionner (somme des « ne peut choisir » et des sans réponse) comme dans beaucoup d'autres enquêtes. Si des explications structurelles (niveau d'études croissant, meilleures pratiques des instituts de sondage…) peuvent expliquer cette évolution, il semble plus difficile de l'attribuer à une polarisation générale des opinions sur ces questions.La communication compare ensuite les résultats par pays et à dix ans de distance pour trois thématiques :- le nationalisme identitaire, mesuré par deux indices, est élevé mais stable, baissant au Portugal et en Irlande mais augmentant en Europe centrale et orientale. Il est particulièrement fort chez les personnes faiblement diplômées et âgées, à forte religiosité, orientées à droite.- la fierté nationale, fortement corrélée au nationalisme dans beaucoup de pays, diffère selon les domaines : on est en général beaucoup plus fier des performances sportives et scientifiques du pays, de son histoire et de sa culture que de ses réalisations économiques, de son sens de la justice ou de son influence politique dans le monde. Comparé à la fierté, un indice de honte de son pays montre ...
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International audience ; Les enquêtes de l'International Social Survey Programme (ISSP) portent en 2003 et 2013 sur le thème de l'identité nationale et de la perception des immigrés, avec de nombreuses questions identiques, ce qui permet des analyses comparées dans le temps et selon les pays.La communication s'intéresse d'abord – pour quinze pays européens - à un problème méthodologique : comment considérer les réponses « ne peut choisir » et l'absence de réponse, que les résultats distinguent ? Sur 47 variables communes aux deux vagues d'enquête, deux indices sont construits, montrant que les « ne peut choisir » et les sans réponse correspondent à deux populations assez spécifiques, même si leurs caractéristiques sociodémographiques ont des parentés assez fortes selon le genre, l'âge, les catégories sociales, l'implication politique.De 2003 à 2013, on observe une baisse de la propension à ne pas se positionner (somme des « ne peut choisir » et des sans réponse) comme dans beaucoup d'autres enquêtes. Si des explications structurelles (niveau d'études croissant, meilleures pratiques des instituts de sondage…) peuvent expliquer cette évolution, il semble plus difficile de l'attribuer à une polarisation générale des opinions sur ces questions.La communication compare ensuite les résultats par pays et à dix ans de distance pour trois thématiques :- le nationalisme identitaire, mesuré par deux indices, est élevé mais stable, baissant au Portugal et en Irlande mais augmentant en Europe centrale et orientale. Il est particulièrement fort chez les personnes faiblement diplômées et âgées, à forte religiosité, orientées à droite.- la fierté nationale, fortement corrélée au nationalisme dans beaucoup de pays, diffère selon les domaines : on est en général beaucoup plus fier des performances sportives et scientifiques du pays, de son histoire et de sa culture que de ses réalisations économiques, de son sens de la justice ou de son influence politique dans le monde. Comparé à la fierté, un indice de honte de son pays montre ...
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Les électeurs deviennent de plus en plus sensibles à l'offre électorale et à la conjoncture politique. La méthode des probabilités de vote est vue ici comme un outil d'observation empirique du processus de choix électoral, un instrument d'analyse des préférences électorales et des arbitrages opérés entre les candidats.
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Les électeurs deviennent de plus en plus sensibles à l'offre électorale et à la conjoncture politique. La méthode des probabilités de vote est vue ici comme un outil d'observation empirique du processus de choix électoral, un instrument d'analyse des préférences électorales et des arbitrages opérés entre les candidats.
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Les électeurs deviennent de plus en plus sensibles à l'offre électorale et à la conjoncture politique. La méthode des probabilités de vote est vue ici comme un outil d'observation empirique du processus de choix électoral, un instrument d'analyse des préférences électorales et des arbitrages opérés entre les candidats.
BASE
Das International Social Survey Programme (ISSP) ist ein länderübergreifendes, fortlaufendes Umfrageprogramm, das jährlich Erhebungen zu Themen durchführt, die für die Sozialwissenschaften wichtig sind. Das Programm begann 1984 mit vier Gründungsmitgliedern - Australien, Deutschland, Großbritannien und den Vereinigten Staaten - und ist inzwischen auf fast 50 Mitgliedsländer aus aller Welt angewachsen. Da die Umfragen auf Replikationen ausgelegt sind, können die Daten sowohl für länder- als auch für zeitübergreifende Vergleiche genutzt werden. Jedes ISSP-Modul konzentriert sich auf ein bestimmtes Thema, das in regelmäßigen Zeitabständen wiederholt wird. Details zur Durchführung der nationalen ISSP-Umfragen entnehmen Sie bitte der Dokumentation. Die vorliegende Studie konzentriert sich auf Fragen zu Umwelt, Klimawandel und Umweltschutz.
GESIS
Das International Social Survey Programme (ISSP) ist ein länderübergreifendes, fortlaufendes Umfrageprogramm, das jährlich Erhebungen zu Themen durchführt, die für die Sozialwissenschaften wichtig sind. Das Programm begann 1984 mit vier Gründungsmitgliedern - Australien, Deutschland, Großbritannien und den Vereinigten Staaten - und ist inzwischen auf fast 50 Mitgliedsländer aus aller Welt angewachsen. Da die Umfragen auf Replikationen ausgelegt sind, können die Daten sowohl für länder- als auch für zeitübergreifende Vergleiche genutzt werden. Jedes ISSP-Modul konzentriert sich auf ein bestimmtes Thema, das in regelmäßigen Zeitabständen wiederholt wird. Details zur Durchführung der nationalen ISSP-Umfragen entnehmen Sie bitte der Dokumentation. Die vorliegende Studie konzentriert sich auf Fragen zu sozialer Ungleichheit.
GESIS
Das International Social Survey Programme (ISSP) ist ein länderübergreifendes, fortlaufendes Umfrageprogramm, das jährlich Erhebungen zu Themen durchführt, die für die Sozialwissenschaften wichtig sind. Das Programm begann 1984 mit vier Gründungsmitgliedern - Australien, Deutschland, Großbritannien und den Vereinigten Staaten - und ist inzwischen auf fast 50 Mitgliedsländer aus aller Welt angewachsen. Da die Umfragen auf Replikationen ausgelegt sind, können die Daten sowohl für länder- als auch für zeitübergreifende Vergleiche genutzt werden. Jedes ISSP-Modul konzentriert sich auf ein bestimmtes Thema, das in regelmäßigen Zeitabständen wiederholt wird. Details zur Durchführung der nationalen ISSP-Umfragen entnehmen Sie bitte der Dokumentation. Die vorliegende Studie konzentriert sich auf Fragen zu sozialer Ungleichheit.
GESIS