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Résumé La recherche intervention, théorisée par Marc Uhalde, est déployée dans les organisations par le sociologue pour produire des connaissances situées à des fins de transformation des rapports sociaux. Nous interrogeons la capacité de ce mode de recherche à produire des connaissances valides au regard de la discipline sociologique en le resituant dans la pluralité des rapports de production entre science et société. La recherche intervention, revisitée à l'aune des notions de « science en société » et de « démocratie technique », révèle les modalités hybrides qui la composent et en font une combinaison singulière entre production de connaissances à distance des acteurs de l'organisation et coproduction de sens et de capacités avec ces acteurs.

International audience ; Les recompositions du travail et de l'emploi, l'accumulation des réformes et les crises profondes – sociales, sanitaires, économiques – reposent la question de la possibilité même des collectifs de travail et d'emploi. Cet ouvrage interroge les nouvelles formes prises par ces collectifs, à rebours de l'idée que l'individualisation serait une tendance univoque. Les vingt-quatre auteur.e.s réunis ici – sociologues, juristes, ergonomes, économistes et politistes – s'affranchissent de toute définition a priori des collectifs. Ils privilégient une approche inductive, la pluralité des éclairages, des échelles et des époques à partir d'enquêtes de terrain approfondies. Les contributions étudient ces mutations contemporaines pour une variété de secteurs – la production cinématographique, l'aéronautique, les tiers lieux et les fablabs, l'hôpital, les services informatiques – et de publics – travailleurs et travailleuses d'un service social en entreprise, pilotes d'hélicoptères, travailleurs sociaux en Mission Locale, managers, secrétaires et assistantes de direction, salariés privés d'emploi et en transition professionnelle. Il ressort de ce panorama une mosaïque de collectifs dont les formes et les dynamiques rendent compte in fine de leurs capacités à se réinventer. [résumé éditeur]

International audience ; Les recompositions du travail et de l'emploi, l'accumulation des réformes et les crises profondes – sociales, sanitaires, économiques – reposent la question de la possibilité même des collectifs de travail et d'emploi. Cet ouvrage interroge les nouvelles formes prises par ces collectifs, à rebours de l'idée que l'individualisation serait une tendance univoque. Les vingt-quatre auteur.e.s réunis ici – sociologues, juristes, ergonomes, économistes et politistes – s'affranchissent de toute définition a priori des collectifs. Ils privilégient une approche inductive, la pluralité des éclairages, des échelles et des époques à partir d'enquêtes de terrain approfondies. Les contributions étudient ces mutations contemporaines pour une variété de secteurs – la production cinématographique, l'aéronautique, les tiers lieux et les fablabs, l'hôpital, les services informatiques – et de publics – travailleurs et travailleuses d'un service social en entreprise, pilotes d'hélicoptères, travailleurs sociaux en Mission Locale, managers, secrétaires et assistantes de direction, salariés privés d'emploi et en transition professionnelle. Il ressort de ce panorama une mosaïque de collectifs dont les formes et les dynamiques rendent compte in fine de leurs capacités à se réinventer. [résumé éditeur]

International audience ; Les recompositions du travail et de l'emploi, l'accumulation des réformes et les crises profondes – sociales, sanitaires, économiques – reposent la question de la possibilité même des collectifs de travail et d'emploi. Cet ouvrage interroge les nouvelles formes prises par ces collectifs, à rebours de l'idée que l'individualisation serait une tendance univoque. Les vingt-quatre auteur.e.s réunis ici – sociologues, juristes, ergonomes, économistes et politistes – s'affranchissent de toute définition a priori des collectifs. Ils privilégient une approche inductive, la pluralité des éclairages, des échelles et des époques à partir d'enquêtes de terrain approfondies. Les contributions étudient ces mutations contemporaines pour une variété de secteurs – la production cinématographique, l'aéronautique, les tiers lieux et les fablabs, l'hôpital, les services informatiques – et de publics – travailleurs et travailleuses d'un service social en entreprise, pilotes d'hélicoptères, travailleurs sociaux en Mission Locale, managers, secrétaires et assistantes de direction, salariés privés d'emploi et en transition professionnelle. Il ressort de ce panorama une mosaïque de collectifs dont les formes et les dynamiques rendent compte in fine de leurs capacités à se réinventer. [résumé éditeur]

International audience ; Les recompositions du travail et de l'emploi, l'accumulation des réformes et les crises profondes – sociales, sanitaires, économiques – reposent la question de la possibilité même des collectifs de travail et d'emploi. Cet ouvrage interroge les nouvelles formes prises par ces collectifs, à rebours de l'idée que l'individualisation serait une tendance univoque. Les vingt-quatre auteur.e.s réunis ici – sociologues, juristes, ergonomes, économistes et politistes – s'affranchissent de toute définition a priori des collectifs. Ils privilégient une approche inductive, la pluralité des éclairages, des échelles et des époques à partir d'enquêtes de terrain approfondies. Les contributions étudient ces mutations contemporaines pour une variété de secteurs – la production cinématographique, l'aéronautique, les tiers lieux et les fablabs, l'hôpital, les services informatiques – et de publics – travailleurs et travailleuses d'un service social en entreprise, pilotes d'hélicoptères, travailleurs sociaux en Mission Locale, managers, secrétaires et assistantes de direction, salariés privés d'emploi et en transition professionnelle. Il ressort de ce panorama une mosaïque de collectifs dont les formes et les dynamiques rendent compte in fine de leurs capacités à se réinventer. [résumé éditeur]

International audience ; Les recompositions du travail et de l'emploi, l'accumulation des réformes et les crises profondes – sociales, sanitaires, économiques – reposent la question de la possibilité même des collectifs de travail et d'emploi. Cet ouvrage interroge les nouvelles formes prises par ces collectifs, à rebours de l'idée que l'individualisation serait une tendance univoque. Les vingt-quatre auteur.e.s réunis ici – sociologues, juristes, ergonomes, économistes et politistes – s'affranchissent de toute définition a priori des collectifs. Ils privilégient une approche inductive, la pluralité des éclairages, des échelles et des époques à partir d'enquêtes de terrain approfondies. Les contributions étudient ces mutations contemporaines pour une variété de secteurs – la production cinématographique, l'aéronautique, les tiers lieux et les fablabs, l'hôpital, les services informatiques – et de publics – travailleurs et travailleuses d'un service social en entreprise, pilotes d'hélicoptères, travailleurs sociaux en Mission Locale, managers, secrétaires et assistantes de direction, salariés privés d'emploi et en transition professionnelle. Il ressort de ce panorama une mosaïque de collectifs dont les formes et les dynamiques rendent compte in fine de leurs capacités à se réinventer. [résumé éditeur]